Dans un conte forcément, l’histoire n’est pas vraie, n’est-ce-pas ? N’est-ce-pas. Voici le premier livre qui m’a fait pleurer. Et saigner mon cœur de mère.
Prévoir un certain temps, voire un temps certain après ce court ouvrage, pour vous en remettre.
Commenter  J’apprécie         00
Magnifique conte, magnifique histoire, ce livre vous emmène dans une aventure tragique avec finesse, poésie et un zeste d'humour. Le tout judicieusement posé et justement équilibré, ce livre vous emporte et vous émeut. L'auteur vous amène dans le récit et vous y accompagne, il crée une atmosphère complice et parvient à vous mettre de plus en plus le doute, jusqu'au dernier mot : est-ce vrai ?
La force de l'amour rend les hostoires vraies.
Commenter  J’apprécie         00
Très fort et très condensé.
Commenter  J’apprécie         00
Quelle jolie lecture ! Encore un coup de coeur !
Je n’avais jamais rien lu de Jean-Claude Grumberg, et ce joli conte m’a donné envie d’en découvrir davantage.
Ça commence comme le Petit Poucet, avec un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne, sauf qu’ils n’ont pas d’enfant et que nous sommes en plein coeur de la guerre. J’ai adoré la manière dont c’est raconté : à la fois comme un conte pour enfant et comme une tragédie. On peut facilement le lire à des enfants, mais pas trop petits et pas avant d’aller dormir, car il y est quand même question d’ogre, de haches et des têtes qui craquent.
En tous cas, ma Lola a beaucoup aimé !
L’épilogue est très surprenant et magnifique. Et la dernière phrase est juste d’anthologie !
Une petite merveille, qui m’a été conseillée par le patron en personne de ma librairie préférée,
Commenter  J’apprécie         00
Un petit chaperon rouge revisité... un loup nazi, une petite fille juive, du moins c'est ce que l'on sous entend... texte dynamique qui permet une mise en scène inventive et un jeu varié. Beaucoup d'humour sur ce sujet grave :
des répliques qui donnent à parler et comprendre accessible aux élèves de cycle II... IIdéal pour lire, vivre et faire vivre un conte détourné à la lueur de l'histoire du 20ème siècle!
Commenter  J’apprécie         00
Le récit est mené telle une histoire à raconter à un enfant, à son enfant. Une belle histoire, à mi-chemin entre la fable et le conte, qui invite à partager et réfléchir sur l'autre, l'étranger, l'accueil réservé aux réfugiés, l'errance des familles. La symbolique est forte, les allusions au système nazi sont percutantes. Une lecture fortement recommandée pour nos jeunes et leurs parents.
Commenter  J’apprécie         00
Un texte inégal.
Il y a de beaux moments, des moments forts, des moments souriants.
Il y a aussi des moments sombres, des moments tristes, des moments durs.
Il y a aussi des choix incompréhensibles, irréalistes, incongrus.
D'autres seront très humains, pleins d'amours et de solidarité.
Certes il faut accepter une part de conte dans cette histoire mais ce n'est pas si clair...
Et enfin, il y a ces deux fins proposées, deux fins pour un seul final....ça m'a un peu perdu et doit perdre les jeunes lecteurs à qui cette pièce est destinée.
Commenter  J’apprécie         00
Superbe ! Très drôle et naif, cette pièce reprend des classiques des contes de fées, et les revisite -mais pas dans le style glauque ou rebelle- avec un humour inconditionné !
A dévorer !
Commenter  J’apprécie         00
Je nait pas du tout aimer ce livre.Enfin cette pièce de theatre.
Commenter  J’apprécie         00
Pièce émouvante de Grumberg.
Commenter  J’apprécie         00
Entre le meilleur Devos et le plus rusé Pirandello, un délectable moment de lecture - et de spectacle.
Dernier recueil de dialogues théâtraux de Jean-Claude Grumberg, publié en 2011, "Si ça va, bravo" est monté au Lucernaire à partir d'avril 2012 par Johanna Nizard, avec les acteurs Étienne Coquereau (que l'on avait déjà pu apprécier l'an dernier dans le remarquable "Les amnésiques n'ont rien vécu d'inoubliable" d'Hervé Le Tellier ) et Renaud Danner.
Des scènes courtes, utilisant brillamment le petit espace concocté par Johanna Nizard, avec ses "lignes de jeu" auxquelles on tente par moments désespérément de se raccrocher pour démêler le réel de la fiction, scènes provoquées par un "Ça va ?" ou un "Merci !", jetés de manière anodine en apparence, mais qui permettent aux deux acteurs un puissant jeu sur le langage, là où Grumberg leur demande de traquer par le rire ce qui se cache dans les mots de tous les jours, trop vite utilisés, et oubliés à peine prononcés. Pas de cela ici, où le galvaudé résonne longtemps, son sens renouvelé au milieu des rires que le public ne peut réfréner...
Entre le meilleur Raymond Devos pour le jeu verbal et le plus rusé Luigi Pirandello (la référence absente, et pour cause, de la superbe scène "Prof", qui donne mine de rien un beau cours de théâtre) pour la mise en abîme du texte et de l'acteur, un délectable moment de lecture et de spectacle.
Commenter  J’apprécie         00
Avec un regard acéré et un humour grinçant, Jean-Claude Grumberg nous plonge dans le quotidien d'une famille juive, avec ses relations humaines riches, complexes et parfois tendues.
Commenter  J’apprécie         00