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Citations de Jacob et Wilhelm Grimm (154)


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The enchantress had a beautiful garden, full of sweet-smelling flowers and herbs.
The woodcutter’s wife would often stand on the hill and look down at the garden with envy. Nothing
would grow on the hill where she lived – the earth was hard and stony. The wife wished that she could
have a beautiful, sweet-smelling garden just like the enchantress.
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- Ah! père, j'ai été dans un trou de souris, dans la panse d'une vache et dans le ventre d'un loup. Mais maintenant je veux rester avec vous.
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Oh! dit le fiancé, comment se fait-il que tu aies de l’amitié pour d’aussi vilaines personnes? (Les trois fileuses)
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Peu importe ! Rien n'est pire que vivre sans dimanche !
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Il a tant de travail qu'il vient du passé pour s'auto-aider.
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Bientôt, le cordonnier se trouva non seulement tiré de la misère, mais il s'enrichit peu à peu.
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Et pour vous dire la vérité... sans dimanche... les autres jours ne sont pas formidables.
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Avec une remarquable économie de moyens, le conte, et spécialement le conte de Grimm, nous présente donc un petit roman familial dont le schéma est pour ainsi dire invariable: un enfant naît dans une famille anonyme en un lieu non situé (l'anonymat des lieux est constant, mais on remarquera aussi combien les noms de personnages sont rares dans nos histoires : on parle simplement du héros comme du «prince» ou plus souvent encore comme du « jeune homme »); il est, selon les cas, aimé de ses parents ou maltraité par eux, et chose remarquable, les pires traitements lui viennent surtout de sa mère, dont la férocité tranche nettement sur la bonté un peu lâche, un peu rêveuse aussi, du père.
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Si la tradition française affaiblit le caractère initiatique du conte au profit d'un érotisme mal déguisé et d'une morale le plus souvent conformiste, le conte allemand, manifestement moins «civilisé », lui conserve toute sa vigueur.
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Elle lui dit tendrement : « Celui qui se repent et qui avoue son péché, celui-là sera pardonné. » Elle lui tendit ses trois enfants, délia sa langue et lui donna du bonheur pour le restant de ses jours.
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Sous les affabulations les plus invraisemblables perce toujours un fait bien réel : la nécessité de passer d’un état à un autre, d’un âge à un autre, et de se former à travers des métamorphoses douloureuses, qui ne prennent fin qu’avec son accession à une vraie maturité.
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Tout cet essaim d'enfants le suivit, et il les conduisit sur une montagne où il disparut avec eux.
(Les enfants d'Hameln)
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comment avoir le conte complet? Merci
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– Si tu me rends encore la liberté, dit le poisson, je te donnerai de nouveau le château et l’armoire ; mais pour le coup tiens-toi ferme et garde-toi bien de dire à qui que ce soit de qui tu tiens ces richesses sinon, tu les perdras de nouveau.
– J’y prendrai garde, répondit le pêcheur.
Et il rejeta le poisson dans l’eau.
Quand il revint chez lui, tout avait repris son éclat et sa femme était radieuse mais la curiosité ne la laissa pas longtemps en repos, et deux jours s’étaient à peine écoulés qu’elle recommença à questionner son mari. Celui-ci finit par céder.
Le château s’évanouit, et ils se trouvèrent dans leur ancienne cabane.
– Tu l’as voulu, dit le pêcheur : grâce à toi, nous allons recommencer notre vie misérable.
– Hélas ! répondit la femme, je préfère encore me passer de la richesse que de ne pas savoir d’où elle me vient.
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Knupper, knupper, Kneischen,
Wer knuppert an meinem Hauschen?
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Il y avait une fois un pauvre bûcheron qui demeurait au coin d’un bois avec sa femme et ses deux enfants : un garçon qui s’appelait Hänsel et une fille du nom de Grethel.

Ils avaient peu de chose à se mettre sous la dent, et une année qu’il vint une grande cherté de vivres il fut impossible à l’homme de gagner le pain quotidien.

Une nuit qu’il se tournait et se retournait dans son lit sous le poids des tourments, il dit à sa femme :

— Qu’allons-nous devenir ? Comment nourrir nos pauvres enfants, lorsque nous n’avons plus rien pour nous-mêmes ?

— Sais-tu, mon homme, ce qu’il faut faire ? répondit la femme. Demain, à la première heure, nous conduirons nos enfants dans la forêt, là où elle est le plus épaisse. Nous leur ferons du feu et nous donnerons à chacun un morceau de pain. Nous retournerons ensuite à notre travail, et les laisserons tout seuls. Ils ne retrouveront pas le chemin de la maison et nous en serons débarrassés.
— Non, femme, je ne ferai pas cela. Je n’aurai jamais le cœur de laisser mes enfants seuls dans le bois : les bêtes sauvages les auraient bientôt dévorés.

— Idiot ! répliqua la femme. En ce cas nous mourrons de faim tous les quatre. Tu peux raboter les planches pour les cercueils !

Et elle ne lui laissa point de repos qu’il n’eût consenti. « Ces pauvres enfants me font pitié tout de même », disait l’homme à part lui.

Tourmentés par la faim, les deux enfants ne pouvaient s’endormir : ils avaient entendu ce que la belle-mère disait à leur père. Grethel pleurait amèrement. Elle dit à Hänsel :

— C’est fait de nous !

— Tais-toi, répondit Hänsel. Ne te chagrine pas : je saurai nous tirer de là.

Et lorsque les vieux furent endormis, il se leva, mit sa petite veste, ouvrit le bas de la porte et se glissa dehors.
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Un homme avait un âne qui l’avait servi fidèlement pendant longues années, mais dont les forces étaient à bout, si bien qu’il devenait chaque jour plus impropre au travail. Le maître songeait aie dépouiller de sa peau ; mais l’âne, s’apercevant que le vent soufflait du mauvais côté, s’échappa et prit la route de Brème : « Là, se disait-il, je pourrai devenir musicien de la ville. »

Comme il avait marché quelque temps, il rencontra sur le chemin un chien de chasse qui jappait comme un animal fatigué d’une longue course. « Qu’as-tu donc à japper de la sorte, camarade ? lui dit-il.

— Ah ! répondit le chien, parce que je suis vieux, que je m’affaiblis tous les jours et que je ne peux plus aller à la chasse, mon maître a voulu m’assommer ; alors j’ai pris la clef des champs ; mais comment ferai-je pour gagner mon pain ?

— Eh bien ! dit l’âne, je vais à Brème pour m’y faire musicien de la ville, viens avec moi et fais-toi aussi recevoir dans la musique. Je jouerai du luth, et toi tu sonneras les timbales. »

Le chien accepta, et ils suivirent leur route ensemble. A peu de distance, ils trouvèrent un chat couché sur le chemin et faisant une figure triste comme une pluie de trois jours. « Qu’est-ce donc qui te chagrine, vieux frise-moustache ? lui dit l’âne.
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Une fois bien installés, ils attaquèrent tous ensemble leur plus vilaine musique. (p.22)
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Il était une fois un roi qui avait douze filles, toutes plus belles les unes que les autres.
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