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Critiques de Jean-Hugues Oppel (218)
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Ippon

La soirée s’annonce plutôt bien pour Sébastien : ses parents se sont absentés chez leurs amis pour le dîner, le match de foot à la télévision, mais il y a surtout la venue de la belle Justine, l’étudiante censée le faire travailler.

Mais lorsqu’il retrouve la jeune fille morte dans la cuisine, un jeu contre la montre s’engage avec l’assassin qui s’est introduit dans la maison…

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Le furet enquête : Le Feu au lac

Jean-Hugues Oppel a du métier et il le montre dans ce vrai polar, sans mièvrerie.

Une intrigue intéressante, de l'action, un peu d'humour. Mais je ne peux m'empêcher d'être un peu déçu par ce roman : peut-être à mon avis n'est-il pas assez étoffé côté rebondissements, manquant un peu de surprises, de méandres. Mais en une centaine de pages...

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Ippon

Sébastien, 13 ans, s’apprête à passer une soirée comme il les aime, en compagnie de Justine, l’étudiante grâce à laquelle il devrait améliorer ses résultats scolaires. Et puis lorsque ses parents sortent le soir, il y gagne en liberté… Mais un dangereux inconnu s’est introduit dans la maison !



Un huis clos haletant, une traque désespérée, du suspense à revendre. Si vous aimez ces ingrédients-là, vous serez servis ! Voici un des fleurons de la collection Souris noire des Editions Syros.
Lien : http://lewebpedagogique.com/..
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Ippon

Le livre est très bien avec du suspens. Je vous le conseille. Il est facile à lire.
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Ippon

Un soir les parents de Sébastien sont partis dîner chez leurs amis. Sébastien est gardé par une baby-sitter nommée Justine. Mais ce soir là un assassin s'introduit dans la maison. Une course folle va commencer entre Sébastien et l'assassin.

Nous avons trouvé ce livre génial grâce au suspens. Un peu stressant à la fin à cause des parents qui sont arrêtés par la police. Sébastien est le héros de ce livre. Cet ouvrage est écrit par Jean-Hugues Oppel



Lucie et Nathaël CM2

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Ippon

Je n'ai pas aimé ce livre car la lecture était trop compliquée.

Mais l'histoire a l'air d’être bien.
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Vostok

Quelque part en Afrique, sous une chaleur étouffante, la société Métal-Ik exploite les "terres rares", ces métaux stratégiques nécessaires à la haute technologie.

Certaines multinationales, on le sait, ne sont pas très regardantes en matière de droit du travail. Aussi, lorsqu'une agence de l'ONU dépêche Tanya Lawrence sur place, elle n'est clairement pas la bienvenue. Face à l'hostilité générale, elle ne peut compter que sur Tony Donizzi, le guide que lui a assigné le consortium. Le climat s'alourdit vite dans la colonie minière de Métal-Ik, alors qu'une autre menace bien plus grande et moins perceptible, se profile...



Ça faisait quelques années que les fans de Jean-Hugues Oppel attendaient son nouveau roman avec impatiente. Avec Vostok, les voilà satisfaits ! Pour ma part, je ne connais pas vraiment l’œuvre de Jean-Hugues Oppel, n'ayant lu que Ippon, un de ses romans pour la jeunesse. Mais j'étais curieuse de découvrir cet auteur incontournable de polars français.

La force de ce roman est sans aucun doute l'ambiance qui s'en dégage : une ambiance étouffante, un climat lourd qui annonce des lourdes menaces et qui colle parfaitement aux complots politiques rondement menés tout au long du roman. Et même si l'auteur nous dresse un portrait peu reluisant de la nature humaine, le style quant à lui n'est pas dénué d'humour noir et féroce mais malgré tout plaisant. Enfin, la défense de la nature sauvage est un thème important que l'auteur oppose à l'égoïsme de l'homme qui cherche à faire fortune à tout prix.












Lien : http://plusonadeuxplusonlit...
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French Tabloïds

Je me suis plongé dans cet ouvrage pendant les élections de cette années, donnant une saveur particulière à cette fiction. Un pur régal, tout semble si vrai et d'actualité. Bref, au regard des urnes je me suis dit....ça recommence? Bref je suis devenu un peu parano et ....j'ai adoré!!
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Dans le grand bain

L'ouvrir, c'est l'insomnie assuré pour 50% des enfants... pas des adultes car nous lisons plus vite. En effet, il est impossible de décrocher de cette histoire. Impossible de décrocher mais d'accrocher... tout dépend. La moitié des jeunes lecteurs auxquels je l'ai proposé n'ont pas aimé, les autres adoré. C'est un livre qui passionne, dans un sens comme dans l'autre.

A vous d'essayer !
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Ippon

Lecture Jeune, n°129 - mars 2009 - Flash-back sur un braquage : quatre coupables et une seule arrestation. Plusieurs années se sont écoulées lorsque Dominique venge Claude, qui a fini par se suicider, après un long séjour derrière les barreaux. L'ambiguïté des prénoms, masculin ou féminin, est un habile procédé, qui permet de centrer le récit autour de Claude, une femme courageuse qui n'a pas voulu dénoncer ses trois complices. L'univers carcéral s'est refermé sur elle, jusqu'à la pousser à un acte irrémédiable. Le lien entre les personnages est peu à peu dévoilé : le frère a décidé de rendre « justice » à sa soeur et le déroulement est inéluctable, comme dans une tragédie antique. Jean-Hugues Oppel dénonce ici l'enfer de la prison et les humiliations quotidiennes. Le roman met aussi en cause la « vendetta », mécanisme de la haine qui ne peut tenir lieu de justice. Ce texte peut amorcer un débat sur la justice et la prison. Un exemple de roman noir réussi ! ? Cécile Robin-Lapeyre
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Ambernave

Dans le port d'Ambernave, qui pourrait se situer sur le littoral du Nord ou de la Normandie, un croque-mitaine insaisissable fait des siennes, laissant dans son sillage des victimes démantibulées.

C'est également dans une ruelle quasi abandonnée du port, où ne vit plus qu'un seul homme, à savoir Emile dit "Patte-folle", l'ancien docker, que va se nouer une amitié particulière, entre le vieil homme et un type comme tombé du ciel, personnage au comportement autistique et à la force herculéenne, amouraché d'un chiot abandonné.

Emile voit dans cette relation une retranscription du livre de Steinbeck, "Des souris et des hommes".

Il s'agit bien dans le roman de Jean-Hugues Oppel de la rencontre entre plusieurs êtres esseulés mais aussi de magouille politique, de paysages gris et glauques, chargés d'embruns, et de rêves d'ailleurs...

Jusqu'au bout l'auteur ne dévoile rien du mystère qui recouvre son "monstre", sorte d'âme damnée, personnage effrayant capable de tendresse.

Un polar noir, qui contient beaucoup d'humour, et à la langue en adéquation avec l'atmosphère et les protagonistes.
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Barjot

Un pavillon de banlieue, totalement banal. A l’intérieur une famille et ses invités attendent le maître de maison, retardé par une crevaison. Soudain, des hommes en armes font irruption et massacrent tout le monde, puis incendient la maison. Seul rescapé grâce à son pneu, le héros devient littéralement fou. Avec un gros coup de pouce du hasard, il se lance à la poursuite des tueurs, sans savoir que sa famille a été victime d’une erreur : ce n’est pas elle que les tueurs cherchaient.

Le premier opus de Jean-Hugues Oppel, paru en1988, est réédité par Rivages. Il porte un peu la marque du temps : on y parle en francs, les cabines téléphoniques sont utiles et les CD n’ont pas remplacé les microsillons. On retrouve dans cette oeuvre de jeunesse ce qui fait la patte d’Oppel : un humour grinçant, un certain goût de l’absurde, une distance entre l’action et la narration et un regard caustique sur le pouvoir.

On peut trouver les coïncidences un peu faciles, regretter la fin prévisible et une progression pas franchement haletante. Mais si on aime le roman noir décalé façon Oppel, le découvrir à ses débuts ne manque pas de sel. A réserver en priorité aux fans de l’auteur.
Lien : http://www.coucal.fr/2011/01..
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Ambernave

La ville d’Ambernave cristallise tout ce que l’ordre social capitaliste produit comme injustices, corruption, haine, pollutions, crimes et j’en passe. Dans le port d’Ambernave c’est noir et noir c’est noir à Ambernave.



Le port d’Ambernave est le royaume d’Emile. Il boite, ne peut plus travailler et boit dans son bouge infame. Il n’a qu’une fortune, le livre de Steinbeck, un rêve de Mont Blanc et un cœur grand comme ça lorsqu’il recueille un colosse simplet qui protège son chiot comme la prunelle de ses yeux. Emile va tout faire pour partager son rêve avec son nouvel ami et le chiot.



Les lecteurs souhaitant cerner l’univers du roman noir doivent lire cette fiction de Jean-Hugues Oppel. Il rassemble tous les codes de ce genre à la définition souvent galvaudée. L’ambiance y est glauque, la misère y suinte au détour de chaque page et il s’y trouve encore des méchants pour en profiter.



A Ambernave il y a aussi des colleurs d’affiches hargneux pour préparer les élections de pourris. Il y a aussi des flics pas très fûtés qui traquent un tueur en série. Ce n’est pas bon pour les affaires un tueur en série alors le crime mène sa propre enquête. Le moindre renseignement vaut très cher. L’argent c’est important à Ambernave et ça ne se partage pas.



Jean-Hugues Oppel a les mots justes et précis pour faire le récit de la misère et de ceux qui en profitent. La lecture peut parfois prêter à sourire si ce n’était la révolte que suscite un tableau inspiré du réel. «L’infirme prend prothèse sur la digue. Belle construction récente, péniblement gagnée sur la mer à l’aide de remblais venus des chantiers de la rocade périphérique. Elle est censée protéger le littoral d’un hypothétique raz de marée catastrophique ; abrite surtout un bien réel port de plaisance sans commune mesure avec le tourisme nautique du pays – mais pas avec la rapacité des entrepreneurs locaux. C’est le dernier avatar des rois du béton soutenant la municipalité vacillante qui ne sait plus quoi inventer pour attirer l’estivant fortuné, pain béni des petits commerçants avares de leur vote». Emile va faire le ménage, la fin est violente et engendre rage et tristesse. Un roman noir finit toujours très mal.



En lisant ce roman noir, j’ai réécouté «Ilot Amsterdam » Parabellum ( 1986 ).



Jean-Hugues OPPEL – Ambernave . Parution février 1995, Éditions Rivages, ISBN 9782869308735 . Exemplaire lu dédicacé par l’auteur, salon Jours de polar, Darvoy (45), octobre 2023.



« Amabernave » a été lauréat du Grand prix de littérature policière 1995.



Présentation éditeur : dans le port d’Ambernave, il y a des marins, ce qui en soi n’a rien d’étonnant… Il y a aussi Émile, l’ancien docker misanthrope, qui boîte et qui boit. Qui a trop lu Steinbeck. Qui cherche un homme sur les quais sans le savoir, au hasard de ses errances portuaires. Et le trouvera dans l’haleine glacée des brumes océanes, pour vivre enfin le livre à sa manière… Des petits chiens et des ombres. Un roman noir insolite et envoûtant.
Lien : http://romans-policiers-des-..
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Nuit rouge

Un foyer, un enfant qui fugue et se retrouve piégé par le feu allumé par des pyromanes, l'équipe de secours qui tente de maitriser le feu.

Voilà tout est dit !

L'histoire est censée faire peur mais en réalité, mis à part quelques moments où on stresse pour Christophe, on n'est pas vraiment effrayé.

Le style de l'auteur est vraiment particulier : j'ai été vraiment gênée par les mots vulgaires dans les dialogues. A croire que ni les adultes ni les enfants ne peuvent s'exprimer sans grossièretés ...

C'est longuet (alors que c'est un roman très court)...Il ne se passe pas grand chose et la fin est prévisible !
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Ambernave

Ambernave, ville portuaire, il y a des dockers et Émile, un ancien unijambiste, alcoolique et misanthrope. Il rencontre Johé, un colosse mutique accompagné d'un chiot. Affamés, tous les deux. Émile les recueille, les nourrit et se prend d'amitié.



Ambernave, il y a aussi le croque-mitaine, surnommé ainsi par la presse. Un tueur en série qui sévit dans les quartiers du port. Il y a donc des flics, Lombard et Brison, des patrouilleurs. Un duo qui pourrait bien être celui qui connaît le mieux le tueur.



Il y a aussi M. Wong, mafieux local, qu’Émile renseigne, se faisant quelques billets supplémentaires pour finir le mois lorsque la pension d'invalidité ne suffit pas.



Le roman débute ainsi :



"Dans le port d'Ambernave, il y a des marins, ce qui en soi n'a rien d'étonnant.



Dans le port d'Ambernave, il y a des marins qui ne chantent pas, parce que le cœur n'y est plus. Parce qu'il n'ont plus de rêves. Ce qui les hante, c'est la fermeture totale des chantiers navals, le chômage, la mise au rancart. La crise." (p.9) Et Jean-Hughes Oppel continue ainsi son prologue pendant quatre pages. Quatre pages qui font venir les images et la musique et la voix de Brel. Ensemble qui ne nous quitte plus du livre.



Roman insolite, original. Noir, évidemment. D'une qualité littéraire rare et réjouissante. C'est un festival de bons mots, de belles phrases, bien tournées, bien troussées, de celles qui font s'ébaubir à chaque page, qui donnent au roman une ambiance poisseuse, noire, collante, un truc dont on ne se défait pas. D'aucuns qui dédaignent encore le roman noir parce qu'il n'est pas assez bien, trop populaire peuvent sans risque ouvrir celui-ci qui les réconciliera avec le genre.



"La véritable nature de sa bienveillance [celle de la mère maquerelle] à l'égard de l'ancien docker est plus subtile et lui échappe complètement. C'est un alibi ; un élan de charité noyé dans le vice. Inconscient, informulé, n'osant pas dire son nom, mais un élan quand même -une bonne action pour brandir à la corbeille du Jugement Dernier. Encore que : s'il y a une chose sur laquelle madame Angèle s'assoit (après son cul), c'est bien la religion." (p.152/153)



Écrit en 1995, découvert en bouquinerie cet été, quel pif j'ai eu de tomber dessus et de ne pas le laisser dans les rayons !
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Ippon

Livre jeunesse, thriller pour enfants de 10 à 13 ans. Certains élèves, en rupture avec les livres ou dislexiques, ont pris goût à la lecture avec Ippon, quelle récompense !

Certains chapitres peuvent heurter les plus sensibles et méritent d'en parler.
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Noir diamant

J'ai eu le plaisir d'avoir ce roman entre les mains avant sa date de sortie grâce à La Manufacture de livres. J'aime cette maison d'Edition et les romans qu'elle propose qui sont beaux esthétiquement que ce soit format, la qualité du papier et leurs couvertures (de plus ici, la couverture est mystérieuse à souhait).

Je suis cependant mitigée en refermant ce roman. En effet, malgré une 4e de couverture très prometteuse, j'ai trouvé que le roman peinait à démarrer.

De quoi ça parle ?

Officier à la CIA, Lucy Chan a survécu à une explosion qui aurait dû lui être fatale. Comble de l’ironie, c’est l’agence qui l’emploie qui a décidé de cette frappe ciblée qui la condamnait. De quoi lui donner envie de passer pour morte et de disparaître. Mais il y a à la CIA une femme qui ne peut croire que Lucy soit une mortelle comme les autres. Son ancienne formatrice, Darby Owens, aujourd’hui sous-directrice à l’Agence, a bien l’intention de retrouver la jeune femme. Car un agent invisible, que tout le monde pense mort et qui ne figure plus dans aucun registre, peut parfois rendre des services inestimables. Justement, à la frontière franco-allemande, il faudrait aller voir ce qui se trame... 
De manigances secrètes en combats explosifs, Jean-Hugues Oppel nous guide sur les traces de deux femmes qui jouent un jeu trouble sur l’échiquier des tractations internationales.

Dès les premières lignes on découvre l'agent Lucy Chan en bien mauvaise posture, devant se dépatouiller d'une situation plus que complexe. En effet, elle vient de réchapper d'un tir ciblé qui aurait du lui être fatal. Cela démarre donc plutôt bien, oui mais voilà l'action à proprement parler met du temps à s'enclencher. Et ce n'est qu'autour de la page 160 que les choses "sérieuses" commencent à se profiler. Certes, au cours de ce long (pour moi) préambule, l'auteur nous décortique, avec un talent indéniable, la situation complexe du monde du renseignement, que ce soit côté américain aussi bien que côté européen. Il nous détaille les forces en présence, les enjeux politiques, les jeux d'alliances entre pays etc.. Il nous décrit le contexte pour amener le coeur du roman.

Et en effet, dès lors que l'action démarre on suit avec un réel plaisir les pas de l'agent Chan, agent fantôme donc (puisque supposée décédée), qui a été affectée par la sous directrice Darby Owens à une nouvelle mission à la frontière franco-allemande. Pour celle-ci, il lui faudra collaborer avec l'agent hors classe Dominique Perignon, Français, appartenant à la DGSE. Le duo Lucy/Dominique fonctionne à merveille. La complicité et le respect mutuel s'imposent d'emblée entre ces deux professionnels diablement efficaces dans leurs méthodes. On perçoit néanmoins que nombres d'événements se trament en coulisse sans parvenir à cerner quid de la CIA ou de la DGSE (ou les deux ?) tire les ficelles. Les agents prennent conscience de la quantité négligeable qu'ils représentent, au service de grosses agences pour lesquelles seuls les résultats comptent.



Le climat est sous haute tension, les différents niveaux de hiérarchie sont sur les dents, malmenés par les révélations d'un pseudo geek qui dénonce à tout va quantité de malversations et magouilles émanant du plus haut niveau de l'Etat américain.



Dans ce contexte ou chacun soupçonne l'autre et où la paranoïa semble de mise, nos agents parviendront-ils à mener leur mission à bien et surtout à s'en sortir vivants ?

L'auteur a été primé plusieurs fois pour des romans adultes mais aussi en section jeunesse. J'ai donc décidé de pas rester sur mon impression pour celui-ci, mais de tenter l'aventure avec un autre de ses titres.... à suivre ../..
Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
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Vostok

Tanya Lawrence, envoyée spéciale à l'ONU, est chargée d'enquêter sur l'application du droit du travail sur le site minier de Métal-IK qui exploite de précieux minerais. De nombreux pièges l'attendent.



Après plusieurs années d'absence des collections adultes, enfin le retour de Jean-Hugues Oppel. Son livre tient cette fois-ci plus du roman d'aventures que du polar. Les dialogues sont au cordeau et très drôles, les personnages bien construits et sans caricature excessive et la description d'une exploitation minière en Afrique très bien expliquée sans être didactique. Bref, un excellent roman !
Lien : https://collectifpolar.com/
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L'imposition du cireur Touchet

Publiée dans la Revue des Temps Modernes N°595 en 1997, en hommage à Jean-Patrick Manchette, cette nouvelle au titre en forme de contrepèterie d’un célèbre roman de l’auteur décédé le 3 juin 1995 est un conte satyrique, humoristique et cynique.



En effet Jean-Hugues Oppel joue avec les mots pour le plus grand plaisir du lecteur (que penser des Fourberies de l’escarpin !) mettant en scène un cireur de chaussures aux revenus modestes mais écrasé sous le poids des impôts.



Alors, Jean-Louis Touchet (Tiens, cela me rappelle quelqu’un…), notre héros aux pieds d’argile bien cirés, se voyant au bord du gouffre et en plein cirage, décide de trouver des revenus d’appoint.



D’abord il réfléchit à pomper une banque, mais il peut aller se brosser. Trop d’inconvénients pour des sommes dérisoires. Alors écrire un roman ? Pourquoi pas ? Mais attention à ne pas se prendre les pieds dans les lacets…
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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19 500 dollars la tonne

Prêts à plonger la tête la première dans les mécanismes boursiers ? Parce que Mister K a quelques petites choses à vous expliquer et par là, quelques autres à dénoncer...



On ne va pas se mentir, je suis littéralement une quiche dans tout ce qui touche au monde des finances, ça me passe complètement au-dessus de la tête ! Si c’est le cas pour vous aussi, ça risque d’être un peu pénible parfois, bien que tout à fait instructif !



Le +++++ est que l’auteur manie son développement avec un brin d’humour et une bonne dose de sarcasme, voire de cynisme, qui permettent d’enrober doucereusement le tout.



Vous suivrez 4 personnages principaux. Cette alternance donne un rythme qui manque, selon moi, à l’intrigue. C’est ainsi que Falcon et Lucy Chang, et leurs scènes d’action, m’ont rendu le récit plus agréable, moins endormant (désolée, ça m’a rappelé cet enthousiasme débordant que j’avais à écouter ma prof d’économie politique...).



Gros bémol pour la chute par contre... totalement bâclée. On ne saisit que tardivement l’imbrication des trames du récit et, pour ma part, pas mal d’interrogations restent sans réponse. Mais peut-être est-ce dû à mon ignorance sur le sujet...
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