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Citations de Frédérick d` Onaglia (112)


En croisant le regard de sa sœur, Maurine fut saisie par sa froideur. Rien, elle ne voyait rien. Il semblait résolument vidé de toute compassion à son égard. Et pour la première fois, elle eut même la terrible impression que Carole se réjouissait de la savoir malheureuse.
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Savourez la vie qui coule en vous, l'air qui entre dans vos poumons.... Ecoutez à présent les battements de votre cœur. Vous les entendez comme vous sentez le sang circuler dans vos veines. Vos pensées vont, viennent. Librement. Laissez les circuler.
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- As-tu déjà entendu parler du memento mori ? "Souviens-toi que tu vas mourir", le fameux carpe diem des Romains. En général, cette devise ornait le triclinium des villas antiques, la salle des banquets, afin de rappeler à chaque convive l'urgence de vivre l'instant présent.
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Tout le monde passe les premières années de sa vie à vouloir quitter l'enfance et le reste de sa vie à en retrouver les sensations.
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Du haut de son mètre soixante-dix, à 38 ans, elle affiche un visage espiègle. Son nez est légèrement retroussé, constellé de taches de son qui lui confèrent une mine d’éternelle gamine. Si aujourd’hui elle accepte cette particularité, il n’en fut pas toujours ainsi. Au début de sa carrière, ce physique a même été un handicap tant elle avait du mal à être prise au sérieux.
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Parfois, un simple rappel à l’ordre suffit à sauver des vies. La vie tient à si peu de choses. Une inattention, et en une fraction de seconde, elle vous échappe.
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Les sens toujours en alerte, il arrive à visualiser les événements, à s’en imprégner et à les reconstituer avec une précision sidérante. Cette acuité ne relève pas seulement de son expérience de capitaine de gendarmerie aux états de service impeccables, mais aussi de sa capacité à enregistrer une foule de détails qui échappent à la majorité des gens… sauf à lui.
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Le Rhône. Puissant. Impressionnant. Silencieux. Cette force tranquille la rassurait, la confortait dans son choix. Le fleuve roulait avec son lot de souffrances, d'épreuves et de secrets qui jalonnent le quotidien. Mais... il poursuivait sa course, indomptable, serein et toujours libre.
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A cette heure matinale, une lumière dorée caressait l'onde de la Saône. Peu à peu, Lyon s'étirait dans sa lenteur dominicale, sous un soleil qui annonçait une belle journée printanière.Sur le quai Saint-Antoine, les derniers étals du marché s'installaient et quelques clients arpentaient déjà l'allée centrale, ponctuée de couleurs et d'odeurs alléchantes.Gabrielle retournait vers sa voiture, heureuse de ses emplettes. Avec précaution, elle déposa le large carton d'une tarte aux pralines sur le siège arrière. Elle fêtait aujourd'hui ses trente-cinq ans et ce gâteau ravirait à coup sûr Laurent et Tristan.
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Au diable la prédiction !
Une coïncidence. Oui, ce n'est qu'une simple coïncidence.
Qu'est-ce que Julien a manigancé ? Sa mère est-elle au courant ?
Julien se serait-il débarrassé de Yann Salque parce que le journaliste avait découvert quelque chose sur La Provençale ?
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De cette période « Peace and love », elle avait conservé une remarquable ouverture d’esprit. Elle aimait son prochain, faisait fi des tabous et des préjugés et montrait un profond respect pour l’environnement dont elle avait mesuré la fragilité alors que le mot « écologie » n’était pas encore inscrit dans le dictionnaire. Aujourd’hui, il lui semblait idiot de prôner la voiture hybride dont les batteries polluent la planète et tout aussi imbécile de s’adonner au vélo dans des salles de sport alors que ce moyen de locomotion lui avait permis de maintenir son corps en bonne santé et d’effectuer de magnifiques promenades.
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Dès son plus jeune âge, Agnès avait appris les codes à respecter en société. Dans la très chic banlieue de l’ouest lyonnais où elle avait grandi, avocats, médecins et industriels se fondaient dans le même moule et affichaient toutes les apparences du bonheur que leur réussite professionnelle laissait supposer
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La chance ne sourirait pas deux fois.
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Trouver sa tendre moitié, c’est tout le bonheur qu’elle lui souhaitait, comme elle avait eu la chance de croiser Hugo sur son chemin. Son amie avait de la générosité à revendre, du courage et un tel optimisme. Elle méritait de recevoir elle aussi.
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Franchement, Marie, consacrer tout ton temps au moulin ne doit pas t’empêcher de t’accomplir dans ta vie de femme. Tu le sais très bien. Tu es belle à croquer, intelligente, pleine de fantaisie. Le jour où tu ne seras plus qu’une vieille olive burinée, il sera trop tard.
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Chaque femme a le droit de disposer de son corps comme elle l’entend, sans que cela entraîne forcément une histoire d’amour.
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La nature s’offrait à elle. Il ne fallait pas beaucoup d’imagination pour comprendre son langage, quand la brise espiègle vient chatouiller les oliviers habillés d’argent, les pieds solidement ancrés dans cette terre d’un rouge profond. À cette heure, les feuillages bruissaient de murmures, secrets jalousement gardés dans l’air saturé d’effluves de thym, de romarin, d’asphodèle et de buis, ces vigoureux arbustes aussi tortueux que rabougris qui s’échappaient des fentes de la roche de Valleraugue, formant une épaisse forêt. Marie comprenait mieux pourquoi son père était venu chercher l’inspiration au creux de ce vallon.
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La fontaine de la grand-place s'inquiétait. Les persiennes mi-closes épiaient le moindre signe. Les platanes espéraient un peu d'animation. Même le mistral retenait son souffle, de peur d'effrayer le rare badaud. Tout le village restait prostré. Pas un bruit. Pas âme qui vive à l'horizon. A l'heure de l'apéritif, un étrange silence avait envahi les rues d'ordinaire si animées.
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Mais, peuchère...le complot existe depuis bien longtemps ! Seulement, personne ne veut en tenir compte, dans cette vallée.
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un tres beau livre qui est un roman mais qui peut être réel car la vie et le mariage sont pas toujours rose pour toutes et tous
Une vie qui bascule avec un fils dans les études ,elle a sont métier qui la passionne Julien,un directeur de conservatoire va t il avoir la chance de prendre ce cœur qui a temps souffert
a vous de lire le roman de Frederick D Onaglia
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