AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Jacob et Wilhelm Grimm (154)


Eh ! Monsieur le renard, cria de nouveau le chat, vous voilà bien embourbé avec vos cent arts divers ! Si vous n'aviez su que grimper comme moi, vous seriez en ce moment un peu plus à votre aise.
Commenter  J’apprécie          80
Il était une fois une petite fille qui portait toujours un bonnet rouge sur la tête. On l'appelait le Petit Chaperon rouge.

Un jour, sa maman lui dit :-

"Ta grand-mère est malade. Tu vas aller la voir et lui porter cette galette et ce petit pot de beurre. Ne traîne pas en route, elle t'attend."
Commenter  J’apprécie          70
Oh ! si j’avais un enfant blanc comme la neige, rouge comme le sang et noir comme l’ébène !
Commenter  J’apprécie          10
C'est alors qu'une voix délicate leur parvint de la pièce :
Croque croque, croquinette
Qui grignote ma maisonnette ?
Les enfants répondirent :
C'est le vent, le vent
Le céleste enfant

Et ils continuèrent à manger sans se laisser distraire.
Commenter  J’apprécie          10
Il était une fois un vieux renard à neuf queues qui croyait que sa femme ne lui était pas fidèle et qui voulût l'induire en tentation. Il se coucha sous le banc sans plus remuer et se fit passer pour mort. Dame Renarde entra dans sa chambre tandis que sa servante, une jeune chatte, faisait la cuisine dans l'âtre. Lorsque la nouvelle de la mort du vieux renard fut connue, les prétendants s'annoncèrent.
Commenter  J’apprécie          20
voir aussi Le pêcheur et sa femme (Relié)
Jakob et Wilhelm Grimm
Jonas Lauströer (Illustrateur),
Commenter  J’apprécie          10
Quand soudain, dans son jardin, il entendit une petite voix provenant du calice
D’une tulipe qui éclore : « Je suis là ! »
Tout étonné, le petit roi des fleurs la regarda et se demanda : « Est-ce bien la princesse
Que partout j’ai cherché ? »
Commenter  J’apprécie          50
La sorcière ne songeait qu'à attirer des jeunes gens pour les conduire à leur perte. Chaque fois qu'il arrivait un prétendant, elle lui annonçait que celui qui voulait la main de sa fille devait d'abord triompher d'une épreuve ou bien mourir. Beaucoup de jeunes gens s'y risquèrent ; mais aucun ne réussit jamais

à accomplir ce qu'exigeait4 la vieille. Elle fut sans pitié.

Un prince, qui avait entendu parler de l'extraordinaire beauté de la jeune fille, alla supplier son père :

« Mon père, permettez-moi d'aller demander la main de cette beauté.

- Jamais ! répondit le roi. Te laisser partir là-bas serait un crime. Là-bas, tu ne trouveras que la mort ! »

Le prince devint malade à en mourir. Il resta sept ans couché.

Son père, voyant enfin qu'il n'y avait plus d'espoir, lui dit un jour : « Puisqu'il ne reste plus d'autre moyen de te guérir, vas-y, tente ta chance. »

Guéri instantanément par ces paroles, le fils se leva et se mit joyeusement en route.
Commenter  J’apprécie          50
Ma mère m'a tué, c'est la Terre-Mère: à partir du moment où elle nous a donné la vie, elle nous entraîne vers la mort.
Mon père m'a mangé : à la mort nous retournons dans le sein du Père, "le Non Manifesté" dans les trois religions monothéistes.
Marlène, allie Marie et Hélène d'une part: Hélène femme de Ménélas qui divise deux peuples, et Marie-Madeleine, la pécheresse repentie dont l'amour éveille l'organe qui voit le Christ ressuscité, le frère.
Je viens d'achever l'étude de ce conte d'une très grande profondeur, et puis l'adresser à qui s'intéresse.
Commenter  J’apprécie          10
Le jour suivant, on tint un procès contre le soldat, et bien qu'il n'eût rien fait de bien méchant, le juge le condamna à mort.
Commenter  J’apprécie          110
Ils s'embrassèrent et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours.
Commenter  J’apprécie          10
Et oui, les gens sont ainsi !
Commenter  J’apprécie          10
Le roi, comme promis, lui demande donc de choisir l'une de ses filles comme épouse et il choisit l'aînée, car « il n'est plus tout jeune ».
Commenter  J’apprécie          20
C'était l'hiver.

Une reine cousait, assise auprès d'une fenêtre dont le cadre était en bois d'ébène, tandis que la neige tombait à gros flocons.

En cousant, la reine se piqua le doigt et quelques gouttes de sang tombèrent sur la neige. Le contraste entre le rouge du sang, la couleur de la fenêtre et la blancheur de la neige était si beau, qu'elle se dit :

- Je voudrais avoir une petite fille qui ait la peau blanche comme cette neige, les lèvres rouges comme ce sang, les yeux et les cheveux noirs comme les montants de cette fenêtre.
Commenter  J’apprécie          110
Chapitre 7 Bout de paille, braise et haricot

Le haricot, demeuré prudemment sur la rive, partit d'un tel fou rire en voyant cette histoire, et s'en tordit tellement s'en pouvoir s'arrêter, que, pour finir, il éclata. C'en eût été fini de lui pareillement, si par bonheur un compagnon tailleur qui faisait son tour d'Allemagne ne s'était arrêté au bord de ce ruisseau pour se reposer. Par ce qu'il avait bon coeur et l'âme secourable, le tailleur prit du fil et une aiguille et se mit aussitôt à le recoudre. Le haricot lui en fit ses remerciements chaleureux et choisis comme on l'imagine ; mais comme il avait utilisé du fil noir, c'est pour cela que, depuis ce temps- là, tous les haricots ont une couture noire.
Commenter  J’apprécie          170
"Quelqu'un marche sur ma traîne !" S'exclama soudain la cadette. C'était le soldat qui, invisible sous sa cape, les suivait en secret.
Commenter  J’apprécie          10
Et parce que cela lui donnait toujours un air poussiéreux et sale, elles l'appelèrent " Cendrillon ".
Commenter  J’apprécie          150
C'est alors qu'ils virent devant eux une incroyable maison toute de pain d'épice ! Le toit, fait de tuiles aux amandes, était soutenu par des poutres de nougatine moelleuse. Quant aux murs, ils étaient incrustés de bonbons multicolores et fondants.
Commenter  J’apprécie          90
Puis elle reprit son chemin et arriva au pied d'un arbre couvert de pommes, qui lui cria :
- Oh toi ! Secoue-moi, secoue-moi ! Quand les pommes sont mûres, il faut les manger !
La fillette secoua le pommier. Les pommes tombèrent en pluie si drue que, sur l'arbre, il n'y en eut bientôt plus.
Commenter  J’apprécie          50
Alors, sans plus se soucier, le Bêta alla trouver la grosse grenouille et lui dit: "Il me faut ramener au château la plus belle femme." - "Hé, la plus belle femme!" répondit la grenouille. "Voilà une chose qu'on n'a pas immédiatement à sa portée mais tu l'auras tout de même." Elle lui donna une carotte évidée et creuse à laquelle six petites souris étaient attelées. "Que dois-je faire de cela?" dit le Bêta tout triste. "Tu n'as qu'à y installer une de mes petites grenouilles," répondit-elle. Il en attrapa une au hasard dans le cercle de celles qui entouraient la grosse grenouille, la mit dans la carotte, et voilà qu'à peine assise à l'intérieur, la petite grenouille devint une demoiselle merveilleusement belle, la carotte un vrai carrosse et les six petites souris des chevaux. Alors le Bêta embrasse la jeune fille, se fit emporter au galop de ses six chevaux et amena le belle chez le roi. Ses frères arrivèrent ensuite: ils ne s'étaient donné aucune peine pour chercher une belle femme et ramenèrent les deux premières paysannes venues.
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jacob et Wilhelm Grimm Voir plus

Quiz Voir plus

Il était une fois...

Dans le conte ''Blanche-Neige'' des frères Grimm, le chasseur remplace les organes de Blanche-Neige par ceux d'un animal. De quel animal s'agit-il ?

Une biche
Un marcassin
Un faon
Un lapin

5 questions
193 lecteurs ont répondu
Thème : Blanche-Neige et autres contes de Jacob GrimmCréer un quiz sur cet auteur

{* *}