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Critiques de J.R.R. Tolkien (2600)
Roverandom

Suite à l'exposition "Voyage en Terre du Milieu" organisée à Paris à la Bibliothèque François Mitterand, je me suis replongée dans quelques ouvrages de Tolkien, dont Roverandom, un conte pour enfant imaginé par l'auteur pour consoler son fils de la perte de son jouet favori, alors en forme de chien.



La dimension féérique et fantastique apparaît dès les premières pages ; un jeune chiot est transformé en jouet suite à une mésaventure avec un magicien un peu susceptible ; il entame ensuite une sorte de quête initiatique qui le mènera d'un cottage douillet où il s'éprend d'un petit garçon, dont il est séparé sur la plage, aux mondes sous-marins peuplés de sirènes et à la lune, où il rencontre l'homme lune et un dragon, entrevoit l'Île des Chiens où tout semble paisible.



On retrouve dans ce court roman des figures qui présentent des similitudes avec celles qui apparaîtront sur la Terre du Milieu, et l'on s'attendrit devant les descriptions poétiques des rayons de lune et des rêves tissés par les araignées ; ce livre reste cependant un livre jeunesse qui ne marque pas autant que les autres écrits de l'auteur.
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Roverandom

J’ai eu la surprise d’avoir pour mon anniversaire un week-end à Paris, destiné à voir l’exposition Tolkien à la BNF, en janvier. Une jolie escapade parisienne, où même l’hôtel était choisi pour rappeler cette immersion Tolkien ! Je remercie celui qui était à l’origine de ce merveilleux week-end ! L’exposition était réussie, malgré un flot incessant de visiteurs (ce qui paraît aujourd’hui impensable!) qui ne permettait pas de lire attentivement l’ensemble des panneaux. C’est pourquoi, à la sortie, je me suis rendue à la boutique allouée pour compléter ma collection d’oeuvres de Tolkien et prendre le livre de l’expo. C’est à cette occasion que j’ai découvert Roverandom.



Rover est un jeune chien plein d’énergie et de folie qu’on connaît aux chiots qui découvrent le monde. Alors qu’il joue avec sa balle, il mord l’arrière-train d’un vieillard qui porte un chapeau doté d’une plume verte. Mais hélas, ce vieillard n’est pas n’importe qui : c’est un sorcier, qui, pour punir l’impolitesse de Rover le transforme en jouet. Placé dans une vitrine et très vite acheté, Rover se retrouve dans la poche du pantalon de son nouveau jeune propriétaire. Il réussit à s’en échapper et rencontre un mage qui veut l’aider à retrouver sa taille réelle. Rover se lance dans un voyage, entre ciel et mer, pour obtenir le pardon du sorcier et retrouver sa vie d’avant…



Un petit livre, une fable, à la lisière du Petit Prince et de Candide. En effet, comme les deux personnages des romans éponymes, on s’attache à ce jeune chien qui fait son parcours initiatique de vie. A la rencontre de créatures diverses, toutes les plus incroyables les unes que les autres, Rover découvre le monde avec ses bons et ses mauvais côtés. L’entraide ou encore la compassion et l’acception de l’autre sont des grands thèmes de ce livre. La poésie de Tolkien fait de cet ouvrage un petit précis pour les plus petits et les plus grands, qui nous rappellent que la réalité et le rêve doivent se côtoyer pour créer un juste équilibre.
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Roverandom

Rover, petit chien, se voit transformé en jouet pour avoir mordu un grand sorcier. Il se retrouve en vitrine, puis acheté par une cliente pour son fils, Fistondeux.

La nuit, il peut de nouveau bouger.

C'est ainsi que le petit chiot va vivre un voyage fantastique avec pour quête, retrouver le magicien et lui demander de le désenvoûter.



Son périple ne sera pas de tout repos, il va croiser différents mondes et être magiques, entre fées, monstres terriens et marins.



Cette aventure ne le laissera pas indifférent et il va se rendre compte qu'il aimait sa vie d'avant, loin d’être une vie de chien.



L'introduction permet de comprendre le contexte de l'écriture de ce conte fantastique : Tolkien aurait été très probablement inspiré de son lieu de vacances en famille : Filey, pour fêter sa nomination comme professeur à Oxford.

Ce conte a pour base une mésaventure survenu à son fils Michael : il a perdu son chien miniature en jouet, sorte de doudou toutou qui le suivait partout.



Tolkien a transformé ce petit malheur en conte fantastique. On retrouve l'univers de Tolkien adapté pour les enfants, même si certains passages peuvent être compliqués à comprendre pour les enfants.



Belle histoire qui montre le génie d'inventeur de Tolkien.

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Roverandom

Votre enfant a perdu un de ses jouets favoris et vous ne savez comment réagir? Et bien prenez exemple sur Tolkien, écrivez une histoire. L'imagination de cet auteur à l'œuvre pour consoler un de ses enfants déçu de ne pas retrouver un objet... Il en fait un conte pour enfant. J. R. R. Tolkien a écrit des livres pour les enfants qui sont peu connus en France, bien qu'il ait eu beaucoup de récompense pour ses livres, c'est un peu dommage. Livres pour enfants, poésie, fantasy pour adultes et ados, fin linguiste et inventeur de langue, rédacteur au dictionnaire d'Oxford, traducteur de la bible de Jérusalem, décidemment cet auteur avait beaucoup de talents, pas toujours connus du grand public... A lire cette charmante histoire dont vous pouvez vraiment vous inspirer en inventant, vous aussi des histoires à partir des jouets perdus de vos enfants;...
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Roverandom

Le pitch est tout simple : Rover le petit chien contrarie un sorcier qui décide de le transformer en jouet. Rover devenu par la suite Roverandom va se lancer à la poursuite du sorcier pour redevenir le chiot qu’il était.



Voilà un joli conte que J.R.R Tolkien à tout spécialement inventé pour son fils Michael qui avait perdu son jouet.

J’ai retrouvé avec un grand plaisir la plume de cet auteur. C’est une histoire pleine de douceur et de malice qui devrait plaire aussi bien aux petits qu’aux grands. J’ai également apprécié les illustrations (même s’il y’en jamais assez...) et les nombreuses explications sur la genèse - définitions... qui se trouvent tout au long du livre. Une très bonne découverte.
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Roverandom

Si vous vous êtes déjà penché.e.s sur ce court récit de l’illustre J.R.R. Tolkien, vous aurez certainement entendu parler de son contexte de publication : en vacances sur la côte anglaise, l’un de ses fils égare son jouet en forme de chien, et Tolkien décide de le réconforter en inventant au jouet une histoire remplie de péripéties !



Je pense qu’il est important de connaître cette anecdote au moment d’entamer la lecture de Roverandom, puisqu’elle explique certains éléments qui, sinon, peuvent à mon avis paraître hors de propos ou trop peu approfondis. Le rythme est lui aussi un peu particulier, alternant entre aventures effrénées et longs passages tranquilles : il résulte je pense de l’écriture épisodique de l’auteur, qui avançait au fil de son inspiration et qui n’a ensuite que très peu retravaillé ce texte. Enfin, j’ai retrouvé dans la narration de Roverandom l’oralité que j’avais adorée dans Le Hobbit, et qui est ici encore plus marquée : si on tend bien l’oreille, on peut presque entendre la voix de Tolkien lui-même lorsqu’il lit chaque épisode à ses enfants installés autour de lui…



J’ai beaucoup aimé retrouver ce qui fait, au fil de ses récits et poèmes, l’imaginaire de Tolkien : un mélange de conte, de mythologie et d’éléments qui lui sont propres. J’ai repéré plein de liens avec son univers de la Terre du Milieu, et j’ai découvert d’autres univers et personnages que j’aurais adoré explorer davantage, notamment le monde de la Lune, son Lunehomme et son Lunechien, Psamathos le sorcier…



Que vous ayez déjà découvert l’univers de la Terre du Milieu ou non, je vous conseille chaudement la découverte de ce court texte ! Il n’est pas exempt de défauts, mais il est rempli de cette magie « simple » du conte, et propose un voyage doux et dépaysant à souhait.
Lien : https://pagespluvieuses.word..
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Roverandom

Trop fort ce Tolkien.



Sous ses airs de petite histoire pour enfants, se cache un véritable conte merveilleux qui saura séduire tout autant les adultes que les plus jeunes.



On y suit les tribulations de Rover, un chiot qui a eu la malheureuse idée de s'attaquer au pantalon d'un sorcier bougon. Il est alors transformé en un jouet chien miniature qui prend vie la nuit lorsque que personne ne regarde. S'en suit une épopée magique, en quête de sa forme initiale. Rover va faire la découverte d'un univers lunaire puis aquatique. Il croisera d'autres sorciers et de nombreuses créatures fantastiques. Il se fera de nouveaux amis, quelques ennemis et vivra d'incroyables aventures.



Je pense que c'est une lecture à refaire en version originale tant le travail de la langue est riche. La traduction et les nombreuses notes nous offrent qu'un aperçu seulement du génie de Tolkien, mais sont suffisantes pour mettre en avant son talent pour le récit et son imagination débordante.
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Roverandom

Je préfère préciser que je ne suis pas un grand fan de Tolkien. Ce qu'il écrit est fluctuant à mes yeux et on encense beaucoup ce qui n'est pas forcément si extraordinaire.



J'ai acheté ce roman totalement par hasard et en me disant que ça pourrait me changer. Roverandom raconte l'histoire extraordinaire d'un petit chien transformé en jouet par un sorcier.



Bon première chose et là c'est vraiment agaçant mais c'est quoi cette introduction ? Les éditeurs ne se sont pas dit que c'était une mauvaise idée d'écrire une introduction qui spoile l'intégralité de l'histoire ? Que 30 pages d'introduction avant une histoire de 100 pages c'était une très très mauvaise idée ? Si jamais vous lisez ma critique avant ce livre, sautez l'introduction !



Bref, l'histoire en elle même est sympa. Je ne m'attendais pas à avoir un côté loufoque chez Tolkien et ça m'a bien plu. C'est plus déjanté que du Roald Dahl mais un peu moins bon aussi. Je pense que le fait que l'histoire n'ait pas été terminé par l'auteur ( enfin relue, corrigée, réécrite ) donne cette impression d'un manque de finition par moment. C'est bien mais c'est trop vague par moment, trop dense par d'autres et globalement il aurait fallu que ce soit retravaillé.



Au final, une histoire amusante et inattendue. C'est raffraichissant.
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Roverandom

Un peu trop saugrenu pour moi... Je n'ai pas aimé les films "le seigneur des anneaux" tirés des livres de Tolkien, mais je me suis dit qu'un livre jeunesse me ferait peut être changé d'avis sur cet auteur. Eh bien pas vraiment, ce n'est pas vraiment le style de livre que j'apprécie...



Celui-ci m'a fait un peu penser au petit prince car Rover fait la rencontre de multiples personnages : le sorcier, la baleine, le serpent des mars, la princesse, le lunehomme, etc.



Cependant, malgré le fait que je n'ai pas apprécié le livre, j'ai trouvé ça touchant que l'auteur a écrit ce livre pour son fils qui avait perdu l'un de ses jouets favoris, certainement dans le but de lui redonner le sourire. En effet, il est dit que le fils Michael Tolkien a perdu son jouet fétiche, un petit chien de plomb. Pour le consoler, son père a imaginé un conte.
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Smith de Grand Wootton

Une vraie histoire de fées par Tolkien, avec la grâce qu'il met toujours dans la description de ses elfes et de leur monde subtil, lumineux et beau. Un conte empreint de douceur et de poésie, qui illustre la vérité bien connue « on ne voit bien qu’avec le cœur ». Ce petit conte m'est resté en mémoire pendant plus de vingt ans et je viens de le relire avec autant de plaisir.
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Smith de Grand Wootton

Si Tolkien est à présent « connu » pour sa saga épique du Seigneur des Anneaux et le non moins épique Silmarillion, il aimait particulièrement les contes de fées, le folklore et les légendes, et en a également écrit quelques-uns.



Smith est sa dernière publication de fiction (de son vivant), et avait au départ été pensé comme une préface au conte la Clé d’or, de George MacDonald, que je ne me souviens pas avoir lu. Les mots venant, Tolkien s’est retrouvé non plus avec un simple exemple dans un discours mais un sérieux début de conte, a abandonné l’idée de préface et est parti dans son coin laisser libre cours à son inspiration (plus ou moins). Dans le même ordre d’idée on se rappellera que le SdA était également censé n’être qu’une « autre histoire de Hobbits », une suite à Bilbo le Hobbit.



Les contes de Tolkien dans leur ensemble (Roverandom, le Fermier Giles de Ham, Smith de Grand Wootton) ne sont pas des œuvres difficiles à lire ; s’ils s’adressent aux adultes ils sont également accessibles pour les enfants, contiennent pas mal d’humour et de références folkloriques. Néanmoins comme le note Verlyn Flieger ces œuvres sont toutes très différentes (ce qui est une motivation très objective pour tous les lire !)

Pour les non-anglophones : dans Roverandom on suit les aventures amusantes d’un chien transformé en chien-jouet dans des lieux magiques divers ; le Fermier Giles de Ham s’adresse plus aux adultes à coups de parodie de Fantasy et de contes servies par un humour mordant ; Mr Bliss est fort d’une énergie un peu folle (pas encore lu mais dans mes étagères) ; Feuille de Niggle est, plus qu’un conte, une vision transcendante se concluant de manière sublime, peut-être bien la seule véritable allégorie – ou quelque chose de très approchant – que Tolkien ait écrit.



Smith est vraiment un « conte » de la sorte la plus classique, avec une situation initiale, un événement perturbateur, et un dénouement avec morale. En même temps c’est un conte de fées de la veine « ancienne », c’est-à-dire l’irruption d’un mortel dans un monde surnaturel qui le dépasse de loin, et son retour dans le monde des mortels. Ce retour ne se fait pas ni sans efforts ni sans changement.

Je partage tout à fait l’impression de Flieger ici : lorsque Tolkien nous parle, toutes œuvres confondues, de contrées étranges et merveilleuses, il a ce superbe talent de nous donner facilement et souvent l’impression qu’il y a lui-même mis les pieds, leur donnant une tangibilité de visions plutôt que d’illusions, de réalité occulte plutôt que de fiction. Ces « voyages », bien loin d’être une simple source d’émerveillement béat et gentillet, touche au « sublime » au sens philosophique et artistique du terme : c’est une expérience au-delà des limites du monde mortel, du monde tel que nous le connaissons. Elle contient aussi bien une part de beauté que du mystère et des dangers, et si forts que peuvent être les sentiments que ces contrées et rencontres puissent générer, ils ne sont pas uniquement positifs ni toujours bienvenus : il y a une part de terreur face à l’inconnu, et des éléments qui ne sont ni bons ni mauvais.



Si Smith, le héros de l’histoire, et « voyageur » en Faery, doit faire face à ce bouleversement lorsqu’il franchit les frontières, d’autres personnages en sont affectés directement ou indirectement : c’est le cas de sa famille qui remarque son changement qui se voit jusque dans son physique, mais aussi du village tout entier qui note qu’il n’est plus tout à fait comme avant. D’Alf, l’apprenti, je ne vous dirai rien ici pour ne pas trop vous en dévoiler, même si le lecteur se doute dès les toutes premières pages que son rôle ne se limitera pas à aider le chef Nokes à pâtisser un gâteau potable.



J’ai été ravie de retrouver comme d’accoutumée les jeux de mots tolkieniens concernant les personnages et lieux. Il me semblait bien d’ailleurs que j’avais déjà lu ce nom de « Nokes » (en fait Noakes, dans le Seigneur des Anneaux, au tout début : personnage à la mentalité semblable, qui s’oppose à Hamfast Gamegie). Les plus curieux seront comme moi satisfaits de trouver quelques pages de notes à la fin du livre, dont pas mal de notes portant sur l’étymologie. Heureusement vous pouvez les lire à part, elles ne sont pas nécessaire à la compréhension des différentes parties dont elles sont issues.



En effet cette édition comprend un fac-simile de la première édition avec ses illustrations par Pauline Baynes (amie de Tolkien, 1922-2008, il l’a entre autres branchée avec C.S. Lewis pour qu’elle lui fasse les illustrations des Chroniques de Narnia), une copie du premier jet à la machine à écrire annoté par l’auteur, un essai sur la nature de Faery, et une postface de Verlyn Flieger. Le conte en lui-même ne fait que 56 pages.

Une édition peut-être un peu trop pointue pour ceux et celles qui auraient envie de découvrir ce conte en toute simplicité (et aussi et surtout en VF :p) ; je conseille le conte en lui-même à tous ceux qui les aiment, ou qui aiment Tolkien. Cela peut même être une occasion d’aller à la découverte de cet auteur avec un texte court.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
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The Art of the Lord of the Rings

Beautiful ! Perfect to know more about the creation of the Lord of the Rings.
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The Hobbit (Graphic Novel)

I really appreciate this graphic novel because, first, I love the story of the Hobbit, the book and the movie. After, I find that this graphic novel respect the book very well, more than the movie. I can recommend this book for the people who don't have the time to read the book because this is a graphic novel, so it is faster to read. Finally, I will speak about the pictures: I am divided because one side if you have seen the movie it is very disappointing because it doesn't correspond at all to what they did in the movie - and it is very disturbing! But, on an other side, the pictures are great and sometimes the decor is really impressive and the pictures buried us into the world of Tolkien.



Robin
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The Hobbit (Graphic Novel)

When Thorin Oakenshield and his band of dwarves embark upon a gangerous quest to reclaim stolen treasure from the evil dragon Smaug, Gandalf the wizard suggests an unlikely accomplice : Bilbo Baggins, a quiet and contented hobbit. Along the way, the compagny faces trolls, goblins, giant spiders, and worse. But in the end it is Bilbo alone who must face the most dreaded dragon in all Middle-earth and a destiny that waits in the dark caverns beneath the Misty Mountains, where a twited creature known as Gollum jealously guards a precious magic ring...

I’ve read the book a few years ago, and after that I watched the trilogy for the release of the third movie. I had to deal with the fact that all the characters were different from the way I pictured them in my mind. And now i’ve read this illustrated version and for the third time I relive almost the same story with the same characters (just with a different appearence. The seceond and last negative point is that the story is a too short version of the book. I would have preferred several books rather than one so shortened. Besides those points I recommend this book to everyone who want to relive this story, go back into this universe or simply discover The hobbit without a 9-hour TV marathon or a 900 page-read. Also, after getting used to the illustrations I have to admit that it’s really enjoyable, the colors, the details or the character-design. To conclude, I enjoyed reading this book and I advise you if to do the same if you have time, you won't regret it!

Basile

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The Hobbit and The Lord of the Rings

BIEN
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The Hobbit and The Lord of the Rings

"Le Hobbit" et "Le Seigneur des Anneaux" ne sont pas sans défauts, pas plus qu'ils sont sans qualité. L'ensemble formé par ces deux œuvres vaut plus par l'ampleur, par l'ensemble, que par les divers passages.

Il faut admettre, il est vrai, que cette épopée a le sens du détail, la profusion d'éléments, qui en font le succès de J.K. Rowling et de George R.R. Martin.

Il y a parfois des passages très poétiques, très esthétiques. Des passages de toute beauté…

Superbe, malgré des défauts notables et même si ces écrits sont quelque peu surestimés ( et que le grand-œuvre de Tolkien reste "Le Silmarillion" ).
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The Hobbit and The Lord of the Rings

La série des quatre romans de Tolkien qui forment une trame narrative unique consacrée à l'Anneau, a eu un succès planétaire. Pourtant, ce n'est pas ce succès, ni les films qui ont été tirés des livres, ni les innombrables produits dérivés, qui suffisent à épuiser le charme de ces romans. Je crois que les bienfaits de leur influence tiennent à ce que l'auteur a réintroduit dans la culture occidentale une part de magie, d'optimisme et de rêve qui en avait été chassée par la littérature du soupçon, de la désillusion et de la destruction, littérature seule considérée comme digne de ce nom dans la culture majeure, à ce jour encore. Tolkien, chrétien fervent, médiéviste savant et érudit, a su écrire ces livres d'un autre âge, ces livres "anachroniques" et nous les donner comme antidote aux mauvaises repentances et au "sanglot de l'homme blanc" auxquels la culture officielle semble vouloir se réduire, nous réduire. Peut-être ne devrait-on pas sous-estimer la force subversive de ces romans "pour enfants" qui, significativement, obtiennent d'autant plus de succès que la chape de ressentiment se fait plus lourde chaque jour sur nos têtes.
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Trésors de Tolkien

A défaut de m'offrir le catalogue de la très belle expo Tolkien à la BnF, je me suis rabattue sur ce petit ouvrage qui reprend l'essentiel de ce qui y était présenté et développé sur la vie et les oeuvres de JRR Tolkien, et c'est déjà un très bon complément dès qu'on cherche à en savoir plus sur l'homme et l'univers derrière Le Seigneur des Anneaux.
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Trésors de Tolkien

Un très beau livre, indispensable à tous les amoureux de Tolkien.

Quel plaisir immense de découvrir l'univers visuel dans lequel se projetait l'imaginaire littéraire du célèbre auteur du Seigneur des Anneaux.
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Trésors de Tolkien

Comme tous les ans ou presque, Christian Bourgois nous propose un livre de J.R.R. Tolkien : nouvelle traduction, nouvelle édition, textes inédits sortis du grenier de la famille Tolkien... Cette année, c'est le catalogue de l'exposition Tolkien: Maker of Middle-earth de 2018.



Malheureusement, il ne s'agit pas du gros volume avec des illustrations inédites mais du plus petit. Tout petit, petit. Petit texte et petites illustrations.

Il était annoncé sur la quatrième que le texte serait court. Je dirais même qu'il est franchement flemmard. On n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Quelques éléments biographiques et bibliographiques et c'est tout.



Les illustrations sont superbes, Tolkien avait beaucoup de talent. C'est un régal pour les yeux. Il est seulement dommage que les reproductions ne soient pas plus grandes.



Mais pourquoi avoir choisi ce format de nain ? Je ne comprends pas. Ce n'est pas la faute de Christian Bourgois qui n'a fait que reproduire le format de The Bodleian Library. Par contre, Bourgois aurait mieux fait de nous proposer l'autre catalogue.



Et puis, là où le bât blesse c'est au niveau du prix : 20€. Je ne suis pas une pince mais en toute sincérité, ce livre ne les vaut pas. D'ailleurs, la version anglaise est à 12£ soit environ 14€ ce qui est déjà plus logique au regard du contenu.



J'imagine que les fans purs et durs et les collectionneurs ne seront pas d'accord avec moi et c'est sur cela que compte l'éditeur. Personnellement, j'ai préféré le remettre sur les étagères de ma librairie (oui, j'ai lu le livre sans l'acheter et je n'ai même pas honte), je n'ai pas par habitude de jeter l'argent par les fenêtres.



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