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Citations de John Green (3435)


J'ai senti des frissons me parcourir la colonne vertébrale, parce que toute phrase qui commence par "je t'aime, mais..." ne peut pas bien se finir.
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METAPHORE DE LA CIGARETTE: Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer.


CITATION: Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
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"Un des clichés les moins cons dans les histoires du cancer, c'est ce qu'on appelle la dernière bonne journée. Quand tout à coup l'inexorable déclin fait une pause. Quand la douleur devient momentanément supportable. Évidemment le problème c'est qu'il est impossible d'identifier la dernière bonne journée, le jour même. Sur le moment c'est juste une journée passable. "
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... tu verras des tas de tableaux qui représentent des morts. Jésus sur la croix, des types qui se font poignarder dans le cou, d'autres qui meurent en mer ou sur un champ de bataille et une flopée de martyrs. Mais pas un seul type qui meurt de la peste, de la variole, de la fièvre jaune ou d'autre truc, parce qu'il n'y a aucune gloire à être malade, pas de sens à la maladie. On ne retire aucun honneur à mourir de la maladie.
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je hurlais encore et encore et encore, parfois juste des bruits. parfois des jurons - toutes les pires insultes que tu puisses imaginer.
moi : hmm, la liste est longue. tu as déjà hurlé "bâton merdeux" ?
ma mère : non, mais...
moi : "baiseur de nains" ?
m mère : will...
moi : tu devrais essayer "baiseur de nains". c'est très satisfaisant.
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Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer.
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Les traitements et le cancer font la course pour savoir qui tuera Anna en premier.
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Certains pensent qu'Amsterdam est la ville du péché. En réalité, c'est la ville de la liberté. Et dans la liberté, la plupart des gens trouvent le péché.
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[...] comme tous les morts du monde, il avait rétrogradé une fois pour toutes d'esprit hanté à esprit qui hante.
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Je ne mentais pas vraiment. Je choisissais juste une vérité parmi d'autres.
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Le truc avec la souffrance, c'est qu'elle exige d'être ressentie
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"[...) le départ n'a vraiment de valeur, que si l'on quitte quelque chose d'important, quelque chose qui vous est cher. Arracher la vie par les racines. Mais on n'y parvient qu'une fois poussées les racines de sa vie."
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Ce n'est pas ce que le monde nous donne qui compte, mais ce que nous, nous lui donnons.
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Je m’appelle Hazel. Augustus Waters était le grand amour maudit de ma vie. Notre histoire d’amour fut épique, et je doute de pouvoir en dire le moindre mot sans fondre en larmes. Gus savait, Gus sait, que je ne raconterai pas notre histoire d’amour parce que – comme toutes les vraies histoires d’amour – elle mourra avec nous, comme il se doit.
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Et voilà qu'il était là, cet énorme et terrible dix, qui me giflait à tour de bras tandis que j'étais allongée sur mon lit à regarder le plafond, les vagues de douleur me projetant contre les rochers, puis me tirant en arrière vers le large pour mieux me rejeter contre la paroi déchiquetée de la falaise, me laissant flotter à la surface, le visage tournée vers l'eau, sans me noyer.
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Comment allons-nous sortir de ce labyrinthe de souffrance ?
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J'aurais ajouté que Davis et moi ne nous étions jamais beaucoup parlé et qu'on ne s'était pas beaucoup regardés non plus ; mais ce n'était pas grave, car nous regardions le même ciel ensemble - ce qui est sans doute plus intime que de croiser le regard de l'autre. Tout le monde peut vous regarder. Il est plutôt rare de trouver quelqu'un qui voie le monde tel que vous les voyez.
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Lui : Et le truc, c'est que, quand on perd quelqu'un, on se rend compte qu'on finira par perdre tout le monde.
Moi : Très juste. Et une fois qu'on le sait, on ne peut jamais l'oublier.
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La vie n'est pas une machine à souhait
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Le truc avec la souffrance, c’est qu’elle exige d’être ressentie.

La seule chose qui craint plus que de mourir d’un cancer à seize ans, c’est d’avoir un gosse qui meurt d’un cancer.
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