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Critiques de Jean-Marc Troubet (140)
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Les oiseaux

C’est une suite mais je ne le savais pas. Je lirai l’autre après tant pis.

Depuis Beyrouth, le personnage nous partage ses réflexions sur la nature et l’environnement en dialoguant avec les oiseaux. Il compare cette situation à celle qu’il a vécu en France.

Les dessins sont magnifiques. J’ai bien aimé ce moment de contemplation

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Les oiseaux

Agréable conte, avec pour thème central la destruction de la nature.

Un thème classique donc, mais traité de manière poétique

L'action se déroule au Liban, mais elle pourrait avoir lieu n'importe où dans le monde.

Le récit est rythmé par les dialogues entre le narrateur et des oiseaux

Une agréable découverte, que je vous conseille
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Les oiseaux

Ouvrage emprunté à la médiathèque, sur son titre et les magnifiques chardonnerets de la couverture.

On va suivre le personnage principal entre la forêt et la ville, les arbres et le béton, on voyage entre la France et le Liban (merci pour la découverte de Byblos!).

Notre promeneur dialogue avec les oiseaux. Ils nous dépeignent la situation actuelle d’une manière très factuelle.

Peut-être que le sujet aurait pu être plus approfondi. Cependant, il est déjà pas mal percutant.

Une lecture intéressante et enrichissante, à mettre d’urgence entre toutes les mains, des jeunes aux « encore » jeunes.
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Mon voisin Raymond

Il fallait osé. Un album où il ne se passe rien.

Ou pas grand chose. La vie au quotidien d'un vieux gars de la campagne et de son voisin. Les pages sont rythmées par les saisons, la transformation de la nature, la migration des animaux, la période des champignons. 

Un roman graphique apaisant dans lequel Troubs a choisi le quotidien et l'amitié, thèmes trop simples rarement abordés dans la production BD.
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Mon voisin Raymond

Ce roman graphique raconte la relation qui s’est tissé, durant 20 ans, entre un jeune dessinateur et Raymond, son voisin âgé de 85 ans.

Dans un hameau isolé, Raymond vit seul dans une petite maison sans confort.

Au rythme des saisons, Raymond et son jeune voisin aiment passer du temps ensemble et s’entraider. L’auteur assiste son voisin pour les travaux devenus au-dessus de ses forces, comme couper du bois, tailler la vigne… En échange, Raymond lui transmet son savoir sur la terre, les champignons, la vigne, la culture des légumes, la nature et le temps de demain.

Les grues passent dans le ciel, les mésanges volettent, les forêts changent de couleur au fil des saisons et Raymond passe dans sa voiturette bleue…

Le dessin est lumineux, les couleurs varient avec les saison.

Mon voisin Raymond est un récit simple, sincère, empreint de nostalgie, une ode à la campagne, à la lenteur, simplement à la vie qui passe.
Lien : https://aproposdelivres.word..
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La longue marche des éléphants

La première partie illustrée par Nicolas Dumontheuil, retrace la longue marche de la caravane d'éléphants. Cette partie m'a mise un peu mal à l'aise par moment : tel que le projet est présenté (des artistes européens, des soirées uniquement entre européens pendant la caravane, des commentaires un peu paternalistes et moralisateurs sur les cornacs et sur les enfants rencontrés dans les villages,...) une certaine condescendance transparait : il y a ceux qui savent et qui donnent des leçons sans que des laotiens ne soient associés et véritablement partenaires à part entière du projet.

La deuxième partie illustrée par Troubs parle du centre de conservation. Les dessins sont plus poétiques et les éléphants en général et ceux du centre en particulier (leur histoire, leur caractère, les conditions pour pouvoir les remettre en liberté) en sont les personnages principaux.



La bd en elle-même est intéressante et utile pour faire connaitre ce centre de protection des éléphants du Laos.
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Humains, la Roya est un fleuve (BD)

Baudoin et Troubs signent un album poignant et exigeant sur les faits qui ont agité la vallée de la Roya à la frontière italienne durant l'année 2017. Ils dressent les portraits d'êtres humains, les réfugiés et ceux qui leur viennent en aide, avec modestie et honnêteté. Ils leur donnent la parole et ce que ces personnes disent est un déclaration d'humanité. Ce livre est dérangeant car il bouscule celui qui, assis dans son fauteuil le lit en éprouvant de l'empathie mais en ne s'engageant pas. Il est difficile d'être un Juste ! Un album puissant et remuant dont la forme est le dessin à l'encre. Il y a des pages sublimes malgré la gravité du sujet.
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Humains, la Roya est un fleuve (BD)

Nous connaissons Beaudoin (né à Nice) pour ses engagements politiques. Il nous livre ici une BD (certes engagée) mais qui évite les pièges trop évidents du soutien partisan. L’hommage est rendu à tous ceux qui viennent en aide aux réfugiés en posant la question des droits humains et de la solidarité.
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Humains, la Roya est un fleuve (BD)

Une belle bande dessinée qui reprend sans juger le parcours difficile des demandeurs d'asile de leur arrivée en France jusqu'à leur intégration ou exclusion. Le dessin est noir, entrecoupé de portraits de ces demandeurs d'asile. Le tout n'est pas rendu trop lourd et se laisse facilement lire.
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La longue marche des éléphants

Le Centre de conservation de l'éléphant du Laos cherche, par tous les moyens possibles, à préserver l'animal emblême du "pays du million d'éléphants", fortement menacé. C'est ainsi une lutte contre la disparition d'un animal, mais aussi pour la biodiversité en général et pour la conservation du patrimoine culturel d'un pays.



Dans une première partie, nous suivons ainsi la caravane d'éléphant qui a parcouru, en 2015, 500 km à travers le pays pour sensibiliser la population au sort du pachyderme, grâce au récit et aux dessins de Nicolas Dumontheuil. Dans une deuxième partie, on s'intéresse de plus près au travail effectué au Centre de conservation lui-même, auprès des éléphants qui y sont recueillis.



C'est une belle BD de sensibilisation, sous forme de carnet de voyage, avec les points de vue de deux dessinateurs aux style complètement différents. Je suis peut-être plus sensible au trait de Troubs, mais j'ai trouvé vraiment intéressant de proposer ainsi deux regards différents pour une même cause, qui interpelle, non seulement sur le sujet des éléphants au Laos mais aussi plus généralement sur le rôle de chacun, Homme ou animal, dans son environnement.
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Le goût de la terre

Les deux auteurs dessinateurs Baudoin et Troubs reprennent ici le même principe que dans Viva la vida, à savoir partir à la rencontre d'une population en leur proposant de réaliser leur portrait en échange du récit de leur rêve. A partir de ces éléments se crée une œuvre, mélange de bande dessinée et de carnet de voyage. Entre reportage et mémoires, où la subjectivité se mêle à l'observation. Dans cet opus, on se retrouve en Colombie, à la rencontre de sociologues, étudiants, paysans, marchands des rues et même membres des FARC.



Les auteurs nous livrent pleinement leurs impressions et sensations du moment. Les portraits et dessins transmettent une émotion forte et font de cet album un récit hors du commun.
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Va'a : Une saison aux Tuamotu

A mi-chemin entre la bande dessinée et le carnet de voyage, ce récit, dessiné à quatre mains par Troub’s et Benjamin Flao, propose au lecteur un voyage en Polynésie Française. Partis pour suivre le projet de construction d’une pirogue dernier cri aux Tuamotu, les deux auteurs nous racontent surtout leur vie quotidienne dans l’atoll de Fakarava, leurs rencontres avec la population locale et leurs tentatives - drôles ! – pour retaper et faire naviguer d’anciennes embarcations. Leur recherche de matériel de navigation, leurs va-et-vient sur ce bout de terre de 16 km² est l’occasion de raconter l’histoire des Tuamotu, d’évoquer les modes de vie traditionnels qui se sont perdus, la relation qu’entretiennent les habitants avec Tahiti… Le rythme de vie des îles calme, posé, lancinant, s’impose à nous à la lecture. C’est à un véritable voyage immobile que nous invitent Troub’s et Flao, porté par leurs sublimes aquarelles et illustrations.
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La longue marche des éléphants

Pendant l’hiver 2015, le Centre de Conservation de l’Eléphant du Laos a organisé une caravane de pachydermes pour un parcours de 500 km. Les deux dessinateurs, Nicolas Dumontheuil et Troubs, ont suivi cette expédition et en ont livré chacun un récit personnel.

Cette BD est une création étonnante, un même sujet traité par deux auteurs. Chacun, observateur d’une expédition, a pris conscience de la dimension incroyable de l’éléphant au Laos. Il y a le mythe de l’animal, sa place dans l’histoire, sa relation avec les êtres avant et celle aujourd’hui. Chaque récit, au-delà de ses particularités et des qualités des auteurs, laisse émerger les différentes strates de l’animal. Cette BD est émouvante, passionnante et d’une grande richesse.

Les deux récits ne cherchent pas à se compléter mais apportent leur pierre à l’édifice : raconter un animal qui a sa place dans l’histoire d’un pays, élément rare dans l’Histoire. Nicolas Dumontheuil met en scène un homme, (une sorte de double) qui guide le lecteur dans ce monde. Le discours est documenté et clair. Quant à Troubs, il passe outre les mots pour concevoir les ficelles de la relation entre l’homme et l’éléphant. Il créé ainsi de nombreux jeux physiques et morphologiques entre les deux mammifères. C’est drôle à découvrir et beau à admirer. En filigrane, la disparition des éléphants du Laos apporte une dimension tragique à ces deux récits qui posent la question de la relation mais surtout celle de la perte de lien entre l’humain et l’animal, entre l’humain et cette terre qui le porte. Sans être étouffée par des propos environnementaux lourds et maladroits, Nicolas Dumontheuil et Troubs parviennent à transcrire leur découverte en récit, leur histoire en questionnement nourri d’émotions.
Lien : https://tourneurdepages.word..
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Sables noirs: 20 semaines au Turkménistan

Un album à mettre entre toutes les mains.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Sables noirs: 20 semaines au Turkménistan

Sous-titre : 20 semaines au Turkménistan. Le reportage en bande-dessinée est à la mode ; si la presse française était plus libre, on pourrait peut-être même en lire plus dans les journaux, au lieu de BD un peu débiles comme « Blueberry » ou « Largo-Winch » ; en effet les photos ne se prêtent pas bien à la reproduction dans les pages de journaux, en raison du mauvais papier. Le dessin est plus net.



Un autre obstacle est sans doute la rareté des dessinateurs capables de faire du reportage ; de ce point de vue aussi, Cabu était exceptionnel. La formule de « La Revue dessinée » n’est pas encore très convaincante, qui reprend le modèle des BD pour enfants, tirant vers la fiction et pas assez synthétique.



L’album de Troubs est un peu entre les deux : il part du récit se son expédition en Turkménie pour y faire traduire et illustrer quelques poèmes de Prévert, mais on sent un effort pour prendre du recul et donner de ce pays une image aussi juste que possible. Ce petit Etat à l’Est de la mer Caspienne, anciennement partie de l’empire soviétique, et officiellement indépendant depuis 1991, est isolé à bien des titres : pas de touristes, et un régime qui n’encourage pas le tourisme ; interdiction de prendre des photographies, que de jeunes gens effectuant leur service militaire sont chargés de faire respecter ; en dessinant ce qu’il y voit, Troubs profite d’un vide juridique. Le législateur n’a pas estimé que le dessin représentait une menace.



La culture officielle locale est un peu bizarre, mélange de communisme et d’islam. Mais quelle culture est vraiment cohérente ? Le « neutrisme », par quoi on pourrait résumer l’idéologie officielle, donne l’occasion à notre reporter d’ironiser un peu. Il est symbolisé par une tour de 75 m, dite de la « Neutralité », sur laquelle est juchée la statue en or du précédent chef de l’Etat. Le « neutrisme » fait penser au concept de laïcité à la française – le but du « neutrisme » est de neutraliser ou de censurer tout ce qui n’est pas neutre, c’est-à-dire susceptible de déranger les élites qui administrent le pays. L’isolement du Turkménistan arrange tout le monde, ses dirigeants comme les grandes puissances mondiales.



On sent l’auteur, lui-même isolé dans la Turkménie isolée, étant étranger, et comme la police surveille en permanence la population, on le sent néanmoins quelque peu sous le charme de cet isolement. Quelques dessins représentent l’architecture des villes et les étendues désertiques qui les séparent. Après tout ne dit-on pas qu’on vit plus heureux en restant caché ?



C’est le principal mérite de Troubs et de son reportage de ne pas opposer le « monde libre » au Turkménistan caché et sous contrôle policier, ne renfermant dans ses bibliothèques et librairies que des ouvrages neutres officiels. L’auteur se met tout de même en scène, reprochant lors d’un cocktail à un cadre de Bouygues, multinationale française qui a de gros chantiers au Turkménistan (euphémisme), de contribuer à la réclusion des Turkmènes. A quoi il s’entend répondre, argument classique, que le libéralisme économique et l’enrichissement du pays, dont l’industriel français du BTP est un acteur, est le meilleur moyen pour le Turkménistan d’accéder aux libertés dont l’Europe bénéficie. Comme Troubs reste coi, le lecteur peut tirer la conclusion qu’il veut – se dire par exemple qu’il est désormais quasi-impossible d’envisager la liberté autrement qu’en termes de jouissance.



La mission que s’est assignée Troubs de faire traduire et illustrer quelques poèmes de Prévert connaît un certain nombre d’aléas administratifs, que notre reporter finit par prendre avec une sagesse de bonze – ce qui est encore une forme de neutrisme.



C’est aussi le mérite de l’éditeur, Futuropolis, de proposer une BD, si ce n’est « d’auteur », terme derrière lequel se cache parfois un nombrilisme excédant, mais qui sorte des sentiers battus de la fiction. Espérons que Bouygues n'achètera pas tout le stock !
Lien : http://www.zebra-bd.fr/kritik
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Va'a : Une saison aux Tuamotu

(LX971) Décidément fan des dessins et aquarelles de Flao, je me suis régalé à découvrir cet album. On navigue avec eux sur les eaux pures d'un atoll polynésien mais non sans un zeste d'ironie et d'autodérision. Ce carnet de "voyage" est aussi teinté de nostalgie et de poésie... Un vrai régal ! Mais, car il y a un mais, la BD me semble à mille lieux des habitudes de lecture de nos élèves. Trop lent, trop éclaté ! Je ne le mettrai pas au Prix car je crains les réactions négatives de nos élèves... Dommage
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Sables noirs: 20 semaines au Turkménistan

Sables noirs nous raconte l'histoire de Troubs, dessinateur, au Turkménistan dans le cadre d'un projet de livre illustré de traduction de texte de Prévert.



C'est un peu un carnet de voyage, ayant pour axe le projet de son travail, mais avec des anecdotes de voyage plus légère. On est observateur, l’auteur n’apportant que peu de jugement sur le pays. Il raconte juste quelques morceau choisis de son parcours. Le rythme est plutôt calme et contemplatif.

Le dessin parait très brouillon, composé de beaucoup d’esquisses. Je regrette un peu cet aspect la, ça ne correspond pas trop à mes gout. Par contre ça colle pas mal au style de bd, ça apporte de la poésie.

Il m'a fait penser à Pyongyang de Delisle, mais dans un style qui lui est propre.



J’ai bien aimé voyager avec ce livre.

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Va'a : Une saison aux Tuamotu

La Polynésie me fait rêver, alors, quand j'ai reçu cette bande dessinée, j'ai été super contente et j'avais vraiment hâte de me lancer dans la lecture. En effet, les deux dessinateurs nous y raconte leur voyage dans l'archipel des Tuamotu où ils se rendent dans le cadre du projet Va'a Motu. Là-bas, ils devaient construire des pirogues traditionnelles. Cette mission va être l'occasion pour eux de nous faire partager l'histoire de ces atolls (ils nous parlent notamment des essais nucléaires qui y ont eu lieu et les conséquences qu'ils ont eu), ils nous racontent leurs rencontres avec les habitants, nous parlent des coutumes et des paysages, qu'ils soient terrestres ou sous-marins, de leurs déboires et difficultés à construire et naviguer ces fameuses pirogues, et tout cela avec beaucoup d'humour.

J'ai aimé cette lecture mais je n'ai pas été autant passionnée que prévu, quelques petites choses m'ont dérangé, j'ai notamment eu du mal avec les poissons et les oiseaux qui parlent... j'aurais aimé plus de détails, plus d’anecdotes.

Néanmoins, cette bande dessinée est très agréable à lire. Les dessins et les couleurs sont superbes, j'ai beaucoup apprécié les graphismes qui m'ont fait voyagé et m'ont donné encore plus envie d'aller moi aussi en Polynésie, découvrir les plages de sable blanc et les récifs coralliens.
Lien : http://desflaneriesetdesmots..
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Va'a : Une saison aux Tuamotu

Le genre du carnet de voyage est assez courant et pas forcément exploité de façon intéressante. Ici, malgré le talent de Benjamin Flao, je me suis retrouvé devant une BD qui me semble assez quelconque.



Le paysage est beau, le dessin est magnifique, les croquis et les couleurs donnent l'impression d'y aller, mais l'ensemble manque de structure et de liant. Il y a bien l'idée de faire flotter les bateaux tels qu'ils étaient, d'accord, et un peu d'informations sur les Tuamotu. Mais l'ensemble est assez vite lu sans qu'on ait véritablement d'intérêt de l'ensemble. Je me sens plus devant une collection de jolis croquis et d'images que Benjamin Flao a compilé sur place. Mais l'intérêt que j'ai éprouvé est bien moindre, la lecture est rapide et je ne vois pas exactement ce que je dois penser à la fin.



En fin de compte, je suis assez déçu de l'ensemble. Ça manque de corps, j'aurais voulu plus.
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Les oiseaux

Il propose une réflexion sensible sur l’écologie et la négligence des hommes envers l’environnement, en donnant la parole aux oiseaux, comme dans Mythopoïèse d’Alessandro Pignocchi.
Lien : http://www.bodoi.info/les-oi..
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