Géraldine Elschner

Voilà le principe intéressant de cette série d'albums: inventer une histoire à partir de tableaux d'un peintre, reproduits à la fin. Il y a aussi un site internet consultable pour des accompagnements pédagogiques ou des interviews d'auteurs. La collection s'intitule "Pont des Arts" et c'est vrai que pour les élèves, c'est une façon d'établir un lien entre l'imagination et la peinture...



J'ai trouvé ce bel album au CDI de mon collège. Les deux tableaux de Vermeer servant de point de départ sont " La laitière" ( bien exploitée dans le domaine publicitaire!) et"La dentellière". Géraldine Elschner explique qu'elle a choisi ces deux tableaux pour l'air de famille des deux jeunes filles et leurs différences sociales, cela donnera un secret dans l'histoire racontée, et l'explosion de la poudrière de Delft en 1654 servira de trame. Quant à Florence Koenig, l'illustratrice, elle dit avoir voulu rendre l'intimité des personnages et utiliser les couleurs dominantes des tableaux.



Résultat? Un album fort agréable à parcourir, nous voilà revenus en Hollande, au 17 ème siècle, dans la maison de Vermeer ( j'ai pensé à "La jeune fille à la perle" de Tracy Chevalier....) , où Anna, enfant du peintre, prépare son anniversaire, elle est très amie avec la fille d'une des servantes, Johanna... Les dessins tout en courbes, en rondeurs, dans des tons bleus, jaunes et oranges, accompagnent joliment le texte, souvent poétique. Pour moi, c'est une réussite et surtout une manière intelligente et originale d'aborder les oeuvres d'art...

Dans une fourrière, un chien attend d'être adopté. Lui aussi veut des câlins, seulement voilà, ce chien a tout d'un loup, alors on le laisse de côté.



Comme dans Grand Corbeau, Antoine Guillopé aborde le thème de la différence et cette fois-ci de la mise à l'écart qui en découle. Toujours avec beaucoup de poésie dans le texte et une grande maîtrise des plans et du découpage dans cette histoire qui fait très storyboard.

Voici un récit à quatre voix sur un sujet resté longtemps tabou : la fraternisation entre soldats ennemis.



Géraldine Elschner rassemble dans ce petit livre les témoignages de quatre soldats qui ont fêté Noël 1914 sur le front en s’échangeant des cadeaux, ou simplement en cessant de se tirer dessus : Greg Nottle, le Britannique ; Karel Lauwers, le Belge ; Kurt Zehmisch, l’Allemand et Maurice Laurentin, le Français.



Ces témoignages authentiques montrent un moment de joie au milieu d’un océan de tristesse, voire de désespoir, puisque dans tous les camps, on avait promis que la guerre serait vite terminée et que pour Noël, les soldats seraient rentrés dans leurs foyers… Deux d’entre eux ne verront pas la fin de la guerre…



Les témoignages des quatre soldats sont écrits en français, en anglais, en allemand et en flamand (néerlandais).



L’auteure trace brièvement la biographie des quatre protagonistes, puis elle développe les trêves de Noël sur le Front occidental et la façon (brutale) dont les états-majors des différentes armées vont réagir.



Géraldine Elschner va plus loin en synthétisant très clairement ce que fut la Grande Guerre dans cet ouvrage destiné aux enfants et aux adolescents (mais qui ne fera pas de tort aux adultes qui voudraient avoir un rapide aperçu de ce que fut ce conflit).



L’ouvrage se termine par une intéressante bibliographie et par la liste des monuments aux fraternisations.



Mon seul regret, le peu de documents iconographiques, pourtant essentiels quand on s’adresse à des enfants sur un tel sujet.

Le chat et l'oiseau appartient à la collection Pont des arts des éditions L'élan vert. Cet album de Géraldine Elschner, illustré par Peggy Nille, s'inspire du tableau Le chat et l'oiseau (1928) de Paul Klee (1879-1940). Le peintre allemand était un amoureux des chats.



Le récit donne vie au félin du tableau. Le chat vit reclus dans une maison tout confort, mais il ne se satisfait pas de cette vie car il est enfermé. Pour lui, c'est une véritable cage dorée. Il envie la liberté de l'oiseau qu'il aperçoit par la fenêtre.



Un album aux couleurs vives, plaisant à parcourir. La couverture fait écho au tableau Pont rouge (1928). L'histoire est plutôt simple, un peu trop à mon goût, c'est ce qui explique que je n'ai pas été entièrement séduite.

Antoinette, la rainette, veut absolument être sur une des peintures du promeneur Claude Monet, mais ce n'est pas si facile...

Il ne faut pas bouger, être bien devant, hummmmm dur la vie de star !



A la fin du livre découvrez les tableaux originaux du peintre, ainsi que des informations sur sa vie et son oeuvre.

Un très bel album qui nous raconte pourquoi la Joconde fût volée et pourquoi elle fût rendu. Un histoire d'amour fou pour une peinture... un obsession!

Un livre beau et fantaisiste!
Lien : http://latetedelart2.blogspo..

Noun le petit hippopotame bleu du Nil

décide d'aller se baigner dans des eaux tranquilles...



Sur son chemin, il croise plusieurs animaux

remplis de différentes émotions diverses:

. le lion et le taureau en colère,

. le chat triste d'avoir perdu son amie,

. un grand faucon qui effraie mais qui se sent seul...

A chacun d'eux, Noun offre une fleur,

réconcilie les antagonistes,

console celui qui se sent seul ou celui qui est triste,

A chacun d'eux, il apporte un peu de bonheur...





Il aide aussi la grenouille qui a besoin de soutien

et distribue ses fleurs aux singes agiles et à l'ibis.

Chaque animal incarne une émotion

le babouin la gaieté au lever du jour

le lion la majesté

et l'ibis la sagesse:

l'ibis sait distinguer les eaux souillées et les eaux pures.

Chacun est à sa place... au bord du étang:

grenouille, fauve, taureau,

hippopotame et oiseaux des marais.



A son tour, tout joyeux, Noun se jette à l'eau...

mais il dérange une nuée d'oiseaux

dans le marais...

Il s'attriste, mais ses parents le rassurent aussitôt:

avec un bon bain

et puis un câlin...

A nouveau

il va se baigner dans le fleuve tranquille,

et voir les fleurs du Nil

laisser une empreinte sur sa peau...



Un album abordant des émotions différentes

à propos d'un petit hippopotame.

En même temps c'est un album original

à propos d'un petit animal

évoquant les objets artistiques égyptiens.



A la fin de l'album, il est expliqué

les aspects

symboliques

et mythologiques:

Chaque animal représente en effet

un symbole en Egypte ancienne

- le taureau symbolise, ainsi que le faucon,

le puissant pharaon,

- le chat représente la déesse Bastet

- la grenouille, la vie qui surgit

- et l'ibis des marais la sagesse ancienne.



Challenge album jeunesse

Challenge défi lecteur

Quelle belle histoire.

Les mots coulent tout seuls, simple et beaux, rimant, chantant. Ils sonnent à la manière d'une belle chanson triste. Car cette histoire commence mal, c'est triste, et les mots associés à la force des images noires et blanches font monter beaucoup d'émotions.

De la poésie. De la violence. De la compassion. De la colère. De l'apaisement.

Délit de faciès !

Ce chien a tout du loup,

il lui ressemble tellement

qu'il leur fiche la trouille...

Maltraité, enfermé, il est désespéré

Le soir, il crie sa peine et ses espoirs..

Ouuuuuuuuuh..

Peur du loup qu'il n'est pas

on l'enferme en refuge

où il attend la main

qui caressera enfin

son échine argentée

Et....

Belle histoire !

Théo est un petit garçon qui adore son grand-père et qui va régulièrement lui rendre visite à la maison de retraite dans laquelle il est installé. Et pourtant, c'est avec beaucoup d'appréhension qu'il s'y rend, car il a peur d'un des résidents qu'il a d'ailleurs surnommé "le dragon" tant ce dernier l'impressionne, autant dans ses moments de calme renfrogné que quand il se montre agité, presque agressif. Son papi lui explique alors que monsieur Genet, c'est son nom, est un berger qui vit très mal de ne plus vivre à la campagne et que ses moutons lui manquent terriblement. Dès la visite suivante, Théo décide d’emmener avec lui son mouton à roulettes. Il ne se doute pas de l'impact que cela aura sur toute la maison de retraite...

Mon avis : Cet album s'est inspiré d'une histoire vraie, ce qui nous y rend encore plus sensible. Le lien qui unit Théo à son grand-père est d'autant plus touchant qu'on sait que pour aller lui rendre visite il doit fournir un effort sur lui-même et vaincre la peur que lui inspire "le dragon". Tous les quinze jours, je me rends à la maison de retraite de mon village avec une collègue de la médiathèque pour mettre des livres à la disposition de ses résidents : croyez-moi, ce petit vieux qui se renferme dans la solitude m'a fait penser à nombre de ceux que je vois là-bas... et ça fait mal à voir ! C'est pourquoi je me suis laissée porter par ce récit plein d'espoir... Les illustrations enrichissent le texte : dans des teintes allant du blanc au marron en passant par plusieurs nuances de beige et d'orangé, style sépia, elles ne comportent quasiment aucune autre couleur. A noter cependant que la seconde de couverture et la page qui lui fait face est un badigeon de blanc, brun et gris (tristesse et solitude) alors que la dernière page et la troisième de couverture montre de l'herbe verte clairsemée de coquelicots, un lièvre et un mouton qui se regardent et un panneau de signalisation : attention, passage de personnes âgées (retour à l'espoir, une fenêtre ouverte vers l'extérieur).

Public : à partir de six - sept ans.

Si vous voulez vous rendre sur le site (en allemand) de l'illustrateur, Jonas Lauströer, vous pouvez suivre cette adresse :

http://www.jonas-laustroeer.de/

Je viens d'acquérir ce bel ouvrage sur François d'Assise qui parlait aux oiseaux et lu ce jour. Une jolie découverte, une iconographie très bien choisie pour illustrer le texte dont la typographie elle aussi est particulièrement belle et soignée.



Bien sûr François transmet un message de paix et d'humilité qui fait du bien en ces temps ponctués d'événements tragiques.

Ce livre m'a donné envie de lire la biographie de Saint François d'Assise par Patrice Kervyn.

Que c'est beau! Noun est né en Égypte au temps

où les hippopotames étaient encore bleus.

Rochers d'Azur, ils se prélassaient

alors tranquillement dans le Nil....

Noun s'endort aux côtés de son vieil ami Antef,

quand celui quitte ce monde pour un royaume inconnu.

Lorsque Noun se réveille, après des siècles de sommeil,

il est devenu minuscule,

mais il est surtout très, très seul.

Il part à la recherche des siens,

prend les couleurs des paysages qu'il traverse.

Enfin, Paris! Il devient alors gris souris

comme cette ville!

il retrouve enfin au Louvre

sa petite famille bleue.



La collection Pont des arts

des éditions Canopé propose

des histoires pour découvrir des œuvres d'art.

Le résultat est une réussite

Le texte est charmant

les illustrations vraiment magnifiques.

Voici un conte moderne très complet : une belle histoire en randonnée qui voit se créer une amitié entre un chat, un oiseau et un âne. Mais la réussite de cet album sont à mon goût, les illustrations qui précèdent le récit de manière fine et intelligente. Ce jeu d'hyper texte est toujours un régal en lecture à voix haute avec les enfants. Petit coup de coeur également pour ce chat noir, à l'accent espagnol et au faux air intrépide qui une nouvelle fois illustre l'adage "on a toujours besoin de Plus petit que soi".
Lien : http://www.liresousletilleul..

Examinez bien la couverture de Tout seul! Rien ne vous frappe? Si? Serait-ce l’accoutrement de Micha, l’ourson? Et pour cause, le petit ours a choisi ce matin-là qu’il était assez grand pour faire plein de choses tout seul, notamment s’habiller. Il a donc enfilé son pull rouge plutôt qu’un pantalon, ce qui lui donne tout de suite un style bien à lui qui vous fera tout de suite sourire, tout comme la série de premières fois qui s’enchaînent.



En effet, il n’est pas facile de se laver tout seul, de trouver des chaussettes de même couleur, de beurrer ses tartines et de ne rien oublier. Mais Micha y arrive. Au grand bonheur de sa maman en plus du sien, ce qui nous donne un album à la fois ludique, grâce aux magnifiques illustrations d’Andreï Arinouchkine, et intelligent et sensible, grâce au texte de Geraldine Elschner.



Tout seul! est, vous l’aurez compris, un incitatif pour des enfants qui tardent à faire les choses sans aide, par peur de se tromper, de ne pas être à la hauteur, voire même de se voir punis. On ne réussit pas tout la première fois. Mais est-ce si grave? Pas du tout. Micha vous le prouvera.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..

Voici un ouvrage intéressant pour découvrir l'art du point de vue des enfants: il favorise l'éveil artistique.



Différents tableaux sont reproduits et font partie de l'histoire: des natures mortes que le lecteur connait (un portrait d'Arcimboldo en particulier) et d'autres moins célèbres: comme des paniers de fruits.



Une fois l'histoire lue, il peut etre ludique et instructif de s'amuser à reconnaitre les tableaux dans l'album.



D'autres albums parus chez Elan Vert permettent ainsi de découvrir la peinture et des tableaux connus et de faire connaitre des artistes aux enfants: (sur Monet ou sur Sisley par exemple, et tant d'autres... )



Challenge album jeunesse

Challenge défi lecteur





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J'ai découvert avec beaucoup d'intérêt cette interprétation possible autour de deux sculptures de Giacometti mises en commun et en lumière. J'ai apprécié ce court album, émouvant, dur et malheureusement si actuel.



Les dessins attisent la curiosité. Les traits sont fins, en écho aux sculptures allongées et ciselées de l'artiste sculpteur. Les illustrations en noir & blanc et "doubles planches" pleine page m'ont fait penser à des négatifs photographiques de paysages. Les textes sont constitués de poésies non rimées mais bien rythmées.



Enfin, j'ai trouvé les courtes explications en fin d'album très intéressantes et enrichissantes.

Grâce à cet album, la collection "Pont des Arts" (Elan Vert) devient pour moi une collection "à suivre de près" !

Un superbe album, plein de couleurs sur le célèbre hippopotame bleu du Louvre. L'histoire de Noun petit hippopotame qui cherche sa famille dans un monde moderne qui lui est totalement inconnu.

Et un bonus un petit dossier sur l'Egypte et le petit Noun.

Une très bonne idée de L'Elan vert pour cet album illustré, destiné aux 9 ans et plus. Associer l'oeuvre d'un artiste à un récit plus personnel et évocateur pour l'enfant, tel est le but. La partie de cartes (1917) de Fernand Léger sert ici de support pour raconter la Grande Guerre, par le biais d'un sujet inattendu, la fraternisation entre deux soldats dont les pays s'opposent. Choix judicieux, puisque le peintre, Fernand Léger, a lui-même été mobilisé comme sapeur et brancardier, jusqu'en 1917. Délicat mais réussi. L'histoire de l'art peut aussi parler d'histoire.

Un enfant franco-allemand trouve un casque de soldat inopinément ; son grand-père en profite alors pour lui raconter l'histoire des poilus dans les tranchées, à partir des lettres de son propre grand-père.

Belle transmission générationelle rencontrant un écho commémoratif, cette année, et qui utilise les moyens de l'art et ceux de la peinture, en particulier, pour traiter du thème de la guerre, sous un angle original. Une intention de rapprochement qu'on ne peut que saluer, toute entière contenue dans le titre qui contracte dejà joliment opa et papi. Illustrations parfaites.

Découverte d'une collection qui comprend de nombreux autres titres.

J’ai craqué devant la couverture et les illustrations d’intérieur. Belles, festives et colorées, elles nous offrent un festival de couleurs à la hauteur de l’une des fêtes et coutumes les plus connues au monde : le carnaval de Venise. Un événement auquel je n’ai jamais eu la chance de participer, contrairement à trois corbeaux qui profitent de l’occasion pour se déguiser et se mêler à la foule. Après tout, corbeau ou homme, qui peut faire la différence dans cet amas de couleurs, de tissus et de déguisements ?



Si la fête bat son plein, elle est interrompue par un vol : le « prince de Venise » s’est fait dérober sa couronne qu’il avait pris le soin de faire sertir de diamants et de pierres précieuses à l’occasion du carnaval. Rien n’est trop beau pour être le roi de la fête et certainement pas des dépenses superflues qui viennent appauvrir encore plus la population.



Devant l’agitation qui s’empare de la foule, nos invités d’un genre un peu spécial décident d’intervenir. Un voleur déguisé en corbeau qui doit faire face à trois corbeaux déguisés en humains, en voilà une rencontre inattendue et pleine de piquant, d’autant que ceux-ci ne semblent guère pressés de rendre son bien au prince.



Alors si le lecteur s’amuse de la situation, le prince de Venise ne la goûte guère, parce que se faire voler sa couronne, c’est déjà désagréable, mais par deux fois, ça devient franchement vexant et frustrant ! Je n’en dirai pas plus pour vous laisser le plaisir de la découverte, mais sachez seulement que nos corbeaux ont une très bonne raison d’agir de cette manière. On appréciera d’ailleurs la morale et la fin, toutes deux dignes d’une bonne fable…
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Panique au jardin ! Antoinette la rainette plonge entre les iris en voyant un chasseur de grenouilles s’approcher de la mare. Pas la peine d’avoir peur, lui répond un crapaud, c’est juste Monsieur Claude avec sa barbe blanche, ses pinceaux et son chapeau. Ce chasseur-là ne s’intéresse qu’aux fleurs. Rassurée, Antoinette sort de sa cachette. Lorsqu’elle voit le peintre installer son tabouret et son chevalet au pied du petit pont, la rainette saute sur un nénuphar et prend la pose, certaine de passer à la postérité en figurant sur le tableau. Mais malgré tous ses efforts, Mr Claude semble l’ignorer…



Encore une réussite de la collection Pont des arts qui propose au jeune lecteur une nouvelle façon de découvrir les œuvres d’art : « y entrer par une fiction et des illustrations originales qui sollicitent l’imagination et renforcent le plaisir de la lecture ». Ici, c’est Claude Monet qui est à l’honneur. A travers les facéties d’Antoinette, les enfants découvriront de nombreux clins d’œil aux œuvres du plus célèbre peintre de Giverny : Iris jaunes, Le bassin aux nymphéas, La barque… Toutes sont d’ailleurs présentées en fin d’album. Comme d’habitude, les pages de garde finales proposent des informations sur la vie du peintre. Une plongée réussie dans l’univers de Monet, aussi divertissante qu’instructive.



A noter pour les enseignants que le CRDP de Marseille édite pour chaque ouvrage de cette collection une exploitation pédagogique très complète qui facilite grandement l’utilisation de ces albums auprès des élèves.




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