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Critiques de Jean-Luc Luciani (131)
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L'été en tente double

Voilà déjà 6 mois que Léo ne peut plus parler suite à un choc émotionnel . Entouré et choyé par les 4 femmes de sa vie , sa mère , sa grand-mère et ses 2 tantes, Leo risque de s'ennuyer pendant les vacances d'été. Mais sa tante l'inscrit au dernier moment à un séjour en colonie. Si Léo ne parle pas, Eve une gamine de son âge parle pour deux......

Une randonnée, des kilomètres plus tard, Leo rentre le sourire aux lèvres.

Ce court roman destiné aux 9/10 ans est à la fois fort bien écrit, plein d'empathie et fort drôle .

Une fort jolie découverte à l'occasion d'un challenge que du plaisir!
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Le jour où j'ai raté le bus

L' histoire m'a paru intéressante et en plus elle est drôle.

Benjamin rate le bus pour la premèere fois de sa vie et il se retrouve...dans un autre pays!

Les personnages sont attachants car ils sont amusants et attends-toi à un déroulement inattendu...







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Station Sous-Paradis

Bonne surprise ce petit livre pour ados et pré-ados, édité par les éditions Rester Vivant et reçu dans le cadre de Masse Critique Jeunesse.

"La collection Rester Vivant est constituée de nouvelles et de romans qui parlent du monde d'aujourd'hui, en abordant sans détour les questions écologiques, sociales et éthiques qui émergent au sein de la société dans laquelle nous évoluons. Elle s'adresse en priorité aux pré-ados, aux ados... et plus généralement à tous les lecteurs qui résistent encore à l'asservissement des esprits, quel que soit leur âge. Ces livres ont pour ambition, en plus d'attiser l'imaginaire du lecteur, d'éveiller son sens critique et de poser un regard incisif sur nos comportements individuels et collectifs."

Ce court roman s'inspire d'une terrible histoire vraie - la mort de Rémi Fraisse au barrage de Sivens.

Jean-Luc Luciani, l'auteur, est un électron libre de l'édition, un touche à tout des médias, reconvertit en prof, qui a fini par trouver sa voie dans l'écriture. Il compte une quarantaine d'oeuvres à son actif.



L'histoire : Miranda et ses deux jumeaux de potes, Max et Eddy, glandent pendant les vacances scolaires. Miranda les motive à faire quelque chose d'utile, ils vont soutenir des écologistes qui luttent pour sauvegarder un bout de forêt centenaire menacée par la construction d'un golf.

Gorki, la quarantaine dépressive, a racheté une vieille station service, la station Sous Paradis, comptant bien y végéter tranquillement.

Mais ses projets de mort-vivant vont être chamboulés par l'arrivée de Miranda et de sa troupe de militants écologistes, qui ont décidés d'occuper les arbres centenaires pour en éviter l'abattage, et dans la foulée, de faire de la station Sous Paradis leur quartier général.

Comment tout cela va-t-il finir ?



J'ai lu ce petit livre avec un regard indulgent, appréciant le vocabulaire simple et direct de Jean-Luc Luciani, qui sonne juste dans cette histoire réaliste, qui décrit avec simplicité une situation complexe. De ces situations pleines de tension, d'incompréhension, un gâchis sans nom, arrivant trop souvent, et trop silencieusement, mis à part quand elle fait des morts, ce qui fut le cas pour le barrage de Sivens, où un jeune militant, Rémi Fraisse, a trouvé la mort sous les flash-balls des CRS.



Je remercie Babelio et les éditions Rester Vivant, pour leur choix judicieux, et j'espère que de nombreux jeunes (et moins jeunes) lecteurs et lectrices liront ce petit livre, facile à lire, mais très prenant, qu'il leur permettra d'accéder à des ouvrages plus évolués sur le sujet, car il est urgent de faire quelque chose pour notre planète, sans devenir éco-warrior, ou militant dur, on peut faire des gestes simples, mais qui comptent. Il suffit d'avoir du bon sens, du respect pour le vivant quel qu'il soit, humain, animal, végétal ou minéral, et de se sentir concerné par l'avenir de notre belle planète bleue, afin qu'elle ne devienne jamais un cimetière désert.



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Le jour où j'ai raté le bus

J'ai aimé ce livre "le jour ou j'ai raté le bus". C'était sur le thème du handicape d'un enfant autiste : Benjamin.Le roman était facile à comprendre et simple à lire.

Benjamin (personnage principal) nous raconte son quotidien et les problèmes qu'il rencontre à seulement 14 ans et depuis sa naissance.

Puis il relate la mésaventure qu'il vit à cause d'enfants qui lui font prendre le mauvais bus.

Cela a changé les habitude chronométrées de Benjamin. Je suis entré facilement dans l’histoire de Benjamin qui m'a tenu en haleine.
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Le jour où j'ai raté le bus

Benjamin est un enfant qui est très mignon mais sauf qu'il loupe le bus.

J’ai aimé ce livre car il était marrant et que Benjamin a raté le bus. Et là l'aventure commence...

Un jour , il rate le bus qui le conduit chaque matin à son institut spécialisé et se retrouve embarqué pour un «voyage» inattendu dans les quartiers de Marseille.

Valentin 6B
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Le jour où j'ai raté le bus

Benjamin est un enfant diffèrent des autres. En effet, il est atteint d’un certain handicap depuis sa naissance. Il a du mal à se déplacer, à coordonner ses mouvements et même à parler. Depuis qu’il est tout petit, son emploi du temps, c’est comme du papier à musique et il en a besoin afin d’apprendre et de progresser. Un jour, en allant à l’école spécialisée, il rate son bus et il va donc se retrouver quelque peu désorienté par toutes les nouveautés qu’il va y avoir autour de lui et va finir par se perdre…





Voici un petit roman pour les jeunes, dès l’âge de 9 ans et je m’y suis intéressée, car il me semblait très touchant et surtout la dernière phrase au dos du livre a éveillée ma curiosité et retenue toute mon attention : « Pas facile quand on a, comme moi, du mal à parler et à marcher… » Aurais-je un petit syndrome de l’infirmière ? Je pense qu’effectivement c’est mon cas, ce sont toujours les différences qui m’attirent, le petit quelque chose en plus ou en moins qui rend une personne tout à fait unique en son genre.



Au début du livre, nous découvrons, pas à pas, le quotidien de cet adolescent de 14 ans qui nous semble au premier abord maniaque et énervé pour un rien. Mais l’on comprend très vite en faisant la connaissance de sa famille (ses parents et son petit frère Alexandre) qu’il est tout simplement diffèrent et qu’il a besoin de toutes ses petites habitudes et d’une organisation en béton pour qu’il puisse se sentir bien.



D’une part, je me suis naturellement remise en question plus d’une fois par rapport à ce petit bonhomme qui nous raconte son histoire comme il l’a ressentait lui-même. Et d’autre part, j’ai pu me glisser dans la peau de ses parents grâce aux chapitres qui explorent leur point de vue et qui nous montre évidemment leur inquiétude par rapport à sa disparition soudaine et incompréhensible.



En bref, grâce au vocabulaire simple, au thème abordé et à la capacité que l’auteur a de nous placer dans la tête de ce petit garçon qui redoute, mais en même temps qui recherche le grand frisson de l’inattendu, je pense que c’est une lecture tout à fait accessible aux enfants. Ils vont pouvoir se sentir proche du personnage principal tout en s’appropriant ce petit récit au fil des pages. Une vraie remise en question, des personnages émouvants et une touche de tolérance qui fait vraiment du bien.




Lien : https://aliceneverland.com/2..
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Même pas cap !

Très court roman et on n'en perd pas une miette. Damien n'a pas envie de reprendre les cours et de retourner au collège, il ne veut pas revoir Marilou.



Marilou, c'est LA fille pour Damien aime, il est raide dingue d'elle, il est capable tout pour être avec elle.

Cette fille à imposer un jeu : c'est le même pas cap ! Elle va lui lancer des défis, « je parie que ... ».



C'est un jeu dangereux, un jeu sans de réellement de limites et un jour ce jeu ira trop loin...



Jusqu'où Damien va t-il être capable d'aller pour sa dulcinée ?



Jean-Luc Luciani nous livre un roman bien écrit et nous invite à réfléchir sur la puissance de l'amour, à ne pas se perdre et surtout ne pas oublier de respecter l'autre.
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Bellevue-sur-Mer

Samira à 10 ans et vit dans une banlieue de Marseille. Issue d’une famille nombreuse, elle n’a pas beaucoup de temps pour s’amuser. Mais c’est sans compter sur sa meilleure amie Nawel qui décide de l’inscrire à un concours de rap.

Entre les moqueries des uns et le soutien inconditionnel des autres, Samira osera t-elle relever le défi ?



Un bon roman qui parcourt les thèmes de l’amitié, de la différence, de la solidarité et de l’estime de soi. L’écriture est simple et vive, teintée d’humour et de tendresse. Un roman qui invite à sourire, à partir de 9 ans.

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Le jour où j'ai raté le bus

je lis ce livre dans des classes de CM2 dans le cadre de l'association "Lire et Faire Lire" c'est un livre qui permet un échange très enrichissant sur la différence de "l'autre"
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Brigade sud : Le train fantôme

Lecture jeunesse courte et plutôt bien ficelée. Je voulais lire quelque chose de simple sans prise de tête et surtout peu épais. Brigade Sud, c'est le Capitaine Roulier avec sa super équipe marseillaise. C'est la première enquête avec lui et sa fille Inès que j'ai pu lire et ce fut une chouette découverte car l'enquête n'est pas aussi simple que prévue. Bonne petite lecture !
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Le jour où j'ai raté le bus

Un beau petit roman pour la jeunesse, comme on dit, donc je préciserai vers les dix ans.

Benjamin est handicapé, moteur cérébral. Alors je précise que cela m'énerve que on dise "un enfant pas comme les autres". D'ailleurs, Benjamin lui-même dirait "oh oh ça m'énerve"... dans le livre.

L'intérêt de l'histoire c'est que depuis que Benjamin existe, ses parents hyper attentifs ont tout mis en place pour lui. Tout est réglé. Et Benjamin s'y plie. Car tout le monde croit que ces règles observées strictement sont bien pour lui.

Car Benjamin n'est pas comme les autres. Et puis, un jour, personne n'en est ni responsable ni coupable, ça se dérègle.

Benjamin échappe ainsi à ce cadre si strict qu'on avait mis en place pour "son bien".

Tout le monde s'inquiète, sauf lui, qui va enfin vivre hors de cette réglementation liberticide.

Les moments joyeux de ce petit roman sont, de mon point de vue, ceux où Benjamin renverse son handicap et rend d'une certaine manière, les autres handicapés. Oui, les autres handicapés des règles sociales dominantes.



Exemple : dans le bus, le contrôleur : as-tu ton ticket ? Benjamin joue avec son handicap, se fait plus handicapé qu'il n'est, baragouine, fait l'innocent, apitoie, et renverse le rôle.

Donc un livre assez court, mais qui offre plusieurs clés de lectures très sympathiques.
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Barjoland

Damien vit une existence tranquille avec ses copains bourgeois lorsque sa mère lui présente son compagnon, un psychologue pour adolescent !



Dès lors, pour le jeune homme c'est la guerre totale avec cet homme qui pour lui tente de remplacer son père mort.



Et si Colvert semble prendre tous ses actes de rébellion très calmement, il ne reste plus à Damien qu'à poursuivre l'escalade des provocations...



Un roman étonnant avec sa couverture mystérieuse qui cependant n'a pas vraiment de lien avec le récit qui se concentre sur la colère de l'adolescence.



L'auteur montre l'indifférence des jeunes à l'environnement lointain mais aussi aux cours qui sont proposés dès lors qu'ils ne sont pas liés à une note ou la préparation d'un examen.



C'est un présent sans véritable limite pour ces adolescents de la jeunesse dorée qui doivent dès lors tenter de chercher ailleurs à éprouver leurs limites.



À découvrir !


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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La ville qui rend foot

C'est l'histoire d'un enfant qui s'appelle Adrien. Un soir, alors qu'il joue au piano, son père qui a demandé une mutation dans le sud arrive à la maison et annonce à Adrien et sa mère qu'il est muté dans le sud, à Marseille. Le lendemain, ils arrivent à Marseille. Adrien y découvre le ciel bleu, les cigales, la sieste, la pétanque et surtout le football. Même en classe, les cours sont basés sur le football. En fin d'année, il y a un tournoi de foot et Adrien ne sait pas jouer et reste sur le banc de touche. Jusqu'à ce qu'il décide contre attaquer.

J'ai aimé ce livre car il parle de sport. Ce livre n'était pas compliqué du tout. Mon moment préféré est le retournement de situation à la fin du livre car il arrive à gagner sa place dans l'équipe.



Matthias 5e4
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Même pas cap !

Damien est prêt à relever tous les défis que lui lance Marilou. Il le fait par amour. Rien ne peut l'empêcher de tenter d'être à la hauteur des attentes de la jeune fille. Mais les épreuves sont de plus en plus pénibles et dangereuses. Comment briser le cercle infernal?



Les parents, les amis, ont peu d'influence sur le duel qui se joue entre les deux enfants. Pourquoi Marilou continue t-elle à tester le jeune garçon? Et surtout pourquoi Damien ne peut-il jamais s'empêcher d'y répondre? Le livre n'apporte aucune réponse mais ce court roman a le mérite de permettre d'ouvrir le débat sur les limites à ne pas dépasser.




Lien : http://0z.fr/v_CcZ
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Brigade Sud : Prise d'otage

J'adore ! Fabuleuse histoire de Jean - Luc Luciani.
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Brigade sud : la disparition

livre à lire
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Brigade Sud : Menaces sur la ville

Le premier de cette série que je lis, c'est le moment car c'est déjà le 10ème ;-)

Je sais que les jeunes ados adorent, du coup je me suis dit que cela devait être chouette.



C'est une enquête, il y a du suspense.

L'auteure utilise les mêmes personnages et fait référence à des événements passés dans les tomes précédents.

C'est assez réaliste, les personnages sont vrais et pas des super héros.

Le début de celui-ci comporte plusieurs morts, c'est assez glauque, mais ensuite on part directement dans l'enquête et cela se calme ;-)



Un bon moment de lecture, j'en lirai d'autres.
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Brigade sud : clic mortel

livre à lire
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La dame qui dormait sur les bancs

"Elle plantait une roue et un vélo poussait.

Elle courait si vite qu'elle attrapait le temps.

Elle dansait dans le vent et le vent suivait sa cadence.

Elle souriait et le monde s'éclairait.

Et pourtant, un jour maman nous a abandonnés papa et moi !

C'était il y a longtemps, bien longtemps, avant que moi Laura, 8 ans, je rencontre la dame qui dormait sur les bancs ..."



Je n'ai pas l'habitude de restituer les quatrièmes de couverture mais celle-ci reflète si bien l'ambiance et l'écriture que je n'ai pas pu m'en empêcher.



Laura est donc une fillette de 8 ans dont la maman est partie et qui vit seule avec son père. Un père qui était follement épris de sa femme et qui aime se remémorer et raconter à sa fille qui elle était ... Laura se construit donc avec d'agréables souvenirs de l'absente et refuse d'entendre les mauvaises langues persifler sur la folie de celle-ci. Un jour, alors qu'elle se rend à l'école accompagnée de son prétendant, Laura distingue une forme allongée sur un banc, dans un sac de couchage. Puis, à son retour, elle aperçoit celle qui était cachée ; une belle vieille dame qui lui sourit. Très vite un lien se noue et Laura prend plaisir à discuter avec celle en qui elle aimerait peut être voir plus qu'une femme qui dort sur un banc ...



Une histoire émouvante, emprunte de poésie qui redonne espoir. C'est progressivement que l'on voit les deux personnages s'ouvrir à nouveau grâce à cette dame pleine de dignité. Laura se met à écrire puis parler et son père retrouve le sourire l'espace d'une soirée et réapprend à faire la part des choses et prendre sur lui. La dame disparaîtra avec les premiers flocons telle une fée de Noël ...



J'ai aimé l'écriture dans laquelle on trouve maintes expressions distillées avec application mais également les illustrations de Audray Pannuti au trait noir typique.



Un beau moment de lecture !
Lien : http://depuislecadredemafene..
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Fugue traversière

Julien débarque à Marseille : il a fugué car ses parents ont du mal à faire le deuil de son frère. Par cet acte, il veut leur faire comprendre que lui est toujours vivant....

Armé de sa flûte traversière et grâce à l'amitié d'Abdallah, un jeune SDF immigré du Maroc, il va découvrir la rue et ses violences, les squats, la mendicité mais aussi l'amitié et l'entraide.

Un roman émouvant, où les héros nous dévoilent leurs vies et leurs souffrances, où chacun essaie de survivre à sa façon dans un monde hostile et où l'espoir n'est jamais bien loin...
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