A cet âge, les filles et les garçons ne se mélangeaient surtout pas. Si un garçon se retrouvait à côté d’une fille, ils traçaient un trait bien net sur la table pour délimiter la frontière. Les garçons ne devaient pas jouer avec les filles, au risque de se faire mal voir de leurs semblables.
J’ai envie d’avoir une maman qui puisse pincer les oreilles des autres.
Pour bien contre-attaquer, il ne faut pas répéter les tactiques de l'ennemi. Il faut garder son calme et trouver la juste stratégie pour le terrasser.
Certaines chansons ne se démodent jamais.
En réalité, quand tu es une fille, tes rêves et tes désirs n’ont aucune espèce d’importance.
Ce n’est pas donné à tout le monde de poursuivre son objectif initial. Rien n’est facile.
Je vous souhaite de rester fidèles à vous-mêmes en toutes circonstances et de trouver votre propre voie.
N’oubliez pas : se reposer sur ses lauriers sans jamais se dépasser, c’est se voiler la face. Et se morfondre sans jamais passer à autre chose, c’est faire du surplace.
Pour autant vous n’êtes pas des professionnels car la passion ne fait pas le métier. On peut même dire que ce sont deux choses bien distinctes.
Je me pose sans arrêt cette question : c'est quoi, le bonheur ?
La vie de chaque être humain est une pièce écrite depuis longtemps, qui ne fait que se jouer et c'est tout ...
p. 96 "Tu es une adulte et c'est toi qui as choisi de porter cet enfant. Tu as refusé l'argent que son père t'offrait. Tu dois prendre tes responsabilités maintenant, et affronter les difficultés toute seule."
p. 99 "Tu es une bâtarde... et Zhou Zhou s'isole dans un monde de plus en plus éloigné de la réalité."
L'histoire parle d'une fille qui s'appelle YAYA qui voulait faire un concours de piano mais ses parents lui ont dit non parce que la guerre arrive et que ça peut être dangereux . Le lendemain avant le lever du soleil , elle a dit à son oiseau vient , on va partir pour le concours et on aura on le temps de revenir . Elle a fini par rater le bateau .
"Arrêter les pendules, couper le téléphone, empêcher le chien d'aboyer pour l'os que je lui donne. Faire taire les pianos et les roulements de tambour. Il était mon Nord, mon Sud, mon Est, mon Ouest, ma semaine de travail, mon dimanche de sieste, mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson."