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Critiques de Joël Dicker (5945)
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L'affaire Alaska Sanders

Bon. je tiens déjà à vous rassurer mais @joeldicker nous réserve encore de bonnes surprises!



Le duo Goldman/ Gahalowood n’a rien à envier au duo de croquettes aux crevettes que je vais déguster après ma chronique.



Comment expliquer en 2mots ce que je viens de vivre comme moment littéraire ?

Monsieur Dicker est un ovni, un extra terrestre qui mettrait un tour de lune à E.T assis sur son vélo en plein vol, un magicien des mots, le David Copperfield du suspense!

Le livre fait 570 pages…que 570 pages!



Je n’ai pas assez d’adjectifs pour qualifier à lui seul ce livre, ce joyaux, ce diamant, ce rubis qu’on l’on poli à chaque chapitre. Les personnages, les lieux, les flashbacks, tout est rondement mené !

Du début à la fin, on plonge, on nage dans cette enquête, on essaie de rester à flot sur nos idées mais au plus l’histoire avance au plus les vagues deviennent de plus en plus grandes et on se noie de plaisir vers les abysses du plaisir littéraire.



On trouve chacun son bonheur à tourner les pages d’un livre, moi j’ai trouvé la jouissance de vivre chaque étape de cette enquête. J’ai essayé de lire le plus calmement possible afin de ne rien louper et surtout de déguster ce roman comme boire un whisky de 18 ans d’âge. Cette arôme qui flirte nos papilles gustatives et qui nous font vibrer à chaque gorgée. On s’enivre à boire les paroles de monsieur Dicker. Sa plume qui nous transperce le cœur, ses mauvaises pistes qui nous font quitter la route normalement toute tracée, ses émotions qui nous font tanguer entre joie, peine, bonheur et rancoeur.



On ne se lasse pas de tourner les pages, on se délasse plutôt sans que cela devienne lassant au fils des pages. Toujours à la recherche de la vérité, ces rebondissements qui feraient jaser un touareg assis sur son chameau en plein désert. Oui monsieur Dicker a bossé dur pour ce livre et ce, pour notre plus grand plaisir !



vous devez impérativement vous procurer ce petit bijou ! lisez le doucement car les pages se tournent aussi vite que l’horloge, les minutes sont torrides

Et moi je rêve d'accélérer le temps….non je ne suis pas « Miro » mais prévoyant car le temps s’arrête quand on ouvre un livre de Joël Dicker !

Il vous tente ? #livre #dicker
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L'affaire Alaska Sanders

La sortie d’un nouveau roman de Joël Dicker est à chaque fois pour moi un événement, et cela faisait bientôt deux ans d’attente depuis l’Enigme de la chambre 622 (autant dire une éternité !). Comme mes préférés sont sans conteste La vérité sur l’affaire Harry Quebert et surtout Le livre des Baltimore, j’ai été très heureux de découvrir que le fameux Marcus Goldman reprenait du service dans ce troisième tome venant s’intercaler chronologiquement entre les deux précédemment cités.



L’intrigue se déroule à deux époques différentes. En 1999, le corps sans vie de la jeune Alaska Sanders est retrouvé sur une plage en bord de lac. L’enquête est alors menée par le sergent Perry Gahalowood, bien connu des habitués de la Vérité sur l’affaire Harry Quebert. Seulement, l’enquête se voit réouverte en 2010 lorsque des preuves refont surface et font douter le sergent quant aux conclusions de la première enquête. Marcus vient alors s’en mêler et tous les deux vont faire la lumière sur le meurtre d’Alaska Sanders. De multiples personnages secondaires entrent dans la danse et le duo d’enquêteurs va au fur et à mesure leur faire révéler leurs secrets.



On retrouve indiscutablement le style de Joël Dicker dans ce roman : une enquête au rythme effréné, des personnages bien construits, des rebondissements, une construction alternant présent et passé. De nombreuses réflexions sur le couple, l’amitié, la confiance, la famille viennent enrichir l’intrigue. J’ai adoré retrouver l’Ecrivain et le Sergent, garants de dialogues savoureux, tantôt drôles, tantôt émouvants. Les nombreuses références à la vie de Marcus, aux événements liés à l’affaire Harry Quebert et à son enfance avec ses cousins de Baltimore font mouche et raviront les fans (bravo, maintenant j’ai envie de tout relire…). Toutefois je pense qu’il vaut mieux avoir lu les deux autres romans avant celui-ci, sinon difficile de comprendre l’intérêt de toutes ces allusions. Bref, une lecture très addictive en somme.



Toutefois quelques points négatifs sont à soulever. Même étant habitué aux romans de Joël Dicker, j’ai trouvé les retours dans le passé parfois trop nombreux, et j’ai eu du mal à m’y retrouver au début. Il y a l’histoire en 1999, celle onze ans plus tard, et dans chacune des retours en arrière. Ensuite, la construction du roman est « globalement » la même que la Vérité sur l’affaire Harry Quebert, et on y retrouve les mêmes fils, astuces et situations invraisemblables. L’histoire est parfois un peu laborieuse, on a tendance à s’y perdre : cela aurait mérité quelques retournements de situation et quelques dizaines de pages en moins. Si l’idée de l’écrivain qui raconte comment il a rédigé son roman était originale pour Harry Quebert, cela sent un peu le réchauffé ici. Enfin, ma dernière critique : l’ouvrage, publié aux toutes jeunes éditions Rosie&Wolfe, est truffé de fautes et de problèmes de mise en page ; pour un livre autant attendu, autant médiatisé et qui va se vendre sans problèmes, c’est dommage, un meilleur travail de relecture aurait été mérité.



J’en attendais beaucoup de ce nouveau Joël Dicker. Le risque, dans cette situation-là, est d’être fatalement insatisfait. L’énigme de la chambre 622 ne m’avait déjà pas totalement convaincu à l’époque avec une intrigue vraiment tirée par les cheveux. A l’heure de mettre une note à L’affaire Alaska Sanders, le choix est difficile. C’est un coup de cœur, certes, parce que j’ai retrouvé Goldman, Gahalowood, une enquête alambiquée et la plume dynamique de l’auteur. Un coup de cœur teinté d’une légère déception pour les raisons précédemment citées : cela manque d’un peu de fraicheur, de nouveauté, Dicker se repose sur ses acquis.
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L'affaire Alaska Sanders

Parfois les suites ne sont pas à la hauteur cette fois ci ce n'est pas le cas l'association des personnages phares de La vérité sur l'affaire Harry Quebert est une véritable réussite .

On se régale du début à la fin avec des personnages toujours plus attachants et une belle amitié.

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L'affaire Alaska Sanders

il s'agit d'une excellente suite de l'affaire Harry Quebert! on rétrouve la même ambiance, les personnages attachants et le même style agréable à lire,. a mi chemin entre reportage et journal intime.

je précise que je n'ai pas pu le livre des Baltimore car je n'ai pas respecter l'ordre chronologique de l'histoire
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L'affaire Alaska Sanders

En un excellent dicker. L'intrigue nous tien en haleine jusqu'au bout du livre. On se faliliarise avec tout les personnages du roman. Bravo. On retrouve tout les codes de chez dicker. Faut pas le lâcher sinon on perd le fil mais c'est un très bon moment de lecture. J'aime ses dialogues, ses rebondissement. Alaska sandersrestera dans ma mémoire un moment.
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L'affaire Alaska Sanders

Lecture distrayante, on joue le jeu ou pas de suivre ces témoignages, ces rebondissements, ces flash-back…



On se noie dans des vérités qui s'avèrent fausses et des mensonges qui contribuent à trouver la vérité.



D'une écriture très aisée, les pages se déroulent accumulant faits, contradictions, étonnements, méprises, relations perturbées, drames familiaux, lieux que la reproduction d'un tableau de Hopper sur la couverture du livre illustre parfaitement : isolement, ambiance glauque,…



Gros livre dû à la maison d'édition fondée par l'auteur qui est un petit malin.

Les nombreuses références au livre précédent, à la famille de Baltimore… ne peuvent que susciter l'envie de les lire.

La fin est malicieuse nous annonçant peut-être un futur livre où nous retrouverions les protagonistes.



Le sergent et l'écrivain dont la relation me paraît quelque peu irréaliste sont les personnages qui nous emmènent dans le méli-mélo de ce crime sordide et dans les secrets les plus vils des êtres que l'on y croise.

Les niveaux de langage sont présents et donnent une réalité aux uns et aux autres et quelle imagination!

Quant à l'enquête, on la suit et la curiosité de savoir est au rendez-vous même si on peut trouver l'histoire un peu forcée.



La présence faussement réelle de l'écrivain/Dicker (lui-même signale qu'il est le contraire de son héros) permet quelques passages sur la notion d'écriture et la créativité.



Livre qui ne bouleverse rien mais offre un moment agréable, créant le suspense et peut passionner les amateurs de policier.













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L'affaire Alaska Sanders

Que dire, qu’écrire… si ce n’est que ce dernier ouvrage de Joël Dicker est juste dingue et tellement brillant!

Ma lecture en a été plus qu’agréable!

Inutile de résumer pour la 243e fois l’histoire, elle est, je pense, assez connue maintenant.

Le suspens est réellement à son comble jusqu’aux toutes dernières pages!

J’ai toutefois trouvé que cela mettait un peu de temps à se mettre en place, mais une fois que ça a démarré, les pages se sont tournées à une vitesse folle! Et il était difficile de refermer le livre sans connaître la suite (un peu la marque de fabrique de l’auteur)

Bref, pas de blabla répétitif et inutile, si vous avez envie de vous plonger dans une intrigue addictive et dans laquelle le lecteur se fait littéralement balader du début à la fin, foncez, vous ne serez pas déçu !
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L'affaire Alaska Sanders

C'est avec beaucoup de bonheur que j'ai retrouvé le petit monde de Joël Dicker. Le sergent, l'écrivain, Helen et l'immense talent de Joël Dicker pour raconter l'histoire d'Alaska Sanders. De la même manière que pour l'affaire Harry Quebert, Marcus Goldman enquête. Certes avec plus de facilité car désormais il est connu et reconnu et attire plus facilement les confidences.



Le schéma du livre est le même que pour tous les livres de Joël Dicker : on va et on vient dans  le temps, ici, on passe de 1999 à 2011 au fil des pages et des chapitres. Ce n'est pas toujours facile à suivre, ni à lire mais chaque chapitre a son importance et son lot de révélations sur le meurtre d'Alaska.



J'ai aimé ce livre comme tous ceux de l'auteur. J'attendais avec impatience ce nouveau roman car j'avais été déçu par l'énigme de la chambre 622. Mais là,  aucune déception à l'horizon ! Que du bonheur ! Je n'avais pas démasqué le meurtrier avant la fin, le suspense est bien maintenu. L'intrigue est bien menée, bien construite, cohérente et intéressante à suivre. Bref, lisez-le !
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L'affaire Alaska Sanders

Je termine à l'instant L'affaire Alaska Sanders. Et je ne résiste pas à vous en dire quelques mots.



J'ai adoré La vérité sur l'affaire Harry Quebert. J'ai même fait un bingewatch de la série (une journée pour me faire l'intégrale. Si si).

C'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé Marcus and co.



L'écriture de Joël Dicker est vraiment unique. Singulière. Et elle me plaît beaucoup !

J'ai lu L'affaire Alaska Sanders comme on fait un puzzle. Encastrant chaque pièce/preuve les unes après les autres. Émettant certaines théories. Hésitant. Désignant un coupable. Me plantant totalement !

C'est vous dire l'art de l'auteur pour manier les rebondissements et fausses pistes.



C'est un livre qui se dévore tellement c'est addictif. Immersif. Si vous avez aimé Harry Quebert, nul doute que celui-ci saura vous satisfaire !
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L'affaire Alaska Sanders

Démentiel !



La suite de la vérité sur l’affaire Harry Québert, avec quelque références du livre des Baltimore.



Il vous faudra peut-être qq chapitres d’adaptation car il y a pas mal de flash back. Une fois que c’est intégré, c’est la plongée dans l’intrigue.



Véritable page turner pour élucider l’affaire Alaska Sanders, jeune femme retrouvée morte en 1999. Le coupable avait avoué et est incarcéré.

Mais le lieutenant Gahalawood replonge ds l’enquête après la réception d’une lettre anonyme. Il retrouve son ami Marcus Goldmann.



Un roman qui se tisse comme une toile d’araignée.

Des rebondissements, de l’action…

Le plaisir de lire qq éléments de l’affaire Harry Q. D’intriquer l’adaptation du roman de Marcus en série.



C’est juste top !

Super rythmé, très bien ficelé ! Un excellent moment de lecture !

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L'affaire Alaska Sanders

Un presque coup de cœur.

Comme toujours avec Dicker un crime simple en apparence, sauf que en reprenant l’enquête des zones d’ombre surgissent, pour tout bouleverser jusqu’au dénouement final.

Si vous avez aimé L’affaire Harry Quebert vous ne pourrez qu’adorer L’affaire Alaska Sanders où réapparaît bon nombre des principaux protagonistes.

A lire absolument pour découvrir ou retrouver l’univers d’un Joël Dicker au mieux de sa forme.
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L'affaire Alaska Sanders

Dans ce livre, nous retrouvons Marcus Goldman qui retrouve le sergent Perry Gahalwood, cette fois pour résoudre un crime qui s'est produit il y a 11 ans et qui n'a pas été résolu exactement comme il aurait dû l'être.



Il est totalement addictif, il passe du présent au passé de façon continue et dans lequel rien n'est comme il semble.
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L'affaire Alaska Sanders

Je viens ce soir pour vous donnez mon avis sur ma dernière lecture audio.



J'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup aimer ma lecture !



L'affaire Alaska Sanders est mon troisième livre de Joël Dicker et je ne suis pas déçue d'avoir découvert cet auteur !



J'avoue quand même que lorsqu'ils ont donner le premier tueur j'ai été déçue.. je me suis dis non... tout ça pour ça..



Mais il y a pas mal de rebondissements et au final je n'ai pas été déçue du tout. Au contraire !



J'ai aimé les rebondissements, j'ai tellement aimer le duo Marcus & Pery (je sais pas comment ça s'écrit).



J'ai hâte de découvrir d'autres romans de cet auteur.
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L'affaire Alaska Sanders

Pour ceux qui ont adoré le premier livre primé de Dicker, ce roman va les charmer. Personnellement, j’avais apprécié les précédents ouvrages sans avoir le coup de cœur national de beauté.

Je trouve que ses livres sont longs, dans le sens où l’auteur s’éternise, revient en arrière et au final sans rien apporter de nouveau.

Avec l’affaire Alaska Sanders, c’est la même chose. Cela se lit plutôt bien, car le style est agréable et bien écrit, mais que de retours en arrière en particulier sur l’affaire Harry Quebert. Peut-être utile si on n’a pas lu le livre mais vraiment pénible sinon.

En clair cela se lit, mais ce n’est pas le livre de l’année !

En plus pour un éditeur que de fautes d’orthographe et de syntaxe ! Ça pique vraiment les yeux.

Déçue ? Non car je n’attendais rien de ce livre trop plébiscité toujours signe de marketing et non de qualité.
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L'affaire Alaska Sanders

Bon. Comment dire. Après le moyen « Stephanie Mailer » et le vraiment-très-bof-pour-ne-pas-dire-mauvais « Chambre 622 » (à mon goût, comme d’hab), se replonger dans un Dicker était un défi teinté de l’espoir de voir renaître la flamme de l’enthousiasme que provoqua en son temps « Harry Quebert ».

Je me rends donc à la librairie du coin pour me procurer le dernier Dicker et voyant sur le même présentoir « Le livre des Baltimore » que j’avais raté lors de sa sortie en 2015, j’achète les deux. D’autant qu’en discutant de la sortie de cette « Affaire Alaska Sanders », Anthony m’a conseillé de lire si possible le Baltimore qui, dans la chronologie de la vie de Marcus Goldman, le narrateur, se situe après « Quebert » et « Sanders ». Va comprendre. Bref, j’achète les deux, m’engouffre dans les Baltimore et en ressors, au bout de 600 pages, très heureusement surpris, enchanté de l’histoire de cette famille Goldman-de-Baltimore. Dans ma lancée, j’enchaine avec « Alaska Sanders » et me retrouve d’abord en 1999 quand le corps d’une jeune femme est découvert au bord d’un lac au moment où il sert de petit déjeuner à un ours brun, puis, en 2010, quand Marcus Goldman, le narrateur, assiste au tournage de l’adaptation de son merveilleux-sublime-formidable roman « La vérité sur l’Affaire Harry Quebert ». Ah oui, pour celles et ceux qui l’ignorent encore, Joël Dicker a trouvé le fabuleux moyen de s’auto-congratuler en créant ce personnage d’auteur censé avoir écrit une « affaire Harry Quebert » au succès époustouflant. (Ce n’est pas aussi agaçant que les hommages ad nauseam à son éditeur dans « la chambre 622 ;, je vous rassure.)

Une fois les deux époques posées, comment le lien se fait-il ? Par l’entremise de Perry Gahalowood, un sergent de police, qui élucide rapidement le crime de 1999 mais se met à douter 11 ans plus tard de la culpabilité des accusés en recevant une lettre anonyme et demande de l’aide à Marcus Goldman avec qui il avait enquêté sur l’affaire Harry Quebert. Une fois les deux compères réunis, commence une intrigue dont on ne peut nier l’architecture extrêmement travaillée. Les pièces du puzzle sont nombreuses et s’emboîtent au fil des chapitres. Les deux protagonistes jouent une partition, certes bien ficelée, mais il faut bien l’avouer, bien longue aussi. Après des allers-retours nécessaires à l’intrigue entre 1999 et 2010 dans une première partie, l’auteur prend un malin plaisir à faire faire des va-et-vient à ses deux enquêteurs entre les différentes témoins-suspects avec une recette qui, trop utilisée, finit par devenir un poil éculée. En gros, ça peut se résumer par (les prénoms ont été changés pour ne pas heurter les personnages) : Jeannine est interrogée et donne une info sur Bernadette, on file interroger Bernadette qui file une info sur Jeannine qui n’avait pas tout dit, la coquine, on retourne interroger Jeannine qui reconnaît que blabla et balance un doss sur Bernadette-la-cachottière qu’on retourne interroger et qui avouera que blabla, en profitant pour faire une petite révélation sur Georges qui avait caché quelques trucs lors de son interrogatoire, on va donc lui rendre à nouveau visite, et… Tu l’as compris, on nous promène de visite de témoin en visite de témoin, ce qui n’est pas d’une originalité folle. On frise donc la redondance en termes de construction narrative et on pourrait comprendre que cela lasse le lecteur. D’autant qu’en matière de style, là-aussi, on peut chercher longtemps le petit-truc-en-plus-qui-ferait-que. Autant dire qu’à mon goût, le roman aurait gagné à être moins… dilué.

Malgré tout, convenons-en, le bouquin se lit facilement car l’écriture est simple, les personnages sont attachants, , les fausses pistes aboutissent forcément à une vraie, les rebondissements finaux sont assez efficaces, tout cela fait de « l’Affaire Alaska Sanders » un roman qui trouvera parfaitement sa place entre la crème solaire et le paréo. Prenant, divertissant, suffisamment tordu mais suffisamment accessible pour en faire quelques épisodes sur TF1 ou ailleurs.
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L'affaire Alaska Sanders

Coup de Maitre ! presque aussi bon que la vérité sur l’affaire Harry Quebert!

j’aime lire les 120 dernières pages d’un livre d’un trait , sans pouvoir s’arrêter, cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps!

merci monsieur Dicker!

on va donc logiquement enchaîner avec le livre des Baltimore…

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L'affaire Alaska Sanders

J'avais adoré La vérité sur l'affaire Harry Quebert, puis beaucoup moins aimé Le livre des Baltimore et L'enigme de la chambre 622 et finalement abandonné La disparition de Stephanie Mailer en cours de lecture. Je ne pensais pas retenter ma chance avec Joel Dicker... Il faut croire qu'il ne faut jamais dire jamais. Cette fois j'ai adoré. On est baladé du début à la fin de suspect potentiel en suspect potentiel et de rebondissement en rebondissement.

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L'affaire Alaska Sanders

L'affaire est prenante et l'enquête prometteuse. Hélas, elle donne l'impression de s'enliser aux 2/3 du roman. des longueurs rendent la "fin" très lente à venir. Le dénouement demeure surprenant mais on doit être très patient pour y parvenir!

La façon d'écrire à la 1ère personne comme un écrivain qui mène l'enquête est très particulière et peut désappointer voire déranger.

Je ne suis pas sûre de lire le prochain roman de cet auteur...
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L'affaire Alaska Sanders

J'ai beaucoup apprécié ce livre de Joël Dickers, qui passe de rebondissement en rebondissement pour nous donner un final très surprenant.

On joue beaucoup avec les caractères particuliers de chaque personnage.

J'aime cette amitié entre Marcus et Perry.

Le retour de Harry Quebert au cours de cette histoire va guider Marcus dans ses choix...
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L'affaire Alaska Sanders

Après la déception de la chambre 622, j'ai beaucoup hésité à lire celui-ci, et bien franchement je ne regrette pas. Un excellent livre ! Le style est fluide, léger facile à lire. L'intrigue est bien ficelée, les retours dans le passé se font facilement et ne nuisent pas à la lecture. Les personnages sont bien vus, Alaska, Walter, Eric, personne n'est transparent mais aucun ne tombe dans la caricature. On retrouve avec plaisir Marcus, Galalowood et Harry. L'assassinat d'Alaska est vu avec la première enquête et l'actuelle. Les évènements se déroulent facilement, les rebondissements sont présents, et l'on plonge également dans la vie d'une petite ville du New-Hampshire ou chacun observe les autres connait les secrets et les non-dits. Un bon livre sympa à lire, des personnages attachants, impec.
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