Jean-Christophe Derrien

Cette bd date de 2007 et trainait abandonnée, vaguement lue une fois, dans ma bibliothèque depuis quelques années. C'est une véritable découverte et un vrai coup de foudre pour cette héroïne qui ne s'en laisse pas conter, pour cet univers souterrain dangereux (une des peurs de notre enfance) qui menace la surface, dans ces oubliés qui en rappellent aujourd'hui tant d'autres. L'intrigue se tient et enchaîne les twists tout en n'oubliant pas le côté très humain et fouillé de ses personnages. Le dessin de Fourquemin est élégant, couleurs et découpage limpides. Deux albums à ne surtout pas oublier au fond d'une bibliothèque.

Les fans de la série ne seront pas dépaysés. Ils retrouveront leurs quatre héros dans un univers de rectangles. La continuité de l’esprit Minecraft se poursuit dans le parfait respect aussi bien des précédents tomes que du jeu dont il est adapté. Abel reste quelqu’un de peureux qui a une inclination pour Alice. Frigiel n’a peur de rien tout comme Alice, même si elle fait des cauchemars. Et Fluffy grâce à la finesse de son odorat trouve des éléments qui va aider la petite équipe. Pourtant, l’histoire semble moins aboutie. La mise en place de l’intrigue s’étale et sans proposer de quoi s’étonner. Et tout cela pour arriver au pic de l’action sur quelques brèves pages. Même l’idée de voler des biens de valeurs qui réveille un fantôme n’a rien de très original. Qui n’a jamais vu cela au moins une fois dans des films ou des séries ? En plus, c’est forcément Alice qui vole une gemme car les femmes ne peuvent résister à l’attrait des bijoux de valeur. Elle est la source de tous les problèmes. Heureusement que malgré ces moments de cleptomanie est fait partie du clan des gentils. Sinon, elle irait rôtir dans les tréfonds de l’enfer. Quelque chose de mystérieux émane quand même c’est la présence de ce fameux spectre. Nous allons surement le retrouver par la suite. Espérons que la suite se montre plus tumultueuse comme à ces débuts. 
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Couvrir les gagnants d'un concours de magie d'or, ça a l'air bien. Sauf quand on se fait couvrir au sens propre d'or massif et qu'on se retrouve exposé dans un musée avec notre nom écrit dessus.

Frigiel s'inscrit donc à ce concours en utilisant sa magie. Il arrive en finale et se rend compte que gagnant ou perdant, il mourra. Mais un retournement de situation va tout changer...

C'est l'un des tomes que j'ai préféré. Le roi des glaces et Frigiel sont dans la même famille, et c'est marrant que le neveu et l'oncle se battent l'un contre l'autre. Les kreeper explosent. C'est étrange qu'en plein été une pluie de neige tombe sur Lanniel.

Arnaqueur, acteur, c'est presque la même chose !

Abel est très bon pour casser et reconstruire en un clin d'oeil en cas de besoin vital. Abel prend tout au pied de la lettre, c'est drôle !

Une imprimante clandestine qui fonctionne sous un cabaret, traverser Paris après le couvre-feu pour passer un message, exécuter un homme pour la première fois, être un allemand réfugié en France et arrêté par ses compatriotes, fabriquer des faux papiers, rejoindre le maquis, l’univers carcéral, filmer son pays occupé, se souvenir des bruits : autant d’actes de résistance pour vivre libre.



Vivre libre ou mourir, 9 récits de résistances permet de mettre en images les différents visages des combattants cachés. La télévision, le cinéma ont mis en exergue les combats armés, fantasmant la résistance, mais ce n’était pas que cela. Jean-Christophe Derrien met en avant des actes, pour certains simples, mais tout aussi risqué : filmer le pays occupé, livrer un message dont le contenant est inconnu, tuer un homme. Travaillant avec le musée national de la résistance, le scénariste a sélectionné 9 histoires. Célèbres ou passées sous silences, ces actions ont été faites par des hommes et des femmes, inconnus ou célébrités de l’époque. Ces 9 récits courts, se focalisent chacun sur un acte. Chaque histoire est véridique, scénarisée un minimum pour que l’adaptation en bandes dessinées soit réaliste. Chaque dessinateur ne fait « qu’illustrer » le propos, lui donnant une dimension graphique marquante. Pour remettre les récits dans leurs contextes, ils commencent tous par un dossier d’une page, illustré.



Vivre libre ou mourir, 9 récits de résistances est un merveilleux album. Cours d’histoire passionnant, replaçant la résistance dans un contexte réaliste, ce livre donnera envie d’en savoir plus sur les combattants de l’ombre. Cassant l’imagerie d’épinal de la résistance, les auteurs montrent les actes, pas toujours propres, qu’ont du faire/subir ces combattants pour notre liberté.
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la digne suite du tome 1 avec toujours la mème qualité

Mme Endicott n'est pas un personnage sympathique, loin de là. Violente et peu réfléchie, elle tranche avec la douceur et l'intelligence de sa fille. Qui est quand même une as du combat à l'aiguille à tricoter.

C'est à se demander comment elle a fait pour rester conciliatrice si longtemps, un poste qui doit tout de même demander un minimum de tact et de diplomatie.



Les dessins sont vraiment très jolis et reflètent très bien l'atmosphère du Londres de cette époque. Karl et Darren continuent à apporter une touche bien amusante.



En revanche, j'ai trouvé le scénario un peu trop rapide. L'intrigue a mis beaucoup de temps à se construire pendant tout le premier tome et la moitié de ce second et elle va être résolue très vite en à peine une dizaine de pages. C'est un peu dommage, les personnages avaient beaucoup de potentiel pour durer plus de temps et la conciliatrice va manquer à Londres.
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9 micro-histoires différentes pour illustrer l'Histoire de la Résistance, dans ses plus petits actes, essentiels, dans ses plus secrets et méconnus... pour découvrir ce monde quasi souterrain, et inconnu, avec après chaque histoire une remise dans le contexte de l'époque. Une réussite.

J'ai bien accroché à ce premier tome très rythmé et très intense. Si Prudence n'est pas mon personnage préféré, j'ai par contre adoré Karl et Darren, les vagabonds qui la suivent à la trace.



J'aime beaucoup l'atmosphère dégagée par le dessin. Que ce soit pour la ville du haut ou les sous sols, on se retrouve toujours en adéquation avec l'action en cours.

On navigue avec bonheur dans les ruelles biscornues d'un Londres qui prend vie dans les pubs et les parcs.



Une jolie Angleterre victorienne dans laquelle Prudence se bat avec ses aiguilles à tricoter et son parapluie. C'est ce que l'on attend d'une Miss après tout !
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Suite et fin des aventures mouvementées de Louis, Sonia et André. Ce qui se déroule dans ce dernier tome n'apporte aucune surprise. On retrouve un résumé des épisodes précédents au début du volume avec une question : « Mais que s’est-il passé entre décembre 1942 et août 1944 ? » C'est la réponse qui est bien sûr apportée dans ce volume.



À l'époque, arrangements, compromissions et traîtrise étaient de rigueur. Tout cela transparaît dans cette dernière partie de l'histoire, sans oublier les aller-retours entre passé, présent et futur des planches. Dans la même veine que le précédent, ce tome est tourné vers le comportement humain. On ne s'ennuie pas un instant.

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Dans ce volume, le lecteur entre dans le vif du sujet, que ce soit celui de la résistance ou celui de la vie des trois protagonistes que sont Louis, Sonia et André. C'est la période où leurs destins basculent totalement. Des choix définitifs vont s'opérer. L'essentiel de l'intrigue se déroule au cours de l'année 1942, mais comme lors des tomes précédents, il y a des planches concernant le passé et le futur. Cette alternance permet enfin de mieux comprendre l'évolution des trois personnages.

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La couverture est très belle, on y voit une jeune femme vêtue d’une très jolie robe d’un temps ancien, d’un magnifique chapeau et d’un parapluie.



En commençant cette BD, le lecteur ne peut être qu’envouté par les dessins qui sont sublimement bien créés. Puis on se laisse transporter dans l’histoire d’enquête au cœur d’une vieille ville avec des gens peu commode et très renfermés sur eux-mêmes.

On apprécie beaucoup le fait que Miss Endicott soit une gouvernante le jour et une jeune justicière la nuit ce qui est bien accrocheur pour les lecteur et se marie à la perfection.

On retrouve des petits personnages enfuit sous terre dans une ville et certains font peur à voir. On s’attache à un petit personnage en particulier et nous sommes triste à un certains moment.

Miss Endicott est une jeune femme au grand cœur et très attentionnée avec les personnes qu’elle aime.

La fin de cette BD est prenante et intrigante, nous n’avons qu’une seule hâte, c’est de lire le tome deux car nous avons beaucoup de questions sans réponses.







Est-ce que j’ai aimé ce livre ?





Ce fût une découverte de lire une BD du genre enquête et fantastique et ce n’était pas pour me déplaire. J’ai beaucoup aimé les dessins qui sont bien créés et riches en couleur bien choisies.

Pas une seule imperfection n’est à déploré dans cette BD et j’ai hâte de lire le second tome.
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Il s'agit d'une série en quatre tomes. Dans ce premier volume, après quelques planches situées en 1943, nous découvrons Sonia, André et Louis à Paris en juin 1940 au moment où les Allemands prennent possession de la Capitale. Désabusés, les trois jeunes gens veulent s'éloigner au plus vite de la ville.



Au travers de cet album, nous découvrons en arrière-plan la situation du pays en 1940. L'histoire s'attache aux trois personnages et aux choix qu'ils vont faire pendant cette période difficile.

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Nicolas et Charlotte parcourent le monde des smileys à la recherche de réponse et de leur papa. Ils sont aidé par le smiley Q/R. Leur débrouillardise les aide à se sortir de situation rocambolesques. Ce qui est dommage, c'est que le récit est rapide, trop rapide à mon goût. Les situations se renouent un peu trop facilement, mais la lecture reste sympathique... Que prépare M. Brock, le patron de leur papa?

"Lu avec mon fils de 9 ans."



Il a adoré. Il à hâte de lire la suite. Super BD d'un youtubeur marrante.

Les illustrations sont sympa, nous plongeant dans un univers de geek.

Facile à lire et drôle. Mon fils à beaucoup kiffé le personnage du cochons.

Super pour motiver les enfants à lire.

Il est impensable d'imaginer que ce type d'oeuvre puisse exister ! Un personnage principal imbuvable auquel il est impossible de s'attacher, des remarques graveleuses et une agression sexuelle... Rien ne va dans ce premier tome d'une Siphadventure pourtant destinée aux enfants !

J'avoue ne pas avoir lu l'œuvre originale, donc je ne pourrais pas parler ici du lien et des prises à parties de l'auteur illustrateur.



Mais j'ai beaucoup aimé les illustrations de cette adaptation, ce jeu des couleurs.

On se sent oppresser comme les personnages par ce regard invisible de la dictature, par ces injonctions. La peur est là, l'oppression, l'envie de fuir. Mais sans lieu pour.

On continue à suivre les trois protagonistes dans la seconde guerre mondiale.

Le graphisme est comme dans le premier tome. Il y a également des bonds dans le temps dans celui-ci qui ne sont pas toujours judicieux ou dont on ne comprend pas forcément tout, comme à la fin du premier tome où Sonia est appelée Marianne...

Je pense que je ne continuerai pas cette série.

1940, les Allemands entrent dans Paris. Sonia et André quittent Paris en compagnie de Louis mais leur route se sépare lorsque André prend une décision.

Je n'ai pas apprécié le graphisme et les caractéristiques des personnages sont trop caricaturales mais le sujet aurait pu être intéressant sur les choix et non choix en cette période trouble.