Jed Rubenfeld

il semble que je soit abonnée aux polars melant fiction et personnages historique...



Là, nous sommes gâtés avec Freud, ferenzi et jung... psychanalyse et police au début du XXème siècle...



passionnant !
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New York - 1909.

Sigmund Freud est invité pour une série de conférences.

Pendant son séjour, une jeune fille est retrouvée morte torturée et étranglée.



Un roman qui fait intervenir la psychanalyse pour élucider des meurtres.

J'ai dévoré ce policier...



Retrouvez la suite de cette critique sur mon blog : http://carnetdunelectrice.over-blog.com/article-21922473.html

Une vague de terreur sans précédent s'abat sur New York, des centaines de victimes sont à déplorer. Nous sommes au mois de septembre... 1920.

Le contexte historique est très important. L’époque est très bien rendue.

L'auteur fait de distinguo, à la fin du roman, entre le vrai du faux au niveau des évènements racontés.

Ce ne fut pas, pour moi, une agréable lecture.

J'ai sauté beaucoup de passages des discussions entre psychanalystes qui m'ont l'air encore plus fous que leurs patients, surtout Jung, élève de Freud.

Policier qui mêle éléments historiques, psychanalyse et suspens. Un plaisir de lecture où l'on croise Freud, Jung, New York en construction

En 1909, Freud fait son seul voyage aux Etats-Unis pour une série de conférences, et il confiera plus tard que ce périple lui fut plutôt désagréable, sans expliquer pourquoi. L'auteur de ce bouquin est parti de cette histoire pour broder une intrigue autour d'un meurtre sexuel dans le New-York du début du XXeme siècle, et naturellement Freud participera au dénouement de l'enquête. Les débuts de la psychanalyse, les relations conflictuelles entre Yung et Freud, le complexe d'Oedipe, un enquêteur obsédé par Hamlet, tout cela fait de ce roman un truc vraiment bien ficelé, passionnant, et donc un polar qui se démarque du genre.

1909 Sigmon Freud est à New York pour donner une conférence mais tout change lorsqu'on retrouve le corps d'une jeune femme assassinée. Mélanger l'histoire avec le style policier n'est pas nouveau, ce premier roman de Jed Rubenfeld qui mélange un personnage fort connu (il y a eu Sir Arhur Conan Doyle, Edgar Allan Poe, et beaucoup d'autre) dans un contexte d'enquête. Pour montrer l'étendue de son savoir, le roman est long et ennuyant pour la survivante et la victime on en parle presque pas sur cent-cinquante pages. Alors là, mon intérêt à chuter. De plus, c'est peut-être moi mais je me suis endormi littéralement sur ce livre. J'ai vraiment essayer de garder le tempo mais rien à faire. Pour ceux qui aime les histoires à la Jack l'éventreur liser Caleb Carr (L'alieniste).

Un roman très bien ficelé , moi qui aime beaucoup tout ce qui touche à la psychologie et à la psychanalyse , j'ai adoré . L'époque est bien rendue , le style est agréable.

1020

Je m'attendais a1 mieux. Ennuyant du début à la fin. Le résumé est accrocheur mais le livre plat. Je me suis forcé à le finir

J'ai lu "L'interprétation des meurtres" très vite: c'est un roman passionnant, bien écrit. Très documenté sur le New-York du début du XXème siècle, il mêle l'enquête policière, menée par un tenace et discret inspecteur (Jimmy LITTLEMORE) à des discussions psychanalytiques au ton très juste. Jed RUBENFELD met même en scène Sigmund FREUD lui-même, ainsi que des psychanalystes européens. Sigmund livre au jeune médecin YOUNGER des interprétations sur certains des protagonistes de l'intrigue, et c'est passionnant, donnant une idée assez précise sur la façon dont les Américains se sont appropriés la psychanalyse, lorsque FREUD est venu aux Etats-Unis.

J'ai en revanche regretté une intrigue emberlificotée, avec moult rebondissements (surtout à la fin, il faut relire pour bien saisir le sens de tout ça!), et une traduction, qui, dans mon édition du moins, n'était pas exempte de fautes de grammaire (Pour moi, c'est rédhibitoire ...)

A la fin du livre, l'auteur explique ce qu'il a emprunté à la réalité et ce qu'il a inventé : c'est "au grand sérieux américain"!

Je n'ai pas lu "L'interprétation des meurtres" et je ne connaissais pas cet auteur. L'idée qui me plaisait était l'interférence de Freud et la psychanalyse avec un attentat en 1920, aux Etats-Unis. Le mélange des genres n'est pas mal, mais parfois assez confus entre les différents types de police et de politiciens.

Assez intéressant de découvrir cette Amérique de la prohibition et les magouilles qui n'ont pas changé depuis!

Les théories de Freud pour découvrir le silence du petit garçon qui ne parle plus depuis la guerre et l'enquête sur l'attentat s'entremêlent et nous tiennent en haleine, même si la fin est un peu faiblarde.
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un livre vraiment prenant. Jusqu'à la fin on ne sait pas qui est le tueur. Je craignais m'ennuyer avec les théories de Freud qui sont développées au cours du livre mais pas du tout. Au contraire, ils permettent de mieux comprendre l'histoire. On devient presque l'enquêteur. Je ne peux que vous conseiller ce livre. Les personnages entourant Freud ont réellement existé, cela donne un petit plus au roman. Enfin ce n'est que mon avis.



Une « suite » est sortie, Seul le silence, on retrouve certains personnages mais on est cette fois-ci après la première guerre mondiale alors qu'un attentat à été perpétré dans le centre de New York. Il est tout aussi prenant.

Un livre très original, qui mêle étroitement histoire et suspense, je vais me précipiter sur son nouveau livre !

lu dans le cadre de l'Opération Masse Critique

un vrai "tourne-page", intéressant. Mais je ne saurais pas dire s'il m'a emballée ou si je n'ai pas aimé !
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Que tout ceci est emmêlé, quel sac de noeuds. Dès le départ, avec l'explosion de la bombe, le récit part dans tous les sens, l'auteur court deux lièvres à la fois.



Celui de l'attentat : Littlemore cherche le coupable jusque dans les plus hautes sphères de l'Etat qui veut déclencher une guerre avec le Mexique car celui-ci veut nationaliser les puits de pétrole (cela ne vous rappelle rien ?!)



San soublier l'histoire de Colette et de son frère muet, qui démarre dans les tranchées de la Première Guerre, pour se continuer aux Etats-Unis, puis en Europe, puis retour aux Etats-Unis, bref, cette partie de l'histoire m'a presque donnée le tourni.



Oui, il est question de Freud et de sa théorie psychanalitique, mais sans plus.



Oui, il est question d'un attentat dont le coupable ne sera jamais vraiment démasqué.



Oui, il est question du radium, de la recherche nucléaire balbutiante et donc de Marie Curie.



Mais non, ce roman ne m'a pas convaincu, l'écheveau des différentes histoires étant trop embrouillé, et parfois même, le déroulement frôle le ridicule (comme lors de la découverte d'un toboggan géant menant à la cachette du butin où fonctionne un poêle pour faire fondre l'or.)



L'image que je retiendrai :



Celle du "méchant" qui cache bien son jeu en se faisant passer pour benêt, offrant un collier de diamants à Colette.
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Jed Rubenfeld joue les aventuriers du genre, associant dans un même élan Conan Doyle et Donald Westlake, le premier pour les déductions pointues, le second pour l'aventure tout risque. Sans se prendre au sérieux. On l'en félicite.
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Si l'écriture proprement dite de Rubenfeld manque encore de relief, son art de conteur et son approche historique emportent immédiatement l'adhésion. Et l'harmonieuse intégration de tous ces éléments fait de L'Origine du silence un divertissement de grande qualité.
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Etats-Unis. New York. Début 20ème siècle. Tout commence le 29 août 1909 alors que le psychanalyste Sigmund Freud vient à peine de faire son premier pas sur la terre ferme après une croisière transatlantique. Il débarque ainsi dans le Nouveau monde, invité à être la vedette autrichienne de quelques conférences initiées par une université américaine… Il n’en faut pas plus à Jed Rubenfeld pour entraîner le lecteur dans une série de meurtres à tendance psychanalytico-crapulo-sado-masochiste. Les psys, le flic et le légiste en sa compagnie mènent l’enquête...




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