Gilles Abier

Je sais que tu sais, de Gilles Abier. Aux éditions Talents Hauts. Petit par sa taille, grand par sa portée psychologique. Si vous avez un frère, il est encore temps. Temps de ne pas ouvrir ce roman. Temps de ne pas ressentir la perte, la douleur, directement dans votre chair. Comme si ce n’était plus Axelle l’endeuillée, mais vous...



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Ce livre parle de deux élèves un Français et un Japonais.Ils doivent s'envoyer des lettres et le livre va raconter ce qu'il se passe quand ils vont lire ces lettres.On découvre comment une sorte de complicité va se créer entre eux.



J'ai apprécié ce livre car il est assez particulier : il raconte deux histoires qui n'en font qu'une.Cela le rend original.



Nicolas.

Bon livre.

Alice

J’aime bien les pages car c’est original de faire une histoire à l’endroit et l’autre à l’envers. Il n’y a pas de résumé, cela nous laisse la surprise.

Audrey

J'ai beaucoup aimé ce livre car il parle d'un correspondant et plus tard j'aimerais bien en avoir un.

?

J'ai aimé ce livre parce qu'il est à la fois drôle et émouvant. La correspondance entre la petite fille Japonaise et le petit garçon Française est très amusante et ils sont ravis de partager cela avec leur famille

C Bruguier 6°F

Quand il n’écrit pas de belles histoires poétiques à destination des plus jeunes, Gilles Abier est particulièrement doué pour nous trimballer là où on ne s’y attend pas grâce à des chutes surprenantes (je pense notamment à Un de perdu qui m’avait particulièrement frappée). Du coup, ça va être vachement dur de vous parler de ce roman sans rien vous révéler car je ne m’attendais vraiment pas à cette fin et, rien qu’en vous disant cela, c’est limite si je ne vous spolie pas un peu.

Je vais donc me contenter de vous dire que les personnages inventés par Gilles Abier sont réellement attachants, j’ai beaucoup apprécié l’humour très différent et très particulier de chacun, Élias le premier. On est clairement intrigué par cette drôle de chose qui arrive à Élias, cette transformation physique qu’il semble être le seul à constater mais que ses meilleurs amis acceptent avec une facilité délirante. J’ai trouvé l’écriture de Gilles Abier vraiment très fine et humoristique, d’autant plus déconcertante quand on arrive à cette fin qui non seulement nous « choque » mais nous donne envie de recommencer le livre pour repérer les endroits où l’on a rien vu venir… Bien joué, monsieur Abier.
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Dans ce livre il y a deux histoires: Salut, Hikaru et Konnichiwa, martin !



La première histoire, c'est l'histoire d'une japonaise, Hikaru, qui est la seule de sa classe a envoyer une lettre à l'étranger. Ce pays c'est la France, car sa grand-mère adore ce pays. Elle ne sait pas quoi raconter à quelqu'un qui habite de l'autre côté du monde...



La deuxième, c'est l'histoire d'un garçon nommé Martin qui est le seul de sa classe à recevoir une lettre de l'étranger. Sa lettre vient du Japon, mais il se demande ce que signifient tous ces petits signes !



Ces deux histoire se répondent l'une après l'autre.



J'ai adoré ce livre car il y a de l'action, des personnages drôles et le livre aussi est drôle. Je n'avais jamais lu d'histoires qui se répondent comme ça, et je trouve ça très bien. En plus j'aime bien le Japon et vu que le livre parle du Japon j'aime bien!



Manon

C'est l'histoire de deux enfants qui s'échangent des lettres : Martin vit en France et Hikaru vit au Japon. Ils vont se découvrir au fur et à mesure en s'envoyant des lettres, chacun faisan



Ce livre est nul car nous découver deux pay: le Japon c 'est France. Mais je suis un peu déçue car finalement les personnages se rencontrent pas.



Alyzée



Les auteurs du livre s'appellent Gilles ABIER et Antoine DOLE.

Gilles ABIER a déjà écrit des livres, comme « Calicia, 7ans magicienne ! », etc… Antoine DOLE a aussi écrit des livres comme « Le baiser du mammouth », … .



L'histoire raconte que deux enfants entament une correspondance scolaire , Hikaru habite à Kyoto au Japon et Martin dans les Alpes françaises .Tout les sépare, et pourtant ils vont se rapprocher.

Suis le voyage des deux petits garçons dans la découverte d'un autre pays …..



Je trouve que ce livre est très bien car il est amusant et il y a du suspence . Je vous le conseille!!!

Lou.



C'est une classe qui reçoit plusieurs lettres de correspondants. Un des enfant a reçu une lettre en chinois et les autres ont eu une lettre d'anglais, américains ... Mais il ne la comprend pas, il essaye et prend un dictionnaire, il déchiffre quelques mots de la lettre qu'il a reçue.

Hikaru, une japonaise, envoie une lettre à un correspondant français parce que sa grand-mère adore ce pays ; Hikaru écrit en gaijiet, les autres élèves de sa classe ont préféré un correspondant japonais.

Les deux textes se complètent. C'est un très bon roman.



Jarrode







Salut, Hikaru de Gilles Abier

et

Konnichua , Martin de Antoine Dole



Deux histoire parlant d'une même correspondance,

L'un des deux enfants , Martin est français et va

écrire à Hikaru qui est japonaise , ils vont essayer de se raconter des choses malgré leurs différence .



Je conseillerais ce livre aux personnes qui veulent avoir deux histoires en une , et qui comprennent les histoires un peut compliquer



Je met 3/5 à se livre .



clara

Ces deux nouvelles se répondent, ce sont deux points de vue d'une même histoire. Hikaru est une jeune japonaise qui doit correspondre avec Martin, un jeune français. Elle n'écrit pas français, il ne lit pas le japonnais. Konnichiwa, Martin ! donne le point de vue de Martin sur la situation alors que Salut, Hikaru donne celui de Hikaru.

Ces nouvelles donnent envie de voyager, elles sont une ode à la tolérance et au partage.

Je trouve que ce livre manque d'action .

Ce livre est bien car il est Japonais et Français .

Les quelques illustration son bien faites .

Le livre est petit mais très bien .

Deux enfants, deux histoires, deux continents ... un même but ... partager avec l'autre au cours d'un échange épistolaire ... Hikaru vit à Tokyo, et Martin vit en Savoie ...

Ces deux enfants ne se connaissent pas ... mais à travers cet échange, ils vont chercher à connaître un pays, des coutumes, des écritures ... tout cela rythmé par une douce mélodie ... un livre qui se lit et s'écoute ...

Le fardeau des adolescents de ces cinq nouvelles ? Leur mère ! Leur personnalité envahissante, immature ou instable va peser tellement sur la vie de leurs enfants qu’ils vont devoir agir, quitte à prendre des décisions radicales.

Quand on est ado, il faut parfois savoir réagir en adulte pour s’accomplir et prendre les rênes de sa vie : tel est le message de ces nouvelles aux chutes si placides et implacables. La dernière qui met en scène tous les protagonistes est un point final assez déstabilisant.

La nouvelle est mon genre de prédilection. J'aime ce condensé de sensations et de suspens. Et surtout, j'aime me laisser bluffer par la fin. Comme une déflagration d'adrénaline. Gilles Abier possède une écriture vive et tranchante, qui ne laisse aucun répit au lecteur. J’avais adoré ses romans ados La piscine était vide (coll. D’une seule voix) et Amour mortel (coll. Thriller) ; et ce format court s'accorde tout à fait à sa plume aiguisée.



Le titre de ce recueil - un brin cruel et provocateur - m’a immédiatement rappelée Insecte de Claire Castillon. Ici, l’auteur analyse les rapports mères/ados. Des rapports parfois amicaux, parfois conflictuels. Et dans certains cas, carrément malsains, voire destructeurs. Les histoires évoquées sont narrées de manière si réaliste que c’en est effrayant ; le lecteur s’y reconnaît forcément un peu…



Gilles Abier est parvenu à retranscrire avec justesse la dureté des ces liens à travers divers portraits. Quelle mère n'a jamais été possessive au point d'étouffer son fils ? Laquelle n'a jamais été capable du pire pour que sa fille réussisse ? Et combien d'ados auraient choisi d'autres parents... ?



Cinq nouvelles impitoyables qui s'entrecroisent, et s'achèvent de façon magistrale.
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Avec Comment je me suis débarrassé de ma mère, Gilles Abier signe un recueil de nouvelles stupéfiant, audacieux et grinçant ! Ah, les mères… on les imagine douces, tendres, aimantes, dévouées, porteuses de sagesse… mais jalouses, possessives, névrosées, cruelles ? Dans ces cinq récits, Gilles Abier écorche l’image de l’amour maternel et ose dresser des portraits terrifiants de mères psychologiquement instables. De mères tyranniques. De mères destructrices. Des mères toutes jugées à travers le regard impitoyable de leurs enfants…



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Sympa, j'ai beaucoup aimé le texte de Gilles Abier, mais un peu déçue par celui d'Antoine Dole, qui me semble être un peu un catalogue des manières de faire au Japon.

Lucie, 16 ans, n'a jamais osé faire le premier pas pour ses histoires d'amour. Le jour où Antoine l'invite au restaurant, elle imagine la plus belle soirée de sa vie. Sauf que cette soirée ne va pas finir comme elle l'aurait dû.

Ce roman est dur, car il s'en dégage beaucoup de chagrin, de colère, de haine même. Depuis son premier rendez-vous, Lucie vit avec la mort à ses côtés. Elle se sent maudite et se forge une carapace. Je ne peux pas en dire plus sous peine de spoiler l'intrigue, mais ce roman nous tient en haleine tout du long. Lucie va enquêter sur des secrets de famille qui vont la rapprocher de son père , routier. J'ai aimé qu'il vienne soutenir sa fille alors que son métier ne lui laisse que peu de temps à la maison.

J'ai donc bien aimé ce livre, mais je n'ai pas réussi à bien comprendre l'intérêt de la dernière phrase. Celle-ci rouvre une intrigue au tout dernier moment. Elle fait plaquée là et c'est dommage.
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Je commence à avoir l'habitude des résumés trompeurs signésGilles Abier. Là encore, ma réflexion était toute faite : "le père de Sabine a dénoncé Ajmal". Eh bien pas du tout.



Pourtant cette idée, cette possibilité est restée dans un coin de ma tête pendant toute la lecture du roman.



La narration (Sabine parle à la première personne) est faite en trois partie. Elle parle tour à tour de Ajmal, de son père et du jour de l'arrestation d'Ajmal (donc de l'enquête du lecteur pour savoir qui a dénoncé Ajmal).



L'histoire d'amour entre Ajmal et Sabine est passionnée. De plus, elle est relatée d'une telle façon que l'on attend que le moment où l'auteur parle ou reparle de leur histoire.



Le lecteur émet des hypothèses. Il passe au peigne fin chaque personnage. Il fait son enquête personnelle.



Puis, l'histoire stagne. On commence à s'ennuyer. L'enquête sur le fait qu'Ajmal est été dénoncé piétine.



Puis un texte en italique apparaît, on y apprend qui a dénoncé Ajmal. Ce texte tombe pile au bon moment.



L'histoire s'emballe. Pourquoi cette personne a dénoncé Ajmal?



Quelle chute !
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Le thème de la correspondance ce prête merveilleusement bien à ce nouveau titre de la collection Boomerang qui se lit d’un côté et de l’autre sans préférence. D’autant plus quand les histoires sont confiées à deux auteurs différents, qui sont pourtant très complémentaires. Leur écriture à tous les deux est vraiment magnifique, pleine de poésie, ce qui donne une atmosphère presque magique à cet échange entre deux enfants qui se demandent bien ce que l’on peut raconter à quelqu’un qu’on ne connaît pas.



J’ai commencé par l’histoire d’Hikaru, petite fille japonaise qui vit avec toute sa famille et notamment une grand-mère qui fut grande violoniste et voyagea partout dans le monde, y compris en France. Ce qui a lancé l’intérêt d’Hikaru à écrire à un enfant français. Mais que lui dire ? Lui parler des traditions japonaises, lui propose son père ? Comment on mange au Japon, lui propose sa sœur ? Ou alors d’un souvenir qui lui tient à cœur, du sourire de sa grand-mère… De son côté, Martin n’est tout d’abord pas particulièrement enthousiasmé par le fait de recevoir du courrier, surtout quand le sien est écrit en japonais alors que tous les autres ont eu des lettres en français ! Et, d’abord, Hikaru, c’est un prénom de fille ou de garçon ? Il lui faudra un petit peu de temps pour apprécier toute la beauté de l’écriture japonaise, qui va passer de « gribouillis » à des « mots [qui sont] des paysages »…



Heureusement, la langue du sourire est un langage universel et il n’en faudra pas plus pour lier ces deux enfants que des milliers de kilomètres séparent et qui se sont trouvés par hasard… Un très beau petit roman, dont les couvertures sont en plus très belles, qui invite au voyage et aux rencontres inattendues.
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J'achète peu de livres, j'emprunte beaucoup en bibliothèque.

Pas de place. Alors quand j'achète un livre, c'est que j'ai vraiment envie de le garder.

Accrocs, je le veux dans ma bibliothèque. j'ai adoré le lire, j'aurais aimé l'écrire.



Je connaissais la piscine était vide de cet auteur. Je ne suis vraiment pas déçue avec ce recueil de nouvelles.



Une vingtaine de pages (pour chacune), c'est peu mais ça suffit pour entrer dans l'univers des personnages, voir à quelle situation ils sont confrontés et surtout réagit avec eux.



Le petit plus : les personnages se connaissent d'une nouvelle à l'autre, ce qui rend l'ensemble très cohérent.

Thème intéressant : celui des sans-papiers et des procédures administratives qu'ils ont à subir.

Roman qui mêle 2 aspects , le social et la vie amoureuse d'une jeune fille

d'aujourd'hui. Les personnages sont consistants, et le récit sans complaisance.

Tessa, va souvent au café devant son lycée avec son meilleur ami, Louis. Là bas, il y a souvent Johanna et sa bande. Mais Johanna fait l’intéressante sans arrêt. Alors Tessa, pour lui clouer le bec, lui raconte qu'elle aurait couché avec Robert Pattinson. Evidemment personne ne la croit, mais pour prouver ses dires, elle maniguence tout un plan pour prendre une photo avec Robert Pattinson. Au final, Tessa arrive à ses fins, et prend une photo avec Robert.



Pour une fois, j'ai bien aimer un livre que l'on nous proposer au collège acr j'ai aimé l'histoire et la fait que le vocabulaire ne soit pas toujours sans mots "vulgaires"