Garfield, tome 2 : Faut pas s'en faire

Faut pas s'en faire ! Garfield est de retour, fidèle à lui-même. C'est-à-dire à ses occupations, qui consistent à manger, dormir, manger, dormir, et quand il a suffisamment d'énergie (ou qu'on l'a mis au régime), persécuter son entourage.

Qu'écrire que je n'ai pas déjà écrit sur cette bande dessinée ? Eh bien, rien. Comme d'habitude, c'était sympathique, sans plus. Certains gags m'ont fait rire, d'autres ont ravivé le tendre souvenir de mes chats et de leurs travers communs à ceux de Garfield, et d'autres ont encore une fois échappé à ma compréhension.

Les dessins sont vraiment simplistes (pour ne pas dire d'une qualité discutable, mais bon, j'imagine que c'est un style), l'humour est répétitif (encore qu'on peut saluer la capacité de l'auteur à se renouveler plus ou moins bien autour des mêmes thèmes), et globalement, ça ne casse pas cinq pattes à un félin.

Je crois l'avoir déjà dit, donc je vais sûrement me répéter, je suis étonnée par la longévité d'une BD aussi moyenne. J'achète tous mes tomes d'occasion, soit jamais à plus de 3€, et j'ai un peu de mal à concevoir qu'assez de gens soient prêts à payer 11€ par volume pour justifier le fait que les (non-)aventures du gros chat roux se poursuivent depuis plus de quatre décennies.

M'enfin, sans la BD, il n'y aurait pas eu le dessin animé, que je prends bien plus de plaisir à regarder. Je reste persuadée que la comparaison, en défaveur de l'oeuvre originale à mon sens, influe sur mon manque de transport à son égard.
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Dans tous ses livres Garfield ne pense qu'à manger ou faire des tours a Odi. Où il veut attirer l'attention. Mais Garfiel est très drole et quand je n'ets rien n'à faire, et bien je lis des Garfield