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Critiques de Hélène Honnorat (77)
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Un mari d'Asie

Un cocktail exotique que j’ai savouré avec délice ! Prenez une « expat » française, un mari Sri lankais, ajoutez des affectations sur divers continents, des cultures et des langues différentes… saupoudrez d’humour ! On obtient un récit autobiographique retraçant les péripéties vécues par un couple mixte. Et plus encore…

Car Hélène Honnorat partage aussi les rencontres qui jalonnent sa vie de voyageuse passionnée : découverte de personnes et de styles de vie, de fruits et d’odeurs, de climats et de paysages.

Son sens de l’observation, son style dynamique et son auto-dérision sont irrésistibles !
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Un mari d'Asie

Voilà enfin un livre qui ne nous livre pas les recettes du bonheur d’un couple mixte ou qui ne nous met pas en garde sur les drames juridiques potentiels de l’union de deux étrangers. Aucun enfant n’est arraché à l’un de ses parents, aucun des époux ne sort pantelant d’une union désastreuse. C’est juste la petite musique, tantôt joyeuse, tantôt aigrelette, de deux êtres apparemment peu assortis mais unis par leur non alignement sur leurs conventions culturelles, un amour sans faille de leur progéniture et un égal amour pour l’Asie. Ils cheminent dans la vie avec une aisance apparente ( lui), avec anxiété ( elle, souvent) mais avec la même détermination. Baigné d’humour et de poésie, ce petit livre ne se lâche pas jusqu'au bout et laisse un sillage de sagesse derrière lui.





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Sois sage, ô mon bagage

Ces bagages ne sont vraiment pas « sages ». Ils sont si divers et il leur arrive tant d’histoires. Ce pourrait être une encyclopédie savante sur les mœurs du voyage mais c’est plutôt une farandole de pratiques surprenantes, comiques et parfois pathétiques. Tout cela dans un style bien enlevé ! Vous connaitrez aussi les secrets de voyageurs célèbres, Albert Londres, Paul Morand, André Malraux et tant d’autres.

C’est tout un monde qui apparait à travers les bagages, de la naissance jusqu’à la mort. Des bagages qu’emmènent les pharaons pour leur dernier voyage, jusqu’à la découverte d’une valise vide à Auschwitz. Ce livre nous amuse mais interroge aussi chacun d’entre nous sur nos propres bagages !

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Sois sage, ô mon bagage

Merci à Hélène Honnorat de nous faire découvrir la richesse et l'originalité des bagages.

Ma petite expérience se trouve grandie à côtoyer ce milieu des voyageurs prestigieux.
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Sois sage, ô mon bagage

On avait adoré "N'oublie pas Irma" paru en 2018 avec sois sage ô mon bagage on part dans un voyage a la fois imaginaire et réjouissant... ce récit subtilement référencé est un pur régal et nous invite au voyage et à l'aventure Faire ses bagages à la façon Hélène Honnorat devient une expérience constéllée d'humour ,d'anecdotes truculentes et joyeuses !!!!quel plaisir de lecture à l'heure du déconfinement et...des fameux jours d'aprés.

trés agréable lecture ,belle traversée littéraire , un livre a offrir à tous les voyageurs organisés et à celles et ceux qui restent incertains lorsqu'il faut plier bagage !!! quelque soit sa forme et son poids .. le livre est léger et transportable en toute circonstance ... alors prenez le avec vous !!!
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Sois sage, ô mon bagage

Saluons d’abord un formidable travail de recherche et de documentation.

L’auteure promène le lecteur à travers les siècles et les continents dans les bagages de voyageurs-écrivains, d’explorateurs, voire même de touristes, sans oublier ses propres bagages et ceux qui n’en ont pas pour lesquels d’ailleurs elle s’interroge : « Il me semble que dans les récits des « Sans » que j’ai lu, la performance et l’indécence se frôlent dangereusement ».

Dès les premières pages Hélène Honnorat nous rappelle qu’avant les GPS nous avions recours aux cartes, fausses et imprécises pendant des siècles, et au « curvimètre » pour mesurer les distances. Après lecture, j’ai cherché sans succès le mien au fond de mes tiroirs en souvenir de cette époque.

Le texte, vif et précis, est enrichi de nombreuses citations. Des analyses pertinentes, des commentaires sans concessions et de nombreux traits d’humour. Un vrai moment de plaisir.

Ah j’oubliais ! Comme elle « … un coin que je déteste dans un appartement, c’est bien le bar. »

Par ailleurs je la remercie d’avoir mentionné l’écrivain-voyageur « du Croussett » que les habitués du sous-continent indien ont probablement lu.

Enfin, contrairement à la tendance actuelle qui prône que l’on ne peut rien entreprendre sans avoir formation, certificats et diplômes je partage, comme Jack London à bord de son Snarck, le point de vue d’Hélène Honnorat : « Apprendre la navigation en pleine mer et l’alpinisme à six mille mètres d’altitude : voilà les miracles que l’on peut réaliser avec une puissante motivation et quelques livres bien choisis dans ses bagages ».

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N'oublie pas Irma

Le dernier roman d’Hélène Honnorat est un bel exemple de « roman situé », genre littéraire cultivé par les éditions Yovana, qui en ont fait une Collection.



Jakarta, 1995. Tandis qu’on célèbre le cinquantième anniversaire de l’indépendance indonésienne, le corps d’un Chinois mutilé git sur les tombes d’un cimetière hollandais. Son ami Léo, directeur des cours au Centre franco-indonésien, mène l’enquête avec un jeune couple de coopérants. La fine équipe s’agite sous les ventilateurs d’une maison coloniale, aux bons soins de quatre domestiques, fantômes diligents mûrissant le retour du refoulé.



D’autres Chinois, proches du premier, disparaissent à leur tour. Léo lui-même n’est-il pas visé ? Le message-titre – N’oublie pas Irma - condense son effroi quand il est découvert… je ne vous dirai pas où.



Mais qui donc est « Irma » ? La seule qui s’offre à nos yeux n’est autre que la belle-sœur de la victime, Chinoise proche et distante dont Léo aime en secret la peau transparente, et qui consent à noter favorablement cet « attribut extravagant » de sa virilité occidentale : « J’aime vos poils ». Plus Chinois, tu meurs.



Mais si « Irma » est Irma, pourquoi le meurtrier nous demande-t-il de ne pas l’oublier ? Une Irma peut-elle en cacher une autre ?



Pour que tout s’éclaire, il faut retourner sur les tombes. Alors, l’Histoire s’invite au rendez-vous du fait divers. 1995 n’est pas seulement le cinquantième anniversaire de l’indépendance, mais aussi le trentième des massacres de 1965, où périrent plus d’un demi-million d’opposants ou réputés tels, de communistes ou réputés tels… et, bien sûr, de Chinois communistes ou réputés tels – pire encore : étrangers, acharnés au travail et trop souvent prospères. « Plus que le total des victimes de Hiroshima et Nagasaki ». Triste tradition inaugurée par les Hollandais eux-mêmes, qui avaient « massacré dix mille Chinois en 1740 ».



Voilà qui accomplit éminemment la vocation du « roman situé » : rien ne vaut le polar d’Hélène Honnorat pour tout savoir sur l’immense Jakarta, ses monuments délirants, ses miasmes, ses fantômes, les canaux délétères de cette ville spasmodique comme les crises d’asthme du héros, à chaque page menacé de suffocation.

Mais surtout, le livre donne un point de vue unique sur ces Chinois de la diaspora, qui ont oublié leur langue mais perçoivent les vibrations de la République de Sun Yat-sen puis de la révolution de Mao Zedong.

Enfin, ce roman habilement pédagogique (un peu trop parfois, mais reprocherait-on au héros d’être prof comme à l’auteur de l’avoir été ?) est finement cousu, d’une plume élégante et précise déjouant les codes du roman noir, avec des héros aussi habiles à transporter des cadavres qu’à chercher la vérité dans des bouquins qu’on brûle de lire à notre tour. La haine xénophobe couve dans la torpeur « comme les feux de tourbières dans les forêts de Sumatra » . Quant à l’amour – « nuages et pluie » - il reste Chinois : « J’avais plongé mes doigts, confesse Léo, dans les algues de ses cheveux, de son sexe, et quand le mien s’y était frayé un chemin, j’avais eu la sensation de marcher dans une rizière ».

On n’oubliera pas Irma.



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N'oublie pas Irma

Hélène Honnorat, l’auteur, pourrait être une romancière américaine, elle a tout pratiqué, parachutisme sportif, chute libre, plus de 600 sauts, l’écriture d’une série télévisée, des séjours d’une dizaine d’années au Sri Lanka, Indonésie ou Malaisie. Elle publie aujourd’hui ce livre qu’aimeront tous ceux qui s’intéressent à l’Asie et à l’histoire contemporaine.

Le personnage central est Léo, un Français qui travaille en Indonésie, au centre culturel français de Jakarta. Il a deux amours, cette ville justement et puis ses habitants, tout particulièrement une Indonésienne d’origine chinoise, Irma.



Sous couvert de roman policier, le récit n’est pas un simple whodunit, il ne s’agit pas tout à fait de trouver « Qui a tué Meng, l’artisan chinois à Jakarta, et beau-frère d’Irma », mais plutôt « Qu’est-ce qui l’a tué ? ». Rentrer progressivement dans les méandres, hésitations, dilemmes des personnages. Ils sont nombreux, pourtant tous bien caractérisés, y compris la Japonaise régulièrement douchée au jet par le chauffeur quand elle rentre au garage. La plupart sont indonésiens, un mélange qui reste à déterminer, à tout instant, cocktail de sinité, d’Islam, d’animisme, de mise à distance.

On serait du côté de Le Carré, pas de James Bond, s’il s’agissait d’espionnage. Ce qui n’est pas le cas à première vue, cependant... en toile de fond apparaît bien un affrontement entre États, le combat à mort entre la Chine maoïste et l’Indonésie anti-communiste et anti-athéiste. Autrement dit, la guerre froide qui culmina par un « massacre de masse du XXe siècle » oublié, au moins un demi-million de tués en 1965 – donc 30 ans avant ce récit. Récit dont une autre qualité est le style. Voici par exemple un portrait : « Je l’avais toujours comparée à une sorte de crevette translucide, affairée, muette, pattes et antennes en mouvement… J’ai l’impression que sa carapace s’est durcie. Elle a fait place nette... ».

–Tu vas enlever ta robe, demande Léo à Irma.

Celle-ci est poursuivie, elle appelle à l’aide depuis une cabine téléphonique. La demande de Léo la choque, mais elle comprend. Enlever la robe, c’est pour la tourner de l’autre côté. N’oublie pas Irma est un polar à l’envers.
Lien : http://versionlibreorg.blogs..
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N'oublie pas Irma

N’oublie pas Irma n’a aucun rapport avec la tempête qui a ravagé les Antilles françaises mais il le pourrait car il parle aussi d’îles, singulièrement plus vastes, qui forment l’Indonésie. Et s’il n’y est pas question d’ouragan, on y rappelle, avec une grande précision historique, la tornade de violence qui a frappé le pays en 1965, « l’année de tous les dangers », faisant plus de cinq cent mille morts, dont de nombreux ressortissants de la communauté chinoise. Ce n’est pourtant pas un roman politique car l’intrigue se noue autour d’un seul meurtre, celui de Meng. C’est donc un roman policier, mais sans aucun enquêteur officiel, juste un coopérant « tombé en amour » et en amitié avec des membres de cette communauté. Mais c’est aussi, mais c’est surtout, une ode à l’Indonésie, dans un style délicat et luxuriant qui fait à mes yeux tout le prix de cet ouvrage. N’oublie pas Irma est riche de tous ces apports : c’est en quelque sorte le « polar poétique » que finit par écrire Estelle, l’un des personnages du roman.
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N'oublie pas Irma

Dès les première lignes, avec son style fluide et clair, par son sens de l'observation des gens, de leurs coutumes et traditions, des différents quartiers de la ville, par la description des détails majeurs, Hélène Honnorat nous donne l'impression que nous sommes à Jakarta, au milieu de la foule dense, omniprésente et grouillante, avec ses odeurs épicées et parfois pestilentielles.

Ce thriller parfaitement plausible, en réalité nous rappelle ou nous fait découvrir une vérité historique étouffée, un mensonge effroyable aux conséquences humaines abominables.

Un thriller ? oui, bien sûr mais... qui fait réfléchir...
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N'oublie pas Irma

N'oublie pas Irma nous plonge dans une Indonésie troublée par les conflits entre communautés ethniques et religieuses. On est tout de suite embarqué par l'aventure de Léo, jeune expatrié français installé à Jakrata, qui cherche à retrouver l'assassin de son ami Meng, d'originie chinoise. Drame familial ? Vengeance ? Crime idéologique ? le suspens m'a tenue en haleine jusqu'à la fin.



Un roman étonnant et dépaysant que l'on apprécie tant pour son énigme criminelle bien ficelée que pour la description envoûtante et précise qu'il offre de l'Indonésie et de sa capitale.
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KL, complots et caducées

Je viens de terminer le nouveau et excellent livre d'Hélène Honnorat, "KL Complots et caducées". Je suis cette autrice depuis plusieurs années, et je crois avoir lu, toujours avec grand plaisir, tous ces derniers livres. Si vous aimez les voyages, et notamment l'Asie je vous le conseille. D'autant plus qu'il est basé sur une histoire et des faits politiques qui ont réellement existé en Malaisie (où elle a habité plusieurs années). Vous ajoutez à cela de l'humour et une potion de livre policier et vous avez presque la recette de cet ouvrage. Vous complétez par une petite sauce, constituée d'une fine analyse des relations sensibles entre les Malaisiens de différentes origines : Malais, Chinois, Indiens, Indonésiens, et vous avez la petite épice qui relève le tout.

À lire

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KL, complots et caducées

Dès le début du livre qui est une vraie invitation au voyage, on est immédiatement plongés dans une peinture très riche de la Malaisie de la fin des années 90. Tous les aspects sont abordés : politique, culture, relations internationales, religion. Le récit est nourri de références culturelles par une galerie vivante de personnages de différentes origines et orientations. La narratrice nous fait partager son admiration sur certains points de la culture locale (les Tours Petronas notamment) et amène une dose d’humour, portant un regard plein d’ironie sur elle-même et ses rêveries amoureuses qui n’ont pas l’air d’avoir grand succès dans la vraie vie…Un texte très bien documenté avec un vrai suspense et des coups de théâtre qui tiennent son lecteur en haleine…
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KL, complots et caducées

Ecriture ciselée animée d'une ironie bienveillante. L'auteure possède l'art de communiquer les ambiances et de faire découvrir les lieux proposant un double parcours touristique et politique, ce qui donne le sentiments d'existence aux êtres et aux choses. En refermant le livre, on pense revenir de voyage et avoir découvert un univers.
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KL, complots et caducées

Une belle intrigue, très prenante d'un bout à l'autre du roman, une découverte de Kuala Lumpur et de la Malaisie, des hommes politiques malais, Les personnages sont bien campés, le style est fluide, la lecture aisée, je recommande vivement à tout lecteur

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KL, complots et caducées

Quel voyage enchanté !

Pour qui ne connait pas la Malaisie, « KL complots et caducées » révèle des trésors d’information sur son histoire, les différentes communautés ethniques et religieuses qui y vivent et les enjeux politiques actuels.

Mais attention, le roman d’Hélène Honnorat n’a rien du documentaire géopolitique !

Le lecteur suit Caroline, chargée de cornaquer les membres d’un congrès médical international.

Dans les rues de Kuala Lumpur, gigantesque chantier d’où émergent, à travers les pluies de mousson, des pépites d’architecture décrites avec autant de gourmandise que d’érudition. Le ton est léger. Les situations cocasses sont présentées avec un humour teinté de poésie. Les personnages, différenciés par leur costumes traditionnels et leurs habitudes alimentaires ( c’est pratique pour le néophyte) sont dépeints avec élégance et drôlerie. On tombe sous le charme de cette Asie foisonnante chère à l’auteur.

Mais le roman n’est pas un conte de fée non plus ! Les luttes intestines au sein du gouvernement font écho à un complot au sein du groupe de médecins. Les choses dégénèrent à la manière locale. L’intrigue policière n’est pas banale. Ni coups de feu ni courses poursuites, tout est dissimulation et raffinement.

Ce roman est un enchantement permanent.

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Un mari d'Asie

Un mari d'Asie

Le titre est trompeur; on pourrait croire à une bluette pour la plage. Que nenni! Ce livre se déguste comme un oignon et ses différentes couches nous entraînent loin. Géographiquement, bien sûr, mais aussi sur le plan sociologique, ethnographique, historique, psychologique, le tout avec un humour tonique. On rit, on sourit, on est ému aussi par ce magnifique témoignage d'amour pour l'être aimé et trop tôt disparu. Mais les forces de vie l'emportent....A diffuser largement en ces temps moroses...
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Un mari d'Asie

Nos parents et grands-parents prévenaient bien les jeunes filles: "Attention! En vous mariant, vous épousez aussi sa famille.."

Que dire aux grandes voyageuses qui trouvent l'âme sœur à l'autre bout du monde? Elles devront en apprécier le tempérament, la religion, l'histoire, la langue et les dialectes, les habitudes alimentaires et les vêtements traditionnels, les vieux copains et alliés.

Aventure passionnante qu'Hélène Honnorat nous fait partager avec humour, tendresse et érudition.

Ceci dit, un mari est un mari et l'éternel masculin ne connait pas de frontières, comme le dit placidement un ami: "C'est chromosomique."

Chacune d'entre nous s'y retrouvera! Raison de plus pour lire ce beau récit où, non, les gens heureux ne sont pas toujours un peu les mêmes.

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Un mari d'Asie

Comme le dit si bien l'auteure, dans ce récit, « les îles s'emboîtent comme des poupées gigognes : Java, Ceylan, Madinina la minuscule »…  Avec beaucoup de drôlerie et de poésie, Hélène Honnorat nous transporte dans les coulisses de sa vie d'expatriée, française, mariée à un Sri Lankais photographe, devant gérer déménagements, installations, demande de nationalité et tombola de l'ambassade de France… Hélène nous fait rire, nous émeut et nous dépayse grâce à son style original et sa chronologie bien à elle...De manière très touchante, elle nous rappelle les joies et les complications de la vie de couple, les moments de grande passion comme ceux de « parfaite incompréhension mutuelle », le tout ponctué d'anecdotes désopilantes et exotiques ! 
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N'oublie pas Irma

Superbe livre qui ne laisse pas indifférent

J’ai lu ce livre peu de temps après sa sortie.

Une intrigue policière mêlée à des faits géo poliques, voilà ce qui en fait une œuvre originale et donc exceptionnelle

Il reste present dans ma mémoire, ce qui pour moi signifie une littérature de grande qualité

Merci a l’auteur

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