Jean-Christophe Derrien

Une BD originale sur une thématique qui touchera les jeunes lecteurs: Internet, ses "dérives". Cette BD humoristique est sympathique. On y découvre deux ados frère et soeur, qui découvrent le monde des emojis. Leur papa semble être absent. Nico, élève moyen cherche la reconnaissance de ce papa absent. Il trouve une combine! Sa soeur Charlotte sent "l'arnaque" De son frère mais se laisse embarquer...

Le monde des emojis et ses dangers s'ouvre à eux: reviendront-ils? Qu'est-il arrivé à leur papa? Tout reste ouvert pour le tome 2.

Je n'ai pas lu l'œuvre originale mais cette lecture me donne envie de la découvrir afin de rentrer plus en profondeur de la folie dans laquelle le roi était embarqué. Les dessins sont géniaux et je l'ai lu d'une traite, c'était fluide et entraînant. Super découverte !

Torregrossa fait un travail des plus convenables sur la partie graphique. Il nous entraîne dans les montagnes du Kafiristan, après nous avoir menés dans les rues et quartiers des villes de l'Inde.
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Pas de surprise donc sur ce Tome 13 de Frigiel et Fluffy - La faille des profondeurs, la mécanique est bien huilée, et l’exploration de la cité sous-marine comblera probablement les lecteurs !
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On continue la suite de cette histoire, un ton plus sombre dans les bas fonds et vers les affrontements pour lesquels en tant que lecteur tout nous a preparer. Le graphisme est encore genial. Et l histoire se deploit encore. Apres juste peut etre j aurai aime une fin differente? Mais cest tout personnel! Une super lecture. Que je relirai avec plaisir.

Premièrement, l’histoire nous embarque dans un monde effrayant et pas si différent du notre si l’on reste conscient des choses. Mêlant paranoïa, contrôle, et emprise du gouvernement.

Ensuite, les illustrations sont puissantes, les traits sont marquants et on y perd facilement la tête à tout vouloir analyser. Entre le noir et le blanc, les touches de couleur, l’ensemble rend le décor encore plus prenant !

Que les fans de Frigiel et Fluffy me pardonnent... je ne connaissais pas l'existence de ce duo de héros avant de prendre négligemment cette BD posée à côté des toilettes. Geste prémonitoire... d'habitude je prends toujours de la lecture aux toilettes. Cela me permet d'éviter de lire les lectures d'autres personnes.



Les fans de Minecraft connaissent également Frigiel et Fluffy via leur chaîne youtube. Influenceurs (terme galvaudé) connus des petites têtes blondes. Ces têtes blondes qui jouent à Minecraft, la boucle est donc bouclée. Frigiel et Fluffy ont maintenant leur série BD. Je suppose que tout le monde aurait envie d'être les héros d'une BD. Ils l'ont fait.



Cqfd, dirais-je.



Le scénario est inexistant. Trois amis, deux garçons, une fille. Mage, guerrier, voleuse. On laissera MeToo se lamenter que la voleuse soit une fille... Donc, 3 amis se mettent (contre l'avis des adultes) en quête des responsables de la disparition des pastèques... Des pastèques ! Je vous demande peu... Mais le problème majeur n'est pas là. Ce graphisme Minecraft m'insupporte. Têtes carrées. Vaches carrées. Flèches à pointe carrée. Pas de mains. Juste des moignons... carrés, effectivement. Je vois que vos suivez.



BD pour enfant... diront les fans. A quoi je rétorquerai que je ne vois pas pourquoi on doit brader un produit sous prétexte qu'il sera lu par des enfants.



Et tout en ayant lu cette BD aux toilettes, je vous jure qu'il ne manquait aucune page lorsque j'ai reposé le tome où je l'avais pris.

Les jeunes amateurs se feront plaisir à regarder ces dessins. Il y a de bonnes choses, par moments, dans certaines cases. Mais il faut vraiment être amateur du style pour tout apprécier. Bref, encore un tome qui ravira les jeunes lecteurs de Frigiel & Fluffy. Cette série n'est faite que pour eux.
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Le célèbre roman 1984 de George Orwell est donc tombé dans le domaine public cette année. Cela a provoqué un grand engouement autour de ce livre sensationnel qui n'est pas sans rappeler certains aspects de notre monde actuel. L'une des adaptations les plus accessibles est sûrement celle de Jean-Christophe Derrien pour le texte et de Rémi Torregrossa pour le dessin.



UNE ADAPTATION DE 1984 EN BD QUI S'AXE PRINCIPALEMENT SUR L'HISTOIRE D'AMOUR

Cette version de 1984 écrite par Jean-Christophe Derrien et mise en image par Rémi Torregrossa axe le roman sur l'histoire d'amour entre Winston et Julia. C'est une manière d'expulser la violence et le système complexe du roman en donnant un point d'ancrage fixe au lecteur. Ce qui est montré avant tout, c'est la résistance de leur amour présenté comme un acte politique. Et c'en est un : Big Brother contrôle tout, le Parti surveille chaque habitant de son pays. Dans un monde réduit à la non-pensée, aimer est déjà un crime.



L'histoire d'amour vient donc appuyer l'horreur de la situation des personnages, contraints de se cacher mais vivants comme ils le peuvent. Bien évidemment, ils ne veulent pas se trahir, pourtant, sauront-ils résister aux violences infligées par le Parti ? En s'aimant, ils savent qu'ils sont condamnés à la mort.



UNE VERSION SIMPLIFIÉE DE L'HISTOIRE QUI VA À L'ESSENTIEL

Cette Bande dessinée va donc à l'essentiel en simplifiant la trame narrative du roman. George Orwell a su écrire un roman très complexe mais compréhensible. Pourtant, la richesse de son œuvre est difficilement représentable par image. Il faudrait que cette BD fasse le triple de sa taille pour aborder toute la richesse du roman.



Malgré tout, c'est une très belle première approche de l'histoire de 1984 de George Orwell. Cette bande dessinée simplifie donc l'histoire sans enlever la profondeur des propos tenus. C'est une version qui rend accessible le roman dont certains points peuvent échapper à quelques lecteurs. Les passages qui révèlent l'embrigadement de la jeunesse font particulièrement froid dans le dos, et c'est tout la force de cette adaptation : une BD qui va vite et à l'essentiel du contenu de 1984.



Ce que je regrette un peu, c'est le manque d'explication autour de certaines notions, qui laisseront peut-être parfois le lecteur un peu en dehors de leur importance. Par exemple, la novlangue, qui est pourtant un point essentiel de 1984 est très peu évoquée. Il en est de même avec les phrases clés "Guerre = Paix", "Liberté = Esclavage" et "Ignorance = Force". Ces préceptes traversent l'œuvre mais peuvent ne pas marquer le lecteur, pourtant tout est dans la contradiction de ces mots, tout est dans le désapprentissage des membres du Parti.



LA MISE EN IMAGE DE CETTE ADAPTATION DU ROMAN CULTE 1984

Si George Orwell savait déjà créer des images à partir de ces mots, le fait qu'il s'agisse d'un roman éloigne beaucoup de lecteurs potentiels. Une adaptation en BD permet donc de rendre accessible au grand public une œuvre culte et probablement essentielle. George Orwell éduque le public et le met en garde. Avec Rémi Torregrossa, l'ampleur de la dictature est parfaitement mise en image.



Les images sont noires et grises, tout est sombre et la violence comme la haine transperce les yeux des membres du Parti. Tous évoquent la méfiance, la surveillance, et l'absence d'émotion. Les seules bouffées d'air frais, évoquées par la couleur, concerne les actes de résistances. La couleur vient illuminer les scènes d'amour, de tendresse et les souvenirs heureux. Le reste n'est que neutralité.



Deux autres couleurs viennent brutalement s'immiscer dans le noir des dessins : le rouge du danger et de la mort approchant s'insère parfois au détour d'une bulle de condamnation. En revanche, le jaune moutarde vient contraster. Il représente la Résistance extérieure à l'acte politique de Winston et Julia. Il représente le petit livre de Goldstein, l'ennemi du Parti et la Résistance active des deux amants. C'est le refus d'une dictature du sang, de la torture et de l'oubli. C'est une lutte entre Big Brother (rouge) et Goldstein (jaune, vous comprenez bien le jeu entre la couleur et le nom).
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Adaptation forte et fidèle du monument de Georges Orwell.
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Cette aventure pleine de suspense, co-écrite par Siphano et Jean-Christophe Derrien, ravira les plus jeunes et les amateurs de la chaîne de Siphano, en croisant les univers du jeu vidéo, d’internet, et de la BD !
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Je n'ai pas pour habitude de lire des BDs, à part Mélusine et les Astérix, mais quand j'ai vu que Siphano en sortait une, j'ai voulu voir ce que ça allait donner.

Vous vous demandez sans doute qui est Siphano ? Il s'agit d'un Youtuber axé sur le gaming. Du coup, on peut voir via sa BD, l'univers de Minecraft et autres, mais sauriez-vous les reconnaître ?

Je peux être honnête en disant ne pas accrocher énormément sur cette licence ? Malgré tout, j'ai voulu voir ce que ça donnait parce que j'aime bien ce qu'il fait en général.

Et que dire, je n'ai pas été déçue, au contraire, j'ai bien aimé ce moment passé en compagnie de Siphano, Grace et Pandarou, ça avait même un goût de trop peu, sachez-le. J'aurais eu la suite que je l'aurai lu directement.



Les dessins sont de Giuseppe Quattrocchi, et franchement, c'est très bien réalisé si on aime le style, moi en tout cas j'ai beaucoup aimé. Comme c'est l'univers de Minecraft, forcément tout est carré, mais tout est bien reconnaissable, ça change de ce que je connais mais c'est pas un mal.

Quant au scénario fait par Siphano et Jean-Christophe Derrien, il est léger et marrant. Et ce qui est bien, ce que la fin mène (je l'espère sincèrement) à un tome 2.



Pour ma part, j'ai trouvé les personnages assez drôles avec une histoire sans prise de tête avec qui on passe un bon moment, alors si vous voulez faire comme moi, n'hésitez pas à vous le procurer ça vaut d'être connu.
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Ce deuxième tome vient conclure ce merveilleux diptyque qui vient embellir une collection «Signé» fraichement relookée de la part des éditions du Lombard.



Le lecteur y retrouve cette version fantasmée de la ville de Londres sous l’ère victorienne. Mais, l’histoire va prendre une autre tournure dans ce deuxième volet. Démarrée de manière plutôt lente et sous des airs de «Roman graphique», l’histoire va s’accélérer et faire ressortir son côté fantastique. Les différents mondes qui semblaient cohabiter sans trop d’interactions, vont entrer en effervescence et injecter une bonne dose d’action à l’histoire.



Malheureusement, ce virage scénaristique se fait un peu au détriment de personnages qui tombent dans le piège des stéréotypes. Le personnage de Prudence Endicott se retrouve un peu dans l’ombre de sa génitrice et c’est sans hésiter que l’on échangerait les deux Endicotts de ce tome contre l’ancienne du tome précédent.



Mais, malgré cette ambiance légèrement dénaturée et une fin qui manque de conviction, ce diptyque reste excellent et le graphisme succulent. Et dire que Bamboo ...

Ce projet initialement refusé par Bamboo profite du relookage de la collection «Signé» pour s’insérer dans le catalogue des éditions Lombard. Une collection habituellement réservée à de grands noms (Hermann, Cosey, ...) et aux one-shots, mais au sein de laquelle ce diptyque fait finalement très bonne figure.



Le cadre choisi est celui de l’Angleterre victorienne, où une préceptrice émancipée décide de remplacer sa défunte mère en tant que conciliatrice des opprimés. Le décor est celui d’un Londres fantasmé et permet d'introduire plusieurs mondes qui cohabitent sans trop d’interactions.



C’est au sein de ce cadre, teinté de fantastique, que le lecteur va pouvoir suivre les enquêtes de ce petit bout de femme surprenant. Le personnage principal, Miss Endicott, est original et attachant. Une héroïne qui ne baisse jamais les bras et qui, munie de son parapluie, n’est pas sans rappeler une certaine Mary Poppins. Les autres personnages sont également très réussis, avec un majordome et un assistant tout bonnement excellents.



La séduction est donc totale et n’est pas étrangère au trait de Xavier Fourquemin ("Outlaw", paru chez Glénat). Ses décors onduleux et riche en relief et les trognes succulentes de ses personnages qui semblent sortis d’un dessin-animé font la force de cette première partie de diptyque.

On reste dans une adaptation qui ne sort pas des clous, mais c'est assez bien mené, tout du long, avec pas mal de rebondissements, de rythme, du très bon travail de commande qui, même s'il reste fidèle à un cahier des charges assez précis, n'en reste pas moins de qualité !
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Étant une très grande fan de la série Miraculous je ne pouvais QUE me tourner vers ses BD, qui reproduise à l'identique les épisodes de la série.

On a là affaire aux Origines, à la rencontre entre deux Kouami et leurs nouveaux alliés contre le Papillon.

Les planches sont tellement réalistes que je replonge directement dans mon visionnage télévisuel.

Tout est aussi réaliste que dans la série.

Ces supers héros 2.0 me plaise, leurs caractères, leurs façons d'être, leurs déterminations et leurs courages.

Tout est réuni pour passer un super moment en leur compagnie.

Je ne peux donc que vous conseiller ces 2 BD qui plairont autant aux enfants qu'aux adultes en quête de nouveauté et de supers héros des temps modernes.



J'ai même convertie É. 5 ans, la petite fille que je gardes et que vous voyez souvent sur mes photos à la LadyBug Mania.
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Le scénario s’adresse, en effet, aux moins grands d’entre-nous. L’intrigue est convenue et le propos naïf. Mais la série trouvera certainement son public parmi les plus jeunes fans de Minecraft. Les autres passeront leur chemin.
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Sans être vraiment une surprise en soi, cet album peut donner l'occasion de faire un petit cadeau à un jeune fan des films !
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Pour les dessins, là aussi c'est une bonne surprise. Les planches sont dynamiques et très fluides, tandis que les personnages restent très expressifs. Du très bon boulot !
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Peu de surprises dans cette adaptation, où le studio s’est attaché à respecter le style et la réalisation de l’animé, jusqu’à maintenir le cadre de l’affrontement final dans le Stade de France, malgré l’effet légèrement lassant que cela peut présenter en bande dessinée.
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