John Green

pour vivre, il faut tomber,
atterrir, se relever et recommencer de plus belle
pour vivre, il faut tomber,
prendre le risque de voler sans ailes

-Entremetteur, cajoleur, empoisonneur, dissimulateur, révélateur. Non mais regarde-le monter et descendre, entrainant tout sur son passage.
-Qui ça ? Demanda Anne.
-L'Océan, répondit-il. Enfin, l'océan et le temps.

D'après le comptage cellulaire, les humains sont faits à cinquante pour cent de microbes, ce qui signifie que la moitié environ des cellules qui nous constituent ne nous appartiennent pas.

De mon point de vue, les gens avaient besoin d'être rassurés. Ils ne supportaient pas que la mort soit synonyme de grand néant noir, que les êtres qu'ils chérissaient n'aient plus d'existence, et ils ne pouvaient à fortiori pas s'imaginer ne plus exister. J'ai décrété finalement que les gens croyaient en l'au-delà pour la bonne raison qu'ils ne pouvaient supporter de ne pas y croire.

Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.

Les bons amis sont difficiles à trouver mais impossible à oublier.

la vie n'est pas une usine de vœux a exaucer

J'ai voulu plus de temps pour qu'on puisse tomber amoureux l'un de l'autre. Et mon voeu a été exaucé. J'ai laissé ma cicatrice. .../...
Je l'aime. J'ai tellement de chance de l'aimer. Dans ce monde ce n'est pas nous qui choisissons si on nous fait du mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. J'aime mes choix.

La seule chose qui craint plus que de mourir d'un cancer à seize ans, c'est d'avoir un gosse qui meurt d'un cancer.

La seule chose qui craint plus que de mourir d'un cancer à seize ans, c'est d'avoir un gosse qui meurt d'un cancer.

Une bibliothèque c'est le carrefour de tous les rêves de l'humanité .

Peut-être que nos citations préférées en disent plus sur nous-mêmes que sur les histoires et les personnes que nous citons...

Mon père : Emily, ce risotto...
Ma mère : Il est tout simplement délicieux.
La mère de Gus : Merci beaucoup. Je serais ravie de vous donner la recette.
Gus, après une première bouchée : Je dirais, de prime abord, que ça n'a pas le goût de l'Oranjee.
Moi : Très juste, Gus. Ce plat, bien que délicieux, n'a pas le goût de l'Oranjee.
Ma mère : Hazel !
Gus : Il a un goût de...
Moi : De nourriture.
Gus : Exactement. Il a un goût de nourriture, bien préparée, certes, mais il n'a pas ce goût, comment le dire avec tact... ?
Moi : Il n'a pas le goût de Dieu en personne, divinement cuisiné, puis décliné en cinq plats, servis accompagnés de boules de plasma pétillant, sous une pluie de pétales de fleurs, qui flottent véritablement et littéralement autour de votre table au bord du canal.
Gus : C'est joliment dit.
Le père de Gus : Nos enfants sont bizarres.
Mon père : C'est joliment dit.

"-La vie est bel et mérite d'être vécue Hazel Grace...okay ?
-okay"

"-J'ai gaspillé ton voeu pour cette face de rat, ai-je dit
- Hazel Grace, je te confirme que tu as bien utilisé mon seul et unique voeu, mais pas pour lui. Tu l'as utilisé pour nous."

J'ai lu ce livre, quand Gus est mort, je n'ai eu aucun pincement au cœur, rien. Quand je l'ai fini, rien non plus. Une amie m'a demandée ce que je pensais du livre, je ne pouvais pas lui répondre. J'ai dit « Je ne sais pas. » et c'est le soir, dans mon lit, que je me suis mise a pleurée toutes les larmes de mon corps.

moi qui suis une fan de hunger games comme personne... ça m'a fait mal au début mais... j'ai bien été obligée d'avouer que Nos Etoiles Contraires est le plus beau, le plus touchant, bref le meilleur livre jamais écrit.
Comment ne pas tomber sous le charme de ce couple de toute beauté, de ces deux personnes qui s'aiment plus que tout, d'Augustus, le très bel Augustus qui parle si bien, et d'Hazel, dans la peau de laquelle je me reconnaîs si bien (la maladie en moins)

J'ai ri, j'ai pleurer. Parfois j'éclatais de rire au cours de l'histoire pour finalement tremper les pages de larmes...
Ce livre représente la Vie. Les joies, les choses drôles, les peines et la mort.

En tout cas merci mille fois à John Green pour ce bijoux.

Merde. Carla penchait sur la gauche, et le pare- brise n'était plus qu'une surface blanche parsemée de goudron. Des pans de neige glacée tombaient à l'arrière de la voiture : on allait être enterrés ! J'ai réagi à cette découverte avec le langage raffiné qui me caractérise !
- Merde merde merde merde merde merde merde...
Débile débile débile débile débile débile....

- Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer.

Tu m'as offert l'éternité dans un nombre de jours limités .