Garfield, tome 71 : Garfield a du bleu dans les yeux !

Un album de Garfield, c'est toujours synonyme de nourriture, de cynisme, de sieste et de procrastination. C'est souvent une succession d'échanges cyniques avec son maître. Ici, en prime, on a Liz, la copine de Jon et elle s'en prend quelques tranches aussi. Surtout devant la télévision pour des séries "girly". J'ai trouvé que, quand même, le fleuret de Garfield était bien plus moucheté que d'habitude. On n'a plus le côté cinglant des répliques. C'est plus lisse.

J'ai même eu le sentiment que Garfield était moins gros... hérésie. Par ailleurs, il ne mange que des pizzas... où sont les lasagnes...?

De plus, personnellement, je n'ai pas compris la couverture ni le titre de la compilation. le tome reprend des gags (strips) de novembre à mars. On a donc quelques gags sut Thanksgiving, sur Noël, sur le Nouvel An et les cadeaux, et sur le froid de l'hiver... Rien sur le sport.

En général, les gags de Garfield sont des strips en 3 cases, sauf 1 fois par semaine où on a un gag en pleine page. de nouveau, on peut souligner le décalage entre ces gags d'1 page (qui datent d'octobre) et les strips qui vont de novembre à mars. C'est dommage même si les gags sont toujours conformes au personnage.

Fidèle a mon habitude j'ai acheté cette bande dessinée afin de compléter ma collection avec beaucoup plus de retard que d'habitude cependant.

J'ai passé une petite vingtaine de minutes divertissantes mais Jim Davis a tout de même rendu à mon sens Garfield beaucoup plus lisse et sage que dans ses premiers opus.

De même ici quelques petits strips sur la période de Noël mais qui sont beaucoup plus lisses également, plus de lait de poule, de famille de Jon cela manque un peu au récit à mon sens, de même que la non apparition de Nermal ou Arlène.