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Critiques de Frédéric Massot (12)
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Jouer, trahir, crever

Il aurait pu rester un dieu du ballon rond ! Il aurait pu être le “chéri de ces dames”, n'était-il pas considéré comme beau gosse ? Il aurait pu être valeureux mais il fut veule !



Il aurait pu réfléchir à ce qu'il faisait mais il a préféré céder aux sirènes de l'argent facile et au pouvoir du bourreau, après n'avoir été qu'un voyou et une petite frappe ! Lâche jusqu'au bout pour n'avoir pas su s'éloigner de la pègre avant qu'il ne soit trop tard ni assumer ses actes !



Ecrit sans manichéisme ce roman biographique historique, se lit aisément bien que je ne me sois pas sentie très propre tout au long de sa lecture !



C'est une histoire de la France qui a été écrite par beaucoup de monde, même si la majorité des collabos n'a pas été aussi loin dans l'abjection que Alexandre Villaplane et d'une manière aussi désinvolte !



J'ai beaucoup aimé les parties personnelles de l'auteur quand il a fait ses recherches, quand il a parlé de sa famille et de la honte avec laquelle il faut vivre et qui pèse sur les épaules de ceux qui sont nés dans l'après-guerre ! Il a fait preuve de sensibilité et de délicatesse, celles qui ont tant manqué à Villaplane !



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Challenge Jeux en Foli...ttérature 12

Pioche dans ma PAL août 2022 : bboussy
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Jouer, trahir, crever

Je n'aime pas le foot, ni la guerre et pourtant j'ai dévoré ce livre, il est passionnant, très bien écrit.



Jouer, trahir, crever de Frédéric Massot est la triste vie d'un grand joueur de foot, Alexandre Villaplane, star du ballon rond dans les années 1930.



Il avait tout pour être heureux, l'argent, l'amour, il était beau mais ce n'était pas suffisant.



Il était le capitaine de l'équipe de France, il participe à la première coupe du monde, adulé, entouré des plus grands, marié, deux enfants, appartement, emploi fictif.

Son gros problème c'est l'argent, il lui en faut toujours plus, gros parieur sur les champs de courses, pas mal de combines, il dépense beaucoup dans les soirées.



Sa déchéance s'accentue avec la guerre, l'occupation. Trahisons, escroqueries, trafics de bijoux, séjours en prison.

Il va s'acoquiner avec des réseaux mafieux, les allemands, tout pour engranger toujours plus, même porter l'uniforme.



Quand il faut régler les comptes à la libération, pour lui il n'a rien fait de mal, il n'a tué personne, on croirait un gamin qui tombe des nues. Non monsieur ce n'est pas moi.

Même si la plupart des collaborateurs n'ont pas été aussi loin dans l'avilissement qu'Alexandre Villaplane, ça ne lui a posé aucun problème. Il a quand même sauvé des vies et ce n'était que magouilles, donc pour lui rien de rédhibitoire.



L'auteur nous fait bien ressentir la honte de la famille après-guerre, ses enfants qui ont du porter ce lourd fardeau jusqu'au bout.



J'ai appris beaucoup de choses sur cette époque, une lecture très intéressante, je vous la conseille.

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Jouer, trahir, crever

Les premières années de la vie d'Alexandre Villaplane /a> , ce sont les années passées en Algérie avant le retour à Marseille .

Très vite , il brille dans le foot , le sommet de sa carrière ce sera d'être capitaine de l'équipe de France , la rencontre avec sa future femme Nicolette , la naissance de sa fille .

Puis déjà commence la dégringolade , les magouilles , l'argent facile , les petites combines , le parcours de la petite délinquance qui rapidement va prendre une vitesse supérieure .

Puis arrive l'innommable, la guerre et la collaboration .

C'est un personnage qui m'a fasciné , sur lequel je me suis posé beaucoup de questions , est -il immature , instable , influençable ? Il semble tellement différent du milieu du grand banditisme dans lequel il finit par tomber .

Il est accro comme on pourrait le dire aujourd'hui, accro à l'argent, malgré tout il y a du bon dans cet homme , son amour pour sa fille , le fait qu'il finisse par reconnaître son fils Alex .

Il m'a semblé souvent dépassé par les événements, j'ai toujours cherché au fil de ma lecture son humanité .

J'ai beaucoup aimé le chapitre où l'auteur parle de son grand-père, la honte de la famille , l'impossible réconciliation.

Un beau roman très bien écrit .

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Jouer, trahir, crever

Près de 80 ans après sa mort, Alexandre Villaplane continue de nous fasciner. Coupe du Monde oblige ? 2 livres lui sont consacrés en cette fin d'année 2022.

Comment cette vedette du ballon rond a t'il pu finir sa vie face à un peloton d'exécution un triste matin de Décembre 1944, avec des hommes aussi peu recommandables que Henri Lafont ou Pierre Bonny.

A cette question, je n'ai toujours pas de réponses.

Le 1er livre qui lui est consacré : le Brassard signé Luc Briand m'avait beaucoup plus, l'auteur y décrivait un Homme plutôt sombre, qui toute sa vie n'a été guidé que par une chose l'argent et finalement peu sympathique.

Ce 2nd livre : Jouer, Trahir , Crever de Frédéric Massot est très différent. Je le trouve plus nuancé sur le personnage.

Bien sûr, Villaplane apparait tout aussi minable dans sa quête de richesse : course hippique truquée, vente de faux lingots d'or aux troupes d'occupation, tout est bon pour amasser toujours plus d'argent. Et pourtant, j'ai été touché par ce destin hors norme.

Sans doute Villaplane n'a t'il pas fait les bons choix dans sa carrière sportive et dans ses engagements durant l'occupation. Malgré cela, il dégage un côté enfantin et immature qui m'a touché. Son amour pour ses enfants est réel, jusqu'à la fin il n'aura cesse de les protéger.

Alors que retenir de cette courte vie ? Coupable, il l'était certainement. Combinard et escroc il l'a reconnu. Assassin, rien ne le prouve vraiment, même si il alla jusqu'à porter l'uniforme Nazi.

Influençable, cela parait plus plausible.

Cette admiration qu'il portait à Henri Lafont a sans doute scellé son destin et précipité sa chute. Comme beaucoup l'ont fait, lui n'a pas su changer de camp au bon moment.
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Jouer, trahir, crever

Une histoire de déchéance. Ce roman biographique du footballeur Alexandre Villaplane est passionnant.

Un sportif connaissant la gloire devient un escroc minable, puis un complice de l'occupant allemand.



Avec talent, Frédéric Massot nous présente la vie d'un raté, d'un menteur, d'un lâche et sa psychologie. Sans hargne, sans pathos.

Alexandre Villaplane va connaître un évènement majeur : l'Occupation. Cette époque va lui permettre d'assouvir sa passion : l'argent. Sa seule raison de vivre : gagner de l'argent. C'est le moment rêvé pour les individus de son acabit...

L'auteur nous fait entrer dans l'univers glauque de la Gestapo française, connue sous le nom de la Carlingue, située au 93 rue Lauriston dans le 16ème arrondissement de Paris.

Cette officine de police pro allemande est dirigée par le repris de justice Henri Laffont et le flic ripoux Pierre Bonny. Elle vole et confisque les biens des proscrits au profit des autorités d'occupation et à celui des truands qui la compose.

La chasse aux résistants et aux Juifs fait également partie de ses attributions.

Les hommes de main de la Carlingue sont des truands libérés de prison. Munis de cartes de la police allemande, ils spolient, tuent, arrêtent. C'est une époque folle où les truands font la loi...même la police officielle française craint la Carlingue : se mettre en travers de son chemin peut coûter très cher.

Pourtant au tout début de sa carrière de footballeur Alexandre Villaplane nous semble sympathique et son caractère un peu enfantin...mais après quelques années de succès, c'est la déchéance, avec au bout du chemin, son exécution à la Libération.



Parallèlement à ce qui précède Frédéric Massot nous fait part de ce qui l'a motivé dans sa décision d'écrire ce livre. Il nous fait également partager des moments de son adolescence, et ce avec émotion.



Un livre intéressent.
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Jouer, trahir, crever

Frédéric Massot raconte la destinée d'Alexandre Villaplane, né en 1904 à Alger. Promis à un avenir sportif, celui qui fut le premier capitaine de l'équipe de France de football lors de la première Coupe du monde en Uruguay, devint au cours des 14 années suivantes, celui qui trompa, tricha et trahit.

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➡️ J'ai apprécié ce roman pour la découverte d'Alexandre Villaplane, les rappels historiques, la narration de cet enchaînement de délits. La fin, efficace.

Par-dessus tout, j'ai aimé m'interroger sur ce personnage.



- Frédéric Massot relate avec précision les premiers égarements de ce jeune homme pour lequel on a quelque indulgence : il suffit de mettre ses agissements sur l'envie de gagner facilement de l'argent.

-Lorsque l'auteur aborde des faits plus graves commis au cours de la seconde guerre mondiale, il nous questionne de façon indirecte.

Il n'est besoin d'être grand clerc pour comprendre que Villaplane n'a pas profité de l'occupation allemande pour trahir, tricher. Elle ne fut qu'une opportunité mise à sa portée, aisément d'ailleurs, alimentée par d'autres de son acabit ou davantage décisionnaires qu'acteurs. Elle fut là, sur le chemin de sa vie, et il est de ces hommes qui se saisissent de toute occasion quelle que soit l'époque, pour se corrompre, avoir une morale sélective.

Est-il un homme ? Oui, de ceux qui sont faibles et font fi de l'honneur.

Sa lettre au juge m'a de prime abord consternée avant que je réalise qu'elle définissait très bien sa désinvolture : celle de ses propos, de ses actions. Ni manipulateur, ni calculateur.

Je continue de m'interroger sur la dichotomie entre le peu de superbe qui l'habite et la gravité de ses actes.



Une très bonne lecture que je vous laisse découvrir.

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Jouer, trahir, crever

Il y a bien écrit roman sur la couverture de ce texte.

Un beau titre, "jouer, trahir, crever", qui traduit tout à fait la vie d' Alexandre Villaphane. Personnage réel qui a une vie, digne d'un roman ou d'une saga. Né en Algérie, il vient s'installer avec ses parents à Séte. Espoir de football, il intègre l'équipe de la Ville. C'est sa période "jouer" : le football des années 30 est très bien décrit, on parle d'amateurisme marron, les joueurs sont amateurs mais bénéficient d'avantages, appartement offert, emplois fictifs ... La première coupe du monde de football voit le jour en juin 1930 avec des matches à Acapulco. Notre jeune Alexandre est le capitaine de cette première équipe de France pour la première coupe du Monde. Il devient alors une vedette. Puis apparaissent les premières équipes professionnelles. le bel Alex flambe sur les terrains mais aussi dans les soirées d'après match, sur les champs de courses.

Puis c'est la guerre et l'occupation. Cette fois, c'est "trahir". Trahir sa famille, il quitte sa première femme et sa fille, Jacqueline, qu'il n'aura de cesse de connaître, aura une liaison courte avec une femme qui aura un fils, qu'il ne connaîtra presque pas. Il va trahir ses amis du football et ne retrouvera pas une place de joueur ou d'entraîneur. Il va d'abord vivre de petites escroqueries, des escroqueries dignes des aventures des pieds nickelés (trafic de bijoux..) ce qui va lui valoir quelques séjours en prison. Mais il va surtout faire des rencontres avec des escrocs et en particulier, Henri Laffont, un personnage digne des meilleurs romans policiers. Et il va trahir son pays, en faisant partie de la bande à Laffont et Bonny. Lors de l'occupation, les occupants vont "utiliser" les réseaux mafieux pour mettre en place leur répression économique. De sacrées pages sur le bureau du 93. Et la trahison va aller jusqu'à la création des fameuses brigades nord africaines, qui vont sévir dans les années 44 en Dordogne, en particulier.

Puis "crever" pour les dernières années de sa vie, il va essayer de fuir en faisant un dernier coup mais va être rattrapé et va faire partie des fusillées en décembre 1944. l est parmi les "Douze salopards" de la Carlingue fusillés au fort de Montrouge. Mais clamera qu'il n'était qu'un escroc et n'aurait pas agi par idéologie.

Ce premier roman m'a beaucoup impressionné car il parle très bien de cette époque, à travers des personnages réels et des épisodes vrais. Tout est vrai dans ces "petites histoires" et dans la grande Histoire. J'ai appris beaucoup d'épisodes sur ces années, et j'ai même été intéressée par le monde du football des années 30. J'ai découvert l'existence des fameuses brigades nord africaines qui ont sévi dans le Sud de la France, dans les années 44.

Ce texte est jalonné de personnages réels, et certains pourraient faire l'objet de textes : Violette Morris une des premières sportives femmes, des années 20 et qui a été interdite de jeux et qui a tenu un magasin d'accessoires automobiles, en banlieue parisienne. Henri Laffont, sacrée figure de parrain français et qui associé à Pierre Bonny, un ancien policier, va créer la Gestapo. Laffont, enfant de la balle, va devenir un Parrain, avec son fameux bureau du 93 et organiser de sacrées soirées mondaines dans son hôtel particulier de Neuilly. Lors de son procès, avant son exécution, il aurait déclaré "je ne regrette rien, Madame, quatre années au milieu des orchidées, des dahlias et des Bentley, çà se paie !". Sa dernière compagne, qui aime mener la belle vie et ne se questionne pas trop sur ces activités et qui sera incarcérée et condamnée pour complicité, tout de même (!!).

Ce roman récit est surtout le portrait d'un homme ordinaire, de joueur de foot à escroc collaborateur.

J'ai aimé ce texte historique et ne suis pas sûre qu'il s'agisse d'un roman mais plutôt d'un récit historique car le narrateur-auteur raconte ses recherches, dans les archives, dans des témoignages .

Un de mes coups de coeur de cette rentrée littéraire 2022.

#Jouertrahircrever #NetGalleyFrance









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Jouer, trahir, crever

Un roman documentaire sur la vie et la chute d'Alexandre Villaplane, capitaine des Bleus pour la première coupe du monde de football, en 1930. Le récit de son ascension et de sa chute dans le petit banditisme puis le marché noir et la collaboration ou comment le goût pour le luxe et l'argent facile mènent au pire... Noir et très documenté, l'auteur présente aussi des pans de son histoire familiale pour livrer une réflexion intéressante sur l'époque trouble de l'Occupation. Edifiant!
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Jouer, trahir, crever

Moi qui aime les histoires vraies j’ai été servi ! Avec ce roman nous avons une sorte d’hybride entre roman historique (l’Histoire avec un grand H) et biographie. La biographie de ce héros national de football français qui va lentement mais sûrement se diriger vers sa propre perdition en trafiquant avec l’occupant nazi.

J’ai aimé le non manichéisme de l’auteur qui ne cherche pas un monstre mais tout simplement un homme avide de pouvoir et d’argent prêt à « casser des œufs » pour avoir une omelette peu ragoutante… Et avec ce souci de réalisme caractéristique de son écriture, le narrateur nous fait revivre des morceaux de la grand histoire (avant guerre et occupation) propre à séduire toute personne curieuse du déroulé d’une autre époque pas si lointaine.

On a presque l’impression de parcourir un documentaire historique, on y écoute l’auteur faire ses démarches auprès des archives, tenir en main des photographies pour nous les décrire, bref on sent le chercheur passionné qui court derrière son personnage. Un personnage énigmatique, obscur et corrompu qui aura connu le ciel pour descendre lentement en enfer. Un roman très appréciable qui a le don de nous faire encore penser à cette histoire une fois la dernière page refermée, à ce Villaplane égaré qui a vu sa chute d’un regard groggy.

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Jouer, trahir, crever

✒Merci à la masse critique de Babelio pour cet envoie. J'ai aimé la manière que choisit F.M. de nous raconter le destin du footballeur Alexandre Villaplane pour nous parler la collaboration de la pègre durant l'occupation, de cette petite histoire d'un joueur super doué ( l'équivalent d'un Mbapé d'aujourd'hui) qui jouait en équipe de france au 1 er mondial en Uruguay mais l'argent n'était jamais assez, toujours trop peu et toujours besoin de plus. Cette obsession va le conduire à la petite "truanderie" (escroquerie, vol...) . Banni des terrains, il se lance dans sa seconde carrière toujours plus vite toujours plus haut!!! jusqu'au 27.12.1944 à 10h26 devant un peloton d'exécution.

F.M. nous livre un récit riche en détails, dates et noms de personnages, ses références bibliographiques permettant d'approfondir le sujet via quelques ouvrages écrits sur le sujet.

Le rythme est soutenu ce qui donne un bon page turner.

Je ne serais jamais si A.V. a eu des regrets ou des remords pour ses méfaits au temps de l'occupation.

Je conseille ce livre pour les amateurs d'histoire.
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Jouer, trahir, crever

Qu'aurais-je fait ? Qu'auriez-vous fait en ces circonstances troubles ? C'est une question que l'on se pose souvent quand on s'intéresse à cette période de l'Occupation. Alors collaboration ou résistance ? Pour beaucoup les convictions et les engagements ont influencé la décision. Un choix qui a été naturel par des actes sans aucune réflexion primaire.

Et puis il y a des circonstances. Elles dictent des actes et des attitudes.



Avec Jouer, trahir, crever, Frédéric Massot vous présente Alexandre Villaplana dit Villaplane. Star du ballon rond. Capitaine de l'équipe de France qui participe en 1930 à la première Coupe du monde en Uruguay, il mène une vie de prestige et de luxe. La Seconde Guerre mondiale va chambouler son monde et son confort. Son mode de vie, ses rêves vont persister et, du tolérable à l'illégal, il fera tout pour les maintenir, les atteindre.

Frédéric Massot nous emmène au plus près d'Alexandre Villaplane. L'auteur nous fait part également de ses émotions tout au long du récit car il est prenant d'écrire sur la vie du "salaud". Il est tout aussi prenant de lire cet ouvrage sur l'histoire de vie d'un homme qui a été acteur d'un événement qui deviendra un rendez-vous planétaire tous les 4 ans et qui participera aux heures les plus sombres de l'Histoire de France.



Le roman d'une vie, un roman historique, une histoire romancée, à vous d'en juger.

Qu'auriez-vous fait ?



Bonne lecture !



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Jouer, trahir, crever

Le roman retrace le parcours sombre d’Alexandre Villaplane, de capitaine de l’équipe de France de football en 1930 à membre de la Gestapo française.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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