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Citations de Jacques Sadoul (143)


Certes, il n’y a que trois cent
cinquante mille habitants à Las Vegas, mais il vient un million de visiteurs chaque mois. Le jeu et l’argent attirent tous les trafiquants possibles et pas
mal de truands, sans parler d’un grand nombre de chercheuses d’or ; alors,le shérif a fort à faire pour que tout se passe à peu près bien.
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Certes, ce n’était pas encore l’aventure internationale, mais j’allais retrouver l’action qui était ma seule raison de vivre. Dans un moment, j’allais. voler vers les néons multicolores de la capitale du jeu comme une phalène
attirée par la lumière électrique ; toutefois je ne serais pas un papillon quelconque, je serais un sphinx à tête de mort.
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— Ce qui est triste, dit-elle, c’est de voir disparaître des personnes de la valeur de Mr Matthews alors que d’autres, qui ne les valent pas, sont encore là.

— Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers, vous le savez bien, Miss Satterwaithe ; c’est d’ailleurs pourquoi vous vivrez centenaire.
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Après tout, elle ne lui était rien, sinon sa maîtresse depuis
trois jours. Ils pénétrèrent sous un chapiteau au centre duquel avait été dressé un ring classique ; une ouvreuse les conduisit au premier rang
encore à moitié vide alors que les gradins étaient déjà bondés.
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D’abord, j’aime la boxe et la voir
pratiquer par des femmes doit être surprenant, ensuite j’y trouverai peut-être de nouvelles idées de photos avec Robyn. Je la vois très bien poser vêtue
seulement d’un short de soie et de gants de boxe.
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Sa beauté, son élégance, et surtout son assurance insolente étaient telles que les joueurs relevaient la tête et oubliaient un instant leur combat désespéré.
Amanda passait, hautaine, ignorant tout, ne voyant rien, telle une reine visitant un faubourg d’immigrés.
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Je me demandais comment poursuivre cette affaire sans trop m’attirer d’ennuis.
Pas question d’abandonner, naturellement. Je n’éprouve aucune sympathie pour
mes semblables, parfois du désir, très exceptionnellement de l’amitié, en revanche, je suis curieuse. Connaître la réalité cachée derrière les apparences, savoir le pourquoi des choses, a toujours été une de mes passions.
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A moins d’être une comédienne consommée, elle donnait réellement l’impression d’être inquiète. Je devais cependant me défier de moi, j’ai un vfaible pour les jolies blondes, surtout si leurs jambes sont longues et si leur
décolleté révèle d’agréables rondeurs. Tant qu’elle ne m’aurait pas raconté l’histoire du rubis, je ne pourrais lui faire confiance, mais comment l’amener sur le chemin des confidences ?
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Son décolleté et son short ne
laissaient rien ignorer de ses charmes : taille fine, ventre plat, jambes longues, seins rebondis, on retrouvait bien la Californienne sportive telle
qu’elle abonde à Malibu Beach. Encadré de courts cheveux blonds, son visage était gracieux, elle avait l’allure d’une jolie femme plutôt que d’une minette
et je lui donnai vingt-cinq ans environ.
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En face de moi se dressait la masse de l’île d’Alcatraz qui fut une des plus célèbres prisons du
pays ; je crois me souvenir que Al Capone et Machine Gun Kelly y furent incarcérés. Aujourd’hui ce n’est plus qu’une ruine, objet de curiosité pour touristes, et des vedettes s’y succèdent d’heure en heure ; la vue sur la ville y est, paraît-il, magnifique.
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C’est exact, tous les auteurs ont un agent littéraire aujourd’hui, c’est à la fois une protection et un gain de temps. Je me vois mal
faire la tournée des éditeurs, mon manuscrit sous le bras. Nous ne sommes plus
au XIXe siècle.
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Les gens qui cherchaient le rubis
ne plaisantaient pas et devaient bien se douter que je l’avais caché quelque part. D’un autre côté, être armé donne un faux sentiment de sécurité ; on compte trop sur le revolver pour se tirer d’une situation embarrassante, pas assez sur soi-même. Entendons-nous bien, je n’approuve évidemment pas les
lâches qui font campagne pour l’interdiction de la vente libre des armes ; ils sont indignes d’être américains. Etre armé, c’est être libre, telle doit être la devise de tout citoyen responsable.
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J’ai horreur de tout ce qui ressemble de près ou de loin aux
tâches ménagères, même préparer un petit déjeuner m’agace.
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C’est juste, mais d’ordinaire les jeunes femmes qui
découvrent des cadavres s’enfuient en hurlant, elles ne regardent pas la télé à
côté du corps, leur verre de bière négligemment posé sur le dos de la victime.
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Pour la première fois depuis ma mise à la retraite anticipée, je me sentais un peu détendue. Je ne bouillais plus de rage intérieure. Et puis, être en rage contre qui ? J’avais haïl’administration Carter qui avait réduit les activités de la CIA, je l’avais vimaginée infiltrée, gangrenée par les Rouges... Je voyais des Cocos partout, vmême Nixon m’avait paru être un traître en se rapprochant de la Chine et
aujourd’hui... Aujourd’hui, je ne savais plus que penser, j’en venais à me demander si durant toutes ces années de lutte je n’avais pas tout simplement
été aveugle. J’étais sûre que l’Europe allait tomber comme un fruit pourri, que l’Afrique ne serait bientôt plus qu’un immense Soviet, sauf peut-être l’enclave blanche du Cap, que nous resterions un jour seuls à défendre la démocratie, la
liberté, le rêve américain.
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Des
années de missions en pays ennemi m’ont rendue ultra-sensible et non moins
méfiante, je n’accorde ma confiance à personne et je ne puis m’empêcher de voir
un agent adverse dans quiconque me demande son chemin dans la rue. J’aurais
sans doute du mal à me défaire de ces réactions instinctives qui n’ont plus
leur raison d’être dès lors que je suis redevenue une « civile ».
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...avec son équipe d’auteurs et d’illustrateurs, il (Hugo Gernsback) créa un nouveau pulp, Science Wonder Stories, identique au précédent. C’est là, dans l’éditorial du numéro 1, qu’il va employer pour la première fois le mot science-fiction : « C’est moi qui ai donné naissance au mouvement de science-fiction en Amérique en 1908, dans mon premier magazine Modern Electrics », écrivit-il. Le terme fut presque aussitôt adopté par toute la profession et, au début des années 1950, il franchit l’Atlantique pour s’implanter en France.
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Vous avez beaucoup d auteurs qui écrivent de la science fiction,n est ce pas?
-Pas beaucoup.Rien que les les meilleurs,répondit-il modestement.
Elle sourit encore.Deux jolies fossettes mettait sa bouche entre parenthèses.Il aimait ça.
-Disons que c est une intrigue de science-fiction.Comment vais-je commencer....
-Il était une fois,souffla -t-il.

LE ROCHER VOYAGEUR

Par Théodore Sturgeon
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Chacun savait qu'Adompha, roi de la grande île de Sotar, possédait sur les vastes terres de son palais un jardin secret, ignoré de tous les hommes sauf de lui-même et du magicien de la cour, Dwerulas. Les murailles de granit du jardin, faites de carrés, hautes et redoutables comme celles d'une prison, étaient visibles aux yeux de tous, dressées au-dessus des immenses girofliers et des camphriers, dominant les grands massifs aux fleurs multicolores. mais nul ne savait ce qu'elles cachaient, car le jardin n'était cultivé que par le mage obéissant aux instructions d'Adompha; et tous deux en parlaient par profondes énigmes que personne ne pouvait interpréter. Le lourd portail d'airain ne répondait qu'à un mécanisme dont eux seuls partageaient le mystère; et le roi et Dwerulas, séparément ou ensemble, ne visitaient le jardin qu'aux heures où aucune âme n'était levée. et nul ne pouvait se vanter véridiquement d'avoir contemplé ne fût-ve que l'entrebâillement du portail.
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Le moyen le plus sûr d'être convaincant quand on ment est de dire la vérité d'une manière qui ne soit pas convaincante.
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