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Critiques de Guy Haley (32)
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Warhammer 40.000 - Imperial Guard, tome 1 :..

L'omnimessie est avec nous.



Après un premier tome centré sur un régiment de fantassin de Valhalla : La garde des glaces, voici le second opus d'une nouvelle série (?) de la garde impériale, axé sur les blindés.



Qu'est-ce que le Baneblade (en couverture) : Le plus redoutable tank de la galaxie. 15 mètres de long, huit de large, haut comme trois hommes. C'est une véritable forteresse roulante. Avec son armement impressionnant (mega-obusier à projectiles auto-propulsés, canon démolisseur, canons lasers, auto-canons, bolters lourds) et ses dix hommes d'équipage (3 artilleurs, 3 approvisionneurs, un techo-adepte, un pilote, un radio et le chef de char), c'est le marteau de l'empereur.



Le Mars Triumphant a déjà 1.000 ans et avec son équipage, commandé par l'honoré lieutenant Cortein de la septième compagnie de chars super-lourds de Parangon, il est dépêché sur Kalidar IV, infesté par les orks, un bourbier sur une infernale planète de sable, mais un bien précieux pour l'Empereur.

Coralem Artem Lo Bannick, chef d'un Leman Russ au sein de la 42ième sera amené à croiser le destin du baneblade dans une bataille plus complexe que ne le laissait présager les adversaires en lice.



Le contenant d'abord : Un forma semi-poche (13cm*19.6cm) très agréable au toucher, une prise en main facile. La lecture en est agréable.

Le contenu ensuite :

De grandes et belles batailles, épiques et puissantes. Le héros, c'est indéniablement ce formidable char, mais le roman s'intéresse aussi au lieutenant Bannick, ses états d'âme, son histoire (ce sera d'ailleurs le fil rouge, sous forme de flashback, de cette histoire : ses motivations pour s'engager, alors qu'il aurait pu avoir une vie dorée, à l'arrière).

Les personnages humains ne sont pas oubliés dans cette histoire, d'autant plus intéressants qu'il s'agit d'humains « non-améliorés » contrairement à l'équipage d'un Titan qui pour faire corps avec la machine, renonce à une partie de son humanité (voir Titanicus).

Les ennemis sont consistants : Des Blood Axes, des orks qui manœuvrent, tendent des embuscades, bien plus intéressants que les vulgaires machines à tuer habituelles qui composent la majorité des orks.



Un roman de la garde impériale (des hommes et leurs machines et non le contraire), nettement plus soigné et développé que le premier tome, plus complexe, plus abouti. Une réussite donc.
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Les Chroniques de la Science-Fiction

Un gros pavé qui recense les plus grands noms de la sciences fictions.

On y retrouve aussi bien des écrivains que des réalisateurs; des supers héros, des films cultes, des magazines... et le tout en images.



Les origines de la SF sont posées en 1818 avec le célèbre Frankenstein et puis on avance doucement en passant par Jules verne, Lovecraft pour arriver en 2009 avec Avatar.

Entre les deux on croise des noms d'écrivains très connus comme Asimov, le Guin, Philip K Dick ou encore Stephen Baxter.

C'est aussi l'occassion de faire la connaissance ou tout au moins de se souvenirs de vieux super héros : Flash Gordon et Buck Roger étaient complètement sortis de mon esprit et pourtant ils sont cultes. De faire un tour en Tardis avec le Docteur ou de serrer la pince a Wolferine.



Et de nous donner envie de revoir des films.. vieux ou moins vieux mais qui pour moi ont bercé mon adolecence : alien, terminator, prédator, retour vers le futur, mad max...sans oublier les séries télé.. oh mon dieux qu'est ce que j'adorais la quatrième dimension.. (et là je me dis qu'il faudrait que ça repasse à la télé !)



Et puis en fin de bouquin on retrouve les ombres des vaisseaux célèbres . Pour en citer quelques uns : le faucon millenium (star wars), le discovery (2001, l'odysée de l'espace), le nostromo (alien) , Uss entreprise (star trek).



Le tout avec des frises chronologiques.

Ces chroniques sont assez bien faites et ravivent de nombreux souvenirs.. et un peu de nostalgie aussi il faut bien l'avouer.

Je me suis fait plaisir a feuilleter et a voir de belles photos de ces films, séries ou même des comic's

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Warhammer 40.000 - Imperial Guard, tome 2 :..

Après le Baneblade, un autre char super-lourd sur une autre planète pour une autre mission. Mais on garde l’équipage du premier tome.



On retrouve l’atmosphère de l’opus précédent. Et sincèrement, je préfère la garde impériale (des hommes) aux Surhommes Space Marine, toujours un peu trop dévots et faussement parfaits à mon avis.

Bon dans ce volume, on a la totale, du garde, du space marine, du char, du titan, du chaos et leurs astartes et machines renégats. Manquait plus que les ET (mais on les a eus dans le premier tome).



Moins immersif que Baneblade, mais les recettes sont désormais éprouvées et efficaces, et cela fonctionne. Une bonne lecture dans l’univers Wh40k. Guy Haley, un auteur à suivre pour cette licence.
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Warhammer 40.000 - Imperial Guard, tome 1 :..

Je poursuis mes aventures dans l’univers de l’hérésie d’Horus .



Je cherchais à entrer à nouveau dans cette série ( interminable et très structurée ) , aux innombrables tomes , par une autre porte dérobée , après Hellsreach .

Je me suis donc engouffré à nouveau , dans cet univers par un sous-cycle , celui de la garde impériale ( pour l’instant deux volumes , celui-ci étant le second , et peut-être le dernier ) .

Un tome consacré à la garde impériale cette fois-ci donc et pour changer d’avec les ordres aux membres post-humains augmentés qui caractérisent cet univers très borné .



Lecteur de SF très prudent ( pour ne pas dire timoré ) , j’ai encore choisis un texte avec unité de lieu , de temps , avec donc un texte circonscrit dans le temps ( quelques mois ) et dans un lieu , une planète envahie .

Effectivement , c’est accessible sans problème à un lecteur qui ignore le reste du cycle , cependant , avant cette incursion il n’est pas interdis de lire un ou deux articles qui présentent l’univers et la garde impériale en particulier …



C’est une franchise , cela implique des auteurs différents et nombreux aux grès des volumes et de très importantes contraintes ( formes , structures et fond ) .

Pour ce qui de la trame narrative des textes qui sont très nombreux et interconnectés le plus souvent même si c’est de manières différentes et plus ou moins allusives , l’univers possède une histoire très denses , un peu des strates , plus ou moins dormantes selon les tomes .



Autant le dire tout de suite l’auteur est bon et ce fut banco , un véritable sans faute , comme rarement .

Dans ce tome l’accent est mis sur la cavalerie blindée , des compagnies de chars lourds avec notamment , le Baneblade , véritable titan d’acier .



La planète est désertique , glaciale , sombre , sableuse , dotée d’une faune anémiée et hachée presque en permanence , par des vents redoutablement violents . Ce monde est aussi envahi par des extraterrestres impitoyables et la bataille n’est pas gagnée .



Les personnages et les contextes sont hyper-soignés alors que la trame narrative est éloquente et ramifiée intelligemment .

Le texte possède incontestablement une profondeur réelle et la monotonie est exclue , alors que les personnages sont solides et denses , comme le sont les autres aspects du roman : environnementaux , tactiques et stratégiques …



Evidemment , de mémorables , longues et fréquentes batailles de chars et de fantastiques déculottées . Qui quelquefois viennent de l’orbite …



La fin est bonne et haletante , et sincèrement cela fait assez longtemps que je ne me suis pas fait une lecture de SF militaire aussi bonne , aussi agréable et aussi solidement structurée .





Globalement , c’est un univers ultra-technologique , où la réalité dans ses aspects variés est pratiquement systématiquement augmentée .

Cette donne est rendue par la complexité des corps sociaux , des organismes et des stratifications sociales complexes .



Par exemple et c’est assez bien exploité , l’accès aux machines est codifié et mise en œuvre par une valse de procédures et de rituels qui ensembles garantissent et conduisent à la fonctionnalité des machines , qui dès lors , consentent à fonctionner car correctement sollicitées par des prêtres , des techniciens et des servants souvent lobotomisés ou bien redéfinis génétiquement parlant pour un usage spécialisé .



Dans ce tome le lecteur , aura principalement affaire à des hommes , et il sera moins confronté à des post-humains difficiles .

Cette touche humaine dans un conflit absolument titanesque et dans un environnement planétaire dangereux et inhumain , est une force et une grande réussite de ce roman très bien ficelé .



Les machines sont ici accessibles aux hommes , bien que entourées d’un halo brumeux de mystère qui vient leur nature , mais qui découle aussi , souvent , de leur histoire millénaire .

C’est en particulier le cas pour le baneblade.



L’aspect franchise est loin d’être trop pesant dans ce texte pointu , minutieux et dense .

Un plus que bon moment .

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L'hérésie d'Horus, tome 53 - La mort des Tita..

Un tome agréable dans une des dernières étapes avant l'arrivée du conflit sur Terra. Le système Beta Garmon est essentiel pour Horus. Il lui faut dominer ces diverses planètes pour ensuite aller vers le système solaire. Pour l'Impérium, c'est l'opportunité de l'affaiblir au maximum avec l'affrontement final.

Ici, notre thème sont les Titans. On suit deux deux légios: l'une loyaliste, la légio Solaria, résolument féminine,rapide et coordonnée et la légio Vulpa, renégate, sadique et belliqueuse. Deux styles différents qui vont se perdre dans ce conflit jusqu'à la fin.

Le plus de la légio Vulpa est de voir sa déchéance et sa chute vers Khorne, dieu du Sang et du massacre, ce qui était prédestiné à la légio. Une chute bien présentée qui nous amène à comprendre comment ces dieux du chaos attirent humains dans cette folie.

Sanguinius et le Khan apparaissent pour coordonner les efforts de l'impérium. Mention à Sanguinius qui a d'ailleurs une très belle scène contre un titan.

Mais toujours ces problèmes de rythme dans le récit. Beaucoup de passages techniques qui ne sont pas des plus intéressants ou bien sur la psychologie de personnages qui sont au final dans la saga pas très importants car ils ne vont réapparaître.

Bref, maintenant, place à Terra.
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Warhammer 40.000 - Belisarius Cawl : Le Gra..

Je remercie NetGalley et Black Library pour l’envoi de ce roman de science-fiction et de fantasy mêlée de Guy Haley, Belisarius Cawl : Le Grand Œuvre…

Cette fois, ma curiosité m’a entrainée dans un monde imaginaire et futuriste de high fantasy, très proche des jeux de rôles et des jeux vidéo dans lequel je crains fort de m’être à la fois fourvoyée et sans doute perdue.



Au fil de ma lecture, je me trouvais confrontée à un univers référentiel qui me faisait penser à un mélange de Star Wars, Matrix et Transformers…

Belisarius Cawl, Archimagos Dominus de l'Adeptus Mechanicus, est le plus brillant cerveau connu, une entité omnisciente mi-humaine, mi-androïde et mécanique dont les circuits mémoriels ont des possibilités infinies. Depuis 10 000 ans, il contribue à la cause du genre humain, en travaillant sous l'égide de l'Empereur et du Seigneur Commandant Roboute Guilliman pour entraver la progression inexorable des traîtres et des xenos. Il a créé une nouvelle génération de Space Marines, sorte de supers soldats…

Au bout de quelques chapitres, j’avais de plus en plus de mal à me repérer dans les espace-temps et à m’y retrouver parmi l’ensemble des personnages « augmentés » et leurs multiples connections.

Belisarius Cawl en vient à explorer le monde mort de Sotha, jadis la base des Scythes de l’empereur avant d’être dévasté par les Tyranides. Accompagné du tétrarque Félix et de ses guerriers d'élite, il croit y trouver la clef de son énigmatique Grande Œuvre. Mais c'est une recherche quasiment impossible, d'autant que l'Archimagos doit aussi lutter contre un mal ancien qui menace d'éteindre l'ultime espoir de l'humanité…



Plus j’avançais dans ma lecture, moins je m’y sentais à ma place même si certains passages parvenaient à me captiver et si quelques références me paraissaient à la fois originales et pertinentes. Je salue le travail de création d’un univers cohérent. Mais j’avoue avoir sauté quelques passages, une manière de jeter l’éponge sans doute.



Un roman pour amateurs du genre.

Je reconnais humblement que Warhammer 40 000 ne m’évoquait rien, mais alors rien du tout. Quelques rapides recherches m’ont confortée dans mon ressenti premier et mon inaptitude à publier un avis vraiment argumenté sur ce livre…





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L'hérésie d'Horus, tome 34 - Pharos : Une lum..

L'histoire s'intéresse à nouveau à l'Imperium Secundus et au monde de Sotha, pivot du nouvel empire de Guilliman. Coupées du monde extérieur, les forces loyalistes cherchent à utiliser l'installation de balises xenos afin de rechercher les loyalistes restants et d'étendre leur sphère d'influence au-delà de la ruine. Cependant, même au moment où ils font leurs premiers pas pour contrôler réellement les installations, Pharos a retenu l'attention d'une légion traîtresse . En arrivant en force, la légion des Night Lords cherche à briser l'emprise loyaliste sur le monde et à se servir de cet établissement pour son propre compte…



Après plusieurs nouvelles et une multitude d'anthologies, les lecteurs ont commencé à comprendre que l'histoire s'arrêtait lentement alors que les auteurs cherchaient à développer cette époque. Bien que ce ne soit en aucun cas une très mauvaise chose et que nous introduisions de nombreuses nouvelles histoires et idées fantastiques, le manque de progression visible est évidemment exaspérant. Ces mêmes lecteurs seront heureux de savoir que Pharos remet les roues en mouvement et commence à pousser progressivement les choses vers la bataille de Terra.



Une grande partie de ce qui contribue à rendre ce livre étonnamment accessible est son nouvel ensemble de personnages. Alors que plusieurs personnalités sont reprises d'anciens livres, la grande majorité des Night Lords et des Ultramarines sont relativement nouveaux, la plupart n'ayant été que brièvement mentionnés dans l'une des nouvelles précédentes de Haley. Cela leur permet de travailler beaucoup moins, mais Haley parvient néanmoins à les rendre extrêmement convaincants, en particulier la nature contrastant des Night Lords eux-mêmes. Chacun réussit à refléter un aspect différent de la Légion, mais conserve sa propre identité sans risquer de se transformer en une ombre de la première griffe. de plus, leurs arcs individuels dans ce livre ont un début et une fin distincts et il reste peu de choses à faire ailleurs,



De très bon personnages sont aussi à l'honneur, entre Dantioch et Polux, ce duo irron warriors et imperial fist ou encore Kellendvar et Kellenkir, deux vrais frère night lords ( ça veut dire qu'ils ont la même mère) totalement dérangé. Il y a de sympathiques scènes qui décrivent leur passé grandissant sur Nostramo et les changements qu'ils ont subis. Leurs intrigues ont été résolues il y a de grandes scènes qui décrivent leur passé grandissant sur Nostramo et les changements qu'ils ont subis. Leurs intrigues ont été admirablement résolues, pour ma part. Et puis il y a une autre paire de frères: Roboute Guilliman et Sanguinius. Ce dernier est toujours très mal à l'aise avec sa position d'empereur d'Imperium Secundus, puis il y a un autre invité surprise qui fait face à un débat contre Sanguinius. J'ai adoré tout le chapitre traitant de ça! Toutes ces petites allusions au 41 millénaires.



L'action en question est très certainement tempérée dans le style de Haley. Il manque quelques-unes des lignes percutantes, et des descriptions épiques que peuvent fournir d'autres auteurs au service de longue date, mais cette simplicité a tout un mérite. C'est un bon changement de rythme avec l'histoire qui offre juste assez d'informations descriptives générales pour permettre au lecteur de construire une image générale dans sa tête et de se concentrer sur le combat de base. Cela peut sembler un peu comme ce qui a déjà été critiqué à l'encontre de Gav Thorpe, mais les événements sont plus divers. Même lorsqu'il s'accroche à un événement ou à un engagement clé, il ne se limite jamais à quelques personnages et perd rarement le sens de son ampleur.



Un autre problème à noter, les dialogues sont abrégés en déclarations très brèves. Cela est particulièrement évident chez les Ultramarines en particulier les éléments théoriques et pratiques qui en sont devenus un élément clé de leurs représentations, mais même le dialogue à partir de personnages mortels ne se déroule pas aussi bien que chez d'autres auteurs. Encore une fois pas aussi percutant qu' un Abnett.



Autre chose, la représentation de certains personnages comme Dantioch que je trouve au début étrangement enthousiaste et optimiste pour un Iron Warrior, ou Polux qui pour sa part manque de froideur par certains moments me posent quelquefois problème. L'armée impériale de Sotha manque aussi d'un côté militaire, on dirait presque des civils.



Malgré tous ses problèmes, Pharos reste une lecture très divertissante et qui à un certain impact dans la série.
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L'Hérésie d'Horus - Le siège de Terra, tome 2 :..

Bombardements, attente, le manque de preparation des soldats, l'angoisse. La guerre des tranchées, les combats aeriens, les bombes de gaz. Nous sommes pas en 14-18 mais bel et bien au 31 millénaire. Et sur terre également. Un autre conflit mais des descriptions similaires à la littérature de la grande guerre.

J'ai trouve cet opus bien meilleur que le premier du siège de terra. On est enfin dans le vif du sujet. L'écriture est plus claire et direct. On comprend les enjeux et on ne perd pas de temps en symbolisme inutile.

Dans l'enfer du 31 millenaire, il n'y a que la guerre.

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L'hérésie d'Horus, tome 49 - Le fléau du loup :..

Les Spaces Wolves ont été mon premier amour dans l'univers 40K. Cette furie au service de la justice, ces soldats sans-pitié qui sont frères et conteurs.

Mon imaginaire avait voyagé avec eux.

Ils apparaissent peu dans cette saga de l'hérésie d'Horus mais toujours avec singularité. On les avait suivi lorsqu'ils avaient détruit les Thousands Sons. Puis ils étaient apparus en piteux état après leurs rencontres avec les flottes de la XXème légion.

C'est ici une la saga d'une vengeance coup d'aiguille qui nous est conté. Leman Russ refuse de suivre Dorn dans la défense de Terra et part tuer de ses propres mains Horus, après avoir consulté les puissances de sa planète natale, Fenris.

Quelle épopée pour qui aime ce chapitre et ce primarque.

Quelques défauts sur le rythme et la répartition de l'action comme toujours mais on en fait fi, on est habitué maintenant à ces problèmes récurrents chez les auteurs Warhammer. Mais que d'actions. Dommage que le final soit aussi vite expédié.
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L'hérésie d'Horus, tome 53 - La mort des Tita..

Ah on continue sur notre suite de bon roman, et lui, en terme de sf militaire, il est vraiment pas mal. En tant qu'avant dernier roman de l'hérésie, il nous montre une bataille assez dantesque. Chose qu'on attend quand on parle de titans. Les Titans, c'est des armes qui font la taille d'un monde ruche et qui peuvent renverser le cours d'une bataille en un rien de temps. Les titans sont organisés en Maison comme celle de Solaria ou de Vulpa. Ces maisons sont plus ou moins indépendantes de l'imperium et du Mechanicum. C'est le premier tome qui en quelque sorte, nous montre une véritable bataille de titans (environ 2000 étant donné qu'on parle de 20 Maisons contre un nombre qui doit être similaire)



Le système de Beta-Garmon a une grande importance logistique et industrielle. Logistique car elle possède un relais qui permet de coordonner les troupes dans l'amas de Garmon et industrielle car ce sont des mondes ruches. L'Imperium qui a trop de troupes sur Terra et qui préfère voir tout les titans se battre autre part que sur Terra a décidé d'organiser une forme de contre attaque chargé de gagner du temps jusqu'à l'arrivée des Ultramarines et des Dark Angels.



Ce roman de 400 pages peut se diviser comme ceci, suite de scène d'action entremêlée avec la vie dans la Legio Solarius puis grosse bataille finale. Et on peut tout dire mais le domaine de l'action, il est assez bien orchestré. Les stratégies sont surprenantes, claires et ne nuisent pas aux récits. Mais on remarque bien qu'il nous manque le côté transcendant de certains... Le surplus d'action ne gène pas ici mais il y a certaines scènes comme celle avec Sanguinus ou encore le manque du sentiment dernier carré qui me font dire que c'est loin d'être parfait.



Alors que d'un point de vue stratégique, on ressent une accumulation de traîtres et de loyalistes dans ce secteur. Notre Legio Solaria a son propre conflit contre Vulpa, un conflit personnel et amoureux. Pas d'inquiétude, c'est à la mode 40k... Chaque Legio a ces propres particularités, la legio Soaria est entièrement composé de femme et entretien une tactique, on frappe et on se repli. La legio Vulpa, c'est des têtes brûlées et on nous montre un assez beau changement vers Khorne, le dieu du Sang et de la Guerre.



On peut dire ce qu'on veut de ce roman mais on est assourdi sous la tonne d'informations. Et pourtant, malgré toutes ces coutumes et ces explications techniques ou géopolitiques. On ressent une forme d'équilibre. Le problème vient surtout de l'échelle, très rapidement ce système solaire devient capital et accueille notre cher Sanguinus et Jagathai Khan. Mais le problème, c'est que ça manque de belles scènes avec ces primarques et l'utilisation du Khan aurait pu être meilleure. L'autre problème, c'est qu'on nous parle de la situation de l'amas comme si elle allait être développée autre part. Mais elle ne l'est pas, on nous ramène des Blood Angels mais ils ne servent pas à grand-chose.



Ce roman aurait dû s'arrêter au titans, on nous développe de tel chose au 3/5eme du livre seulement. Les personnages, à part Esha Ani Mohana et Harrtek et leur antagonisme. Le lien entre tous ceux de la legio Solaria n'est pas assez développé. Pareil pour la Vulpa étant donné qu'il y a trop d'informations. Et puis si on voulait donner plus d'envergure, on voit des Sons of Horus, des Irron Warriors, pourquoi pas des primarques félons. Et puis d'un point de vue spatial, on n'a pas leur point de vue. Pourtant entre Sanguinus, sa flotte et celle des 20 Maisons ou Legio, ça doit faire pas mal. Le statu quo aurait pu être rompu. Ce que Haley voulait faire ne pouvait se faire en 400 pages tout simplement.



Je pourrais aussi continuer avec l'utilisation bien pauvre du Warp mais ce que j'ai retenu, c'est bien ces quelques scènes de bonne sf militaire. Mais à vouloir faire trop, notre cher Haley en a perdu en sentiment d'euphorie. Je ne me suis pas ennuyé mais à aucun moment je n'ai ressenti un épique magistral, à aucun moment j'ai eu peur pour ces personnages. L'échelle nous fait rêver mais la structure est bien légère...
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L'hérésie d'Horus, tome 49 - Le fléau du loup :..

Ah enfin un bon roman 40k, parce que la, ma volonté commençait à faillir. Après une suite de mauvais roman, nous revoilà avec Leman Russ que nous avions laissé au tome 14 après la destruction de Tizca, le domaine de Magnus. Ce roman est plutôt bien construit, tout est dans la fatalité, un thème récurrent dans l'hérésie d'Horus. La philosophie de Russ ne pouvait le pousser qu'à une telle décision. Le Chien de garde de Terra est parti à la chasse de son félon de frère. La symbolique de la première scène est juste dantesque, deux loups vont s'affronter mais un seul ne pourra être gagnant. Et nous en tant que lecteur, savons déjà qui va vaincre.



Au final, c'est la grande difficulté de cette saga, nous connaissons déjà la conclusion. Seul le récit qui va nous y amener est utile. Dans cette saga, je recherche l'émerveillement du coté martial et dantesque de l'univers 40k mais aussi le côté peu utilisé de la lovecrafterie qu'est le Warp. Ce qui est franchement dommage. Nous suivons donc Russ dans son périple vers son frère.



Au moins, on peut enfin dire que les choses bougent dans 40k. Le maître de guerre est proche de Terra. le Vengeful Spirit porte la marque qui a été posé par Gavriel Loken, le bourreau de l'empereur peut enfin sortir de sa tanière. Mais avant, il doit aller consulter une forme d'oracle sur Fenris. Beaucoup de choses sont dites, ce livre est rempli de symbolique sur la transformation de l'imperium. Sur le rêve brisé de l'empereur mais aussi sur ces échecs. Haley a essayé de faire disparaître les incohérences de l'hérésie. Chose complexe mais pas forcément réussie....



Sur la question des psychers par exemple, l'argument du on connaît les limites est peu convaincant. Magnus et sa légion en connaissait assez sur le Warp. On essaye de tout expliquer par la faillibilité de l'empereur. Il est bien d'aborder ces questions casse gueule mais la c'est mitigé. Cela méritait approfondissement... La grande réunion des primarques était intéressante mais démontre aussi que ce sont les seuls personnages intéressants dans l'hérésie, les seuls qui nous font réellement vibrer.



Les scènes de géopolitique qu'on attendait temps sont aussi présentes mais manque d'approfondissement. Et puis on remarque bien qu'on a un début, une fin mais pas de milieu. Un manque flagrant d'évolution dans la galaxie. Il manque des pans entiers de conquête chez les traîtres. L'Imperium secondus c'est bien mais on voudrait aussi le développement de la guerre civile dans sa globalité. La galaxie, c'est très grand...



On a de la mythologie nordique et on approfondit les coutumes de cette légion de manière intéressante. Mais après ceci, la seule chose recherchée et le combat entre le Horus et Russ. Et la, on a un gros problème, tout ce que l'on voit de cette confrontation. C'est par le point de vue de Russ et uniquement lui. Dans Prétorien de Dorn, on avait un lien via flashback. Ici on l'a juste grâce à notre connaissance passé de qui est Horus et l'introduction. Cela manque de comparaison, de contraste, le lien entre les deux n'est pas étoffé.



Et puis, on arrive à la bataille finale est la, on arrive pas à faire le choix entre un duel entre les deux qui malheureusement est impossible ou une bataille à grande échelle. On nous mixe les deux dans une pornographie militaire grandiose mais cela manque d'hystérie, de grandiose. Et puis Russ, c'est le personnage inventé pour tuer un primarque si il trahit l'empereur. le faire hésiter et échouer, c'est comme si Guilliman perdait une bataille parce qu'il ne tenait pas compte de la logistique. Le final fait trop artificiel, c'est le problème du à la licence. Mais des gens comme Mcneil ou Abnett arrivent à l'éviter, c'est en cela qu'ils sont meilleurs...



Et il existe un dernier problème, Cawl ici fait trop fan fiction. Il n'a rien à faire ici. Il appartient à l'univers de 40k, je veux bien qu'on essaye de symboliser le changement mais la. Ça ne fait que participer au sentiment de trop artificiel. Chose étrange, le monde du mechanicum est mieux écrit et représenté par cet auteur que Mcneil. Et puis, il y a l'importance de cette trame dans l'intrigue qui est bien trop faible. Nouvelle à part oui, l'insérer ici, il aurait fallu lui donner de la consistance dans la bataille finale. Mais cela n'aurait pas changé la nature du problème.



On dirais que mon sentiment est mitigé mais ce n'est pas le cas. Je l'ai apprécié mais il manque bien des choses, il est plaisant mais il possède beaucoup trop de défauts pour que je ferme les yeux dessus... Les scènes de combats d'ailleurs manquent aussi de ce sentiment d'émerveillement. Il n'a pas l'écriture évocatrice de certains... que ce soit dans le style ou dans le scénario. Un bon départ mais une finalité bien pauvre.
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

» 17 nouvelles dans l’univers Warhammer 40K . Elles se situent à des moments divers de la saga « L’hérésie d’Horus » et concerne divers épisodes survenus après la trahison . Certains en sont très proches (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/) et directement liés à Isstvan , d’autres beaucoup plus lointains et périphériques , voire anecdotiques. Les chapitres concerné sont variés White Scars (La confrérie de l’orage),Iron Hands (Veritas Ferrum/Tiraillé/) Salamander (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/)Ultramarine (Honneur aux morts/La marque d’infamie ) World Eaters.(Les clous du Boucher/ Le chemin à huit branches) Word Bearers.(Les clous du Boucher/La marque d’infamie)Space Wolwes(La Griffe du Loup/Loup solitaire) Thousand Sons(Les voleurs de révélation) Emperor's Children(Lucius la lame éternelle) .A remarquer un nouvelle avec Horus comme seul personnage (Maître de guerre) .Pas désagréable mais inégal.
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Warhammer - Les Héros, tome 7 : Skarsnik

Pour les aficionados de Warhammer en particulier, pour les adeptes de fantasy en général.



Un livre sur Skarsnik! Et sur les gobelins en général. Voila qui est assez rare pour attirer l'attention.

Pour un livre de la Black Library, Skarsnik est remarquablement bon. Le style est agréable à lire (en anglais), il n'y a pas de temps mort, et, pour peu que vous vous y connaissiez un peu dans l'univers de Warhammer, découvrir l'un de ses personnages les plus mythiques est un régal. L'auteur semble avoir particulièrement bien saisi l'alchimie entre les gobs', les nains, les skavens, le tout à travers les retranscriptions d'un humain.

C'est un bon gros volume qui vous occupera un bout de temps.
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L'hérésie d'Horus, tome 43 : Les légions brisées

Un nouveau recueil qui, comme tous les recueils de la Black Library, est très inégal. Lui se focalise sur ce qu'est devenu les Iron Hands après le massacre d'Itsvann V. Dans chaque nouvelle, on va suivre comment va se remodeler cette légion brisé pour redevenir une arme. Au moins ce recueil aura l'obligeance de nous fournir un bon début et une fin prometteuse, cette fois ci, les auteurs apprennent de nos critiques sur ce genre de forme. Mais bon, il leur aura fallu plus d'une dizaine d'années pour comprendre comment fonctionnait un recueil. Mais par contre, ils n'ont toujours pas compris le concept d'avancer dans une saga. Littéralement, ce tome peut se lire après le 5eme.



Et comme toujours, on a nos deux types d'auteurs, les bons et les mauvais. Et malheureusement, la seconde catégorie n'apprend pas beaucoup des critiques. Les premières nouvelles commencent bien, on nous présente une situation bien sombre. Le sentiment accablant de désespoir, de perte et de colère se manifeste tout au long de ces histoires. Personne ne sait à qui faire confiance. Personne ne sait quelles légions sont dignes de confiance. On veut se rebâtir mais on se heurte aux égaux des autres. Dan Abnett nous offre un bon début et on comprends bien la difficulté des personnages.



Les Iron Hands sont dans le meilleur des cas difficiles à aimer. Ils prennent un besoin psychopathe de soulager la chair «faible» avec un fer sombre et implacable. Cela les conduit vers une logique brutale pour ne pas dire inhumaine. Ils sont froids, implacables et feront tout ce qui est nécessaire pour atteindre leurs objectifs. Il est facile d'en faire des personnages ennuyeux et antipathiques tout comme plutôt complexes. Tout dépend malheureusement de l'auteur derrière la tache.



On retiendra surtout de cette anthologie une nouvelle très marquante, celle du septième serpent. Une infiltration au rebondissement très tragique et inhumain. Cette équipe de choc (car déjà vu dans Ange Exterminatus) chargé de tuer le Primarque Alpharius donne cependant plutôt l'intérêt à l'Alpha Légion. D'une certaine manière, c'est dommage pour une anthologie sur les Iron Hands. Une scène finale plutôt magistrale...



La dernière nouvelle aurait dû être conté par Aaron Dembski-Bowden. Graham McNeill n'arrive pas à écrire de scène frappante chez nos méchants favoris. Et pourtant, il y avait quelques belles possibilités. Ce que je retiendrai de cette anthologie est malheureusement le fait qu'elle n'a rien de bien marquant sur les Iron Hands. Le plus triste dans ce genre d'anthologie, c'est qu'on nous parle de chose anecdotique. On parle de grosse bataille et de situation géopolitique intéressante mais comme si elle appartenait à un autre roman. Un roman qui n'existe pas, le dernier défaut à lui mettre, et pas des moindres, c'est de n'avoir aucune importance dans la trame...
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Les Chroniques de la Science-Fiction

Jetant des passerelles d'un univers à l'autre, d'une oeuvre à l'autre, d'un vieux film à un jeu vidéo, ces Chroniques dressent le panorama d'un genre dont la cohérence et l'évolution dépassent la notion d'auteur.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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The Horus Heresy - Primarchs : Scions of th..

Un recueil de nouvelles qui ne déçoit pas! Je dois avouer que je suis très agréablement surpris par la qualité des textes qui composent ce recueil, et de façon générale, toute la série "Primarchs" et ses dérivés, qui ne m'a jusqu'ici pas déçu (hormis Fulgrim, dont l'histoire n'apportait rien au puzzle).



Ici, ce sont donc huit nouvelles qui abordent tour à tour l'un des primarques et ses relations avec les autres et leurs légions. Je les ai toutes appréciées, ce qui est rare sur un recueil, et ceci d'autant plus que je n'apprécie pas certains primarques, comme Jaghataï ou Roboute.



Le recueil se paie même le luxe devenu rare ces derniers temps de mentionner explicitement les IIe et XIe légions, dans la nouvelle consacrée à Rogal Dorn, et de nous en révéler un peu plus sur la Damnatio Memoriae qui les frappe.



Bref, une belle réussite, et un bon divertissement pour quiconque apprécie l'univers de l'Hérésie d'Horus.
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Les Primarques, tome 12 : Konrad Curze hant..

Un bouquin qui m'a surpris par sa construction, originale et bien pensée, très différente de ce que Black Library produit d'ordinaire.

On suit la vie de Konrad Kurze depuis sa chute sur Nostramo, jusqu'à sa fin aux mains de l'assassin M'Shen. Et si il ne fait aucun doute que Kurze est un psychopathe totalement barré, il s'avère qu'il n'est pas que ça... et qu'il a une conception très personnelle de la Justice. Extrême, mais pas maléfique... même si c'est aussi et surtout un moyen d'assouvir des pulsions sadiques de tortures toutes plus atroces les unes que les autres.



Nighthaunter est un personnage vraiment complexe et contradictoire, ce qui le rend particulièrement riche et intéressant. Et ce bouquin lui rend vraiment bien hommage, et montre à quel point sa Légion est un ramassis de salopards.

Un (petit) bémol tout de même: si l'ouvrage semble essayer d'embrasser toute la vie de Konrad Kurze/Nighthaunter, il fait l'impasse sur des moments importants, notamment avec Vulkan (ou alors, n'ayant pas encore atteint ce point dans HH, il y a un twist dont je ne suis pas encore au courant?).



Mais dans l'ensemble, un très bon moment de lecture, et clairement un must-have si vous êtes fan des Night Lords.
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

Anthologie avec du très bon et du très inutile:

La confrérie de l'orage 4/5 Je ne suis pas un grand fan de White Scars; cette histoire et le tomes 28 ont changés cela. J'ai apprécié les points de vue différents (intérieur et extérieur à la légion) et la façon dont chacune a permis de comprendre un peu la V Légion . Avec bien sûr, les liens forgés dans la bataille entre les différents frères de la Légion, avant que ces liens ne soient rompus par la trahison et la méfiance. Il compte plus de 120 pages, avec de très bonnes actions mais sans grand rebondissement .

Serpent 2/5 Ce micro-serpent de John French, qui est un très bref aperçu d'un rituel du Chaos exécuté par un prêtre de l'un des cultes davinites. Trop court. J'ai seulement commencé à ressentir l'atmosphère chaotique à la fin de l'histoire.

La lune du chasseur 4/5 Celui-ci raconte à la première personne ce qui se passe lorsqu'un légionnaire de Space Wolves s'écrase sur un monde sans importance et est sauvé de la mort par des mortels. Le pêcheur Tidon est un merveilleux narrateur qui raconte au public le sort final de l’équipe Space Wolves envoyée à la Légion Alpha pour la surveiller. J ai plutôt bien aimé pour ma part.

Veritas Ferum 4/5 Un merveilleux prélude à la damnation de Pythos, intense et plein d'action. Aussi bref que cela puisse être, cette histoire vous jette à bord du navire Veritas Ferrum et il n'y a nulle part où aller.

Tiraillé 5/5 Je trouve cette histoire très inhabituelle et inquiétante, ce qui est exactement ce que je recherche dans les HH/40k. De retour sur Terra, le premier capitaine Sigismund des Imperial Fists demande l'aide d'un guerrier Iron Hands pour rechercher les survivants du massacre. Il est astucieusement réalisé et met en évidence le froid et le désespoir des Iron Hands après les trahisons d’Isstvan et la mort de Manus avec un super concept.

Frapper et disparaitre 3.5/5 Les Salamandres se vengent ... et rien d autre.

Honneurs au mort 6/5 Je lui donnerais bien plus d'étoiles si je le pouvais. Titans, Calth, Ultramarines et civils. Il était étonnant d’avoir quatre perspectives différentes, en particulier celles des citoyens ordinaires de Calth. Bien joué.

Les clous du boucher Nous obtenons une description très claire de la manière dont ces clous affectent réellement l'Ange Rouge et sa légion, il y a beaucoup de préfigurations, un changement dans le personnage de Lorgar par rapport au premier hérétique. ET la féroce Lotara Sarrin, l'un des meilleurs personnages humains de HH! C'est fascinant de voir la relation entre Angron et Lorgar, sachant ce qui se passera ensuite. La dynamique entre Kharn et Argel Tal, qui traverse déjà une triste transformation. Magnifique ajout à Félon.

Maître de guerre 3/5 Trop court

Kryptos 4/5 Raven Guard et Iron Hand rencontre Mission Impossible

La griffe du loup 2.5/5 Space Wolf vs Alpha Legion et ... que ça et en plus l action est pas super

Les voleurs de révélations 5/5 Ahriman et Magnus qui discute, une scéne excellente, immersive et obsédante, me donne hâte de lire le roi écarlate.

La parole divine 4/5 la Garde Impériale de Therion est en action, agréable bataille.

Lucius, la lame éternelle 5/5 Lucius mais quel BADASSITUDE.

Le chemin à huit branche 4/5 Après les événements de la croisade des ombres, nous voyons Kharn dans les fosses de combat. Juste un peu moin court et c était mieux.

Gardien de l'ordre 2/5 Retour sur Caliban et bien trop court

Le Coeur du Conqueror 5/5 Regard intéressant sur les astropathes chez les traîtres. J ai adoré

La marque de l infamie 4/5 Ce n’est pas comme si nous avions besoin d’autres histoires de Calth, mais celle-ci m’a plutôt plu. Thiel est de retour et fait ce qu'il fait de mieux. Être insubordonné.

Loup solitaire 4/5 Court mais assez bon

A part le prix en version papier, c est un recueil assez bon.
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Les Chroniques de la Science-Fiction

C'est véritablement la bible de la science-fiction. le livre explore le genre sur tous les rapports : les films, les auteurs, les livres, les univers et même les jeux vidéos... et tout ça à l'aide de chronologies et de descriptions très complètes.

Le livre ne fait l'impasse sur aucunes oeuvres, s'attardant évidemment sur les classiques du genre. Les informations sont diverses et sont astucieusement mis en avant. Je trouve notamment judicieux de montrer sur une frise, la chronologie d'apparition des oeuvres pour une saga ou une série. Également la chronologie des événements pour les séries plus développées (Docteur Who, Star Wars, Star Trek...) est excrément interessantes.

En somme, un livre qui est une mine d'informations et de découvertes sur le monde la Science-fiction.

Le seul bémol que je donnerai est que l'auteur donne l'intrigue de la plupart des oeuvres décrites, ce qui ne donne pas envie de lire les parties sur les oeuvres que l'on ne connaît pas ou peu sans prendre le risque de se faire spoiler.
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Warhammer 40.000 - Imperial Guard, tome 1 :..

L'équipage d'un char super-lourd Baneblade participe à la guerre contre les Orks sur un monde stratégique-mais-pas-tant-que-ça et affronte aussi bien la planète elle-même que l'ennemi xenos le plus résilient qui soit.



Un bon petit bouquin de la Black Library qui se lit vraiment facilement. L'univers de WH40K est vraiment très, très bien retranscrit ici, et montre une Garde Impériale aux prises avec des Orks vicieux sur un monde vraiment hostile. La vision humaine sert vraiment le récit: il ne s'agit pas des sempiternels astartes de la mort-qui-tue, mais bien d'humains, fragiles et... humains.

Même si le Baneblade est un char difficilement appréhendable dans notre monde réel, l'histoire reste vraisemblable. Le Mechanicum, la Garde Impériale, tout est fidèlement retranscrit dans ce récit qui ne laisse pas beaucoup place à la contemplation. Seul bémol, les flash-back centrés sur les raisons pour lesquelles Bannick s'est enrôlé, qui à mon goût prennent trop de place et ne servent pas tellement le récit. Pour tout le reste, on est très bien servi: cynisme, guerre, guerre, et re-GUERRE.



Un très bon moment de lecture qui n'est pas trop desservi par le défaut habituel (auquel il n'échappe pas) des romans Black Library: la fin précipitée (pour ne pas dire torchée) en 50 pages à peine, alors que la mise en place du dénouement en a pris 350...
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