Jean-Christophe Derrien

lundi 12 mai 2014

Miss Endicott tome 2 de Xavier Fourquemin et Jean-Christophe Derrien



Synopsis







Guidés par la Maître, un chef tyrannique et assoiffé de sang, les Oubliés préparent une guerre contre les habitants de la surface. Fidèle à sa mission de conciliatrice, Miss Endicott va tout tenter pour s’opposer à ces noirs desseins. Mais la tâche paraît insurmontable pour une jeune femme isolé… D’autant plus qu’elle se voit brutalement confrontée à son propre passé.

























Chronique de Méli







La couverture est très jolie et montre une rue de village avec une jeune femme en premier plan et cette jeune femme n’est autre que Miss Endicott.

J’avais vraiment hâte de lire la suite car j’ai beaucoup aimé le premier tome et je voulais impérativement savoir ce qu’il allait advenir des personnages.

Les dessins sont toujours aussi beaux et donnent vraiment envie de lire la BD.

Dans ce tome, nous retrouvons notre héroïne Miss Endicott et des personnages que nous connaissons bien du premier tome. Ces mêmes personnages sont en général très drôles et cela donne beaucoup d’humour à cette BD. Nous les retrouvons avec leur humour mais aussi dans des moments assez dramatique ce qui nous fait voir la vrai personnalité de ces gens.

On à droit aussi à de nouveaux personnages et nous comprenons ce qui se passe réellement à la fin du premier tome.

Quelques passages sont assez tristes et d’autres énervants du fait qu’il y ai des personnages très méchants.

Il y a beaucoup d’actions dans ce tome et de choses fantastiques qui font de ce dernier opus une très belle histoire.

La fin est assez triste également mais nous nous rendons compte que Miss Endicott n’avais pas choisie cette vie là.





Est-ce que j’ai aimé ce livre ?





Ce fût un très beau final et j’ai beaucoup aimé aller la où les auteurs m’ont transportés via leur œuvre.

J’ai aimé le fait qu’il y ai beaucoup d’actions et le fait que je ne m’attendais pas du tout à ce qui allait se passer tout au long.

C’est un coup de cœur pour cette petite saga qui est très bien réalisée.
Lien : http://lesangdeslivres.blogs..

Quel plaisir de voir des personnages féminins forts ! Miss Endicott nous apparaît tout d’abord comme une simple gouvernante orpheline (quoique différente des autres comme le dit Conrad, le majordome), mais endosse rapidement son rôle de justicière, de « conciliatrice », qui défend les intérêts des pauvres gratuitement ! Pas de gros revolvers, ni de fouets comme Catwoman, simplement deux aiguilles à tricoter dissimulées dans ses manches qui se révèlent de redoutables dards.

A l’exception du digne et bon Conrad, les hommes font souvent figures de rigolos à côté d’elle et se laissent mener à la baguette par la demoiselle. Malgré tout, ils ne sont pas que des bouffons et sont tous attachants à leur manière.



Une enquête, un méchant, une armée, des dangers : Miss Endicott est une véritable bande dessinée policière teintée de fantastique. Je ne veux pas trop en révéler pour ne pas gâcher le plaisir de la lecture, mais les rebondissements sont nombreux et le final du premier tome titille la curiosité !



Si je n’ai que peu de choses à dire sur les traits des personnages, j’ai en revanche adoré les décors de la capitale anglaise du XIXe siècle. On plonge dans le Londres huppé des grandes familles avec manoirs et domestiques avant d’explorer dans la planche suivante celui des bas-quartiers, des tavernes, des voyous et des humbles. On descend même dans les profondeurs de la ville où se tapit un peuple d’oubliés. Un monde souterrain où se cachent les « freaks » qui refusent d’être exhibés dans les foires pour faire rire les masses. Il y aura là une touche de steampunk, ce qui n’est pas pour me déplaire.



Une bande dessinée bien sympathique et entraînante. La recette mélangeant action et humour fonctionne et le résultat se lit avec grand plaisir.

EXTRAIT "Belle ambiance sur cet album, qui mêle le Londres crasseux, et une pointe de fantastique, de steampunk même. L'alliance est vraiment efficace, et je me suis vraiment senti porté dans cet univers. Il y a un peu du Peter Pan de Loisel, dans tout ça, ce qui n'est pas la pire des influences."
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..

Le point de départ de cette bande dessinée est l'exposition "Traits résistants" organisé par le CHRD (Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation) en 2008.



En parallèle, le commissaire de l'exposition Xavier Aumage, archiviste au Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne propose au scénariste Jean-Christophe Derrien de réaliser une bande dessinée avec comme point de départ des objets exposés au Musée de la Résistance et de créer une fiction autour de ces objets.



9 objets (parmi lesquels un livre/caméra, des faux tampons, ...) sont présentés dans cet album et 9 histoires de résistance associées. Pour chacun d'entre eux, un prologue explique l'histoire de l'objet et le situe dans son contexte historique propre.

Une tracé, des couleurs et une mise en page agréables, mais un scénario pas à la hauteur du fait d'une certaine confusion et de raccourcis parfois plus que surprenants...

Prudence ENDICOTT revient à Londres après avoir longuement voyagé.

Le retour dans la capitale anglaise débute par l'enterrement de Maggie (sa mère), une femme qui a su marquer les coeurs et les esprits.

La journée, Prudence est gouvernante chez les FOLSEY, un couple de riches entrepreneurs quasiment tout le temps en voyage afin de retrouver le père de Madame.

Le soir, libérée des obligations de son poste, Prudence endosse le rôle de Conciliatrice... ce qui consiste à entendre les réclamations les plus diverses et intervenir afin de trouver une solution à tous ces problèmes... Prudence sera-t-elle une Conciliatrice aussi chevronnée que Maggie ?



Une belle aventure que voilà en compagnie de Miss Endicott.

Une légère déception quant au chemin emprunté par le récit au milieu du second tome... pour de nouveau me laisser surprendre par la conclusion du diptyque.

Le ton reste assez bon enfant.


Lien : http://chezmo.wordpress.com/..

Prudence ENDICOTT revient à Londres après avoir longuement voyagé.

Le retour dans la capitale anglaise débute par l'enterrement de Maggie (sa mère), une femme qui a su marquer les coeurs et les esprits.

La journée, Prudence est gouvernante chez les FOLSEY, un couple de riches entrepreneurs quasiment tout le temps en voyage afin de retrouver le père de Madame.

Le soir, libérée des obligations de son poste, Prudence endosse le rôle de Conciliatrice... ce qui consiste à entendre les réclamations les plus diverses et intervenir afin de trouver une solution à tous ces problèmes... Prudence sera-t-elle une Conciliatrice aussi chevronnée que Maggie ?



Une belle aventure que voilà en compagnie de Miss Endicott.

Une légère déception quant au chemin emprunté par le récit au milieu du second tome... pour de nouveau me laisser surprendre par la conclusion du diptyque.

Le ton reste assez bon enfant.


Lien : http://chezmo.wordpress.com/..

Cet album récit de 68 pages, « d'après Rudyard Kipling » séduit par de nombreuses qualités.



le scenario donne le tempo : des projets de conquête d'un pays, on passe à l'action sans délai : telle est la détermination d'un couples d'aventuriers, sans hésitations ni scrupules, pour conquérir un pouvoir, par tous les moyens. Mégalomanie, hubris, tout y passe, dans la gamme des rêves prométhéens.

le récit se fait épopée brutale, au pas de charge, puis tragédie, et relation du Calvaire. C'est une histoire sans cesse en progression, ascension, puis chute, prévue depuis le titre, les thèmes de la menace et de l'échec, sous forme de mises en garde non écoutées.

Visuellement les bulles aux couleurs vives se succèdent sur un rythme rapide, sensibles au mouvement déterminé des personnages. Toute une page pour la chute d'un cheval et de son cavalier. Parfois, la vue d'une bataille, d'une foule dense et miséreuse ou d'un palais somptueux. Les auteurs font rêver de splendides aventures. D'autre fois l'attitude avantageuse du « Roi » satisfait de lui-même, comblé de la jouissance du Pouvoir ; Gros plan d'un Falstaff égocentrique...

Kipling, prix Nobel d littérature en 1907, passait pour un maître du récit : cet album repose sur des récitants et un écouteur-narrateur, Kipling lui-même. On y retrouve les thèses de l' impérialisme colonial réalisé dans l' Inde natale de Kipling, son goût des voyages d'aventures, ses passions ésotériques fondées dans la franc-maçonnerie et un christianisme fumeux.

Les symboles et les références sont partout, Alexandre et les Conquérants romains, chacun usera de sa grille.

le lecteur contemporain, bien différent d'un lecteur historique prompt à l'enthousiasme, à l' 'indulgence, puis à la compassion, y verra conspirationnisme et anti-impérialisme. Signe des temps.

une belle adaptation



Un beau dessin avec un trait à la fois ancien et moderne. Des couleurs qui vous invitent au voyage.

Le récit adapté du texte de Rudyard Kipling est un bel hommage qui ne trahit en rien l'original mais l'éclaire sous une lumière maçonnique interressante.

Je suis restée très dubitative après la lecture de cette BD qui est pour le capitalisme extrême, qui ressemble limite à de la tyrannie ? Un semblant de Elon Musk exploite des employés innocents, et apparemment c'est une bonne chose parce toute l'intrigue vise à surtout ne pas briser ce modèle pour rester de bons capitalistes bien riches qui exploitent les employés pauvres.



J'ai eu un peu de mal à voir où voulait en venir l'histoire, j'avoue. Apparemment, le but est de conserver ce système tel quel, un peu bizarre le message, surtout dans une BD adressée aux enfants...

Cette magnifique histoire écrite par Rudyard Kipling en 1888 et adaptée au cinéma en 1975 avec Sean Connery et Michael Caine dans les rôles principaux est maintenant disponible en bande dessinée. Comme le précise Didier Convard dans la préface de l’album, l’œuvre originale est respectée.
Lien : https://www.actuabd.com/L-Ho..

Grand fan de Minecraft, j'ai commencé à jouer à l'époque de la coopteam, dont Frigiel faisait partie, et plus tard j'ai continué de le suivre lorsqu'il a tourné Frigiel et Fluffy, série à partir de laquelle il s'est lancé dans ses projets BD et romans. J'ai voulu tester et je n'ai pas été déçu ! La BD ne vante absolument pas le jeu ni YouTube, elle raconte simplement l'histoire vécue par les personnages dans le monde du jeu vidéo, certaines références assez subtiles y sont glissées et font très plaisir ! Mais maman je veux un œuf d'enderdragon !!! 👾



BD jeunesse tout en douceur aux belles couleurs et à l'histoire simple, Frigiel nous fait découvrir sa passion sans en faire trop, juste ce qu'il faut pour passer un bon moment en sa compagnie. Je pense à lire les suivantes rapidement ! 🗡️



A lire devant un four, une soupe de champignons à la main 🍄

Histoire classique pour illustrer l'engagement de la jeunesse dans la Résistance.

Se lit avec plaisir.

Gros bémol : graphisme du personnage féminin principal , Sonia alias Marianne, est vraiment raté. De surcroit, d'une planche à l'autre, elle est différente !

Dommage.

1er tome ok, lu, mais ce sera amplement suffisant pour moi.

Je ne poursuivrai pas avec les autres.

Contrairement à d'autres BD traitant du même thème mais qu'on a envie de continuer, telles que par exemple "les enfants de la Résistance" .

J'aime beaucoup le roman de George Orwell qui, bien que écrit en 1949, résonne encore dans notre société actuelle et nous pousse à nous interroger. J'étais donc assez curieux de découvrir une des adaptations de ce roman en bande dessinée et je dois avouer que je ne suis pas déçu. Jean-Christophe Derrien et Rémi Torregrossa nous offre un excellent travaille de synthèse. Bien sûr, il y a des raccourcis (et j'invite fortement ceux qui ne l'ont pas déjà fait à lire le livre d'Orwell) mais cette bande dessinée, très adulte, offre une très bonne porte d'ouverture avant une éventuelle découverte du roman d'origine. J'ai retrouvé en tout cas l'ambiance du roman et même si l'ensemble va un peu trop vite pour moi en terme de réflexion sur ce récit (format bande dessinée oblige), il s'agit quand même pour moi d'une bande dessinée qui vaut le détour car je reste convaincu que peu importe le format, "1984" est une histoire qu'on se doit de découvrir au moins une fois.

Je veux bien comprendre que la BD est un support qui permet de consommer de la lecture rapidement, mais ce n'est pas vraiment une raison pour passer toutes les scènes du texte à la vitesse de l'éclair.



Le récit est hâché, ce texte aurait mérité bien plus de pages ou une intrigue plus courte pour rendre l'histoire plus efficace. J'ai juste eu l'impression de lire des scènes décousues sur 45 pages...



Malgré tout, on y retrouve les personnages des autres tomes et le caméo assez chouette d'Herobrine. J'ai bien aimé comment la légende a été retravaillée, même si je m'attendais à un peu plus. On reste vraiment à la surface de l'intrigue, ça manque de profondeur.

Une BD à consommer sans modération ! Bon, j'ai eu l'impression de prendre quelques kilos en la lisant, tout de même XD.

Voici donc le premier tome de la BD dans l'univers du streamer SuperBrioche ! Un univers sucré et coloré qui ravira petits et grands saupoudré d'humour et de jeux de mots. Pas besoin de comprendre les références pour apprécier (je ne les ai pas moi-même XD).

Mention spéciale aux dessins et à cette couverture de qualité, dont le titre et les détails brillent pour ravir nos yeux autant que nos papilles imaginaires.



Je conseille bien sûr pour ceux qui aiment SuperBrioche, mais aussi pour tous les gourmands de nourriture ou de chouettes histoires ^^

pixeladventure



Porté par un scénario déjanté de Jean-Christophe Derrien et Siphano, ce premier tome de Siphadventure entraînera notre sympathique héros et sa non moins sympathique bestiole au cœur d’un marais vraiment inquiétant et d’une forêt faussement accueillante…



Inspiré du manga, le trait de Giuseppe Quattrocchi parvient à arrondir un peu l’univers très cubique de Minecraft, donnant vie à un univers coloré et dynamique…



Destiné au jeune public, ce premier tome devrait ravir les amateurs de Minecraft en culottes courtes…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

Difficile de ne pas comparer les deux titres sortis en BD le même jour : celui là et le 1984 des éditions du Rocher (par Sybille Titeux de la Croix et Amazing Ameziane) qui a placé la barre très haute des adaptations de 1984. Au regard de ces lectures, difficile de tenir la comparaison donc, cette version étant sympathique, agréable, mais manquant de punch et étant moins percutante que ce qu'on peut attendre d'un 1984 (même en version roman). Dommage.

Il y a beaucoup d'action dans ce tome 2. Trop peut-être. Je trouve que tout va un peu trop vite, les motivations des uns et des autres sont vite survolées. J'aime mieux quand ça prend un peu plus son temps.