1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs de Dominique et la librairie Excalibulle à Brest.
Once Upon A Time At the End of the World scénariste : Jason Aaron dessinateurs : Tefenkgi, Nick Dragotta traducteur : Julien di Giacomo chez Urban Comics
Petit pays de Marzena Sowa et Sylvain Savoia chez Dupuis dans la collection Aire Libre
Mardival par Yann Cozic chez Glénat
En bonus
Pilote - la naissance d'un journalChristian Kastelnik, Patrick Gaumer, Clément Lemoine et Michel Lebailly édition La Déviation
1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture avec le soutien des librairies Mine de Rien, Alfa BD, Sanzot, Krazy Kat/ Manga Kat, la planète dessin, Alès BD, le Bidibul, L'octobulle, Comic(s)Trip et Popup&co!
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Depuis l’arrivée de ce connard syphilitique de Christophe Colomb, les blancs ont afflué sur nos rivages pour prendre sans demander. A nous, les Lakota, ils ont pris les Balck Hills, notre Paha Sapa (terre, montagne sacrée). Ils ont pris les troupeaux de bisons et la prairie où ils vagabondaient. Ils ont pris la fierté et la dignité d’une grande nation, ne lui donnant que la misère en retour. Après avoir été spoliés, disgraciés, massacrés comme du bétail durant des centaines d’années… Il est grand temps de commencer à leur rendre la faveur. Nous allons te demander réparation Amérique Blanche… Pièce par pièce s’il le faut. Et lorsque nous auront récupéré notre dû, alors tous ces gens que j’ai flingués, poignardés, scalpés, pendus et enterrés en chemin… Tous ces pauvres bougres ne seront pas morts pour rien. Et pour la première fois depuis longtemps…peut-être que mes rêves l’emporteront sur mes regrets.
Quel homme veut connaître l’heure de sa mort ? Surtout quand on ne peut rien y changer.
Plus je m'approche des 40 ans, plus je suis convaincu que l'essentiel de la vie d'un homme n'est qu'une série de moments sans importance.
On mange, on dort, on baise, on bosse, on regarde la télé, on cause, on cause et on cause.
Certains de ces moments peuvent sembler importants sur l'instant, mais au bout du compte, c'est plus du cartilage que de la viande.
Des conneries qu'on fait parce qu'on est vivants et parce qu'il faut bien faire quelque chose pour passer le temps.
Les moments vraiment importants, ils n'arrivent que tous les trente-six du mois.
Des fois, on s'en rend compte au moment où on les vit. D'autres fois, on ne s'en aperçoit que bien après.
Ces brefs petits moments révélateurs peuvent paraître anodins comparés à tout le reste de votre vie.
Mais ce sont eux qui définissent quel genre d'homme vous avez été sur cette terre.
Ce sont ces moments que vous ne voulez pas foirer.
Même dans les nuits de plaisir, il vaut mieux garder son épée avec soi.
[Obi-Wan Kenobi] J'attirais quand même les ennuis. Même au milieu du désert. Mais ces ennuis ne parviendraient jamais jusqu'à Luke. Pas tant que je vivrais. Et s'il y avait une chose pour laquelle j'étais devenu très doué au cours des années, à part attirer les ennuis...c'était ne pas mourir. Demandez à Dark Maul, le comte Dooku ou le général Grievous.
Le Cimmérien avait parcouru le monde et pour lui, la plupart des hommes étaient des imbéciles. Mais malgré son mépris pour la bêtise et sa nature sombre, il était attiré par la compagnie des autres. Conan savait qu’il n’était pas voué à la solitude.
Le Seigneur donne, l'obus de mortier 82 reprend.
La plupart du temps, être un chef consiste à prendre des décisions difficiles. À rester fort en toutes circonstances. Rappeler aux gens qu'il y a des limites à ne pas franchir. Mais, d'autres fois... D'autres fois, ça consiste à faire des compromis. Et parfois, on ne peut même plus faire la fichue différence.
RED CROW : Alors contente-toi de savoir qu’ici… je suis le père, le fils et cet enfoiré de Saint-Esprit réunis.
Les forêts au-delà du Fleuve Noir étaient aussi épaisses qu’un immense mur vert, et impénétrables sauf pour les bêtes sauvages dont c’était le territoire. Mais aux dires des colons aquiloniens qui habitent de l’autre côté du fleuve, aucun de ses animaux n’étaient aussi féroce que certains bipèdes.