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Critiques de Hiromi Kawakami (337)
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Abandons

Kawakami nous livre un recueil de nouvelles, elles sont au nombre de huit et elles sont autant d'histoires sur le thème de la passion amoureuse. des histoires d'amours, d'amants et de maîtresse qui fuient, de couples adultérins maudits.







Une écriture tout en douceur, un court roman emprunt d'amour et d'une touche d'érotisme, d'ivresse mélangé de violence.



Certaines sont également teinté d'onirisme, nous ignorons si nous sommes entre réalité et rêve. L'amour est subit, voulu quelquefois désespéré, mélange d'haine et de passion. L'amour est symbiose jusqu'à la mort et après dans 'cent ans' et 'Avidya'. Peut être la plus troublante. Lors d'un suicide ils avaient tous les deux acceptés de mourir, mais lui s'en sort et retourne à sa vie, sa femme, son travail. Tandis que sa maîtresse l'attend toujours dans l'au delà.



Une référence est également faite sur "Botchan" de Soseki



Une lecture très plaisante, troublante sur la puissance du désir que provoque cette auteure.


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Abandons

Abandons – Hiromi Kawakami



Abandons est un recueil de 8 nouvelles d’Hiromi Kawakami, sorti en 1999 au Japon avec comme titre original : 溺れる, traduit par Sophie Refle et publié en France par Acte Sud en 2003.

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En commun à chaque nouvelle on retrouve les relations de couple dans la société japonaise. J’adore Hiromi Kawakami mais ce livre n’est pas vraiment mon préféré, certaines nouvelles sont ...
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Abandons



C'est un livre dérangeant, cru et sans pathos sur l'obésité. Le narrateur est une obèse, qui ne vit que pour manger. Sa mère a fui "ce monstre" et son père est en adoration morbide devant elle. Il devient son cuisinier et entretient de ce fait sa grosseur et son mal être. Elle connaît l'amour avec un charpentier mais même ce bonheur se transforme vite en calvaire, quand elle poste des photos de ses ébats sur le web. Elle sait très bien ce qu'elle va devoir supporter comme brimades, insultes, méchancetés. Elle ne se supporte pas et les autres la vomissent par leurs réactions dégradantes et inhumaines. Je ne raconterai pas la fin du roman et la fin du narrateur mais c'est un plaidoyer sans concessions sur les obèses et sur la méchanceté d'une société qui refuse la différence, trop habituée au paraître et aux corps parfaits et surfaits des mannequins.
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Abandons

Huit nouvelles composent ce roman, huit femmes en quête d’amour, brièvement, fugitivement ou jusqu’à la mort. Ici point de sentiment de plénitude, toutes sont fragiles, soumises, comme dans l’expectative de ce-qui-pourrait-advenir de l’autre, l’homme, imprévisible et pas vraiment charmeur.

L’une des nouvelles les plus troublantes de ce recueil est sans aucun doute « Cent ans ». Depuis cent années, la narratrice de cette histoire attend dans la tombe celui avec lequel avec elle avait accepté de mourir (cette décision ne fut pas sienne, mais bien celle de son amant, un homme marié). Quand arrive l’heure de se jeter de la falaise, elle perd la vie, abîmée sur les rochers, tandis que lui survit, sauvé de la noyade par des pêcheurs – il retournera comme si de rien n’était auprès de sa femme et de ses enfants. Mais elle attend, d’ailleurs ne lui a-t-il pas déclaré qu’elle ressemblait à la Kiyo du "Botchan" de Soseki ? Cette même Kiyo dont il cite l’une des répliques :

« - Botchan, quand je mourrai, je vous en prie, pour le repos de mon âme, faîtes que je sois inhumée dans votre caveau de famille. Ainsi, Botchan, je pourrai vous attendre heureuse dans la tombe. »

Comme si tout était écrit d’avance. Mais dans la tombe, elle attend toujours, et il ne vient pas, ne viendra jamais.

« Il est mort et rien ne changera plus jamais. »

(...)
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Abandons

Encore une fois, la beauté des mots de Hiromi Kawakami me souffle. Dans ce petit recueil de nouvelles, Abandons, l'autrice nous partage des moments de vie de couples, ces petits instants qui font les histoires d'amour. En se plaçant toujours du point de vue de la femme, elle nous dépeint des situations où des couples hétérosexuels se font et se défont. En questionnant ce besoin vital d'être aimé, l'autrice nous plonge dans le tourbillon des émotions, dans des moments intimes de complicité du couple, mais aussi dans ces instants d'éloignement où les amants se détachent l'un de l'autre.



J'aime son attention du détail, l'importance qu'elle donne aux petites choses du quotidien. Elle dépeint les émotions avec justesse et clarté. Décidément cette autrice me touche particulièrement. Quelques nouvelles sont moins convaincantes que les autres, mais je me suis laissée embarquée dans cette lecture avec plaisir !
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Abandons

Huit courtes nouvelles composent ce recueil. Dans chacune d'elle il y a un couple. Enfin si on peut dire. Parce que souvent les choses ne se passent pas bien dans le couple. Elles ne se passent pas très bien tout court d'ailleurs. Par exemple dans la nouvelle qui donne son titre au recueil, Abandons, un couple est en fuite. Difficile de comprendre ce qu'ils fuient, mais en tous les cas, ils se déplacent sans savoir vraiment où. Le personnage masculin, explique qu'il s'agit "D'échapper à l'insensé". Et donc ils vont de plus en plus loin, font des petits boulots, changent de chambres d'hôtel, et regardent la mer. Et parlent de mourir. Un peu, sans insister.



Et les autres nouvelles sont un peu du même type, il ne se passe pas grand chose, plutôt des ambiances. Plutôt glauques, les ambiances, somnolentes, paresseuses, un peu malsaines sur le bord, les personnages féminins semblent avoir des attirances masochistes, et sont enclines à la passivité, et à la soumission. Quelque chose comme un semblant d'humour relève parfois la chose.
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Abandons

Un recueils de nouvelles (8 au total) qui se lit assez vite mais qui ne m'as pas accroché tant que ça et que je n'ais pas détesté non plus.

C'est simplement que je n'ais pas tout compris, puis certaines chute (notamment dans les deux premières nouvelles) sont juste trop bizarres et certains propos n'ont aucun sens ou du moins n'apporte rien au texte mais à plutôt tendance à lui nuire (certains passages on se croirait dans le film l'empire des sens).

Sinon le style est bon, vraiment à la japonaise, mélancolique et langoureux.

Je ne pense pas que je garderais un souvenir mémorable de cette lecture.
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Cette lumière qui vient de la mer

Le Japon est un pays qui me fascine avec sa culture si particulière,sa modernité,ses traditions et ses contradictions.C'est pourquoi j'aime lire des auteurs japonais de temps en temps et c'est toujours un moment de lecture agréable.

Après Haruki Murakami,c'est Kawakami Hiromi que je découvre.

Ce livre m'a attiré car il traite de l'adolescence,cette période de questionnement que tout le monde traverse.Je me suis dit que ce roman allait peut-etre me faire réfléchir.

Midori vit avec sa mère et sa grand mère.Il ne se pose pas de questions à propos de son père jusqu'à ce qu'il découvre que celui-ci leur rend souvent visite.Il y aussi Hanada qui décide de s'habiller en fille et Mizue dont Midori n'arrive pas à savoir sil l'aime.

Si vous aimez les livres débordant d'actions celui-ci n'est pas fait pour vous.

Pendant ces 375 pages ils ne se passent pas grand chose.Le narrateur,Midori se pose des questions,se cherche.Il nous présente sa famille,ses amis,bref les personnes qui croisent sa route.

Ils nous relatent ses souvenirs,nous fait part de ses doutes.

Autant de pages sans actions,de quoi avoir peur de s'ennuyer.Mais pas du tout,les pages s'enchainent très rapidement.Les dialogues sont omniprésents.

L'auteur nous donne un aperçu de la cuisine traditionnelle,des paysages reposant du Japon.

Les personnages ne sont pas très attachants,adultes et adolescents ne savent qui ils sont et qui ils doivent être.Leur caractère est difficile à définir,mais peut-etre cela les rend plus réalistes.

On se reconnait à travers les questionnements de Midori "A quoi ça sert la vie?"par contre des fois on a du mal à le comprendre.Mais l'auteur remarque que personne ne peut nous comprendre à part nous-même.

On retrouve dans ce roman le style épuré,simple mais aussi subtil des écrivains japonais.C'est une lecture agréable,rafraichissante et très poétique.
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Cette lumière qui vient de la mer

Le titre, superbe et poétique, m'avait d'emblée donné envie de lire ce roman de Kawakami Hiromi, dont j'avais déjà fort apprécié Les années douces.



L'auteure traite ici de cette période parfois si ardue qu'est l'adolescence. Midori, jeune garçon de 17 ans, a été élevé dans une cellule familiale atypique (surtout au Japon)entre sa mère journaliste indépendante et sa grand-mère aux concepts éducatifs très arrêtés. Pas de père à l'horizon et la seule figure masculine adulte dans son entourage est cet ami de sa mère qui passe régulièrement à la maison.

Midori aspire à une vie plus ancrée dans la norme sociale. Il est également en quête d'identité, ce flou artistique qu'on cherche tous à fixer à ce moment de la vie. Sans compter les questions sur son géniteur. Pas simple de se construire quand on ignore 50% de sa provenance génétique...



Kawakami Hiromi dresse une sympathique galerie de personnages qu'elle nuance afin de les rendre plus vivants sous nos yeux. J'aime la tonalité douce et délicate de ses écrits. Lu adulte, celui-ci m'a renvoyée vers la personne que j'étais à 17 ans et je me suis très vite attachée à Midori et à ses tâtonnements.



Un beau livre, d'une grande finesse, que je ne peux que vivement recommandé pour s'immerger dans les délices de la littérature japonaise.
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Cette lumière qui vient de la mer

J’ai eu beaucoup de plaisir à lire Le temps qui va, le temps qui vient, malheureusement ici il s’agit d’un autre livre et je ne suis pas parvenu à rentrer dans cette histoire d’adolescent peu crédible, trop pleine de choses incroyables. L’ami qui se travestit pour «  rompre son osmose avec le monde »  , on n’y croit pas, ça ne fonctionne pas. Hiromi Kawakami est douée pour décrire les petits riens de la vie, mais ici pèche par excès de zèle, un peu comme si Bobin voulait faire du Murakami, qui aurait envie de le lire, pas moi en tous cas.
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Cette lumière qui vient de la mer

Comme elle l’a démontré avec brio dans « Les années douces » mais aussi dans la plupart de ses autres romans, Kawakami Hiromi est particulièrement douée pour nous faire partager les sentiments de ses personnages. Cette fois, c’est à l’adolescence qu’elle s’attaque, période de l’existence où les émotions sont exacerbées et les réactions promptes et souvent excessives.

Récit à la première personne, « Cette lumière qui vient de la mer » nous dévoile les réflexions de Midori, ado de 17 ans élevé dans un univers presque exclusivement féminin, entre une mère très indépendante et une grand-mère au caractère affirmé. Difficile dans ces conditions de trouver sa place, que ce soit dans le cercle familial ou dans la société. Midori lui, ne rêve que normalité, se fondre dans la masse de ses camarades de classe et ne pas se faire remarquer. Il peut heureusement compter sur l’amitié indéfectible de son vieil ami Hanada et le soutien de Mitsue sa fiancée, pour partager ses bonheurs et ses déceptions, ses espoirs et ses craintes.

Avec beaucoup de dialogues et un style très simple sensé refléter le langage et les pensées un peu désordonnées d’un jeune de cet âge, l’auteur nous raconte sa vie quotidienne. Pas vraiment d’intrigue. Juste une succession de saynètes sans forcément de rapport les unes avec les autres mais qui permettent d’illustrer son caractère en nous montrant ses réactions en diverses occasions : une rencontre avec l’amant de sa mère, sa première rupture sentimentale, des vacances avec son meilleur ami, la complicité avec un professeur… Ce faisant, elle nous dévoile ses appréhensions face à l’avenir alors qu’il se trouve au seuil de sa vie d’adulte et qu’il s’aperçoit que ces derniers ont aussi leur lot de problèmes. Elle le fait avec beaucoup d’intelligence et de pudeur mais sans se censurer puisqu’il sera aussi bien question de sexualité que de la difficulté à se réaliser pleinement dans une société nippone encore très rigide.

Les amateurs de romans bien calibrés avec intrigue, développements et révélation finale seront peut-être désorientés par ses tranches de vie qui n’ont d’autre ambition que de saisir sur le vif l’enthousiasme et l’émotivité de l’adolescence. Les autres se régaleront.


Lien : http://sfemoi.canalblog.com/..
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Cette lumière qui vient de la mer

Un roman au titre poétique qui m’a ramené à cet âge où l’on tente de se découvrir et où l’on comprend enfin qu’être unique et différent n’est pas une mauvaise chose : c’est ce qui nous définit. L’adolescence, cette étrange et fascinante période, décrite ici d’une façon originale et touchante.
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Cette lumière qui vient de la mer

J’ai été moins subjuguée que pour « les années douces ». Néanmoins c’est un grand plaisir de lecture
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Cette lumière qui vient de la mer

Un roman aussi envoûtant que lent, néanmoins passionnant. On a là, d'après moi, un cousin japonais de L'ÉTRANGER de Camus ou de certains personnages becketiens. Le héros, un adolescent, est au monde avec indolence, un peu détaché de ses sentiments. Il observe la vie, sa famille, ses amis, son amour en tentant de comprendre comment les autres se débattent avec le sens de l'existence. À la moitié du roman, Midori entre en action et un voyage initiatique avec son meilleur ami va lui donner progressivement un certain goût de l'existence. Chacun des personnages secondaires est en proie a une question d'identité et cherche à trouver sa place en fonction des humains qui l'entourent. C'est beau. C'est pénétrant. C'est très bien écrit. Très différent d'un autre roman de cette autrice que j'avais lu précédemment mais j'ai eu vraiment envie de rester au côté de Midori jusqu'à la fin du livre... Et puis cela m'a donné une envie de voyage dans un coin du Japon que je ne connais pas encore... Donc MERCI Kawakami Hiromi.
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Cette lumière qui vient de la mer

Première déception pour moi que ce troisième opus de Hiromi Kawakami que je lis, après avoir dégusté "Les Années douces" et "La brocante Nakano".



Le ton du narrateur - un adolescent - y est sûrement pour quelque chose... Dès le début j'ai senti que ce serait rédhibitoire... J'ai bien tenté de m'accrocher, mais en vain..



Fan de Hiromi Kawakami, je vous invite donc à parcourir le livre sur quelques pages, histoire de vous faire une idée du style, avant de vous lancer pour de bon...



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Cette lumière qui vient de la mer

J’ai préféré « Les années douces »
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Cette lumière qui vient de la mer

Un ouvrage plaisant mais sans plus. Je l'ai acquis afin de découvrir l'auteur et que j'apprécie énormément la littérature japonaise. J'y ai découvert l'univers de deux adolescent en quête du sens de l'être et du monde. Deux adolescent isolés du fait de l'absence d'amour au sein de leur univers.Deux adolescent qui ont envie, chacun à leur manière, de se démarquer d'un monde aux valeurs très normatives. Et qui ne se découvrirons que sur une île dans une solitude relative lorsque le contexte qui les environne, les mots et le courage intérieur leur permettront de prendre conscience de la réalité de leurs pensées et d'exprimer une partie de leurs sentiments.



A l'image de son récit, le style d'Hiromi KAWAKAMI est empreint de pudeur, très sobre. Voire parfois dépouillé avant de trouver des accents lyriques en fin d'ouvrage, accompagnant l'éveil de ses personnages centraux. C'est ce type d'écriture, tout en retenue, qui résonne en nous à la lecture de cet ouvrage et qui accroche notre attention par rapport à une histoire sans grand rebondissement.
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Cette lumière qui vient de la mer

Hésitant entre deux titres d'Hiromi Kawakami pour le mois de novembre du Challenge Ecrivains japonais d'Adalana, j'ai pris les deux en prévision de décembre, libre quant au choix de l'écrivain.



Cette fois, l'auteur s'attarde sur Hiromi un adolescent : les premières lignes le mettant en scène face aux questions de sa mère à propos de sa journée m'ont tout de suite semblé familières. A commencer par ses réponses lacunaires...



Alors, comment s'est passée la journée ?

Tous les jours, ou presque, ma mère me demande la même chose.

Ben, normal.

Voilà, à peu près le style de ma réponse. Invariable. Ben, suivi de, normal. Toujours ces deux mots. Les rares fois où j'ai répondu autrement, je peux les compter. Et quand j'y suis obligé (parce que tout de même la journée en question appartenait plutôt au genre horrible ou génial), j'évite autant que possible de me trouver en face de ma mère.



Ceci dit, n'étant plus à même de m'identifier au personnage d'Hiromi, j'ai pris grand plaisir à découvrir son quotidien et à le suivre tout au long du roman. Une famille un peu fantasque : une mère très occupée et une grand-mère très présente; des amis remarquables : Hanada par son envie de s'habiller en fille pour se détacher du monde, Mizue amoureuse et tourmentée par la passivité du jeune homme, ... Un père biologique supposé, en peu en marge ...





A travers la vie d'Hiromi, ses doutes et ses interrogations, Cette lumière qui vient de la mer nous donne un aperçu du Japon et de ses traditions : un récit agréable et poétique. Certains lui reprocheront peut-être sa passivité et son manque d'action mais ce calme me semble indissociable d'une certaine sérénité, simple et bienvenue. Une très jolie confirmation qui me conforte dans mon (non) choix !
Lien : http://nahe-lit.blogspot.be/..
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Cette lumière qui vient de la mer

Par l'autrice des Années douces, un livre doux-amer avec des personnages dont on ne sait pas trop ce qu'ils pensent et qui n'ont pas l'air de le savoir eux-mêmes. Un livre où il est question, par petites touches, de norme (ah, la robe à l'école !), de décalage (le héros adolescent et sa famille atypique), d'évolution. C'est parfois lourdement symbolique (l'île). La traduction à nouveau me laisse dubitative (les brochettes "nimbées" de sauce et pas nappées) ; les dialogues sont tantôt ponctués comme tels, tantôt non, au point qu'on se demande parfois qui parle. Est-ce la même chose en japonais ?
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Cette lumière qui vient de la mer

Le titre m'avait interpellée à travers les rayons de ma librairie, je le trouvais poétique. Ne résistant pas, j'ai acheté le livre.

Toutefois, ce fut une lecture un peu longue.



Un livre bien caractéristique de la littérature japonaise, nous suivons l'histoire de lycéens qui se questionnent sur la vie, sur l'amour, la liberté, la rentrée dans l'âge adulte.

Peu d'actions ici, pas de suspense. Uniquement des questions dont les réponses ne sont pas forcément données.



Je pense être passée à côté de cette lecture. Je le relirai plus tard, dans quelques années pour mieux le comprendre.



J'ai lu des avis sur Babelio, apparemment les avis divergent. Ce ne serait pas le meilleur titre de l'auteur alors j'en lirai d'autres comme "Les années douces".
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