Ito Ogawa

Quelle lecture absolument fabuleuse!



Tranche de vie, respect des traditions et des aînés, culture japonaise...

Une histoire dont on ressort émue, et détendue.

Si tu cherches un page turner avec 1000 rebondissements, passe ton chemin ; En revanche si tu cherches une petite bulle de sérénité où on apprécie les petites joies simples de la vie, cette lecture t'apportera tout ce dont tu as besoin. Un véritable bonbon...

Quelle lecture étonnante, et surtout captivante.

Un voyage à travers le Japon.

J'ai adoré ce livre, et suis impatiente de lire la suite.

Douceur et poésie au rendez-vous.



J'adore tout ce qui touche à la papeterie, les belles enveloppes, le joli papier, mais aussi tout ce qui touche à la calligraphie, à l'écriture. Et on peut dire que j'ai été servie !



Mais ici il est aussi question de tranches de vie, de quotidien, d'amitié, de transmission.



J'ai adoré mettre les pieds dans cette papeterie, dans cette ville, découvrir ces personnages et vivre avec eux ces moments de joie, de doute, de vie.



C'était un premier pas pour moi dans la culture japonaise et j'ai été conquise.

Lien : https://blogs.mediapart.fr/l..

Tout en douceur, on suit cette héroïne qui reprend la papeterie de sa grand-mère. Tout en pudeur, elle ne s'épanche pas et suit à la lettre les règles de son aînée. le choix du papier, de l'encre, des idéogrammes, un écrivain public réfléchit à ces menus détails qui font toute la valeur de sa réponse. C'est un chagrin trop longtemps contenu qui nous est raconté mais avec bienveillance. Notre héroïne grandit sans le savoir. Poétique et généreux.

Et voilà je le quitte à regret. Ce livre est un vrai moment d’apaisement. J’ai aimé l’écriture qui s’ancre dans l’instant, dans la contemplation. J’ai aimé les coutumes de la calligraphie. Le choix du papier, de l’instrument pour écrire, de l’enveloppe. J’ai aimé Hatoko la calligraphe et son histoire. J’ai aimé toutes les personnes qui gravitent autour d’elle. J’ai aimé l’écriture japonaise, le thé…

J’ai aimé c’est tout !

A lire évidemment !

Ce livre est fin, Sensible et délicat comme l’art de la calligraphie décrit avec beaucoup de talent et de minutie. On plonge dans cette atmosphère si particulière avec beaucoup de bonheur.

Cette lecture m’a rappelé mon premier voyage au Japon et m’a donné envie d’y retourner!

J'ai bien aimé. Nous sommes invités dans la vie du personnage principal, au mode très différent, intéressant , qui rajoute beaucoup à ma découverte du Japon il y a quelques années. Personnages touchants.

J'ai aussi lu la suite, La République du bonheur.

On m’a offert ce roman, donc je l’ai lu. C’est un roman feel good comme je ne les aime pas. J’espérais que le côté japonais rattraperait l’ensemble, mais même pas. Le style est si simple que j’avais l’impression de lire un album pour enfant. Pour les amateurs.

Première déception pour un livre des éditions Picquier. Il en fallait une, c’est fait.

OK, que dire de ce roman à l’eau de rose si ce n’est que je m’y suis ennuyée page après page. OK, je ne suis pas fan du mode de vie japonais, n’y connais rien en calligraphie, et ce livre n’a rien arrangé.

La papeterie a servi de rince cerveau entre deux bouquins nettement plus intéressants


Lien : http://zazymut.over-blog.com..

Voici un livre que je n'ai pas réussi à apprécier,

peut-être agacée par ces souvenirs de pleins et de déliés, de pâtés épongés au buvard, de cette écriture quand même un peu « science des ânes » …

Ou bien irritée par ce penchant « merveilleux Japon » …

Toutes les règles strictes et les codes à respecter,

ce trop plein de cérémonie, de maîtrise et de contrôle qui semblent mener à la sérénité alors que tant de japonais en payent un prix moral et affectif si élevé…

Et puis comment aimer un roman où la sévérité de l'aïeule était la manifestation de son véritable amour !?...

Alors que je me réjouissais de commencer ce nouveau livre de ito ogawa, j’avou Avoir été un peu déçue par le style parfois et la facilité des bons sentiments par moments... pour autant la lecture reste p’aisa Facile et on se laisse glisser dans un univers personnel et doux...

essayé d'aller jusqu'au bout de ces petites histoires

d'une papeterie mais il manque le dynamisme qui nous

emmène vers la fin

stagnation : abandon.

Désolée, mais j'ai vraiment eu du mal avec cette histoire que j'ai trouvée sans queue ni tête comme une suite de nouvelles. Franchement pas à la hauteur du restaurant de l'amour retrouvé ou du jardin arc en ciel.

Déçue.

Hatoko dit Poppo (pigeon en japonais) est écrivain public. Dans sa papeterie, on boit du thé ou de l’eau gazeuse. On prend le temps d’expliquer son problème et Hatoko met tout son coeur pour le résoudre.

Un livre que j’ai reçu en cadeau et qui depuis Noël attendait sur une étagère. Je n’aime pas particulièrement ce genre de lecture mais comme c’était un cadeau je me suis fais un devoir de le lire.

Outre le fait qu’on apprend pas mal de choses sur la calligraphie et l’art du métier d’écrivain public au Japon, je me suis quand même bien ennuyée ! La sérénité qui émerge des textes sont bien trop nombreux et les saisons passent sans que rien n’arrive. Dommage !

Ce livre m'a ennuyé. C'est vrai que la thématique de la calligraphie une bonne thématique mais... L'héroïne rend service aux autres, elle est pleine d'altruisme, c'est très bien. J'ai gardé un mouchoir pas trop loin de moi car le deuil est évoqué assez souvent durant ce livre.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’art japonais de la calligraphie.

De ce point de vue, c’est très intéressant et tout en cohérence avec les traditions japonaises liées à la politesse et au respect, du moins avec l’idée que je m’en fais.

Cependant, le reste est plein de bons sentiments, tout ce qui m’agace.

Pas pour moi

Bof... Sans plus...

Il faut entrer dans un rythme propre au personnage autour des saisons et de leurs contraintes. Rituels séculaires et histoires de famille sont au coeur de cette histoire où la transmission de l'art de la calligraphie et de l'écriture est au centre du sujet. Pourtant il est difficile de se poser et de trouver un intérêt au longue description de la plume idéale pour la lettre que l'on demande à l'écrivain public. C'est certes un beau livre mais ça n'est pas un livre qui m'a captivée.

J'ai sûrement trop entendu parler en bien de ce livre dont tout le monde parle, que tout le monde a aimé. Et en amatrice de littérature japonaise (bien que novice) je me suis laissée tenter. J'ai aimé l'histoire, la découverte au fil des pages de la relation de la narratrice avec sa grand-mère et les autres personnages, mais j'ai trouvé ça long, lent et parfois ennuyeux. J'avais parfois l'impression de lire un documentaire pratique de calligraphie. Même si je comprend le souhait de l'auteur et le sens qu'elle veut donner à cela je suis un peu passée à côté. Je retenterai peut-être de lire d'autres titres de cette autrice mais pas dans l'immédiat