Comme si la femme de sa vie était une émanation de son talent, de son écriture, plutôt qu’une source d’inspiration. Comme s’il était tombé sous le charme de sa propre construction.
On sentait que l’art irriguait des zones de son cerveau habituellement engourdies ; des zones que son petit organisme à sang-froid ne se donnait pas d’ordinaire la peine de réveiller.