Joël Dicker

Ceux qui ont déjà lu ses romans retrouveront facilement leurs repères dans L’affaire Alaska Sanders : une intrigue labyrinthique, de multiples rebondissements, de constants allers-retours entre passé et présent… et surtout un suspense efficace qui tient le lecteur en haleine jusqu’au bout de ce pavé imposant.
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Une intrigue au croisement de Twin Peaks et Big Little Lies, orchestré sous le glacis suisse signature de Dicker, qui à la fois renoue avec les ressorts de son grand succès et offre le plaisir d'une nouvelle résolution, celui du meurtre d'Alaska Sanders.
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Avec son nouveau livre, publié par sa propre maison, le poulain suisse de feu Bernard de Fallois clôt sa trilogie entamée avec "La Vérité sur l'affaire Harry Quebert". Pas de quoi désarçonner ses fans.
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Retrouver un livre de Dicker, c'est comme retrouvé un pote qu'on aurait pas vu depuis un bail.

La premiere partie rythmé et surtout les retrouvailles avec ce policier de l'affaire Harry Quebert

Bref on retrouve la meme structure que d'habitude mais on aime et ça fonctionnd.

MAIS la seconde partie est un serpent qui se mord la queue : des chapitres entiers n'ont aucun interet et n'apporte rien. Le final tourne en rond et n'avance pas.

Désormais à la fois écrivain et éditeur, Joël Dicker propose ce printemps un roman au rythme soutenu, impossible à lâcher: L'Affaire Alaska Sanders.
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Archi nul.J’essaye de le terminer.Plus j’avance,plus j’ai du mal.

Aucun style,idylles neuneus à souhait.Intrigue à la mord moi l’noeud.Bref,je n’achèterai plus rien de cet auteur qui de plus s’autocongratule à longueur de chapitres via son personnage central que son pote de flic surnomme pompeusement l’écrivain…Tu parles d’un écrivain ! Amateurs de vrais bons livres,passez votre chemin,vous ferez une économie de temps et d’argent !

[...] Excellent nouveau roman «l’Affaire Alaska Sanders», qu’il publie dans sa propre maison d’édition.
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L’action, encore une fois. Celle qui ne peut avoir lieu sans s’inscrire dans le temps. Ainsi, le temps est bien le fil rouge de cet ouvrage où une affaire criminelle rebondit onze ans après l’enquête initiale.
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Pour écrire un best-seller, il suffit de prendre exemple sur L'Affaire Alaska Sanders, la nouvelle bonne affaire Joël Dicker. Un modèle du genre.


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Joël Dicker, comme beaucoup de célébrités, divise. Il publie un nouveau roman? Ceux qui l’adorent guettent «L’affaire Alaska Sanders», en librairie le 3 mars. Le thriller boucle une trilogie, s’insérant entre «La vérité sur l’affaire Harry Quebert», auquel il offre un prolongement, et «Le livre des Baltimore».
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Un crime est commis, le sergent Gahalowood enquête et croise son vieux comparse, L’Écrivain. Une affaire qui marche comme sur des roulettes.
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je savais que j’allais adorée l’Affaire Alaska Sanders avant de le commencer effectivement ce fut le cas je suis ravie je me suis attaché au personnages vous ne serai pas déçu je vous le conseille deux meurtres par qui ? hé bien vous le serais à la dernière page

bonne lecture

Comme d’habitude, à peine ce livre entamé, Joël Dicker embarque le lecteur dans les méandres de l’enquête policière menée par le célèbre tandem composé d’un écrivain et d’un sergent!



Comme toujours, Joël Dicker nous surprend avec une fin que l’on n’attend pas (et…on a beau savoir qu’il va y avoir un twist, on ne voit quand même pas le dénouement arriver!)

Que c'est long !!!



J'avais adoré l'affaire Harry Quebert, depuis Joël Dicker ne fait que se répèté à l'envie.

L'affaire Alaska Sanders ne déroge pas à la règle. Des allers-retours incessants entre le présent et le passé, une écriture lourdaude, des rebondissements sans queue ni tête.... bref, un TRÈS long moment pour aboutir à le fin de ce mauvais roman, que j'oublierai aussitôt la dernière page tournée

Les romans de Joël Dicker sont de plus en plus décevants...



Déjà, l'énigme de la chambre 622 avait été une plaie à terminer...



Celui-ci malheureusement n'échappe pas à la règle...



Des rebondissements et une fin que je ne dévoilerai pas invraisemblables...



Dommage pour un auteur qui s'avérait si prometteur...

Je n'ai pas du tout apprécié ce livre, j'avais bien aimé le mystère de la chambre 662, l'ambiance et l'intrigue mais là, les personnes sont antipathique et l'histoire invraisemblable et qui doit cocher les cases actuelles biensur... enfin c'est grotesque.

Pas grand intérêt. Beaucoup de mots et de pages écrites. C'est un bon exercice de lecture en diagonale. Le rappel du livre sur Harry Quebert est ennuyeux. L'intrigue ne tient pas vraiment la marée. Cela ne me plaît pas de dire du mal d'un livre, mais là trop de facilité. L'auteur se repose sur sa notoriété. Dommage, il faut qu'il se ressaisisse.

Je viens de lire quelques critiques et je me sens beaucoup mieux. J’ai eu peur d’être la seule à trouver cet auteur navrant.

Avec la chambre de je ne sais plus quel numéro, j’avais cru relire Enyd Blyton et le club des cinq.

La, persiste et signe …

Et pour couronner le tout, de nombreuses coquilles inadmissibles….

« un besoin pressent !!!! » entre autres.

Bar tel y n’etait pas disponible.

Bon. j

Joël Dicker : terminé !

Bof, on fait du neuf avec du vieux...en rappelant qu'on n'est pas n'importe qui. Le tout dans un style qui reste au niveau du roman de gare, qui a son public, mais je n'en fais pas partie. Le style simplet qu'on avait pardonné dans la première histoire Québert ne passe plus maintenant. Les prix reçus y sont pour beaucoup car tout à coup, comme par miracle, on voudrait que la plume de Dicker (qui semble si charmant sur les photos) soit au niveau des grands. Et on se rend compte que c'est impossible bien sûr. D'où ma déception. Pas tout lu.

le premier tiers est addictif puis ça retombe on lit encore un peu en espérant que ça reparte et puis tout se ramolli tant et si bien qu'on laisse tomber ça comme un cake mal cuit. voilà. très déçue car j'avais adoré l'affaire Harry keber. je laisse tomber cet auteur. tant pis