Hugues Labiano

Qui est Barentin, commandant des méharistes français qui vivent mêlés à la population nomade du Hoggar et qui contrôlent ainsi le Sahara ? Aux côtés du sous-lieutenant Dupuy, volontaire en 1913 pour rejoindre cette compagnie de l'armée française, le lecteur part à la rencontre de ces soldats du désert.

Pas toujours facile de se repérer dans la multitude des personnages, et des lieux, mais une approche inhabituelle d'une partie de l'histoire militaire française à la veille de la première guerre mondiale.

Enfin la chute de l'histoire ....si Floyd n'avait pas vécu toutes ses atrocités, on pourrait presque dire : tout est bien, qui finit bien !!!

Avant dernier tome : l'histoire se décante et le suspense monte doucement....on se rapproche dangereusement de la fin de la fin de l'opération.....

La série prend définitivement son envol.

On sent que l'amour de Floyd pour LOVNA est au cœur de l'histoire. On comprend que Floyd s'est fait floué, par tous, y compris par son propre camp....

Et que c'est l'heure de la vengeance ....

Floyd mène une enquête pour comprendre ce qui se passe à la CIA. Cela a clairement un lien avec son passé et ses débuts à la CIA. Les premiers moments , où il créa le lien entre CIA et mafia russe....

Il manque clairement la petite étincelle ....!

Mais comme la suite m'a été conseillée....va pour le prochain tome !

La mayonnaise du désert ne prend pas totalement. La chaleur ne semble pas étouffante, le froid pas vraiment paralysant, le silence non prégnant…
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Un bon thriller, même si l'histoire est assez compliquée. La BD continue à alterner les flashbacks entre la carrière de Floyd et son enquête actuelle. Trent a monté une « black op » pour se débarrasser de la mafia russe aux Etats-Unis et ce en faisant appel à des tueurs du KGB. Ce tome se focalise sur la rivalité entre Floyd et Trent, qui amène Floyd à se faire passer pour mort. Pendant ce temps, Trent sentant Floyd sur ses talons fait accélérer le déclenchement de la « Black Op ».Un bon dessin et une intrigue soutenue.

Un bon thriller, même si l'histoire est assez compliquée. La BD continue à alterner les flashbacks entre la carrière de Floyd et son enquête actuelle. Trent a monté une « black op » pour se débarrasser de la mafia russe aux Etats-Unis et ce en faisant appel à des tueurs du KGB. Lovna, un ancien amour de Floyd, se retrouve en première ligne à servir d'appât. Un bon dessin et une intrigue soutenue.

Un bon thriller, même si l'histoire est assez compliquée. Le héros Floyd Whitman a été recruté par la CIA pour partir en opération, pendant que son meilleur ami Trent rejoignait un poste de bureau. Floyd va très vite se retrouver mêler à la mafia russe que la CIA va pousser pour déstabiliser le communisme. La BD alterne les flashbacks où on voit un Floyd plus âgé de 20 ans et que tout le monde croyait mort qui revient enquêter sur une fraude électorale. Un bon dessin et une intrigue soutenue.

Déçue ! Le volume 4 se termine sans avoir répondu à toutes les questions posées dans les 2 premiers volumes. Je pense que je serais moins restée sur ma fin si je n'avais pas du tout lu les 2 premiers volumes. De nombreux sujets sont effleurés mais aucun n'est réellement développé complètement.

Alléchant comme résumé non ? En tout cas moi ça m’a tout de suite convaincu et le résultat est fort intéressant. Un même thème, l’alibi, est décliné de plusieurs manières différentes et mis en valeur par des dessins et des styles multiples. Dans ce recueil on retrouve en quelque sorte la définition d’un alibi pour ces quinze auteurs, leur façon de voir les choses dans une mise en pratique originale. En une dizaine de pages, chacun choisit son approche, en piochant dans la fable, le contemporain, le noir, l’humour, le réalisme. Sans aller jusqu’à dire que les histoires sont inégales, j’en ai clairement préféré certaines qui, je trouve, se démarquent.



Mais l’hétérogénéité du recueil vient également de la mise en forme effectuée par les dessinateurs. Que cela soit dans la façon dont les personnages communiquent, les traits et la forme du dessin, le choix des couleurs, le rendu n’est pas du tout le même et je trouve cela très intéressant. À travers une dizaine d’histoires illustrées on découvre un large panel de styles de dessin que l’on peut retrouver dans les bandes dessinées. Cela peut permettre à chacun de connaître ce qu’il lui plaît ou au contraire le rebute, et de s’essayer à des styles nouveaux !

Dans toutes ces histoires, les alibis sont mis à mal. Il fallait bien la plume facétieuse d’Anaïs Bon pour rédiger des mots d’excuse à ce collectif de 15 auteurs complices. On est prêts à les absoudre !
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Un album collectif sur ce nom commun masculin servant communément aux meilleurs des malfrats, assassins… L’alibi se prépare même avant le méfaits.



Se disculper



Se justifier



Argumenter



Ils deviennent insoupçonnables, mais surtout arrive à accuser un innocent. Leur grande force!



Hémoglobines à tous les étages, amateurs de sang et de morales suspectes cet album est fait pour vous.



Une belle mise en image de « l’alibi » c’est piquant, percutant et jouissif.



Bien sur j’en ai préféré certains à d’autres mais l’ensemble est harmonieux et les textes d’Anais Bon sont excellents ils decortiquent les argumentations des coupables qui ont tous un alibi à tout épreuve…ou pas. Carrement piquant. Un collectif plutôt réussi même si certaines planches sont moins régulières.




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Richard Guérineau, Olivier Berlion, Laurent Astier, Hugues Labiano, Jack Manini et bien d’autres se sont mis aux fourneaux pour concocter des recettes piquantes et bien sûr largement teintées d’hémoglobine.
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Anthologie noire d’excellente tenue, "L’alibi" offre un joli éventail de situations variées impeccablement mises en images. Une lecture recommandée à tous les amateurs de faits divers sanglants et de morale à géométrie variable.
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Le Livre 2 fournit suffisamment d'ingrédients pour faire rugir de plaisir ceux et celles qui auront apprécié le premier tome. Avec autant de caractère, ce Lion de Judah a toujours aussi fière allure.


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Labiano apporte aussi avec son trait le mystère envoûtant qui règne autour des deux personnages principaux. Il y aura un tome 3. Ensuite, rien n’est décidé.
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On regrettera juste une ressemblance trop marquée entre deux personnages apparaissant à des moments heureusement bien espacés, mais il s'agit d'un détail qui n'atténue pas notre curiosité et notre envie de découvrir la conclusion du Lion de Judah dans le prochain album.
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Saluons aussi le magnifique travail de Jérôme Maffre aux couleurs, faisant ressortir l'atmosphère de ce continent. Un album qui confirme la force de cette œuvre et donne envie de découvrir la suite
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Retour au sein de ce monde pourri, corrompu et aux alliés éphémères : le monde de l’espionnage et du contre-espionnage, mais également celui de la politique. Une ambiance CIA pendant la guerre froide, une intrigue distillée avec soin, un scénario accrocheur et un arrière plan politique qui augmente l’intérêt d’une histoire d’espionnage plutôt classique constituent les attraits principaux de cette excellente série d’espionnage.



Dans ce cinquième et avant-dernier tome du premier cycle de "Black Op", Stephen Desberg remonte encore un peu plus dans le passé de Floyd Whitman afin d’éclairer le lecteur sur les actions présentes de l’ex agent de la CIA .



Car derrière ce qui débuta comme une enquête concernant une fraude électorale en Floride lors des présidentielles américaines en 2003 se cache en fait une opération de nettoyage baptisée ‘Clean-up’. Une mission de nettoyage qui a pour but d’effacer toutes les traces de ce passé que Desberg nous dévoile au fil de ses nombreux flashbacks.



Si le tome précédent montrait la fin des bonnes relations entre Floyd et la maffia russe, ce tome-ci va enfin nous dévoiler l’origine du froid qui a mis fin à l’amitié entre Floyd et Trent Jackell, l’actuel vice-président des Etats-Unis, ainsi qu’entre Foyd et Vladen Nechkov. Au fil des pages on découvre comment cette amitié qui datait de l’enfance commence à s’effriter et pourquoi Floyd a du disparaitre de la circulation.



Pendant ce temps, le compte à rebours de l’opération ‘Clean-up’ se poursuit et se rapproche lentement de son échéance, tout comme le premier cycle de cet excellent thriller d’espionnage.