Jonas Jonasson

Un très gros bof !

Je n'ai pas vraiment accroché aux situations loufoques. Le livre est drôle et surtout original, mais les ficelles sont un peu grosses et à la longue la facilité fatigue le lecteur. Un petit divertissement sans prétention qui se laisse lire sans passion. Heureusement qu'il y avait la bronzette au soleil pour faire passer tout ça !!

J'ai cependant bien aimé les rappels "historiques".

Que d'aventures a vécu ce bon centenaire !!! Un homme charmant , franc et surtout très chanceux. il a eu la grande chance à travers de nombreuses péripéties de croiser des grands noms de l'histoire mais surtout de pouvoir participer à l'histoire à sa façon !!. C'est un peu loufoque mais surtout c'est très drôle. De superbes réparties ,comme je les aime : franche du collier et tellement juste !!) . Les compagnons du centenaire ne sont pas en reste non plus d'ailleurs.



Un livre très agréable , grâce auquel on voit l'histoire et les choses autrement...

Un smörgåsbord suédois à déguster dans une ambiance détendue avec un peu de voyage, de meurtre, d’événements historiques et de politique, un peu d’amitié et d’eau de rose, le tout assaisonné d’humour nordique!!!



Aussi crédible qu’un conte de fées, une histoire rocambolesque pour se dérider l’esprit... (entre deux lectures plus sérieuses?)

Lire tant de critiques élogieuses sur ce roman m'on donné envie de le lire.

Je l'ai terminé en début d'après midi et il m'a laissé une impression mitigée.

Oui il est tordant dans le fond, l'histoire de ce petit papy qui s'échappe de sa maison de retraite car il ne veut pas fêter son centième anniversaire et qui se retrouve à la gare routière à embarquer avec lui dans le bus une valise bourrée à craquer de millions de couronnes suédoises, c'est déjà une entrée en matière des plus insolites.

Par la suite, notre grand-père va se retrouver embarqué dans un road trip à travers la Suède pour échapper dans un premier temps à la police qui le recherche suite à sa disparition et au vilain gangster de bas étage qui entend bien récupérer son magot.

Le récit est parsemé de flash-back, racontant la vie de notre vieil Allan quand il était jeune. La fabrication d'explosifs l'amènera de fil en aiguille à rencontrer les plus grands personnages politiques de l'histoire, d'ailleurs notre héros est l'inventeur officieux de la bombe atomique.

Pendant son périple, le centenaire va rencontrer une palette de personnages secondaires aux personnalités assez variées, dont un marchand de hot-dog presque diplômé en tout et une femelle éléphant qui répond au doux nom de Sonja.



Cette lecture m'a laissée un peu "le cul entre deux chaises", oui c'est drôle, bien écrit, recherché et documenté mais en même temps, malgré les nombreux événements qui se succèdent j'ai eu un peu le sentiment de tourner en rond. Tout se reproduit plus ou moins dans la même trame et cela devient prévisible.

Le héros, Allan est sympa, à la masse, sa vie repose finalement sur une succession de coups de bol, comme on dit : "aux innocents les mains pleines".

Techniquement ce livre est génial, après j'en attendais peut-être beaucoup trop et j'ai fini un poil déçue. Néanmoins, il paraît qu'une adaptation ciné est prévue, quand elle sortira je serai curieuse de voir ce que cette histoire va donner à l'écran.

Je conseille ce livre, ce n'est pas parce que j'ai été déçue que d'autres lecteurs le seront donc je le place dans la catégorie des découvertes à faire.

Encore un 5 étoiles !... Apres « Le journal d’un corps », Fichetoux nous fait-il un trip gérontophile ?



Que nenni, pas de gérontophilie mais par contre, oui, un trip extraordinaire !



Comme déjà expliqué, un livre doit me faire vibrer (dans le sens positif –même si j’y inclus les larmes qui peuvent parfois être salvatrices- …sinon, les lectures qui m’emm… ca fout mes chakras en désordre et me met de mauvaise humeur, dernière expérience en date, « Gotico »)



Et dans la palette des vibrations « positives », bien sur il y a l’humour, le rire et oh cosmos ultime, le fou rire…donc si un livre me file un fou rire, bingo… alors quand j’en ai 4 sur unr même lecture, c’est l’euro million !!!



Je vous le donne en mille. Ce fut le cas !!



Humour à la Pratchett, personnages à la Pennac ( série Malaussene), ambiance à la Irving, une touche de Forrest Gump en moins sérieux et vous voila embarqué pour cent ans de délire et situations rocambolesques, décalées, bien barrées et tout et tout.

Et c’est tellement « gros », que paradoxalement, ca passe sans problèmes (épisode Vladivostok fabuleux)

De plus, quand vous visualisez l’expression du protagoniste, le regard vide, les sourcils en accent circonflexe et les rouages de son raisonnement qui se mettent en branle alors que l’auteur vous fait 2 phrases dont une de dialogue, chapeau bas !!!



Ma seule crainte…l’adaptation ciné envisagée…mais qui sait ?



Fred-Fichetoux-Beg mode zygomatiques remusclés et endorphines activé

on achète ce livre un peu par hasard.....on a vu la couverture à plusieurs reprises dans des vitrines ou des journaux, le titre intrigue.....

On ouvre le livre, on lit les premières pages et on se dit "j'espère que les 400 pages suivantes vont être meilleures...."

et puis , j'ose écrire : c'est "l'explosion!" et j' entre alors dans un récit complètement loufoque et déjanté qui comporte 2 parties: la vie mouvementée au cours du XX eme siècle d'Allan Karlsson et l'histoire de sa fugue d'une maison de retraite le jour de ses 100 ans et sa rencontre avec une bande de "pieds nickelés"

il y a. longtemps que je n'ai pas éclaté de rire en lisant un livre : mais je n'ai pas pu résister en lisant certaines pages et plus particulièrement celles concernant l'entretien entre le procureur et les héros de cette histoire.

ce livre est un vrai bonheur !

Parcourir l'Histoire au côté d'Allan Karlsson est bien distrayant. Il y met des couleurs et nous convie dans l'intimité des grands de ce monde par des situations plus absurdes les unes que les autres en nous racontant son parcours de vie.

C'est un récit plein de fraicheur qui s'offre à nous par l'intermédiaire du pétillant centenaire qui fait la rencontre de personnages sans nuance qui le suivent dans son sillage (suite à sa fugue de la maison de retraite), tout comme le monde semble l'avoir suivi depuis sa naissance.

Il m'a parut toutefois que la magie s’estompe sur la fin du roman, quand l'auteur tente de démontrer un semblant de cohérence à l'histoire dans laquelle il a entrainé son personnage.

Si un livre peut-être sympathique, c´est le cas de celui.ci.

Allan centenaire depuis peu “je n´ai pas toujours été centenaire, vous savez, c´est meme assez recent” a eu une vie, et continue à avoir une vie digne d´intérêt.

Il est un monstre de coolitude et de bravitude sous des dehors impavides.

Son influence sur la course du Monde est absolument exceptionnelle surtout quand on considère qu´il n´a horreur que d´une chose: la politique.

Entre flash-backs, où il rencontre les grands du monde passé (Truman, Johnson, Mao, Staline, Beria…) et son actualité où se constitue autour de lui une équipe de pieds nickels fort sympathique, le ton ironique-distancié et le comique de situations arrachent souvent des sourires, parfois des rires.

Je pense que l´objectif de l´auteur est atteint comme le mien.

Comme beaucoup de gens, vu le nombre de critiques, j'ai cédé au vieux dynamiteur en costume de cochon. Je suis à peu près sûre que rarement dans l'histoire de la littérature la jaquette d'un livre aura autant fait pour son succès. Surtout accrochée là dans la salle des pas perdus d'une gare.

Donc j'ai fini au Relais H, le bouquin en main avec des heures de train devant moi.

Je dois dire que j'ai avalé les 300 premières pages d'une traite. Jonas Jonasson a lu Paasilinna, il le dit et cela se sent. Des personnages un peu dingues s’acoquinant les uns les autres aidés en cela par des litres de boissons fortes, des voyages foutraques dans des véhicules improbables, des histoires tellement alambiquées qu'elles sont irracontables : "Alors c'est un vieux qui fiche le camp de sa maison de retraite qui vole une valise à une bande de dealers, qui, dans sa jeunesse, devient expert en dynamite et grâce à cela aide à la fabrication de la bombe atomique dans les deux camps....rencontre Staline et Mao avec qui il devient pote et pendant ce temps-là, les flics et les dealers qui le cherchent pataugent....dans la m... d'éléphant ! "

Le truc c'est qu'après la 301ème page, le tout devient un peu répétitif comme si la rencontre avec Le Petit père des peuples et la catastrophe qui suit, était une sorte d'apothéose, comme le bouquet final d'un feu d'artifice. Ceux qui ont lu le bouquin apprécieront l'image...

Et on a hâte d'arriver au bout des 100 longues années de vie du vieux à la dynamite pour connaître la fin quoi !

Mais c'est vrai que je n'ai pas boudé mon plaisir dans cette relecture à la nitroglycérine de l'histoire du 20e siècle. Les passages sur la Corée et la politique de l'Indonésie sont tout simplement hilarants.

Lorsqu'un centenaire fuit sa maison de retraite... lorsqu'il vole une valise pleine de de biftons à un jeune délinquant analphabète.... Lorsqu'il rencontre des êtres aussi déjantés que lui dont il se fait des amis...

Excellent ! Imaginez une sorte de road-movie délirant mâtiné de thriller à la sauce Monty Python ; ajoutez-y une pincée d'histoire du XXe (invraisemblable dans le contexte il faut bien le dire) entre guerre froide et bombe atomique et vous obtiendrez un cocktail détonnant si je puis dire.

Sourire voire rire garantis ! Surtout que comme dit le héros après avoir "choisi de dormir dans la voiture afin d'épargner à ses genoux, fatigués par cette longue journée, la montée de l'escalier jusqu'à la chambre à l'étage :

-C'est que je n'ai plus quatre-vingt dix ans, vous comprenez."

Grâce aux éditions Presses de la Cité et Babelio, que je remercie, j'ai eu la chance de recevoir lors d'une masse critique privilégiée : Dernier gueuleton avant la fin du monde de Jonas Jonasson.

Rien ne se passe jamais comme prévu. Même pas la fin du monde !

Suède, été 2011. Petra, astrophysicienne autodidacte, a calculé que l’apocalypse surviendrait le 21 septembre, peu après 21 h 20.

Un drôle de hasard met la prophétesse de malheur sur la route de Johan – un homme certes un peu long à la détente, mais qui n’a pas son pareil pour régaler ses hôtes – et d’Agnès, une septuagénaire qui a fait fortune sur les réseaux sociaux en tant que « jeune influenceuse ».

Bien décidés à profiter du temps qu’il leur reste et à régler ce qui doit l’être, les trois compères entament ensemble un road trip en camping-car, au cours duquel ils croiseront les grands de ce monde..

Dernier gueuleton avant la fin du monde est un roman amusant comme Jonas Jonasson sait en écrire.

J'ai aimé les personnages, aussi bien Johan, Petra qu'Agnès. Ils sont tous trois bien différents mais évidemment ils vont réussir à être complémentaires. Le pauvre Johan, au début, en prend plein sa tronche lol Heureusement, après, les choses vont changées pour lui. Tous trois ont une psychologie assez fouillée, il est agréable de les suivre.

J'ai aimé le fait que ça parle de fin du monde et .. de nourriture :) Notamment d'un fromage dont j'ignorais l'existence. C'est gourmand.

Il y a de nombreux rebondissements, on voyage avec eux.

Mais, à un moment, j'ai trouvé ça un peu répétitif et j'ai décroché, ayant une impression de déjà lu.

J'ai lu plusieurs des ouvrages de cet auteur et celui ci confirme malheureusement ce dont je me doutais : je me suis un peu lassée !

C'est sympathique, barré, amusant et parfois un peu moins, un peu plus sérieux.

Toutefois, je ne pense pas en garder un grand souvenir même si la lecture fût divertissante dans l'ensemble :)

Dernier gueuleton avant la fin du monde est un roman que je vous invite à découvrir malgré tout et note trois étoiles et demie :)

Bienvenue en Absurdie ! Johan, trentenaire qui a toujours vécu dans l’ombre de son frère, se retrouve à gérer sa vie tout seul ; en effet, son frère vient d’avoir un poste à l’Ambassade de Rome, il revend tous les biens hérités des parents, s’octroie la quasi totalité des sommes, et achète « généreusement » un camping-car à Johan.



Malheureusement, Johan ne sait pas conduire et il ne tardera pas à emboutir la caravane de Petra, prophétesse qui a prédit la fin du monde dans douze jours, et était sur le point de se suicider. Le suicide attendra, et Petra qui apprécie les dons culinaires de Johann reste avec lui ; elle décide d’utiliser les jours qui lui restent à vivre, pour se venger des personnes qui l’ont fait souffrir il y a quelques années.



Leur route croise celle de d’Agnès, une septuagénaire un peu hurluberlue, qui commence à s’ennuyer un peu et qui n’est pas mécontente de se joindre au duo jusqu’à la fin du monde.



Alors, évidemment, cette fin du monde n’aura pas lieu, mais les trois héros vont vivre des aventures abracadabrantes, notamment dans le milieu politique, au grand dam du grand frère de Johan, qui se serait bien passé d’avoir des nouvelles du frangin !



Ce roman, est surtout un prétexte pour se moquer des hommes politiques et des travers de la société.



J’ai lu les quatre précédents romans de Jonas JONASSON, et j’ai vraiment apprécié « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » ; mais là, bizarrement, la mayonnaise n’a pas vraiment pris (désolée, Johan). Certes, il y a des moments un peu drôles, mais trop de longueurs et peut être que je me suis lassée de cet humour toujours identique (comme un plat un peu trop souvent réchauffé), les jeux de mots et situations burlesques sont un peu éculés et j’avais l’impression de tourner en rond.… C’est un roman divertissant, mais qui n’a pas su tenir ses promesses ; il faudrait que le style soit un peu renouvelé.



Bref, un roman drôle, des aventures à foison, que pourront apprécier les inconditionnels de l’auteur.



À lire à l’arrière d’un camping-car (ou tout simplement sur votre canapé) en dégustant du saumon fumé sur des blinis accompagnés d’un verre de Pouilly-fumé. Bonne dégustation et bonne lecture !



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J'ai emprunté ce livre pour me fendre la poire. Pfft ! Que d'efforts il m'a fallu pour l'achever ! Deux récits alternent : le récit de la cavale d'Allan qui ne veut pas fêter ses cent ans et le récit de la vie d'Allan qui a rencontré tous les grands du vingtième siècle façon Forest Gump. Bon l'évasion de l'aïeul est drôle mais elle passe vite au second plan et s'essouffle après cinquante pages. L'autre récit plein de facilités m'a cassé les pieds du début à la fin.

Quel plaisir de retrouver Allan KARLSSON dans cette nouvelle aventure. Il va de nouveau se trouver dans des situations inextricables dont lui seul arrivera à se dépatouiller.



Il rencontrera les plus grands de ce monde : Angela Merkel, Donald Trump et également le chef suprême Nord-Coréen, Kim Jong-un, sur fond nucléaire. Je vous l’ai dit, c’est loufoque.



Loufoque, mais pas que. Jonas JONASSON sous un humour grinçant, décrit avec brio les relations internationales des dirigeants de tous pays, leurs travers, et leurs influences sur les autres, de manière légale ou pas. Ça fait peur… On ne sait pas qui de Trump, Kim Jong-un ou encore Poutine est le plus à craindre. Une très bonne analyse politique de notre monde actuel.



Allan KARLSSON est moins présent que dans le premier opus. Il découvre les joies d’internet et d’une tablette noire et se lance également dans la production d’asperges… Oui, vous avez bien entendu, la production d’asperges.



Alors, si vous aussi vous voulez comprendre comment marche le monde, sans vous prendre la tête, ce livre est fait pour vous. A vous de voir.



Je remercie vivement Babelio et les éditions Presses de la cité qui m’ont permis de découvrir ce livre grâce à une Masse Critique.

Ce qui est certain c'est que ce roman est allègre et que c'est une lecture agréable et rafraîchissante, que celle de ce livre, que je conseille très fortement. Evidemment, ce n'est pas de la grande littérature, mais… Ca fait du bien ! Oui, ça fait du bien, de lire un roman avec une intrigue qui rebondit toujours, sans un temps mort, plein d'originalité, d'imagination, de fantaisie, d'idées… Oui, ce n'est pas de la grande littérature. Mais ça n'ambitionne pas à l'être. Ca nous fait juste passer un bon moment. Et c'est déjà pas mal.

Je me suis attachée à Nombeko, qui, née dans le ghetto d’Afrique du Sud, pas cultivée, mais qui fera tout pour le devenir, vit des histoires extraordinaires. Elle a un fil à la patte (c’est rien de le dire) et ce fil n’est rien d’autre qu’une bombe nucléaire, qu’elle traînera pendant 20 ans.



Dans ce roman, sous un aspect humoristique, Jonas JONASSON aborde le racisme, la bêtise de certains qui se croient plus intelligents. Sous couvert d’humour et de causticité, il aborde la méchanceté et la bêtise des hommes. Rien n’est jamais blanc ou noir.



C’est complètement loufoque, déphasé, caustique, humoristique, enfin bref, à prendre au second degré, tout comme le premier, « le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ».



J’ai passé un bon moment de lecture.

Allan a bien rencontré Truman parce qu'il s'y connaît un peu en explosif, alors pourquoi ne pourrait-il pas croiser Mao ?

Et puisque que par le plus grand des hasards, il a volé un magot de plus de cinq millions d'euros, pourquoi ne pourrait-il pas le partager avec ceux qui l'aident dans sa fuite ?



L'auteur alterne les tribulations du jeune Allan à travers le XXème siècle et les péripéties d'une aventure qu'il entame le jour de son centième anniversaire.

L'imagination déployée nous entraîne sur différents continents et jusqu'en Himalaya, aux côtés de personnages étonnants, comme ce vendeur de saucisses qui arbore un nombre incalculable de presque diplômes. Les divagations de l'auteur créent aussi et avant tout des décalages amenant un humour omniprésent. Il s'amuse... mais il sait où il va. Dans les derniers chapitres, il parvient même à lier les deux parties de la vie de notre hurluberlu dans un dialogue truculent... Drôle et divertissant, ce livre égrène sans en avoir l'air des références multiples aux personnages qui ont façonné l'histoire occidentale tout en se livrant à une parodie de polar. Un roman d'un équilibre savoureux.


Lien : https://partagerlecture.blog..

Je possède ce livre depuis un an et demi environ, et voilà que c'est seulement maintenant que je me décide à le lire, il faut dire que j'avais vu le film au cinéma et que l'histoire était encore bien présente dans ma mémoire et que je préférais attendre pour le lire.

J'ai adoré ce livre qui m'a fait énormément rire, l'imagination de l'auteur est plus que débordante, j'ai adoré son personnage Allan, plein de naïveté, sans aucune bonne ou mauvaise pensée, qui se contente juste de vivre sa vie au jour le jour sans même se soucier de ce qu'il sera dans un jour ou même dans une heure, et qui va avec cet état d'esprit, révolutionner le monde, puisqu'au cours de sa vie, il va rencontrer les plus grands de ce monde et influer sur eux, sans jamais vouloir parler politique ou religion. J'ai adoré les rencontres que Allan va faire tout au long de sa vie, et tous les personnages de ce roman sont superbes, vous l'aurez compris ce livre a été une pépite pour moi et si vous n'êtes pas trop terre à terre et que vous acceptez que tout ce que l'on vous a raconté à l'école en cours d'histoire est faux, alors foncez sur ce livre vous ne le regretterez pas. Je vais de ce pas mettre tous les autres livres de cet auteur dans mon pense-bête, j'attends juste de faire un peu baisser ma PAL.

En un mot : rocambolesque.

En deux : road trip.

En trois : T N T. Je ne vais pas aller jusqu'à cent pour vous parler de ce titre que j'ai vraiment beaucoup aimé.



Allan Karlson alias Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ou Comment apprendre l'Histoire du 20ème siècle en s'en payant une bonne tranche.

Avec un esprit à la Forrest Gump, le suédois se retrouve, bien malgré lui parfois, mêlé à toutes sortes d'affaires d'état. Ca c'est pour la grande Histoire. L'histoire du monsieur démarre de nos jours après son évasion et se file en course poursuite complètement loufoque. Et y'a même un éléphant c'est dire !



Bref, si vous aimez les personnages complètement jetés, caricaturaux mais super attachants, un style haletant de comédie à l'anglaise, l'Histoire sous toutes ces formes plus ou moins romancées. Grimpez dans le bus, prochain arrêt la Suède (et plein d'autres endroits encore) !

Je ne comprends pas le battage médiatique qu'a fait ce livre. Certes il n'est pas mauvais mais quand même long, répétitif et pas tellement drôle. Pourtant amatrice de cynisme et d'humour noir, grotesque et loufoque je n'ai pas trouvé que tous ces qualificatifs s'appliquaient à Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.



Suis-je passer à côté de quelque chose ?

Ou alors, suis-je comme le héros du livre, pas intéressée par la politique, la géo-politique et les idéologies diverses et variées ?



Du coup j'aurais dû aimer ce livre, mais ce n'est pas le cas. C'est étrange de faire un roman autant centré sur l'histoire géo-politique du monde (le personnage central passe par toutes les étapes, comme un voyageur dans le temps. Ce n'est pas franchement crédible mais c'était peut-être voulu) avec un personnage qui n'aime pas cela.



Le début était sympathique, un peu mélancolique même mais le reste... Le reste est tellement prévisible et redondant que l'on a envie de sauter des pages.