AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Gianrico Carofiglio (161)


......la lettura è un presupposto necessario, anche se non sufficiente, per scrivere qualsiasi cosa.
La lecture est une condition nécessaire, même si c'est insuffisant, pour écrire quoi que ce soit.
Commenter  J’apprécie          328
Fitzgerald était un grand écrivain et un homme malheureux. Je pense souvent à cette citation de lui : “Dans la véritable nuit noire de l’âme, il est toujours trois heures du matin.
Commenter  J’apprécie          30
Parfois, je me demande ce que ça veut vraiment dire, être libre, ai-je dit de but en blanc.
- Je crois que la liberté n’existe pas sans un certain degré de risque, d’insécurité. La liberté, c’est un équilibre précaire, c’est n’être jamais tout à fait à sa place.
- J’aime bien cette idée : ne jamais être tout à fait à sa place.
- C’est ce que nous disions, ta mère et moi, il y a des années de cela
Commenter  J’apprécie          20
Pour finir elle explique qu’il faut épuiser la joie quand elle nous surprend car c’est la seule façon de ne pas la gâcher. Elle répète cette expression, à l’évidence très importante, et qui reste en effet gravée en moi : il faut épuiser la joie, c’est la seule façon de ne pas la gâcher, après, elle disparait
Commenter  J’apprécie          20
- Il y a à peine deux jours, je ne connaissais pas mon père.”

- Et bien ça, c’est Balikwas.
Commenter  J’apprécie          10
Gianrico Carofiglio
Quand il a terminé, concluant son morceau par deux gammes mélancoliques, des applaudissements chargés de sympathie ont éclaté. J’ai applaudi moi aussi, et j’ai continué jusqu’à ce que je sois certain qu’il m’ait vu, parce que je commençais à comprendre que les équivoques existaient, et je ne voulais pas qu’il y en ait à ce moment-là.
Commenter  J’apprécie          10
Faire passer le temps, quelle expression idiote ! Le temps y pense tout sel, à passer, il n’a nullement besoin d’aide, a dit mon père.
Commenter  J’apprécie          10
il faut épuiser la joie, c'est la seule façon de ne pas la gâcher, après elle disparaît.
Commenter  J’apprécie          100
-Il se produit des courts-circuits, dans la tête et dans l’âme des gens, que personne ne parviendra jamais à saisir. Si on essaye de les élucider, on devient fou.
Commenter  J’apprécie          10
« Qui se serait douté qu’à Marseille il y avait des endroits aussi beau? a fait remarquer mon père au bout d’un demi heure de navigation.
Commenter  J’apprécie          50
Aujourd'hui encore, je suis parfaitement capable de faire une pause dans un travail longtemps avant de l'avoir commencé. p. 91
Commenter  J’apprécie          30
Les gens manipulent et se font manipuler, trompent et se font tromper continuellement, sans s’en rendre compte. Ils font du mal et en reçoivent, sans s’en rendre compte. Ils refusent de s’en rendre compte parce qu’ils ne pourraient pas le supporter. La prestidigitation est une chose honnête parce qu’il est clair dès le départ que la réalité n’est pas dans ce qui se voit.
Commenter  J’apprécie          20
Si quelqu’un dit que la vie n’est pas une continuelle succession de manipulations, c’est qu’on a affaire soit à un menteur, soit à un crétin. La vraie différence n’est pas entre manipuler ou ne pas manipuler. La différence est entre manipuler volontairement et manipuler involontairement.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai fait un signe de la tête que j’étais d’accord. Comme quelqu’un qui maîtrise bien la situation.
En réalité je ne comprenais rien à ce qu’il racontait. J’en avais une vague intuition, comme je percevais vaguement que cette nuit-là, j’étais sur le point de franchir un cap. Peut-être même que le cap était déjà franchi.
Commenter  J’apprécie          00
Prima di quel momento, se mi avessero chiesto di descrivere il suo viso, avrei avuto delle difficoltà. Certo avrei parlato del naso lievamente pronunciato, degli occhiali, degli occhi scuri, dei capelli folti e spruzzati di grigio. Ma non avrei saputo dire -- perché non me ero mai accorto -- che aveva una fossetta sotto il mento, ciglia lunghe e una cicatrice sul sopracciglio sinistro. Com'era possibile che non ci avessi mai fatto caso ?
Commenter  J’apprécie          10
Nos mots sont souvent privés de signification. Et ce parce que nous les avons usés, épuisés, vidés, par un usage excessif et surtout inconscient. Nous les avons transformés en cocons vides. Pour raconter, il nous faut régénérer nos mots. Leur rendre sens, consistance, couleur, son, odeur. Pour ce faire, il nous faut les mettre en pièces, puis les reconstruire.
Commenter  J’apprécie          390
Chaque métier possède ses points, ses signes de rupture. Des fissures dans le mur de la conscience qui vous avertissent – qui devraient vous avertir – que le moment est venu de s’arrêter, de changer, de faire autre chose. Si possible. Naturellement, ça ne l’est jamais, ou presque. Et, de toute façon, il est rare que l’on ait le courage de l’envisager.
Commenter  J’apprécie          610
Ce que la chenille appelle la fin du monde, le reste du monde l'appelle un papillon.
Commenter  J’apprécie          10
La persécution est une forme de terrorisme qui ne s’adresse qu’à un seul individu, dans le but d’établir un contact avec celui-ci et de le dominer. C’est un crime souvent invisible, jusqu’à l’explosion d’une violence parfois homicide. C’est généralement à ce moment-là qu’intervient la police ; et c’est généralement trop tard.
L’auteur montrait que la plupart des hommes appartenant à la catégorie des persécuteurs cachaient leur propre sentiment de dépendance derrière une image ultra-machiste, stéréotypée, et qu’ils présentaient une agressivité chronique envers les femmes.
Commenter  J’apprécie          10
« Je suis un con. D’accord, je suis un con. Il y a une loi qui interdit d’être con ? Non. Alors je déconne tant que je veux. »
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gianrico Carofiglio (466)Voir plus


{* *}