Dans ce nouveau roman #geraldinedalbanmoreynas nous emmène dans la quête du bonheur de son héroïne à travers l'amour et la reconstruction.
J'ai aimé retrouvé la plume percutante de l'auteure. Elle a une certaine facilité à nous atteindre en plein coeur avec ses phrases courtes qui marquent.
Le début du roman parle d'une histoire d'amour, une de ces histoires en laquelle on met tout son coeur, toute son âme et qui déchire avant d'avoir dit ouf.
La seconde partie du roman est plus centrée sur les besoins de notre héroïne, ce besoin de reprendre sa vie en main, de trouver quelque chose qui la fasse vibrer. Elle a besoin d'un renouveau pour reprendre goût à la vie.
On part alors avec elle dans cette quête du bonheur, cette quête que chacun d'entre nous cherche et qu'il est parfois difficile à atteindre.
On s'émeut de la vie de ce personnage fort mais qui garde au fond d'elle des blessures. On se laisse emporter dans cette histoire entre Paris, Marrakech et New-York.
Je n'ai pas forcément pu m'identifier au personnage de ce roman mais j'ai tout de même apprécié ma lecture et l'écriture de l'auteure. C'est une belle histoire (autobiographique) qui nous est partagé ici.
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Il y a des auteurs, on sait qu'ils ne vont jamais nous décevoir. Ici c'est le cas. Je savais que j'allais aimer avant même de l'avoir entre les mains. J'ai eu un coup de coeur pour son premier roman "On ne meurt pas d'amour", j'aime sa plume que je lis avec plaisir sur Instagram, j'aime son dernier roman "Elle voulait juste être heureuse"... C'est aussi simple que ça. Tomber, se relever, créer du magnifique à partir des ténèbres, recommencer, aller toujours plus haut et plus loin, ne se fixer aucune limite. J'aime, oh oui 1000 fois j'aime !
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Je me suis lancée dans cette lecture parce que je dois reconnaître que le résumé m'a beaucoup plu. J'avais envie de découvrir ce qui s'était passé pour que cette relation s'arrête si brutalement, je voulais comprendre ce qui s'était joué entre eux mais au final, on ne sait pas grand chose, parce que tout est du point de vue de la protagoniste. En soi, ce n'est pas gênant mais du coup, pour cette partie, j'étais un peu sur ma faim parce que je pensais que le livre - vu le nombre de page - traiterait de cette rupture tout le long, et ce n'est pas le cas. Elle y pense souvent, en effet, mais on a pas plus d'explications que ça sur le pourquoi du comment, et pour ma part, ça me frustre un peu vu que je pensais que c'était le déroulé du bouquin !
Ensuite, on passe sur sa vie qu'elle tente de reprendre en main, ce n'est pas inintéressant, mais c'est moins profond, moins sensible, pour moi en tout cas.
Ce n'est pas difficile à lire, l'écriture est plutôt fluide, faut apprécier que la personnage principale n'est pas de prénom avant la fin donc que tout soit écrit en "elle" ou "il". Ça peut ressembler à un post sur un blog ou à une sorte de journal intime, voire une fanfiction. Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais donc je suis un peu déçue et frustrée de ne pas avoir obtenu mes explications !
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Si j''ai adoré son premier livre pour sa puissance des mots, des personnages, l'alchimie que j'avais ressenti. Dans celui ci j'attendais de retrouver la plume puissante de l'autrice, celle qui m'avait incroyablement séduite.
Ce roman se compose de plusieurs parties, si j'ai adoré la première parties, si j'ai aimé l'ambition et la remise en question de l'héroïne tout au long de ma lecture, j'ai malheureusement pas adhéré à l'histoire complète, tout va beaucoup trop vite, j'ai même eu l'impression de lire l'autobiographie de l'autrice et ressenti un côté un peu nombriliste et là ça m'a encore moins emballé et beaucoup dérangé, la découverte du prénom de l'héroïne m'a encore plus déstabilisé à la fin et encore moins convainu !!! ... Et pourtant je n'ai pas réussi à vraiment le poser, je l'ai lu avec l'envie de le poursuivre quand même espérant réussir à me plonger intensément dedans ...
Je l'attendais avec tellement d'impatience, je suis déçu que ça n'ai pas matché autant qu'avec le premier....
C'est donc une déception.m mais nos lectures ne peuvent pas toujours être des coups de coeur !!!
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Le fait qu'une maison aussi prestigieuse que Albin Michel ait publié ce livre démontre hélas toute la force et l'importance d'un bon réseau, et de connaître les bonnes personnes, si possible à Paris, pour se faire publier de nos jours. Car comment comprendre alors qu'une oeuvre aussi vide, creuse, parfois ridicule, et surtout, si mal écrite, se retrouve imprimée sur le papier et distribuée sur les rayonnages des librairies.
On remplit les pages avec du vide (la description des procédures de vol à bord de l'avion est un chef d'oeuvre de l'inutile, une bonne demi-page). En matière de remplissage, tout a été utilisé jusqu'à plus soif: répétitions, redondances d'idées, boucles, sauts à la ligne, débris de phrases, descriptions inutiles voire inadéquates, etc.
Les clichés pleuvent en rafales. Partout. Tout le temps. Jusqu'à la nausée. New-York, le Maroc, les hôtels, les lieux et notamment ceux qui évoquent l'activité publicitaire, rien ne nous a été épargné (360 degrés, buzz, etc.). On voit bien que l'auteure ne connaît rien à ce métier. Même chose pour son activité de boutiquière, une farce.
Et les dates au bas des pages!!! Quelle bêtise. Je suis tout de même un peu déçu qu'il n'y ait pas l'heure et les conditions météorologiques.
Le sexe aussi. En un mot: bof. Et alors, si on est intéressé par ce sujet, il y a bien plus original et ambitieux. Même dans le contexte de l'histoire.
Ah, j'allais oublier la vulgarité omniprésente. Les termes grossiers incrustés dans les phrases. Pourquoi? Pour faire "jeune", "décontracté", "femme active", "peuple"?
En parlant d'âge, justement, si ce livre avait été écrit par une midinette, on pardonnerait à l'auteure toutes ses maladresses. Mais là... comment dire cela de manière délicate... il s'agit d'une femme d'âge mûr. C'est pathétique.
En résumé, il ne s'agit ni plus ni moins que du journal intime d'une bourgeoise aisée qui pense que sa vie nous intéresse. Ce qui n'est pas le cas.
J'ai emprunté ce livre par curiosité, je suis très heureux et soulagé de ne pas l'avoir acheté.
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'en sors déçue ; Je ne suis jamais à l'aise à l'idée de dire que je n'ai pas aimé car je me rends bien compte de tout le travail derrière l'écriture et l'édition de ce livre ; Mais ici, le début est prometteur avec les émotions de cette relation compliquée, mais on passe ensuite dans une toute autre partie où l'auteur nous parle de sa reconversion professionnlle dans le commerce de produits marocains, au gré d'allers-retours à Marrakech ou à New York juste pour se détendre un week-end... Je me suis un peu demandée où j'étais.. je dois avouer que ça m'a perdu, je n'ai pas bien compris le lien avec l'histoire initiale, et ce n'est pas ce que j'attendais de ce livre ; Je n'étais donc malheureusement pas au rendez-vous de cette histoire, qui plaira peut-être à d'autres
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Avec ce deuxième roman, l’auteure nous emmène dans une quête du bonheur d’une femme divorcée. Fragile, elle va devoir se reconstruire petit à petit et reprendre goût à la vie.
Le langage est familier et sans filtre. Le style est direct et l’auteure va droit au but dans son récit. La plume a une belle fluidité. L’espoir et la résilience sont les maîtres mots.
Les thèmes abordés sont intéressants mais les événements s’enchaînent un peu trop rapidement. Il m’a manqué plus de profondeur dans l’histoire. J’aurais aimé en apprendre un peu plus sur les protagonistes et leur passé.
L’auteur utilise uniquement les pronoms « il » et « elle »,pour citer les personnages. La lecture peut paraître un peu étrange parce qu’on ne sait jamais qui dialogue avec qui et c’est assez perturbant.
Vous l’aurez compris, je suis un peu déçue de cette lecture mais je vous invite à le lire pour vous faire votre propre avis.
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Voilà un livre sur la rupture, la déchirure amoureuse. Un couple qui se sépare n’a rien d’inconvenant. Aujourd’hui, l’amour ne dure pas davantage que trois ans, dixit Frédéric Beigbeder. Pas forcément vrai, mais pas nécessairement faux ! Souvent, tout se déroule avec fracas, laissant l’un ou l’autre dans un état de déréliction en bord de route. Ici, il est parti sans crier gare, après lui avoir fait l’amour trois fois pendant la nuit. Un curieux comportement. Comment peut-on avoir de tels épanchements charnels avec un partenaire qu’on va larguer sous peu ? Cette question taraude la jeune femme, héroïne de ce livre, au point d’empoisonner ses jours. Peut-être parce qu’il n’était pas encore décidé, parce qu’il ne savait pas ? A moins, qu’il ait tout planifié ? Ancienne journaliste et conseillère en communication, Géraldine Dalban-Moreynas propose une réflexion sur les relations homme-femme, la vie à deux, le pouvoir de l’attraction physique et les séquelles de l’abandon. Sans pathétisme, elle se plonge dans la psyché d’une femme moderne qui tente de saisir ce qui, pour elle, paraît invraisemblable. Elle voulait juste être heureuse ! Trop simple ? Trop beau ? Un objectif trop compliqué à atteindre ?
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Un roman que j'avais acheté par pur hasard. Je m'étais dit pourquoi pas.
La couverture avait fait son effet et son titre aussi, il ne manquait plus que le texte...
Et quel effet !
Je ne m'attendais pas à cette plume incisive et à la fois sensible.
À un texte brut et dur, et à la fois criant de vérité.
Un roman court, 190 pages.
Une plume qui sort des sentiers battus.
Peu élégante par moment et tranchante, qui arrive tout de même à tranmettre une certaine émotion, à la fois mitigée et déprimante.
Des mots subtiles et glissants tout seuls jusqu'une certaine forme de résilience et de bonheur.
Un roman qui m'a touché sans vraiment savoir pourquoi ou tout simplement sans savoir vous le retranscrire.
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Elle voulait juste être heureuse
Géraldine Dalban-Moreynas
Albin Michel
Date de publication : Octobre 2021
Un roman qui dès le début ne m'a pas séduite...
On dirait un journal intime sans intérêt...
J'ai voulu aller au bout de ce roman mais je me suis clairement ennuyée...
Tout un tas de détails qui ne servent à rien...On passe trop vite de situation en situation...
C'est un roman nombriliste et j'ai horreur de ce genre de lecture qui n'apporte rien.
"J'ai été beaucoup plus touchés par des romans auto-édités qui m'ont procurés de magnifiques émotions, qui mériteraient certainement d'être tout autant voir plus, édité par une aussi belle maison d'édition"
Quelle déception car son 1er roman avait été un coup de cœur ♥️
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J’avais été séduite par le premier roman de Géraldine Dalban-Moreynas « On ne meurt pas d’amour », j’avais donc qu’une hâte : me plonger dans son nouveau roman au titre sensible et au résumé prometteur. Malheureusement... je suis assez déçue de ma lecture. J’ai eu du mal à ressentir des émotions, à me mettre à la place des personnages et donc à m’attacher à eux... Je pense que cela est dû au fait que les scènes sont expéditives, j’ai trouvé que tout allait « trop vite » et c’est bien dommage car les thèmes abordés sont vraiment intéressants. En effet, ces sujets peuvent facilement faire écho en chacun d’entre nous car ils sont universels, actuels et donc percutants... Vous l’aurez donc compris, j’aurai aimé davantage de profondeur dans ce récit afin de m’y fondre pleinement et de m’y sentir à mon aise. Néanmoins, je suis contente d’avoir retrouvé la jolie plume de l’auteure, j’ai pris plaisir à la redécouvrir, à travers ses mots forts et francs qui marquent l’esprit. C’est toujours délicat et difficile d’émettre un retour « négatif » sur un roman, mais c’est mon ressenti et c’est ainsi... j’en suis désolée ! Je sais que ce livre a déjà conquis certains lecteurs et je sais qu’il y en aura d’autres !
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Un mariage, un enfant, une rupture, une appli de rencontre, un clic, une nouvelle histoire d’amour, une autre rupture, des projets pour se changer les idées et éviter la routine, une relation avec un ami, de nouveaux projets, une nouvelle rencontre, une nouvelle rupture, une nouvelle vie.
Le nom du personnage principal n’est jamais cité. C’est « elle ». Cela donne à l’histoire une valeur universelle. De nombreuses personnes pourraient se retrouver dans ses relations et s’identifier à son personnage.
Ce roman, c’est un peu son journal intime. On suit sa vie sur plusieurs années. Les dates défilent entre le 1er septembre 2015 et le 4 janvier 2020. On la suit entre Paris, Marrakech et New-York.
C’était une lecture sympa et rapide mais sans plus. Ce n’est pas très recherché, ce n’est pas très détaillé, ce n’est pas très profond. Les jours et les événements s’enchaînent sans qu’il y ait de message ou de réflexion derrière.
Je ne me suis pas non plus attachée aux différents personnages que je trouve légers, quelconques et pas du tout intéressants.
En bref, les pages se tournent facilement grâce aux chapitres courts, à la mise en page fort aérée et au dynamisme du récit mais l’histoire manque cruellement de profondeur et d’émotion.
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Comme pour son premier roman, Géraldine Dalban-Moreynas écrit avec puissance. Elle lâche les mots sur la feuille comme un besoin vital. Raconter, écrire pour se libérer. Pour « Elle voulait juste être heureuse », l’auteure se raconte. C’est sa propre histoire.
C’est l’histoire d’une femme divorcée qui reconstruit une famille. Mais cette famille va exploser le jour où elle se fait quitter comme ça, sans explication, sans aucune nouvelle. J’ai presque envie de dire que cette histoire est banale et commune à beaucoup de personnes. Se faire quitter sans explication, une triste réalité. Il faut faire front, avancer quand même sans savoir pourquoi. Il faut se reconstruire, croire de nouveau au bien. C’est se battre contre sa tristesse, son désarroi, ses questions. C’est rester debout. Pour cela, il faut des projets, des envies. L’héroïne de Géraldine Dalban-Moreynas va se relever et travailler, se créer des jolies opportunités à travers son travail, ses envies.
« Elle voulait être heureuse » est un roman très personnel, comme beaucoup de romans en fait. L’auteure se raconte, exorcise son histoire par les mots, les phrases.
Il y a un bémol pour moi : l’auteure fait trop d’éloge de son business dans son histoire mais c’est le jeu quand on raconte sa propre vie, non ?
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Très déçue par ce roman, qui parfois part un peu ailleurs et pour lequel il est assez difficile de suivre l'histoire.
On a aussi du mal à s'attacher au personnage.
J'avais adoré "On ne meurt pas d'amour" donc petite déception avec cette lecture.
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Elle voulait juste être heureuse. C’est tout.
Elle a une fille, elle est séparée. Il est veuf, il a deux enfants. Ils vont vivre une histoire d’amour d’abord trépidante jusqu’au fameux « c’est fini ». C’est lui qui l’a quitté.
Elle souffre évidemment, elle manque cruellement de réponses à ses questions mais se doit d’avancer. Elle va vivre d’autres aventures et comme un mauvais présage, le scénario est à l’identique que le précédent : « c’est fini » qu’il dit !
On sent dans l’écriture effréné le besoin impérial d’être heureuse, le besoin d’aimer. Derrière ce besoin d’aimer se trouve une nécessité de s’accomplir à travers un projet professionnel épanouissant. Ce projet est niché au creux de ses mains, elle va devoir parcourir Marrakech, Paris et New York pour qu’il prenne vie.
Son accomplissement va se faire dans la douleur et peut-être que j’ose dire « grâce à la douleur ». Est-elle un moteur de reconstruction et d’espoir quand on sait la saisir et qu’on se connaît soi même réellement ?
Un moment de lecture où il m’a manqué un brin d’émotions pour réellement saisir les envies de cette femme dont on ne connaîtra le prénom qu’à la fin, et pas des moindre ;)
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Que dire ? Si ce n est absolument désolant.. J ai trouvé ce livre proprement insupportable, bourré de phrases saccadées, de détails insignifiants pour se donner de la contenance, or c est précisément l effet inverse que cela produit
J ajoute qu employer des mots grossiers pour paraître plus branché ou plus rebelle (que sais je) ne fait qu empirer la sensation de vide absolu. Au second voire au dixième degrés cela peut etre récréatif on va dire
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Ce livre, si l’on peut qualifier ce qui s’apparenterait plus à un long post sur Instagram de livre, est un condensé de niaiseries et d’auto-satisfaction nombriliste et autobiographique d’une bobo dont les aventures pourraient se rapprocher de celles d’une "Martine" de la littérature pour enfants mais dans une version "bovarienne" et sexualisée.
En effet, l'auteure s'est fait d'abord connaître sur les réseaux sociaux grâce à sa boutique en ligne d'artisanat marocain et des "posts" où, entre deux poufs galets et des tapis berbères, elle vante pour ses nombreuses followeuses sa réussite sociale avant de commettre un premier livre où elle narre par le menu ses aventures sentimentalo-sexuelles.
Ce nouvel opus commence donc, comme dans la série Martine, par un premier tome qui serait Géraldine, enfin « elle », rencontre sur Tinder, puis un autre tome où Géraldine expérimente la famille recomposée avant d'entamer un troisième tome où Géraldine se fait lutiner à New-York avant de se faire larguer. Ensuite Géraldine rebondit et achète une alliance en diamant pour exorciser la rupture puis dans une frénésie de compensation freudienne elle achète tour à tour un riad à Marrakech, change de locaux pour sa boîte de com, claque 30 000 euros en une journée pour acheter de la décoration à revendre dans ce qui devient alors une boutique avant de rêver à New-York, la ville symbole de la réussite où tout est plus grand, plus beau, plus fort et plus cher. « Elle » prend l’avion comme on change de chemise, pleure beaucoup, dort peu et tombe dans les pommes tant les émotions sont grandes et intenses. Rassurez-vous tout se termine bien et à la fin on se demande comment un éditeur a pu prendre la décision de sortir ce qui n’aurait jamais dû dépasser le cadre des réseaux sociaux.
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