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Critiques de Helen Fitzgerald (44)
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The cry

J'ai vu la série télé adaptée de ce roman avant de le lire. D'habitude c'est l'inverse.

On y retrouve le couple de Joanna et Allister qui vient d'arriver en Australie et dont leur bébé Noah a été enlevé dans leur voiture devant une superette. On comprend très vite que c'est une mise en scène du couple pour camoufler la mort de leur bébé. Sans vraiment le dire Allister reporte la faute sur Joanna.

L'autrice mêle alors le présent avec le procès de Joanna et le passé avec la mort du petit Noah et l'enquête policière. Même si le lecteur sait ou croit savoir ce qui s'est passé, l'autrice arrive à maintenir le suspense avec des rebondissements et révélations distillés comme il faut.

Il y a quand même dans la second partie du livre quelques longueurs (surtout quand on connaît l'histoire).

Les personnages sont bien croqués. Joanna, la jeune mère, au bout du rouleau avec ce bébé qui n'arrête pas de pleurer et dont la mort va l'anéantir ; et Allister sur qui tout coule tant que cela n'affecte pas sa personne ou sa réputation. Il est antipathique à souhait, un salaud de première qui reporte la faite sur sa compagne sans dire jamais les mots "tu as tué notre fils". Il est manipulateur et réussi depuis des décennies à embobiner son monde.

Un bon roman policier.
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The cry

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Lors d’une rencontre bookstagram on se décide de faire un tour en librairie, presque trop logique ! Et là Lucile m’a mis ce roman dans les mains en me disant que c’était une pépite !

J’ai tenue une semaine avant de la sortir !



De quoi ça parle ? « Le roman qui a inspiré la série phénomène de la BBC !

Avec une virtuosité machiavélique, Helen FitzGerald nous attire dans les abîmes de l'âme humaine : perversion, manipulation et impossible rédemption.

Lorsqu'ils posent le pied à l'aéroport de Melbourne, Joanna et Alistair ne savent pas encore que le pire cauchemar de leur existence s'est déjà produit.

Au cours du vol qui les conduisait de Glasgow à la capitale de l'État australien du Victoria, Noah, leur bébé de 9 semaines, a perdu la vie. Que s'est-il réellement passé ?

Commence alors un incroyable scénario : celui d'une descente aux enfers que rien ne semble pouvoir arrêter.»



En vrai je voulais terminer le mois avec un roman one shot facile à lire, prenant et qualitatif, celui-là m’a semblé idéal et j’ai bien fait ! Je pensais le commencer dimanche et finalement je n’ai pas du tout eu le temps d’aller plus loin que le premier chapitre … Mais quelques heures dispos entre lundi et mardi auront suffi à m’emmener au bout de ce roman !



Dès le premier chapitre on est emporté dans l’histoire et on a envi d’en savoir plus et surtout de voir où l’autrice va nous emmener ! Tout est bien ficelé, la mise en place des personnages et géniale et nous dresse dès le départ un portrait assez juste de chacun d’eux !

Le sujet de départ est assez simple mais nous entraine très vite dans le mensonge et la manipulation. On alterne les points de vue entre Joanna la mère du bébé et Alexandra l’ex-femme d’Alistair le père. À travers leurs yeux on découvre le drame, la décision, la mise en place du mensonge mais également le passé qui les lie tous trois. On découvre la première fille d’Alistair, leur relation et tout ce qui en découle !

Ce thriller domestique / psychologique se laisse dévorer ! L’écriture est simple, accessible et percutante ! Le sujet est lourd, malaisant et en même temps nous emmène dans la compassion envers ces parents dévastés !



C’est typiquement le genre de livre dont on ne peut pas dire grand-chose pour éviter absolument de gâcher le suspens. Un livre accessible aux amateurs du genre mais aussi à ceux qui ne lisent pas ou peu de thrillers ! Pas de violence gratuite, pas de gore mais un bon côté machiavélique !

Le seul petit bémol pur moi : le final n’était pas aussi explosif que je l’imaginais mais il fait bien le job quand même !

Un roman qui va être une lecture idéale pour la période estivale, je recommande chaudement ! Et par curiosité je jetterai un œil sur la série !

Note 8.5/10

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The cry

Aujourd'hui je vous parle de « The cry » d'Helen Fitzgerald, un thriller psychologique dont le résumé m'avait pas mal tenté.



Johanna et Allister s'envolent avec leur bébé de 9 semaines, Noah. Le vol est éprouvant pour Johanna, souffrant d'une otite et essayant désespérément de calmer Noah qui ne fait que pleurer, rapidement elle est désemparé, et se pose toutes les questions qu'une jeune maman se pose à un moment ou un autre. Peu après leur arrivée, le couple se rend compte que le bébé ne respire plus...



Au premier abord, cette famille a tout du conte de fées: un coup de foudre, une relation passionnelle, un enfant et une belle situation pour Allister. Pourtant très vite, les apparences se fissurent et derrière ce beau tableau, on se rend vite compte que tout n'est pas si rose.



J'ai très vite ressenti beaucoup d'empathie pour Johanna, cette jeune maman qui cherche encore ses marques et qui va vivre un vrai cauchemar. L'alternance de points de vue entre Johanna, l'ex-femme d'Allister permet de comprendre le lien qui unit chaque protagoniste.



Je dois avouer que j'ai eu du mal à comprendre la décision que va prendre le couple après avoir découvert que leur petit garçon était décédé, puis il suffit de penser à certaines histoires malheureusement connues pour me convaincre que certains en seraient capables, mais forcément ça ne laisse pas insensible.



Les thèmes abordés tels que la parentalité, la manipulation et la culpabilité (entre autres) sont parfaitement maitrisées.



Au fur et à mesure des pages, l'ambiance devient de plus en plus sombre et malsaine, les révélations font monter la pression crescendo, l'atmosphère est pour moi le point fort de ce roman. C'est ce genre de roman qui se lit d'une traite tant on veut découvrir comment toute cette histoire va se terminer. Malheureusement, il m'aura manqué du suspense car la fin est assez prévisible.



En résumé, c'est une bonne lecture même si j'aurais aimé un dénouement plus surprenant. Cela ne m'empêchera pas de découvrir la série adaptée de ce roman.


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The cry

Un roman pas indispensable mais prenant.

Comment dissimuler la mort accidentelle de son nourrisson derrière un enlèvement ? C’est cette situation difficile que va vivre un couple d’Anglo-Australiens. Mais derrière ce fait hélas divers, se cache une analyse de sentiments et réactions complexes du père et de la mère rongés par le chagrin. Et le sujet du roman n’est peut-être alors plus celui de cette mort accidentelle mais celui de la manipulation d’une jeune femme fragile par un homme mûr, sûr de lui, autoritaire et expert en tromperie…

Ce roman a été adapté par la BBC, je serai curieuse de voir cette série.

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The cry

Nous suivons Joanna qui vient de perdre son bébé, et Alexandra, l’ex-femme d’Allistair.



Ces deux femmes n’ont en commun qu’Allistair, homme ambitieux qui ne pense qu’en termes de stratégies politiques, étant l’étoile montante de son partie en Ecosse.



Pauvre Joanna, seule dans un pays étranger avec ses doutes et ses remords, qui va peu à peu ouvrir les yeux sur son compagnon.



Il est encore une fois question de mensonges, cette fois-ci au sein du couple. Des mensonges qui ravagent la confiance en elle de celle qui est flouée.



L’image que je retiendrai :



Celle de l’arbre syzygium dont les baies rouges se cuisinent en confiture amer que Joanna mange pour se punir.
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Le Don

Cousu de fil blanc cette histoire ne l'est pas tant ...



Un père célibataire se débat avec ses jumelles et son passé. Une femme dont il est fou amoureux l'a quitté un matin et laissé avec ses 2 filles. On suit le parcours difficile de ce père qui vit entre le passé de cette mère junkie qu'il aime toujours, de ces 2 ados, qui tire le diable par la queue.



Pour couronner le tout, ces filles doivent absolument trouver un donneur pour obtenir un rein et subir un traitement pénible dans l'attente. Et si un père pouvait donner son rein à laquelle des 2 filles cela serait?



Au final c'est un livre parfois long, parfois cliché parfois parfois... mais la fin m'a plu: la pirouette sur ces vies pathétiques était inattendue.
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Ultime confession

Difficile à expliquer, je ne me suis pas sentie à l'aise dans cette lecture. L'ambiance est malsaine et certaines répliques ou actions sont trop "crues". Ca ne m'a pas semblé toujours cohérent, en fait. Pareil pour l'alternance passé/présent. Même si je saisi la pertinence du procédé, ça m'a parfois déstabilisé. Ca n'en reste pas moins une histoire très intéressante bourrée de suspense.
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The cry

J'ai découvert ce livre dans un article de je ne sais plus quel journal, l'été dernier, qui conseillait 5 livres à lire absolument. J'ai été très attirée par le résumé, cette histoire de bébé qui décède sans qu'on sache pourquoi mais en comprenant qu'il s'est passé quelque chose dans cet avion.



Le roman débute justement au moment de l'embarquement à l'aéroport. On découvre Joanna, jeune maman du petit Noah qui a 9 semaines, un peu débordée et fatiguée par ce bébé qui ne cesse de pleurer dans l'avion. Son mari, Alistair, l'aide un peu mais sans plus... Tous 3 partent en Australie car Alistair souhaite récupérer la garde de sa fille issue de son 1er mariage, mariage qui a pris fin quand l'ex-femme a découvert son mari et Joanna dans le même lit... Le vol est forcément très long entre l'Écosse et l'Australie et les nerfs de la maman et des passagers sont mis à rude épreuve. C'est quelques temps après l'atterrissage que le couple va prendre conscience du décès du petit Noah. Et ils vont alors prendre une décision lourde de conséquences.



Je ne dirais pas, comme dans l'article que j'avais lu, que c'était un livre incontournable, mais je l'ai bien aimé. J'avoue que je m'attendais à quelque chose de peut-être plus "original" alors que le sujet est finalement assez "classique" (en tout cas, il m'a rappelé plusieurs faits divers). L'écriture est très fluide et même s'il y a quelques longueurs car il ne s'y passe pas tant de choses que ça, ce n'est pas pour autant pénible. On passe du point de vue de Joanna à celui d'Alexandra, l'ex-femme, et on se balade dans le temps, avec quelques retours en arrière et quelques sauts plus avant dans le temps.



Difficile de ne pas trop en dire mais j'ai aimé l'importance donnée aux sentiments des personnages, à leurs questionnements internes, aux relations qu'ils et elles ont ensemble. On s'attache forcément à cette maman anéantie par la perte de son bébé et si seule. Une lecture sympa au final ! Ce livre a été adapté en série diffusée sur Netflix.
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The cry

Thriller plutôt sympathique et prenant. L'histoire m'a plu mais je n'ai pas trop adhéré aux caractères des personnages. Il y a un "twist" aux 3/4 du livre dont je ne m'attendais pas et qui a m' a redonné une toute autre vision d'un des personnages. Bref je recommande pour les personnes qui aiment ce genre de roman noir psychologique.
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The cry

J’ai été complètement happé par cette addictive histoire qui a piquée ma curiosité. Tout le long, je voulais savoir, je voulais comprendre. La façon dont l’histoire est montée nous donne toutes les clés dès le début et nous vivons avec les personnages pour savoir comment tout cela va finir. Les concernant, j’ai aimé suivre l’impact sur le ménage de la perte tragique d’un enfant, mais d’un autre j’avoue avoir été perplexe plus d’une fois sur les attitudes, réactions et décisions prises. C’était aussi glaçant que surréaliste parfois.

Un bon thriller psychologique, prenant et maitrisé, mais il m’a manqué le petit truc à la fin pour en sortir totalement conquis. Un plaisir de découvrir cette histoire avec les copines et de voir qu’on était tous sur la même longueur d’onde.
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The cry

Joanna et Alistair sont en voyage depuis l'écosse vers l'Australie avec leur bébé de 9 semaines. Un voyage éprouvant avec ce bébé qui pleure presque non stop. Joanna est à bout, épuisée.

Le voyage se termine enfin, ils arrivent à Melbourne, loue une voiture et ce n'est que plusieurs dizaines de km plus tard qu'ils se rendent compte que quelque chose ne va pas.

Leur bébé est trop silencieux, lui qui ne l'est jamais. que s'est il passé ?

Que vont ils faire maintenant ?

Un très bon thriller psychologique qui analyse l'engrenage des mensonges lors d'un fait divers qui semble si réel.
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The cry

Le cauchemar commence pour Joanna et Alistair lorsqu’ils atterrissent à l’aéroport…



Leur bébé de 9 semaines a perdu la vie pendant le vol qui les conduisait de Glasgow à Melbourne. Pourtant le bébé était bien en vie au départ. Tous les passagers peuvent en témoigner car les cris du bébé étaient très insistants.



Que s’est-il passé ?



Cette histoire va avoir un fort retentissement médiatique. Tout le monde cherche à comprendre ce qui est arrivé au bébé. Qui est responsable ?



Elen Fitzgerald nous propose un thriller psychologique haletant et machiavélique. Un vrai page turner captivant. Certes il est difficile d’éprouver de l’empathie pour les personnages principaux mais leur profil psychologique interroge. Qui est vraiment ce couple ? Se connaissent-ils bien eux-mêmes ?



Une lecture qui met en avant la complexité à connaître totalement une personne, l’impact et l’engrenage des mensonges, les relations de manipulation…



Le suspense est vraiment bien présent et il faudra attendre les toutes dernières pages pour faire la lumière sur les origines de la mort du bébé.




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The cry

Voilà un thriller efficace ! Contrairement à beaucoup de romans du genre traitant d'une disparition d'enfant, ici, pas de suspense à ce sujet : on sait très vite ce qu'il en est. L'autrice s'intéresse à ce qui survient après. Les réactions des deux parents sont disséquées, analysées et commentées par deux voix féminines. Celle de Joanna, la mère et celle d'Alexandra, ex-femme d'Alistair.

Joanna est une femme sous emprise, véritable loque incapable de la moindre décision si elle n'a pas l'aval de celui qui la domine. Alexandra est celle qui s'en est échappée et qui tente de reconstruire une vie libre à l'autre bout du monde.

De faux-semblants en mensonges, de trompe-l'oeil en jugements hâtifs, l'intrigue va se dérouler, implacable et mortifère. Personne n'est au fond de lui-même ce qu'il donne à voir à l'extérieur. Les multiples manipulations permettent de suivre cette histoire à tiroirs, entre culpabilité et recherche de rédemption. Il est à la fois impossible de ne pas ressentir d'empathie pour Joanna et de ne pas la détester. Impossible de ne pas être agacé par la mollesse d'Alexandra et ne pas être attendri par son amour puissant pour sa fille.

Helen Fitzgerald se joue du lecteur du début à la fin, avec brio. Le final est peut-être un peu trop rapide, sans pour autant que cela gâche la terrible vérité.

Une lecture parfaite pour l'été !



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The cry

Un immense merci aux éditions J’ai Lu pour l’envoi de ce roman.



J’étais hyper impatiente de lire ce roman. Impatiente mais aussi flippée, car si j’adore les Thrillers psychologique celui ci aborde un thème particulièrement difficile, et je savais pas si j’allais pouvoir aller au bout de ma lecture ou non. Aldaya, j’y suis arrivée et c’était juste génial les copains.



Ici nous allons faire la connaissance de Johanna et Alistair, couple soudé et amoureux, parents d’un nourrisson de 9 semaines, Noah. La petite famille s’envolent direction de l’Australie, car Alistair veut récupérer sa fille, qui vit la bas avec son ex-femme.

Une fois sur la route le couple va alors faire une terrible découverte et prendre une décision lourde de conséquence….



Des les premiers chapitres j’ai plongé dans cette histoire à l’ambiance glauque et pesante. Impossible de le lâcher sans savoir le dénouement. Et j’ai adoré ça, l’autrice m’a embarqué dans son récit, tout est parfaitement mené, et le lecteur n’a pas d’autre choix que d’en être le témoin silencieux. Comment faire face à la mort d’un bébé ? Pourquoi de telles décisions ? On est là, on les voit s’enfoncer dans le mensonge, la manipulation, la souffrance, et on ne peut rien faire.



Ce que j’ai aussi adoré se sont les personnages, non pas qu’ils soient attachants, mais ils sont criant de vérité. L’autrice n’en dépeint pas des héros, mais des gens lambdas à qui il arrive des choses horribles, et qui prennent de mauvaise décision. J’ai été particulièrement touchée par la détresse de Johanna, qui m’a serré le cœur de nombreuses fois.



J’ai aussi beaucoup aimé l’alternance de point de vue entre Johanna la maman de Noah et Alexandra, l’ex-femme d’Alistair. Par leurs yeux, on découvre le drame, les mensonges, et Chloé, la fille d’Alistair. On comprends ainsi la relation qui les lie à cet homme.



Les thèmes que l’autrice aborde sont forts, ont s’enfonce dans les méandres de la nature humaine et on découvre le pire comme le meilleur. Le tout mené par la plume de Helen Fitzgerald que je découvre et que j’ai adoré ! C’est fluide, simple et malgré la lourdeur de l’ambiance, son écriture reste vive et prenante.



Pour conclure, j’ai adoré ce thriller psychologique que j’ai tout simplement dévoré. Amateur du genre, foncez ! Vous allez passer un excellent moment !
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The cry

J’avais beaucoup apprécié la série de la BBC, mais à mon habitude, j’ai voulu me plonger dans le livre, pour me faire mon avis. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçue. Difficile de ne pas s’attacher à Joanna, cette jeune maman débordée. L’histoire est prenante, passionnante et j’ai dévoré le livre avec avidité, curieuse de connaître la suite. On se laisse rapidement embarqué. Les émotions et les personnages sont complexes, mais traités avec réalisme. Un thriller palpitant, qui m’aura tenu en haleine du début à la fin. Une fin d’ailleurs qui se sera montrée à la hauteur de tout ce roman, écrit avec brio.
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The cry

Joanna et Alistair prennent un avion pour l'Australie avec Noah, leur bébé âgé de 9 semaines. Le bébé ne cesse de pleurer pendant tout le vol, au grand dam de sa mère épuisée et impuissante. Mais à l'arrivée, les parents découvrent que leur enfant a perdu la vie. Ils prennent alors une folle décision...



Un bébé impossible à calmer, c'est le cauchemar assuré pour ses parents et pour les passagers. Seule Joanna en est gênée, tandis qu'Alistair ne fait pas grand-chose pour l'aider. Lorsqu'ils s'aperçoivent de la mort de Noah, il fait montre de la même froideur. Alistair est-il un pervers narcissique, davantage préoccupé par sa carrière politique que par le sort de son enfant et l'état de sa compagne ? C'est en tout cas ce que le récit tend à faire croire, puisqu'il est raconté du point de vue de Joanna et d'Alexandra, l'ex femme d'Alistair dont elle a eu une fille que son ancien mari compte bien récupérer en arguant du fait qu'elle est alcoolique. Les deux femmes que tout oppose – Joanna a "volé" son mari à Alexandra – se trouvent donc un but commun : dénoncer la malfaisance et le machiavélisme d'Alistair. C'est là l'enjeu du roman, bien plus que le sort du bébé somme toute réglé assez vite. J'émets donc un avis très réservé sur ce roman, d'autant plus que la décision des parents de cacher la mort de leur enfant en prétendant à un enlèvement, et le battage médiatique qui suit m'ont paru très peu crédibles.


Lien : http://usine-a-paroles.fr/le..
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The cry

j’avoue avoir eu un a priori dès le début de l’histoire. Je ne dévoile rien, tout est dans la 4ième de couverture. Mais, quand ces parents, certes excédés, décident de cacher la mort de leur bébé de neuf mois, d’enfouir ainsi leur culpabilité et de jouer un jeu pervers devant les journalistes, parents etc… j’avoue ne pas comprendre, ne pas admettre viscéralement, même si on sait bien que les parents sont très souvent coupables dans les disparitions d’enfants. Je me suis raisonnée (si, si) et j’ai continué jusqu’à la fin. Le bon côté c’est qu’il n’y a pas de style mais pas de pathos et vu le sujet, c’est une réussite. Roman chorale, juste dans les sentiments, l’ado et sa mère, le questionnement sur la culpabilité, le mensonge, la douleur de la perte. Oui et puis la fin que je ne dévoilerai pas (non, non) et qui clôt une histoire somme toute pathétique. En fait, je suis sur la réserve, parce que dès le départ, cette réalité possible m’a dépassée et ma foi, le mari m’a tapé sur les nerfs dès le début, tandis que Joanne ne m’a pas émue non plus. Allez je passe mon chemin.
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À la vie, à la mort

La couverture ne rend pas très bien sur l'article mais en vrai, elle est juste magnifique ! Bon, je trouve pas forcément le rapport avec l'histoire.. Mais c'est cette image qui m'a attiré et m'a donné envie de lire ce livre, que j'ai faillis arrêter plusieurs fois.. Helen Fitzgerald est une auteur australienne, elle à par la suite écrit Ultime Confession qui reprend le personnage de Krissie McDonald dans une nouvelle aventure. Donc on retrouve ce personnage pour la première fois, en compagnie de sa meilleure amie Sarah et du maris de celle-ci Kyle, ils décident de partir en vacance. C'est à ce moment là que va se révéler la nature cachée de ses personnages...



Le premier chapitre est véritablement trash. Les actions s'enchaînent rapidement, elles ont pas de véritable liens logiques et direct. On finit ces trois premières pages avec un grand "ouaw" et sans savoir ce qui va véritablement nous attendre, malgré le fait que ces premières pages placent l'histoire et nous font part du contexte de l'histoire. Contrairement à cela, la suite va être ponctué de longueurs à n'en plus finir et c'est dommage car ça casse le rythme certes rapide du début, pour un rythme très lent dans la suite de l'histoire. L'acte principal du roman est très rapide et c'est une grosse déception, en quelques pages il est finit. Une touche de rapidité au milieu de cette lenteur... On trouve également un schéma répétitif : Alcool - Drogue - Sexe, qui devient très vite lassant et on se demande si ce livre à un véritable intérêt à être lu. En le lisant, on va ressentir de la peine, de la pitié mais aussi du dégoût et de la violence. Avant la moitié du roman, on va finir par détester le personnage de Krissie, l'envie de l'a résonner, de lui montrer la vérité en face. On va trouver des notes d'humour, dans la façon que Krissie s'occupe de Robbie, son enfant et on y voit une part de réalité. Tout comme on découvre l'importance de notre enfance, sur notre future vie d'adulte. Il y a également la présence de révélations tout à fait inattendue, qui on un lien avec le passé et le présent.



Comme dit précédent, le personnage de Krissie est insupportable. On finit par ne plus supporter ce personnage qui est en aucun cas mature et qui n'apprend rien des leçons qu'elle à reçu et c'est véritablement dommage. On ressent de la pitié pour elle qui se finit par ne plus avoir aucun intérêt. Sarah, la meilleure amie est dans un premier temps, un personnage tout à fait adorable ! Elle aide sa meilleure amie à s'occuper de son enfant, la soutien,... Mais on va également finir par ne plus l'aimer.. Elle change radicalement de comportement et ça ne donne pas tellement envie. Pour finir, le personnage de Kyle, c'est le plus décevant j'ai envie de dire. On s'attache pas vraiment à lui et obtient une très mauvaise image de lui.



Pour conclure, ce livre m'a fortement déçue. Je ne sais même pas comment j'ai pu le lire en entier... J'ai envie de dire : heureusement que la beauté de la couverture rattrape l'histoire. J'hésite donc à lire d'autre romans de cette auteure.
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Le Don

Will Marion apprend que ses deux jumelles ont une maladie rénale. Que faire quand on ne peut donner qu'un seul rein : tirer à pile ou face, en acheter un ?

Un merveilleux roman qui traite d'un sujet grave mais de façon légère et humoristique. Une fin surprenante qui n'enlève rien au charme.
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Ultime confession

La première partie du roman est longue et il ne se passe pas grand-chose jusqu'au moment où à la 130ème page, un fait majeur intervient. Dès lors, la seconde partie du roman va nous tenir en haleine avec de nombreux rebondissements à la clé et jusqu'aux dernières pages.



J'ai donc bien aimé ce roman pour son suspense. La seule chose pénible est qu'à chaque chapitre il y a une phrase crue qui a trait à la sexualité ou aux comportements amoureux et je conçois que cela puisse agacer certains car moi aussi, ça m'a énervée toute la première partie du roman d'autant plus qu'ils ne sont pas utiles à chaque fois. Heureusement qu'après, l'intrigue supplante ces défauts.
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