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Citations de Jc Staignier (42)


Voilà le problème. Tant que ta potiche ne sortait pas, tu n’avais aucun souci à te faire ! Tu me déçois de jour en jour !
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Elle préfère me prévenir : « Tu ne vas pas te faire des amies parmi les auteurs qui ne comprendrons pas toujours ton humour ». Je lui réponds que ce n’est pas grave en soi, puisque depuis que je publie, j’ai déjà perdu plus du double de mes amis auteurs. Tant que tu es lectrice comme les autres, ils t’adorent. Une fois que tu publies, pour faire simple, tu pues. La concurrence est rude.
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Les féministes refusent catégoriquement d’être un auteur, le mot écrivaine paraît pêteux et le mot auteure semble critiqué également. Je me demande si je ne vais pas me définir comme gratte-papier pour simplifier la polémique.
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« Elle appartenait à un monde et lui à un autre. Elle a plongé dans les profondeurs de l’océan et il ne l’a jamais revue. Mais lorsque l’écume des vagues caressait son bateau, il se sentait heureux, car il savait qu'elle pensait à lui.» Brett
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« L’homme pense avec certitude que l’esprit d’une dame se situe dans son ventre et ne pointe le bout de son nez que lorsqu’elle met un héritier mâle au monde. Le mien se trouve au bout de ma langue. » Aelis
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« — Emma, je ne vous demande pas de ressembler à Angélique. Restez telle que vous êtes.
Devait-elle assimiler cette déclaration à un compliment ? Elle tenta de scruter l’expression de Tristan, mais déjà il reprenait son travail. Calmée, elle prit appui sur la table en chêne afin de l’observer. La simplicité de sa tenue, une chemise en coton d’un ton beige et une culotte noire bouffante avantageaient sa silhouette. La passion brillait dans ses yeux. Hélas ! Pour ses expérience et non pour elle.
Emma l’imaginait vêtu d’un jean et d’un tee-shirt, ses longs cheveux châtains libres de toute attache. Afin de parfaire à son image d’homme moderne, elle se le représentait avec un tatouage sur le bras et un piercing à l’arcade sourcilière. Elle s’inventa leur vie à deux. Il rentrait du travail, lui, un grand chercheur admiré de tous ses collaborateurs et, elle, un tablier de cuisine noué autour de ses hanches, l’attendait. Elle le jurait, pour lui, elle apprendrait la recette du bœuf bourguignon et du meilleur des clafoutis. La réalité surgit de son esprit. Elle venait de tomber amoureuse d’un homme âgé de trois cents ans de plus qu’elle.
— Partiriez-vous avec moi ?
— Où cela ? s’étonna le comte.
— En 2010, à mon époque.
Surpris par cette proposition, il laissa choir un morceau de sodium qui au contact de l’eau s’embrasa dans l’éprouvette. Une légère explosion les projeta tous deux en arrière. »
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« D’un mouvement brusque, Tristan souleva le menton d’Emma et posa un doigt sur sa bouche.
— Emma, vous prononcez de graves accusations. Si vos suppositions se révèlent exactes, le roi n’hésitera pas à vous faire arrêter afin de sauvegarder la réputation de sa maîtresse. Je vous en prie, n’évoquez plus jamais ce sujet ! J’en mourrais s’il vous arrivait malheur à vous aussi !
Elle se sentit défaillir. Tenait-il à ce point à elle ? Son souffle s’accéléra lorsqu’elle plongea les yeux dans son regard brillant. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour lui offrir ses lèvres. La peur et le doute l’effleurèrent. Et s’il la repoussait ? Au contraire, les mains de Tristan encerclèrent sa taille et il se pencha vers cette bouche si tentante. »
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Emma tenta encore de se redresser. Dans le mouvement, les draps glissèrent pour dévoiler au travers du tissu arachnéen de sa robe de nuit les pointes de ses seins. Tristan fixait sa poitrine tout en tentant de reprendre une contenance, mais elle s’était aperçue de son trouble. Elle rougit en découvrant l’indécence de sa tenue et remonta la courtepointe sous son menton.
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— Je pense que j’ai rempli mon devoir dans cette maison et que vous n’avez plus besoin de moi. Je repars à Gigondas !
— Faites donc ! Fuir, c’est tout ce que vous savez faire ! Et permettez-moi de vous dire que votre suffisance est aussi démesurée que la taille de votre sexe !
— Je prends tes affirmations comme un compliment ! ironisa-t-il en soutenant le regard furieux de la jeune femme.
— Idiot ! jura-t-elle avant sortir de la chambre en trombe afin de ne pas lui montrer ses larmes.
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Sans la quitter des yeux, il s’avança vers elle.
— Je t’ai aimée avant même de marcher et de parler, murmura-t-il en l’enlaçant.
Elle posa les mains sur ses épaules, chercha ses lèvres, captura sa langue, se délecta de cet échange si intime.
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— Oh Will ! encore une fois, Dieu nous met à l’épreuve. Pourrons-nous vivre un jour heureux sans que rien n’y personne vienne briser notre bonheur ?
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— J’ai l’habitude. Votre tante a failli me casser une dent ! Elle sont violentes dans cette famille, même les petites servantes !
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— Ne te fais pas de souci, mon brave. Ma femme aboie, mais elle ne mord pas, le rassura Brett.
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Béatrice soupira.
— Dormez à présent. Un long voyage vous attend.
— Béatrice ?
— Oui ?
— Vous voulez bien me prendre dans vos bras ? J’ai peur ! Peur du passé et de l’avenir !
Béatrice l’enlaça et lui caressa les cheveux.
— Ma pauvre petite fille, je vous plains. Vivre avec ses démons est douloureux ; les garder pour soi est une porte d’entrée vers l’enfer.
— Béatrice, je suis déjà en enfer.
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Un léger vent annonça la présence d’Eryne. Un sourire satisfait flottait sur son visage pâle.
— La fin d’Arthur est proche.
Aelis songea à son fils, à Brett, à ses neveux, à tous ceux qu’elle avait dû abandonner.
— Dans votre quête de vengeance, avez-vous seulement pensé une seule fois à moi ?
— Tu ne comprends pas. Sur cette terre et dans cette enveloppe immatérielle, notre corps ne souffre pas, mais nos âmes sont torturées. Ne veux-tu pas aider ta famille à retrouver la sérénité ?
— Allez-vous-en ! Je veux rester seule.
Dans la chambre de William de Percival, Arthur tremblait sous les couvertures.
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— Je peux t’assurer que celui-là n’est pas encore né. Tu déclineras l’aimable proposition de Richard, car je n’épouserai pas ce boutonneux.
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— Touchez-moi encore et je vous tue !
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Son destin venait de se sceller et le chemin à suivre semblait difficile, mais elle se sentait prête à affronter les épreuves.
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- Je t'aime. Je t'ai aimée dès le premier regard et je t'aimerais jusqu'au dernier. Seuls ceux qui n'ont jamais connu une telle passion peuvent dire que c'est impossible.
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- Ilyana était un ange descendu droit du paradis. Qui êtes-vous, lady Aelis ?
- Ni Dieu ni moi ne pourrions répondre à ta question.
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