Jean-David Morvan

C'est la phrase derrière la BD qui a attiré mon attention. ''Quand le tueur numéro un d'une organisation reçoit comme mission d'éliminer le numéro 3, comment réagit le numéro 2?''. On aura assez peu de réponses à cette question, mais comme il y a plusieurs tomes, il faut faire durer le plaisir. Ce qu'on a c'est une récit avec des dessins simples, mais avec un jolie concept quand il est question d'action où on tente de retranscrire la fébrilité du mouvement, ce que j'ai beaucoup aimé. La narration se permet des petites pointes constamment ce qui ajoute souvent au dessin. Malheureusement, il ne se passe pratiquement rien dans ce volume 1 et c'est ma seule critique. Ça se termine et on ne sait vraiment pas dans quelle direction ça va bien aller, ce qui peut-être considéré comme un attrait pour le vol. 2, mais c'est dommage pour un lecteur comme moi qui attend d'être convaincu par le premier volume pour m'attaquer aux autres.

Une très bonne surprise pour cette nouvelle série. Nous accompagnons Nävis dans sa toute première enquête pour notre plus grand plaisir. L'univers est toujours aussi riche et colorée. L'héroïne a déjà ce petit côté impertinent qui plaît tant. Bref une belle réussite.
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La forte capacité d’identification à ces deux enfants presque parfaits ou aux gamins des rues, rend la lecture immersive du fait de la disparition (criticable) du contexte social englobant le monde dans lequel évolue les personnages.
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Pour son premier album grand public, Gaëlle Hersent trouve l’évocation qui sied pour sensibiliser son lectorat. L’artiste use d’une technique picturale légère, simple et libérée, octroyant avantageusement une profondeur délectable surtout dans l’effigie de ses personnages.
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Pour porter cette fable humaniste narrée par Aurélie Bévière et Jean David Morvan, Gaëlle Hersent livre pour son premier album une performance remarquable. Au premier abord, son trait peut paraître un rien brouillon, voire peu affirmé, mais c’est un dessin qui ne prend son sens qu’à la lecture.
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Avec « Sauvage », Aurélie Bévière, Jean David Morvan et Gaëlle Hersent (au dessin) signent une biographie passionnante de la vie de Marie-Angélique Le Blanc, jeune sauvageonne découverte dans la Marne au dix-huitième siècle. En 200 pages les auteurs relatent sa destinée mystérieuse, atypique, terrible.



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Un destin stupéfiant : celui d’une fillette enlevée au Canada, ramenée en France pour y être exploitée, puis survivant dans la forêt. Un peu de Greystoke et de L’Enfant sauvage dans cette vie unique. Poignant et sans excès de pathos.
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Le ton est juste, la démarche est sobre et l’album se lit avec le plaisir d’une belle découverte. Car c’est aussi une belle découverte graphique que ce premier album dessiné par Gaëlle Hersent, formée notamment au cinéma d’animation. Son trait énergique et expressif, son talent évident pour le découpage et les cadrages efficaces et une jolie maîtrise des couleurs impressionnent.
Lien : http://www.bodoi.info/sauvage/

Ce volume nous fait voyager une nouvelle fois dans le très prolifique univers de l’auteur de science-fiction Stefan Wul. Cette adaptation est très fidèle à l’œuvre originale et conquit tout de suite le lecteur. Les personnages sont attachants et on tremble même lorsqu’ils se retrouvent sous la coupe des Draags plus terrifiants que jamais.
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L'impression que laisse cette adaptation en BD est étrange. On mesure combien certains éléments de l'oeuvre de Wul sont universels, et donc toujours d'actualité. D'autres, par contre, ont incontestablement vieilli. Jean-David Morvan signe un scénario qui privilégie l'action et on se retrouve immergé dans une aventure qui, vu les diffrences de tailles des protagonistes, évoque parfois des Voyages de Gulliver en mode futuriste.
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moi qui suit fan de sillage j'attend toujours avec impatience la suite de cette série digne successeur des Valérians , Dany Futuro , etc... Mais là , quelle mauvaise surprise , on reprend la base d'un tome précédent avec un scénario sans aucune inventivité , souhaitons que les auteurs se reprennent sur le suivant.

Toujours aussi bien dosé, le récit est dense et offre une histoire riche et prenante. Buchet nous régale toujours autant avec son dessin soigné où chaque détail est réussi.
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Quand à Philippe Buchet, il nous offre là du très bon travail. L'univers steampunk de Tri-JJ768 semble beaucoup l'inspirer. Côté décors, nous avons des lieux incroyables à visiter et côtés véhicules, là aussi, Buchet nous régale comme ce "Rutilant IV" qui est un véhicule au design superbe. La mise en page de cet épisode est tout aussi incroyable.
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Une BD divertissante tout en étant informative. On y découvre le monde méconnu des yakuzas, organisations mafieuses japonaises qui s'inscrit dans le code de valeur de la tradition nippone.

Un graphisme pas toujours juste mais original accompagné d'un scénario pas mal.

Un graphisme pas toujours juste mais original accompagné d'un scénario pas mal.

Le commissaire Ney Quitsou, un renard aux allures de Sherlock Holmes, enquête sur une affaire de cannibalisme, un crime odieux dans une société végétarienne.



La BD animalière est un genre à part entière,difficile d’innover.

Le style graphique, qui rappelle les premiers dessins animés de Walt Disney, est agréable et bien mis en couleur.

Sans renouveler le genre, Sherlock Fox arrive à trouver une certaine originalité. Mais on pourra lui reprocher son côté moralisateur et ses personnages qui manquent un peu de charisme.

(MLM971) Pas assez de place à la BD. Traitement du thème trop classique pour les élèves. Peu accrocheur.



(NG971) Tout à fait d'accord avec MLM971. Sans doute un album à avoir dans son fonds en lycée mais pas pour le prix.

Si l’histoire de Luuna commence de manière classique, avec la cérémonie initiation d’une jeune indienne, les événements s'accélèrent très vite, nous plongeant dans l’action dès le premier volume. Mais alors que les aventures s’enchaînent, on a l’impression que l’auteur perd le contrôle de son personnage, avec un sentiment de coupes drastiques dans un univers par ailleurs trop linéaire. On arrive à un gros n’importe quoi, qui (soulagement) semble prendre fin avec la clôture du tome 5, celui-ci marquant la fin d’un cycle. La suite s’installe dans un univers totalement et une intention totalement différentes.

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http://www.bizzetmiel.com/2014/05/nicolas-keramidas-et-didier-crisse-puis.html
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Le Chasseur a beau se situer dans une société animale anthropomorphe, il reste à l'instar de BD comme Blacksad ou Réglement de Contes un reflet de notre société et de ses maux. Les investigations de Ney sont plaisantes à suivre et c'est avec une curiosité et une impatience exacerbée qu'on arrive au terme de ce premier tome. Vivement la suite.
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