Jim Davis

J’aime, de temps à autre, me replonger dans des BD qui ont marquées mon enfance… C’est le cas ici, avec ce premier tome de la série Garfield. Un tome introductif, mais pas que… Nous faisons donc la connaissance de ce célèbre chat roux, et son humain, Jon Arbuckle. Ce dernier est totalement dépassé par les pensées de son chat, qui ne vit que pour manger. Mais là, il doit perdre un peu de poids, prétexte pour présenter plein de planches qui nous font sourire. Bien que la BD a vieilli, il n’en reste pas moins que c’est aussi drôle que dans mes souvenirs.

Et bien... j'avais un meilleurs souvenir des BD de Garfield. C'était plus drôle avant, quand j'étais collégien. J'ai peut être souri quelque fois, sans plus, en lisant cet ouvrage. Les gags sont souvent plats, peu développés, peut être aussi trop court avec son format "stip", mais c'est sûrement ce qui fait le charme de cette BD pour ses fans.

Garfield prend du poids. Pas étonnant, avec ce qu’il mange et le temps qu’il passe à dormir. Sa seule activité physique consiste à tourmenter le pauvre Odie, et plus indirectement son maître, Jon.



Cette chronique sera courte, puisque je vais comme toujours me répéter. Quoique non, pas vraiment, parce que si je n’étais pas dithyrambique au sujet des autres tomes, celui-ci m’a encore moins convaincue. Je n’ai presque pas ri, ne me suis pas projetée (pas plus que mes regrettés compagnons à quatre pattes) dans le quotidien de Jon…



Je l’ai trouvé très plat. Très plat et peu drôle. Et les dessins… Après vérification, j’ai constaté que les BD plus récentes avaient un meilleur style graphique, plus proche du Garfield qui m’est familier. Il me reste quelques vieux exemplaires dans ma PAL, à la suite de quoi je privilégierai les numéros plus contemporains, histoire de voir s’ils valent davantage le détour.
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Premier tome du célèbre chat adorateur de lasagnes et de siestes.

Je redécouvre ce personnage de mon enfance et cela me fait toujours autant rire.

Ça se lit rapidement et ça fait sourire.



Le dessin est simple mais plaisant.

Même en étant Team chien c'est toujours un drôle de voir Garfield malmené le pauvre Odi

Faut pas s’en faire ! Garfield est de retour, fidèle à lui-même. C’est-à-dire à ses occupations, qui consistent à manger, dormir, manger, dormir, et quand il a suffisamment d’énergie (ou qu’on l’a mis au régime), persécuter son entourage.



Qu’écrire que je n’ai pas déjà écrit sur cette bande dessinée ? Eh bien, rien. Comme d’habitude, c’était sympathique, sans plus. Certains gags m’ont fait rire, d’autres ont ravivé le tendre souvenir de mes chats et de leurs travers communs à ceux de Garfield, et d’autres ont encore une fois échappé à ma compréhension.



Les dessins sont vraiment simplistes (pour ne pas dire d’une qualité discutable, mais bon, j’imagine que c’est un style), l’humour est répétitif (encore qu’on peut saluer la capacité de l’auteur à se renouveler plus ou moins bien autour des mêmes thèmes), et globalement, ça ne casse pas cinq pattes à un félin.



Je crois l’avoir déjà dit, donc je vais sûrement me répéter, je suis étonnée par la longévité d’une BD aussi moyenne. J’achète tous mes tomes d’occasion, soit jamais à plus de 3€, et j’ai un peu de mal à concevoir qu’assez de gens soient prêts à payer 11€ par volume pour justifier le fait que les (non-)aventures du gros chat roux se poursuivent depuis plus de quatre décennies.



M’enfin, sans la BD, il n’y aurait pas eu le dessin animé, que je prends bien plus de plaisir à regarder. Je reste persuadée que la comparaison, en défaveur de l’œuvre originale à mon sens, influe sur mon manque de transport à son égard.
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J’ai toujours autant de plaisir à retrouver les aventures de Garfield. Je trouve ces petites histoires d’une drôlerie qui fait du bien en ces moments compliqués.

Un duo qui pour moi fonctionne bien entre ce maître sans caractère et ce chat fainéant, glouton et de mauvaise foi

Garfield prend du poids est une BD tout public, facile à lire, rythmée, drôle et accrocheuse. Je connaissais Garfield pour avoir visionné quelques épisodes de dessins animés sans avoir accroché plus que ça mais la BD s'est révélée plaisante à feuilleter. J'aime une lecture légère le soir avant d'aller dormir. Chat et chien sont caricaturés au possible mais c'est ce qui rend les gags amusants. Cela me fait quand même bien réfléchir à l'idée de prendre un chat ^^

Pour la 76ème fois chez Dargaud, Jim Davis nous offre une nouvelle pelletée de Garfielderies des plus amusantes !
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Garfield est de retour pour une 76 eme aventure du même acabit que les précédentes.



J'ai été le chercher dès sa sortie fidèle à mon habitude, une petit friandise avant les fêtes de fin d'année qui fait passer un bon moment.



J'aime toujours autant retrouver les mêmes personnages dans ces lectures

Et ne rien faire.



J'ai toujours aimé Gardield ce chat paresseux Philosophe à ces heures perdues et surtout quand il ne mange pas de lasagne.



Dans ce tome Garfield à de vrais préoccupations d'adultes et tous les clichés qui vont avec : il n'aime pas les lundis, il ne peut pas sortir de son lit sans une triple tasse d'expresso bien corsé .



Bref c'est drôle et attendrissant, mais pour le coup pas tellement pour les enfants.



Sympa !

Garfield vit La bonne vie. Il mange plus que de raison, tourmente le chien Odie et son maître Jon, enchaîne les siestes et regarde la télévision, bien que son égoïsme lui vaille parfois quelques petits retours de bâton…



Que dire sur ce tome que je n’ai pas dit sur ceux que j’ai déjà lus ? Pas grand-chose, puisque mon avis demeure le même. C’est une lecture rapide, je n’ai même pas dû mettre un quart d’heure pour en venir à bout, et il faut bien avouer qu’elle ne mérite pas qu’on lui consacre davantage de temps.



Pas que ce soit mauvais, mais ce n’est pas excellent non plus. Une partie des gags n’ont pas fonctionné sur moi, rattrapés par ceux ont réussi à me faire sourire, notamment grâce à cet humour caustique que j’apprécie tant.



Je n’en attendais pas plus de cette BD, qui offre un petit moment de divertissement pas désagréable, mais à laquelle je préfère (de loin) le dessin animé. Je n’ai néanmoins rien contre la perspective de continuer à me plonger occasionnellement dans ses tomes, à condition de les acheter d’occasion ou de les emprunter. Si je devais les payer le prix fort, je serais nettement plus réticente…
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Le printemps arrive à grand pas. Le soleil brille, les abeilles pointent le bout de leur nez, les fleurs éclosent à peine quand tout à coup, Garfield fait les frais des dernières Giboulées de Mars. Vient alors l'été, les araignées sont parties en vacances, le chat le plus paresseux du monde s'ennuie à mourir… Enfin.. Pas bien longtemps ! Une coccinelle qui passait par là en fera les frais! De plus, les péripéties de Jon ne sont jamais bien loin. Il est tellement ridicule que le matou doit faire peu de choses pour provoquer un gag hilarant. Pendant ce temps là, Mr. Toutou répond aux courriers de ses fans! 



Un nouveau tome de Garfield imaginé par Jim Davis est toujours agréable à lire. Les strips sont toujours justes et efficaces. Les thèmes sont variés malgré les running gag classiques à la série.

Un album de Garfield, c'est toujours synonyme de nourriture, de cynisme, de sieste et de procrastination. C'est souvent une succession d'échanges cyniques avec son maître. Ici, en prime, on a Liz, la copine de Jon et elle s'en prend quelques tranches aussi. Surtout devant la télévision pour des séries "girly". J'ai trouvé que, quand même, le fleuret de Garfield était bien plus moucheté que d'habitude. On n'a plus le côté cinglant des répliques. C'est plus lisse.



J'ai même eu le sentiment que Garfield était moins gros... hérésie. Par ailleurs, il ne mange que des pizzas... où sont les lasagnes...?



De plus, personnellement, je n'ai pas compris la couverture ni le titre de la compilation. le tome reprend des gags (strips) de novembre à mars. On a donc quelques gags sut Thanksgiving, sur Noël, sur le Nouvel An et les cadeaux, et sur le froid de l'hiver... Rien sur le sport.



En général, les gags de Garfield sont des strips en 3 cases, sauf 1 fois par semaine où on a un gag en pleine page. de nouveau, on peut souligner le décalage entre ces gags d'1 page (qui datent d'octobre) et les strips qui vont de novembre à mars. C'est dommage même si les gags sont toujours conformes au personnage.

Le retour de ma madeleine de Proust, j'ai beaucoup aimé cet opus, cela se lit toujours aussi rapidement.



Les dessins me plaisent toujours autant, certains personnages sont manquants ici mais cela ne m'a pas gênée.



Un de plus dans ma collection, il va falloir commencer à pousser les murs vu le nombre de bande dessinée.

Cet épisode-ci m'a beaucoup plu. J'ai ri franchement par moments. Garfield incarné tout de même tous les travers des humains, et quand il ne les incarne pas, il les descend sans ménagement.

Il est libre, il est fier d'exploiter son maître et son entourage, il n'a aucun préjugé , il se moque du regard des autres. Garfield, l'anti héros dans toute sa splendeur !

Un épisode fidèle à l'esprit de la série, avec des gags plus drôles que d'autres. Certains sont un peu durs a cerner, d'autres sont franchement marrants mais aucun n'est complètement nul. Garfield fête ses vingt ans à la fin de l'album, ce qui donne l'occasion aux souris de se moquer gentiment de leur accolyte félin.

Le gros chat roux est de retour pour son 66e tome, toujours aussi drôle que d’habitude. Ce tome de Garfield fait partie de mes favoris, les gags s’améliorant de page en page. Jon racontant ses souvenirs de bal de promo, l’apparition de souris mutantes, le rajeunissement de Jon, Odie et Garfield en changeant simplement une date sur un calendrier... Ne sont que des exemples de gags, mais non les moindres!

Bonne lecture à vous!

Même si certaines blagues restent drôles, on tourne quand même toujours autour des mêmes sujets et, au but du 74e tome, on sourit de temps en temps plus qu'on ne rit. Ce n'est pas le meilleur de la série.

J'espère retrouver un peu de fraîcheur dans les prochains tomes de la série (si prochains tomes il y a).

Un épisode de Garfield qui apporte à l'amateur tout ce qu'il est en droit d'en attendre.

De la paresse, de la nourriture, des comiques de situation à répétition, des side-kicks rigolos et des bons mots.

Quoi que...je ne trouve plus ça très drôle.

Oh, j'ai souri quelques fois mais je n'ai ni ri, ni pleuré de rire.

Et je dois dire que, en général, je ne suis pas mauvais public. Les éclats et larmes de rire sont, avec moi, quasi inévitables avec Calvin et Hobbes ou Marc Dubuisson.

Encore une BD qui ne me convient plus. Une de plus...

Comme bon nombre de travailleurs qui commencent leur semaine, Garfield déteste le lundi. Surtout quand on croit que l'on est vendredi et que le calendrier affiche ce jour de malheur. Bref.. Ça veut dire pas de grasse matinée et donc, debout, métro et boulot comme l'affiche si bien la couverture. Sauf que pour Garfield, son boulot c'est de chasser les souris et ce, au grand désarroi de Jonn. Il les invite à se servir dans le frigo pour prendre une petite glace. Les seules bêtes dont il se débarrasse sont les araignées et cela à coup de journaux pour son plus grand plaisir, tout comme botter le derrière de Odie, qui, est une activitée journalière. 

Cet album est également l'occasion pour l'auteur de publier quelques gags de fin d'année. 

Ce comics strip de Jim Davis est toujours agréable à lire comme chaque année. C'est certainement, l'une des bd la plus publiée au monde. D'après le Larousse de 2010, elle est publiée dans plus de 2570 journaux à travers le monde répartis dans 111 pays. 

Seul défaut que je lui trouve, c'est qu'il est dommage que ne soit pas indiqué le nom des auteurs participant à la création des gags. Il n'y a que le nom de Jim Davis, or, cela fait quelques années qu'il n'est plus le seul dessinateur de la série.