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Critiques de John D. MacDonald (17)
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Les nerfs à vif

Difficile à la lecture des Nerfs à vif d'oublier la performance de Bob Mitchum face à Gregory Peck dans Cape Fear, je ne savais même pas qu'à l'origine de ce film de J. Lee Thompson, il y avait un roman de John D. MacDonald, Un monstre à abattre (The executioners) paru en 1958.



Le monstre à abattre c'est Max Cady, qui vient de purger une peine de quatorze années de prison en Australie. Rentré aux Etats-Unis, il n'a qu'une obsession, accomplir la vengeance qu'il a ruminé derrière les barreaux. Sa liste est moins longue que celle d'Edmond Dantès. N'y figure qu'un seul nom, celui de Sam Bowden.

En 1943, ce dernier n'était pas encore un avocat prospère. Il était lieutenant dans l'armée américaine et c'est au cours d'une escale à Melbourne qu'il a été témoin d'une agression commise par le soldat Cady, 25 ans, ivre mort, sur une jeune fille de 14 ans. Traduit devant la cour martiale, Cady écope alors d'une peine de travaux forcés à perpétuité. Bowden quant à lui est démobilisé, se marie et fonde une famille digne d'un conte de fée américain: une femme encore belle malgré les maternités (!), trois enfants bien élevés, un chien, un bateau…. Cady a tout perdu. Reste sa rancoeur. Plus de femme, plus de fils, mais un plan bien défini: pourrir la vie de Bowden, faire vivre un cauchemar à sa famille, et tous les tuer à commencer par le chien…



John D. MacDonald construit un thriller psychologique angoissant dans lequel Snowden assiste impuissant à l'intrusion de Cady dans sa vie quotidienne, un Cady assez malin pour s'approcher de sa proie en cercles concentriques, laisser planer la menace, mais éviter le face-à-face. L'avocat hurle au loup mais la police, puis les privés sont impuissants.. L'agneau va devoir dire adieu à son éducation chrétienne, à son respect de la vie humaine, faire voler en éclat le joli vernis de la gentille famille de la classe moyenne et se transformer en bête féroce afin de barrer définitivement le chemin à l'intrus.

L'auteur joue habilement avec les nerfs du lecteur, comme Cady avec ceux de Snowden, plus le danger s'approche, et plus son personnage, aux abois, se transforme.

Le roman a bien vieilli, c'est distrayant. Un beau portrait de psychopathe monomaniaque.
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Maîtresse à bord

Trouvé dans une boite à livres, j'ai pris ce roman par curiosité. Si ce n'est pas de la littérature, cette lecture permet de se changer les idées. Que peut-on exiger de plus d'un roman noir? Le but est atteint. Seule le dénouement est trop rapide à mon goût.
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Dans les plumes

Teed Morrow, jeune fonctionnaire municipal d'une ville de 200 000 habitants dans le nord est des Etats-Unis, est l'assistant de Powell Dennison, le directeur des Services Municipaux. Ces deux hommes intègres luttent avec courage et adresse contre la corruption généralisée qui gangrène la cité, depuis les édiles à commencer par le maire jusqu'aux entreprises de travaux publics en passant par les services de la police et de la justice qui sont tous à la botte de Lonnie Raval, le caïd du coin qui impose sa loi et sa violence pour régner en maître absolu. Aussi quand les deux fonctionnaires refusent les pots de vin et assemblent les preuves de la corruption pour faire tomber définitivement Raval, ce dernier fait assassiner la femme du maire qui est aussi la maîtresse de Teed Morrow et monte à l'encontre du jeune homme un traquenard pour l'impliquer dans le meurtre et en faire le coupable idéal. Avec le soutien de son patron, d'un jeune avocat et d'une ravissante prostituée, il va essayer de contrecarrer les plans de Raval sous le regard neutre d'un journaliste et d'un vieux commissaire de police qui lui accordent le bénéfice du doute. Lonnie Raval passe alors à la vitesse supérieure et enlève la fille cadette de Dennison encore au lycée mais déjà amoureuse d'un Teed Morrow qui la considère plutôt comme sa petite soeur. Il ne s'agit alors plus pour lui de se disculper d'un meurtre qu'il n'a pas commis mais de sauver la jeune fille. Pour cela il est prêt à engager une lutte à mort contre le gangster.



John D. Mac Donald est un prolifique auteur qui a, durant sa carrière, touché à plusieurs genres littéraires même s'il est surtout reconnu pour ses romans policiers et ses romans noirs. "Dans les plumes" fait partie de ces derniers. Ecrit en 1951 et publié dans la Série Noire dès l'année suivante, c'est l'un des premiers romans du créateur du détective Travis McGee qui, lui, verra le jour au milieu des années 60, et déjà nous sentons tout le talent de celui que Stephen King considère comme "le grand artiste de notre époque, un conteur fascinant." La collusion entre le pouvoir politique et la pègre est un élément central du genre qu'est le roman noir et ce thème de la corruption et la lutte de quelques hommes honnêtes contre un système pourri est au coeur de cette intrigue bien pensée et bien écrite. Malgré le caractère tragique de l'histoire, on ne retrouve pas de façon omniprésente la violence des romans de Dashiell Hammett ni la noirceur et le pessimisme des oeuvres de Goodis. En revanche l'ambiance propre aux années 50 est parfaitement restitué et le style d'écriture descriptif permet une visualisation quasi cinématographique de l'action. L'aspect psychologique des différents personnages est aussi plus développé que dans d'autres romans noirs à l'écriture purement behavioriste. Un roman de grande qualité que je recommande.
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Les énergumènes

Le polar aujourd'hui a quitté le ghetto dans lequel les "beaux esprits" l'avaient relégué, le jugeant indigne de prétendre au nom "sacré" de Littérature. Ce n'est que justice et la qualité est désormais au rendez-vous avec une pléiade de jeunes auteurs de grand talent.

Faut-il pour autant négliger les anciens, ceux qui furent ostracisés en leur temps ? Certes non. La relecture du roman noir de John Dann Macdonald "Les énergumènes" -publié aux Etats-Unis en 1961 et intégré l'année suivante dans la Série Noire (1) par ce grand découvreur que fut Marcel Duhamel-, en est la preuve.

Ce polar des sixties précède de cinq ans "De sang froid" le récit glaçant de Truman Capote et aurait très bien pu l'inspirer tant le thème est proche. Mais le traitement est tout autre. Macdonald a choisi la fiction et a mis en place une architecture très originale en débutant par la fin (le passage des malfrats sur la chaise électrique), et en multipliant les points de vue sur l'épopée sanglante d'un quatuor déjanté. Pour ce faire, il donne successivement la parole à l'avocat d'un des condamnés à travers ses notes, à l'un des meurtriers par le truchement de son "journal de la maison de la mort", aux policiers dont on découvre l'évolution de l'enquête et même à un gardien de prison qui décrit dans une lettre à un collègue l'ultime épisode de l'existence du quatuor malfaisant.

Dérive meurtrière, gratuite et cynique de quatre individus perturbés dont une jeune femme, "Les énergumènes" est un roman-choc où la course vers l'abîme est déclinée avec une précision chirurgicale et une science de la mise en scène aboutie. "Demain est devenu aujourd'hui et c'est mon dernier jour", écrit Kirby Strassen, un fils à papa, revenu de tout et entraîné dans le tourbillon de "la meute sanglante" par besoin d'un ailleurs qui le sorte de la vacuité de sa vie. Il y côtoie une fille perdue à l'enfance saccagée, un Hercule arriéré dont le violence lui tient lieu d'unique moyen de communication et d'un pseudo-intello qui semble diriger le groupe et inspirer cette sinistre épopée de sang et de larmes.

John Dann Macdonald réussit la gageure de ne porter aucun jugement, laissant au lecteur le soin de se déterminer par rapport aux faits, à leurs motivations, à leurs conséquences. Voilà assurément un grand roman noir qui démontre que les "géants" des années 30-40, les Chandler, Hammett et autres James Cain, ont eu des disciples de valeur après guerre. John Dann Macdonald en apporte la plus convaincante illustration.

1. traduction de Janine Hérisson

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Le Combat pour l'île

L'auteur se lance dans des explications de magouilles financières qui ont eu raison de ma patience.

J'ai jeté l'éponge un soir de juin...

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Strip-tilt

A la mort de son oncle Omar Krepps, richissime inventeur, le jeune Kirby Winter qui était également son employé, se retrouve héritier d’une absence de fortune. Il est même accusé par les associés, la police et les journalistes d’avoir fait disparaître 75 millions de dollars de l’héritage. Un couple d’escrocs de haut vol s’intéresse à lui et s’apprête à l’emmener sur un yacht pour lui faire avouer où il a caché l’argent. Le pauvre Kirby ne comprend pas. Jamais il n’a vu la couleur de cet argent et tout son héritage s’est résumé à une vieille montre gousset. Alors qu’il tente de se sortir de ce sac de nœuds avec l’aide de Bonny Lee, une strip-teaseuse au grand cœur, il découvre que cette montre est capable d’arrêter le temps, de figer le monde à volonté et de conférer à son propriétaire, richesse, impunité et liberté totale. Kirby échappera-t-il aux envieux ?

Ce livre plus proche du fantastique que du policier est une sorte de parabole ou de conte philosophique sur le temps, l’espace et le pouvoir. L’évolution du héros est particulièrement intéressante. Falot, gentil et timide pour ne pas dire benêt avec les femmes au début, Kirby devient assez vite brillant, cynique et déluré pour ne pas dire séducteur au fur et à mesure qu’il maitrise mieux son nouveau pouvoir. Publié en 1964, ce petit livre délicieux et truculent n’a pas pris une ride. Il est très agréable à lire et offre en prime une description de la société et de l’esprit de la fin des années 50, époque qui voyait l’arrivée de la société de consommation et qui préfigurait déjà la nôtre…
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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L'héritage de la haine

Huit nouvelles parues dans les pulp des années 47 à 49. Curieusement, certaines traductions sont actualisées dans les années 70 créant une distorsion imbécile. Huit nouvelles bien noires, des histoires de vengeance, de sanglants règlements de compte, de rapt et d'escroquerie qui finissent mal en général, sauf « La nuit s'achève » et « Une veuve célibataire » où l'amour décoche ses flèches, et laisse espérer une fin heureuse. Un témoignage sur l'excellence de la production du polar américain de la période classique.

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Maîtresse à bord

Bindy Kayd est l'heureux propriétaire du Muneca. Un bateau sur lequel il a caché 800000 dollars. Mais voilà, Staniker le capitaine de son navire l'apprend et entre les Bahamas et la Floride il décide de s'approprier ces milliers de dollars. Et ni une, ni deux il tue Bindy Kays ainsi que les 6 autres passagers du Muneca.

Alors qu'il pense pouvoir profiter tranquillement de son forfait, son associée veut elle aussi profiter du magot. Surtout que Crissy Harkinson ne se contente pas d'être sa partenaire, elle est aussi sa maîtresse. Elle est aussi surtout très avide.

Et maintenant c'est un frère d'une de ses victimes qui cherche lui aussi à remettre la main sur le pognon. Et oui cet argent sale devait servir dans l'immobilier et graisser la patte à des agents peu crapuleux.

Staniker peut se faire du soucis, Crissy n’est pas femme à lâcher l’affaire.

John D. MacDonald nous propose là un roman policier solide mais plutôt classique. Ses personnages sont bien campés et l’intrigue tient toutes ses promesses. Ça se lit bien mais on n’en garde pas un souvenir impérissable.


Lien : https://collectifpolar.com/
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Strip-tilt

Pour amateur de sf genre fantastique. L'originalité de l'histoire se base sur le temps que l'on peut arrêter pour quelques heures max et reprendre le cours de la vie. Une bonne ingéniosité de cet auteur peu connu en France mais très apprécié aux USA, par Stephen King entre autres. Beaucoup d'humour, de dérision et quelques profondes pensées. Bien distrayant
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Vendetta palace

Lloyd Wesscott est forcé de monter dans une voiture garée proche d'un ravin...il se débattra mais coincé, il finira par y monter contraint. Où cette voiture le menera-t-elle ??? au sein du pays des morts. Car ce véhicule maudit dans lequel il a prit place ne continuera pas sa route mais roulera directement dans le vide... ainsi en auront décidé ses tortionnaires, une bande de gansters crûels et dangereux. Puis c'est la chûte dans le vide...

Assommé durant "l'accident" il sera ejecté de la Pontiac avant qu'elle ne s'écrase au fond du précipice...il ne se reveillera que 3 jours plus tard perché sur un arbre à flan de montagne. Ne comprenant ni ce qu'il fait là, ni où il se trouve, ni d'ailleurs pourquoi tout son corps n'est qu'un amas de douleurs... désarticulé, un bras et des côtes cassées, défiguré, les dents à nues, la moitié de ses cheveux brûlés, sa mémoire en totale léthargie, il n'en sera pas moins........ vivant !

Vivant et haineux. Vivant et déterminé. Vivant et n'ayant plus qu'un désir : se venger.



Ainsi commence ce magnifique roman de John Dann Mac Donald. L'auteur nous conviera à un flash back pour nous narrer les évenements ultérieurs qui ont placé notre triste héros entre la vie et la mort. Il se vengera... mais pour celà il devra devenir "quelqu'un d'autre" : changer de visage, moduler sa voix, modifier sa démarche, s'insufler une nouvelle gestuelle...

Perte d'identité...négation de soit...narration passionante, reflexion éclairée sur le sens de la vie....Mc Donald connait son affaire à savoir : raconter un bon récit et qui plus est, d'une accroche qui ne se dilue qu'à la derniere page.

Ecriture savante et métronome.
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Une valda pour Cendrillon

ma première impression de ce livre était évidemment positive vu l'odeur de ces pages jaunes qui te donnent envie de dévorer le livre , sa couverture intéressante et bien sur le titre.

c'est un roman noir , regroupant plusieurs genres d'écritures; policier, suspens, thriller,énigme..enfin tous! ce livre m'a donné envie de lire encore d'autres de ce genre ..j'ai l'impression que ce livre me donne une souplesse d'esprit et renforce le sens de la logique étant donné que Tal Howard 'le personnage principal' fait des investigations cohérentes et impressionnantes pour résoudre l'énigme de ce livre...la fin aussi était satisfaisante .
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Maîtresse à bord

Peut se lire.

Mais pas le grand pied non plus.....

Pour gagner du temps laissez tomber.
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Le vin des rêveurs

Le vin des rêveurs/ John D. Mc Donald

L’histoire débute au Nouveau-Mexique dans la région d’Albuquerque. Une voiture roule de nuit vers le sud. Au volant Bard Lane, un savant accompagné d’une collègue psychologue Sharan Inly endormie. À l’arrière, un prisonnier endormi également. Il se nomme Bill Kornal., C’est un scientifique.

À l’aube, le petit groupe rejoint la salle de conférence où les attend le général Sachson.

Cette réunion a lieu suite à un coup de folie de Kornal qui subitement et sans raison, a tout cassé dans son laboratoire. Quatre mois de recherches et de travaux pour préparer la nouvelle fusée interstellaire anéantis. Le projet Tempo, supervisé par l’armée a pris un mauvais coup ! Sur la Terre, l’humanité aborde un nouveau tournant de son histoire. Elle s’apprête à lancer des vaisseaux habités vers d’autres systèmes solaires. Mais des phénomènes inquiétants menacent le projet. On dirait que certains savants et techniciens, sans raison, se changent en fous furieux, ou plutôt en créatures possédées par le démon. Un démon que la science ne peut que nier ! Interrogé, Kornal explique qu’il n’a eu aucun moyen de résister à l’emprise qui faisait qu’il n’était plus lui-même. Il a eu l’impression qu’une puissance démoniaque utilisait son corps comme un outil en réduisant son esprit au silence. Comme si quelque chose lui grignotait l’esprit. Et si cette puissance venait d’ailleurs dans l’Univers… ?

Loin de là, à des années lumières de la Terre, le monde de Raul Kinson et de Leesa sa sœur, c’est celui des Veilleurs et des Rêveurs, un univers clos et absurde, fait de niveaux et de couloirs, de chambres et de cellules. C’est une planète qui tourne autour d’un soleil rouge agonisant du côté d’Alpha du Centaure.. Il y 12 000 ans, les Chefs ont décidé d’organiser une émigration vers d’autres mondes. Trois ont été choisis.

Sur la planète, on considère que le monde est éternel, n’a jamais eu de commencement et n’aura jamais de fin. La vie s’y déroule selon un cycle immuable. Lorsqu’ils ont atteint l’âge requis, les rêveurs se soumettent aux machines. Dans leurs cages de verre, ils rêvent des trois mondes. L’un, Marith, est dominé par la barbarie, l’autre, Ormazd, par l’acceptation absolue, la sagesse, le bonheur. Quant au troisième… !

Raul Kinson au cours d’un rêve a eu une révélation et il sait à présent qu’il est différent des autres qui eux ne savent pas ce qu’il sait. De plus, à 16 ans, il domine tous les adolescents de son âge et même tous les hommes par son physique. Il perfectionne sa technique d’infiltration dans le cerveau des hôtes qu’il choisit. Mais ce qu’il faut savoir c’est que les rêveurs sont persuadés que ce qu’ils voient est un fantasme sans réalité physique, un rêve en somme. Ce n’est qu’au bout d’un certain temps que quelques Rêveurs se demandent s’il n’y a pas une réalité qui se cache dans leurs rêves…Et ils passent pour des hérétiques en prétendant que les trois mondes des rêves sont réels ! Ils se mettent en danger en avouant leur pensée.

Pendant ce temps au Nouveau-Mexique, c’est Bard Lane, le patron, qui est touché par le phénomène qui a frappé Kornal. Il s’est senti possédé, une force lui imposant des images qui lui étaient propres. Il voyait un monde à l’agonie, très ancien. Il a pu résister néanmoins à une force qui l’incitait à détruire l’astronef. Il va être sous surveillance obligatoirement car il craint de devenir aussi destructeur que Kornal. Il a 34 ans et ne veut pas finir dans un asile psychiatrique. C’est Sharan qui va être chargée de la surveillance.

Que vont faire les Rêveurs face à une réalité insoupçonnée dont ils sont les ascendants ? Et les Terriens face à cette emprise dont ils découvrent peu à peu la nature ? Et si les religions et les guerres n’étaient nés que des caprices des veilleurs ? Séparés par un gouffre d’années- lumière, Lane sur la Terre et Kinson sur le Monde des rêveurs approchent peu à peu de l’incroyable vérité.

Un bon roman de fiction publié en 1981, récit d’une enquête et d’une rencontre. Une enquête sur les rapports secrets qui pourraient unir l’homme à d’autres civilisations.

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La Mariée est trop morte

Beaucoup de mal à rentrer dans le livre.

L’histoire est plaisante à suivre. Dommage que je emmêlais les pinceaux entre les différents personnages😏🤔
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Le vin des rêveurs

C'est une histoire de science-fiction que j'ai beaucoup aimée, bien que je trouve la fin un peu trop morale, ou en tout cas trop facile. J'aurais aimée que les héros nous emmènent plus visiter les autres mondes, et qu'on en apprenne plus sur ce qui s'est vraiment passé.
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Maîtresse à bord

La Muneca a disparu entre la Floride et les Bahamas avec sept personnes et plusieurs centaines de milliers de dollars à bord. Crissy Harkinson s'inquiète. Pourquoi le capitaine Staniker tarde-t-il à lui faire signe ? La combine aurait-elle raté? Staniker l'aurait-il doublé ? Non, impossible ! Aucun homme n'a jamais roulé Crissy. Une femme de tête, Crissy. Du genre mante religieuse. Mais sa religion , à elle, c'est le fric, bien rouge, bien saignant. Un polar classique de la fin des 1960'.
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Janice ne répond plus

Un roman noir sympathique, qu'on sent écrit au kilomètre (beaucoup de dialogues, quasiment que ça en fait) mais avec de belles idées d'écriture malgré tout.



Une traduction horrible cependant...
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