Gaël Henry

S’il n’atteint pas le beauté formelle des bandes dessinées d’Alexander Utkin sur le même sujet, tels « Le Roi des oiseaux » ou « La Princesse guerrière », le dessin fluide de Gaël Henry possède un certain charme. Le trait simplifié évoque celui de Blain, alors que les couleurs directes renforcent le côté légendaire du récit. Cette belle édition au dos toilé étonnera plus d’un lecteur, tant par un récit dérangeant, cruel et dur comme la vie, que par un humour noir, second degré et mélancolique comme l’âme slave.


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Une sombre réécriture de contes slaves, certainement pas pour les enfants !



Grosse surprise pour cette ouvrage : je m'étais arrêtée sur le fait que la Baba Yaga était présente pour le découvrir et au vu de la couverture je m'attendait à un récit adolescent... au final c'est un titre bien plus cruel et à destination des grands !



Ana devait surveiller son petit frère pour l'après-midi. Mais la jeune adolescente avait d'autres plans de prévu... Lorsque son frère se carapate dans une grotte condamnée, c'est l'hécatombe : vite, il faut le retrouver ! Sans que de l'autre coté, c'est une forêt digne d'un conte de fée qui les attends... ou pas. Ici les princesses ne sont pas très fufutes, les princes sont sanguinaires et les loups pas si effrayants...



Coté dessin, le style n'est pas mon préféré, mais contraste bien avec la noirceur du récit. Cela donne un coup de fouet à l'intrigue, ce qui n'est pas désagréable !



bref, un récit surprenant mais très intéressant dont je serais curieuse de découvrir la suite ! ^^

Gaël Henry détourne les codes graphiques du récit jeunesse contemporain pour livrer un conte cruel pour adulte, dans la tradition des textes anciens. On y manipule, on y souffre, on y meurt… Ana traverse les épreuves mais en paye le prix.
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J’étais très inspirée par la première de couverture de cette BD qui s’inspire des grands contes du folklore russe. Vassilissa, Baba Yaga, le tsar Yvan et loup gris. J’ai apprécié cet aspect de la BD qui m’a permis de découvrir ou redécouvrir des contes que je ne connaissais pas très bien.



Le style graphique m’a beaucoup plu et j’ai particulièrement apprécié les couleurs choisies avec une prédominance de rose et de violet.



Si j’ai beaucoup aimé les illustrations, j’ai été un peu moins emballée par l’histoire. La première moitié de la BD me plaisait plutôt bien. J’ai notamment beaucoup apprécié le personnage de poupée que j’ai trouvé très amusant. Les diverses rencontres d’Ana étaient amusantes et nous entraînaient dans un univers à l’humour noir très marqué. Je n’ai en revanche pas du tout accroché avec la deuxième moitié du récit que j’ai trouvé très violente avec des scènes bien trop explicites à mon goût.



Cette BD s’adresse clairement à un public adulte et averti (TW : sang, violence, violence sexuelle notamment). Elle n’est donc pas à mettre entre toutes les mains.



Je ressors assez mitigée de cette lecture ! Si j’ai bien accroché avec la première partie de la BD, je n’ai en revanche pas du tout aimé la suite. L’idée de base me plaisait beaucoup mais j’aurais aimé que la BD reste centrée sur l’humour noir et nous épargne des scènes trop violentes à mon goût.



Je pense que cette BD saura trouver son public parmi les amateurs d’OVNI littéraires, de lectures décalées et un peu trash. Pour ma part c’était un poil trop gore.

J'étais assez curieuse de découvrir cette œuvre qui s'inspire des contes. D'ailleurs, cela démarre gentiment lorsqu'Ana, une adolescente, part à la recherche de son petit frère Noé et se retrouve projetée dans un univers magique parallèle.



Je ne suis pas hyper fan du graphisme mais il s'agit d'un élément très subjectif. Je reconnais toutefois, que j'ai trouvé intéressant le contraste entre les dessins que je qualifierais de plutôt jeunesses, et l'intrigue plus violente qu'elle n'y parait. Celle-ci est très surprenante autant que les personnages que nous allons suivre !



Certains sont vraiment bêtes comme leurs pieds et malgré tout le courage et l'abnégation dont fait preuve l'héroïne, Ana, à leur égard, j'ai compris qu'elle finisse par laisser tomber et fasse des choix atypiques qui vont la conduire à une fin que je n'avais pas vu venir.



Pour conclure, cette BD est un ovni. Cependant, c'est à double tranchant car soit le lecteur accrochera, soit il n'accrochera pas ! De plus, je la conseillerais davantage à un public averti et adulte à cause de certaines scènes explicites...
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Attirée par la couverture et les promesses de l’histoire j’y suis allée, mais attention ce conte est certainement bien différent de ce que vous pouvez croire. J’ai aimé les teintes roses et violacées, le décor mais pas vraiment le graphisme des personnages. Vous devez vous attendre à un tranche de vie qui vire en conte horrifique teinté d’un sacré humour noir, et à absolument pas mettre entre toutes les mains, présence de nues et sang qui gicle.

Ce one-shot est édité par Dupuis, de Gaël Henry. Il est terrible à plus d’un titre, néanmoins intéressant et avec des idées.

Ana est obligée de s’occuper de son petit frère Noé alors qu’elle a d’autres projets. Elle fait quand même beaucoup pour lui, tête à claques dans les deux mondes. J’ai adoré le personnage d’Ana, une jeune femme adolescente volontaire, qui sait se débrouiller, a des limites, sait quand écouter, a envie de bien faire, débrouillarde et intelligente. J’ai également apprécié certaines rencontres, d’autres moins. A un moment, on vous dira que ça ne sert à rien d’aider les gens de ce monde, vous comprendrez vite pourquoi. C’est loin d’être classique, c’est satirique, cynique mais aussi très spécial. A vous de voir maintenant que vous voilà avertis et prêt à de l’humour bien noir si vous le tentez ou non. Bien entendu la fin est comme le reste.

Terrible est un album dans la ligné de "Jolies ténèbres". Un trait doux et des personnages hauts en couleurs qui s'articulent autour d'une histoire au ton cruel.

Les dessins, la mise en page, les couleurs sont magnifiques et nous plongent dans un univers singulier.

Loin des standards, la lecture de Terrible ne vous laissera pas indifférent, mêlant aventure, allégorie, humour, noirceur. Un ouvrage dense et intense!!!

Bravo pour ce bel album!

Je suis très perplexe vis à vis de cette œuvre.



Au début on avait une histoire on ne peut plus banale : la quête d'une jeune fille à la recherche de son frère dans un lieu fantastique. Elle apprend d'ailleurs à ne pas faire confiance à tout le monde et à sauver sa peau avant celle des autres. Cette partie de l'histoire mêle humour, action et morale.



Rapidement on se retrouve face à des illustrations macabres, des relations sexuelles avec de la nudité visible et une mort infantile. On ne s'y attend pas, pour ceux qui connaisse le conte dont c'est inspiré je ne sais pas, mais pour ma part je trouve que ça peut-être relativement choquant dans une bande dessinée qui commence innocemment ou du moins, les dessins la fond paraître ainsi car ils sont pleins de couleurs.



Sinon j'ai trouvé les dessins sympathiques et j'ai beaucoup aimé le personnage de la poupée qui est très drôle, pleine de surprise au vu de ses pouvoirs et qui est relativement utile quoi qu'il lui arrive.

Ana et son petit frère Noé arrivent dans un monde bien étrange. Ana va tout faire afin de sauver son frère des griffes de Baba Yaga et durant son long périple elle va rencontrer de nombreux personnages : Vassilissa la très belle, une poupée qui parle, un loup dangereux mais bienveillant et les multiples idiots du village...



Sur un ton humoristique on découvre un univers rempli de légendes et parfois très sombre. Comme un conte pour adulte, on suit l'aventure de Nina qui possède un courage à toute épreuve. Loin d'être naïve, notre héroïne enchaîne pourtant les déceptions jusqu'au résultat final que j'ai trouvé très imaginatif et très bien amené.



J'ai adoré les différents personnages, soit pour leur bienveillance, soit pour leur côté complètement débile et malveillant. J'ai souri un bon nombre de fois, je suis vraiment adepte de ce genre d'humour et il faut vraiment laisser traîner l'œil sur certains détails du dessin, ça vaut vraiment le coup !



J'ai moins été fan des dessins mais c'est un goût vraiment subjectif. Ils sont très ronds, très colorés, en total contraste avec l'histoire qui, elle, est vachement sombre.



En somme je dirais que c'est une bande dessinée très réussie, avec une histoire maîtrisée de A à Z, mélangeant conte pour adulte, légendes et beaucoup de travers de la société.



Je tiens à préciser que ce n'est pas du tout à mettre dans de jeunes mains : il y a du sexe et de la violence, donc on évite, c'est vraiment pour adultes.



En tout cas j'ai beaucoup aimé.

Adapté d’une nouvelle d’Emile Zola datant de 1880, Vincent Henry et Gaël Henry signent une œuvre très intéressante autant par le graphisme que les choix scénaristique. Je trouve que c’est un exercice toujours compliqué à réaliser car il faut toujours trouver le juste équilibre pour rendre la bande dessinée intéressante sans tomber sur l’écueil de l’adaptation linéaire totalement boring. La couverture très soignée a attiré mon oeil dans les rayonnages de la médiathèque et le « D’après Emile Zola » a titillé ma curiosité. En tout cas, j’aime beaucoup la composition de cette couverture. Je ne ferais pas comparaison entre la nouvelle et la bande dessinée, puisque je n’ai pas lu cette dernière, mais cette plongée dans la France du la IIIème République est passionnante.



Cette adaptation est réussi grâce une scénario intelligent et bien conçu, il est vrai que l’œuvre de Zola ne peut que proposer un matériau de base très intéressant. Naturaliste jusqu’au bout des ongles, il dépeint avec un réalisme très poussé la vie des ses contemporains. Son œuvre est une photographie, utilisant des mots, des us et coutumes du XIXème siècle, c’est documenté, minutieux et passionnant. Les auteurs ont fait le choix de placer Emile Zola au cœur de leur histoire, c’est à lui que les proches de Jacques Damour se confient et racontent l’histoire de ce dernier, le lecteur navigue donc le temps, ici, pas de récit chronologique. J’ai beaucoup aimé ce principe et je pense que cela donne une autre perspective à l’œuvre. L’histoire en elle-même peut paraître peu passionnante, même si la vie de Jacques Damour a été pleine de rebondissements, ce n’est au final pas le plus intéressant. Enfin de mon point de vue… J’ai trouvé le côté sociale et psychologique bien plus intéressant. J’ai aimé voir les différentes interactions que Jacques développent au fil du récit avec les autres protagonistes qu’ils soient amis ou familles. Je trouve que beaucoup d’émotions se dégagent du récit, de la joie, de la tristesse, des regrets, de la bienveillance… Une récit à la fois simple et complexe.



Niveau graphisme, j’avoue que j’ai été déstabilisée au début par le trait très particulier mais j’ai fini par tomber sous le charme des planches. Un gros coup de cœur pour les planches où se déploient de très belles séquences muettes, pas besoin de dialogues, elles peuvent être émouvantes ou drôles pour certaines. J’ai également beaucoup aimé les arrières plans et le choix de couleurs qui rendent un très beau rendu. La bande dessinée se lit aisément.



J’ai emprunté Jacques Damour vraiment par hasard et je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre et ce fût une très belle surprise. Une vraie découverte. J’aime beaucoup quand les auteurs classiques sont dépoussiérés par les auteurs de bandes dessinées, cela donne une nouvelle vie à des œuvres qui pourraient facilement dans l’oubli et cela permet aussi de toucher des lecteurs qui n’auraient jamais ouvert un Zola de leur vie. Il va falloir que je regarde si je trouve des adaptations BD de Balzac, elles me réconcilieraient peut-être avec l’auteur… Ou pas 😅


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Marlène habite Oms dans les Pyrénées orientales. C'est la fin des vacances et son amitié avec Inès sa meilleure amie s'effrite. De plus, sa mère lui apprend qu'elle ne fera pas sa rentrée en 6° dans le collège du secteur mais à 20 kms de chez elle, où elle ne connaît personne.

La première semaine se passe très mal, elle est sujette aux moqueries sur son poids mais cache tout à ses parents. Le seul point positif, c'est que son frère, Teddy, qui l'embête tout le temps, est parti au lycée en internat comme sport études. En effet, le judo est la discipline sportive omniprésente à la maison.

Un jour pourtant, tout va s'éclairer dans sa vie de collégienne à l'arrivée d'Amir, jeune réfugié syrien pour qui elle va avoir un gros coup de foudre.

C'est une histoire toute mignonne pleine d'espoir malgré les sujets abordés et qui justement sont bien traités pour le public visé. C'est un roman sur la guerre, l'amitié, la relation parents-enfants et l'éveil au sentiment amoureux.

Bref, c'est une chouette lecture pour les jeunes ados et dès le CM2.

Marlène entre en 6e. Quand Amir arrive dans sa classe, elle tombe amoureuse.

J'ai apprécié ce roman car il est drôle et mignon ☺️.

On éprouve de la joie. Je n'ai pas rencontré de difficultés durant la lecture.

Je suis entré facilement dans l'histoire. La fin était prévisible.

je ne connaissais pas du tout cette nouvelle d'Émile Zola. quelle jolie découverte.... le personnage principal est tellement attachant... les illustrations sont magnifiques. le livre est lu en 1h mais il mérite vraiment qu'on s'intéresse à chaque illustration...

La trame générale propose un exemple atypique de musicothérapie. Ce faisant, l’album questionne à sa manière sur la place de l’Art, les blocages sensoriels et la guérison par le contact humain. Évidemment, ce sous-texte tend à critiquer un modèle économique, l’individualisme et la cupidité de nos dirigeants - une remise en cause peu originale, mais toujours nécessaire !
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Thriller excellent et roman graphique dans l’air du temps, Kill Annie Wong parvient à être dépaysant alors qu’il joue sur des codes et des récits déjà vus, prouvant que l’intertextualité a décidément du bon.
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Les éditions Sarbacane ont fait paraître une imposante bande dessinée de Vincent et Gaël Henry sur la vie mouvementée d’Alexandre Marius Jacob, anarchiste cambrioleur au parcours peu commun. Né à Marseille en 1879, il fut tour à tour marin au long cours, typographe, monte-en-l’air ingénieux à la tête des « Travailleurs de la nuit », une bande créditée de plus de 500 cambriolages à travers la France, théoricien anarchiste et enfin bagnard durant vingt-deux ans. D’un style simple, les 150 pages de noir et blanc présentent la vie de cet honnête cambrioleur de son enfance à son départ pour Cayenne.

Je ne résiste pas à l’envie de vous reproduire ici une longue tirade prononcée par Alexandre Jacob lors de son procès en mars 1905 :

« Car la société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler. Ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité, c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de sa vie. Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. »

Une postface de Jean-Marc Delpech ainsi qu’une chronologie enrichissent ce bel ouvrage.

J'ai bien aimé ce livre,on s'embarque dans l' histoire de Marlène tres rapidement et facilement car l histoire de Marlène est tragique jusqu'au jour oû tout a basculé quand Amir arrive dans ce collège.Tout a débuté en amour entre les deux.Le livre est un peu trop long pour raconter l histoire.

Marlène arrive en 6éme et elle ne connait personne et pour elle c 'est un véritable cauchemar !! Jusqu'au jour où Amir, le plus beau garçon de la terre, arrive dans sa classe. Il vient d'un pays nommé La Syrie. Je conseille cette histoire car elle est vraiment intéressante surtout si vous êtes en 6ème. Il parle d'amour donc il peut plaire aux filles comme aux garçons.



chahinaz

J'ai vraiment apprécié ce livre qui raconte l'histoire de Marlène qui fait son entrée en 6ème. Mais le problème c'est que sa mère a décidé qu'elle n'irait pas dans son collège de secteur où tous ses amis vont mais dans un collège dont elle connaît la principale. Moi, franchement, je n'aurais pas non plus été contente à sa place.

Après elle va vivre différentes aventures mais surtout un nouvel élève va arriver : Amir. Il vit en famille d'accueil et vient de Syrie où il a fui la guerre.

Ce livre m'a fait ressentir tout un tas d'émotions (tristesse, colère, joie, humour, ...) et je remercie l'auteur.

Ce que j'ai apprécié surtout c'est que ce roman est drôle (par exemple, les noms des villes se ressemblent et aussi comment Amir parle le français avec un certain accent) et l'histoire d'amour.

Ce livre est un vrai délice... vous allez le dévorer !



Par Lalie L. des BabelBoltdu59 (Somain)

Marlène est prête à entrer en 6ème et elle y rencontre un garçon charmant, gentil, venant tout droit de Syrie. Inès, sa meilleure amie, devenue sa pire ennemie, s’impose entre eux. Marlène arrivera-t-elle à dire à son amie les sentiments qu’elle éprouve pour ce jeune garçon ?

Ce livre est le meilleur livre du défi Babelio que j’ai lu. Il parle d’une histoire d’amour, ce que j’aime beaucoup, et aussi de deux garçons de sa classe qui disent à Marlène des mots méchants. Surtout, cette histoire fait référence à des événements réels comme la guerre en Syrie mais elle est aussi un peu amusante. Elle m’a beaucoup plu et je lui mettrais la note de 9/10.

(Emma)



Marlène entre dans un collège où elle ne connaît personne. Heureusement pour elle, un garçon qui à ses yeux est le plus beau de la Terre se retrouve dans sa classe. Ce garçon s'appelle Amir. Il vient de Syrie. Tous les deux ont un coup de foudre l'un pour l'autre. Ils vont vivre plein d'aventures au collège !

J'ai choisi ce livre parce que le fait d'être amoureux(se) en 6e m'intéresse. J'ai beaucoup aimé ce livre parce que c'est un livre qui est de mon âge et aussi de mon année et aussi parce que leurs aventures m'ont fascinée.

(Sibylle)