Citations de Gilles Legardinier (3996)
N’oublie jamais qu’un adulte n’est qu’un enfant qui a vieilli.
Il y'a effectivement les deux tiers des humains qui crèvent de faim en rêvant de pouvoir agir aussi stupidement que le tiers qui ne fait plus rien.
Je ne fais que ça, me reposer ! J'en suis fatiguée !
Toujours partager ce que l'on apprend, sans ego. La vie est bien plus intéressante ainsi. Je ne sais pas pour vous mais moi, j'ai souvent l'impression d'être perdu sur le chemin. Suivant le moment, nous sommes tous cet ignorant qui regarde ceux qui savent en espérant qu'ils nous révéleront le moyen de survivre. Et nous avons tous des petits que nous pouvons aider, qu'il soit de notre sang ou pas. Parfois, les anciens sont novices et ce sont les petits nouveaux qui peuvent nous en remontrer. Tellement de combinaisons possibles, tellement de vies différentes. Pourquoi exister si on ne se racontent rien ? J'accepte très mal l'idée que ce que nous apprenons d'essentiel ne servent qu'une fois et meurt avec nous. Quelqu'un possède forcément les réponses aux questions que vous vous posez. Trouvez- le.
Je ne sais pas grand chose, mais j'ai au moins compris un truc sur cette terre. Le vrai miracle, ce n'est pas la vie. Elle est partout, grouillante. Le vrai miracle, Julie, c'est l'amour.
- T'as acheté tes glaces à la supérette ? T'aurais dû les prendre au MaxiMag, ça t'aurait coûté 10 % moins cher.
《 J'aurais dû les piquer, ç'aurait été gratuit. 》
- [...] Ton père rôde dans le jardin. Comme chaque été, il claironne qu'il va faire construire une piscine. Il dit que ça te fera venir plus souvent... et que ça servira aux petits-enfants.
《 Sortez les gros sabots : voici la 1798e allusion à la descendance que mes parents attendent impatiemment. Au rythme où vont les choses, papa a le temps de creuser sa piscine à la petite cuillère, et même si les chats sont plus rapides à faire des bébés, ils n'aiment pas l'eau...》
Si elle m'appelle encore une seule fois ma chérie ou ma belle, je lui dis ce que je pense de sa coiffure et de son chemisier à faire crever un caméléon.
Aujourd'hui, même si je suis loin de tout savoir, ce n'est plus temps pour moi le moment d'apprendre que celui de découvrir. Voilà qui change bien des approches.
Je joue avec ma fourchette. Je pourrais peut-être me la planter dans l'épaule pour faire diversion.
Ambre prétend que les petits ennuis se règlent en bande, que les problèmes plus sérieux se traitent à deux, et et que malheureusement on affronte seul les vraies catastrophes.
Ma vie est remplie d'innombrables situations où je me suis acharnée à poursuivre alors que j'aurais dû suivre l'inclinaison naturelle des choses et me détourner. Aller toujours de l'avant, c'est beau quand on est dans l'infanterie mais parfois, pour le commun des mortels, le salut est dans le demi-tour.
L'enthousiasme retombe comme un flan sur du carrelage.
... et je me rends parfaitement compte que je suis en train de savonner la planche sur laquelle je fais des claquettes...
Amandine, sur la tombe de mon xxxx, je vous le dis : n'attendez jamais que les autres vous permettent de faire, n'espérez jamais que des gens vous disent que vous avez raison, ne misez sur rien d'autre que sur vous-même pour changer votre vie. Ne faites pas comme moi. soyez libre. Cette vie n'est qu'un attraction de fête foraine. Les lumières, les musiques, tout tourne autour de vous, et ça démarre à peine que vous devez déjà vous accrocher parce que ça fait tout le temps des loopings. Ca monte, ça descend, ça donne le vertige et ça fou la nausée, mais ne vous y trompez pas. C'est une chance. Ne laissez votre place à personne, car vous n'aurez droit qu'à un seul ticket. J'ai loupé l'occasion de vivre autre chose que des regrets. Que notre rencontre serve au moins à vous épargner ça. Vivez. c'est votre tour de manège.
Et toi, me permets-tu de te demander ? je ne veux pas être indiscrète, mais je serais heureuse de savoir à quoi tu te cramponnes quand le sol se dérobe sous tes pieds. Parce que tu avais raison pour les tremblements de terre : de l'extérieur, on peut avoir l'impression que l'immeuble s'en sort, mais à l'intérieur, tout ce à quoi on tenait est en miettes.
Excellent argumentaire ! Clair, précis. Tu m'as convaincue ! Veux-tu mon sang, je te signe un accord en blanc ?
Envisager de faire sa vie avec quelqu'un n'a rien d'un acte d'achat. C'est une tentative, risquée certes, et qui comme toutes les tentatives a de bonnes chances de se solder par un échec. Il convient d'être très clair à ce stade : personne d'honnête ne pourra vous garantir que parce que vous allez essayer, vous allez réussir. Le bonheur n'est pas un dû, c'est une possibilité que la vie nous offre uniquement si nous avons le courage de tenter l'aventure. Tout ce qui vaut la peine est rare, mais ce n'est jamais parce que c'est exceptionnel que ça n'existe pas.
C'est un pâté qui attire l'œil et brouille les lignes déjà écrites. Personne n'aime les gribouillis en début de rédac. En général, on chiffonne la feuille et on recommence pour que tout soit bien propre. Mais là, je ne peux pas. La vie n'est pas une dissertation pour laquelle on pourrait faire un brouillon. On se lance, sans pouvoir gommer ou effacer. La seule échappatoire, c'est d'écrire assez pour pouvoir tourner la page.
Demandez-vous ce que vous ressentez face aux garçons que vous rencontrez. Oubliez le reste. Ne vous perdez pas en évaluations que vous croyez objectives, elles ne le sont jamais. Pour peu qu'une fille soit sous le charme, elle n'est plus capable de réfléchir. Vous pouvez toujours trouver cette remarque sexiste et injuste, vous n'aurez peut-être pas tort. Mais le fait est que c'est souvent vrai. Vous réfléchissez toujours correctement, jusqu'à ce que les sentiments s'en mêlent.