Joseph Delaney

Je le dis tome après tome mais bon sang, qu'est-ce que j'aime cette saga! Je ne m'en lasse vraiment pas et le plaisir de découvrir une nouvelle aventure me fait toujours le même effet que la première fois.



Je reste émerveillée devant cet univers magique si riche et face aux liens établis entre les différents tomes. Ici, nous retrouvons par exemple Sliter que nous avions déjà rencontré dans le tome 11. Je me doutais bien que nous n'étions pas allés voir les Kobalos pour rien. Il est temps pour notre Épouvanteur d'affronter un nouvel ennemi de taille et j'avoue que je ne suis vraiment pas rassurée quant à la tournure des événements!



Je suis toujours aussi prise de l'histoire et de ses personnages malgré le temps qui passe et je serai bien triste de voir l'histoire s'achever, le moment venu.

Une bonne mise en scène quelque peu gâchée par la lenteur de la mise en place de l'intrigue.

Agréable, fluide, le livre se dévore d'un trait et, comme je dispose du second tome, j'espère vraiment qu'il aura plus de corps maintenant que tout est en place.



Donc critique à suivre (mais pas tout de suite...)

Ce bon petit roman m'est tombé par hasard entre les mains et j'ai satisfait ma curiosité en le lisant. Je ne connaissais rien à la littérature pour la jeunesse, et d'ailleurs je ne me suis avisé de l'appartenance du livre à cette catégorie qu'en cours de lecture : la collection se nomme, en français commercial contemporain, "Bayard jeunesse". C'est quand même d'un bon niveau d'écriture, la traduction n'est pas pleine de fautes de français, l'auteur sait viser et ajuster son public avec beaucoup de professionnalisme, sans trop appuyer le trait ni prendre ses frais lecteurs pour des imbéciles. D'autre part, il a l'air totalement étranger au wokisme et l'on ne rencontre pas de sorcières insoumises lesbiennes ni de trolls engagés dans les blacks blocks pour le bien de l'humanité. L'absence de bourrage de crâne est très reposante.



Comme on peut s'y attendre, l'identification du lecteur est favorisée par le jeune âge du héros, qui est en même temps le narrateur de son histoire. Ce choix du récit à la première personne permet de simplifier le texte et d'élaguer tout ce qu'il aurait de trop fatigant pour des adolescents : descriptions, débats, délibérations, pensées ambiguës. Notre héros simplifié mais non simpliste fait évidemment son apprentissage d'adulte, dans un univers merveilleux, au sens où le surnaturel n'est pas le résultat d'une rupture de la normalité, mais l'ordre du monde lui-même. D'emblée, on n'est pas censé s'étonner de la présence habituelle de fantômes, de sorcières et de magie, d'autant que le héros entre en apprentissage auprès d'un "épouvanteur", à savoir une sorte d'exorciste qui s'emploie à libérer les campagnes des êtres magiques indésirables et hostiles. Bien mené, le récit est celui de la formation humaine, affective et professionnelle d'un jeune homme, transposée dans un cadre bucolique à demi légendaire.



Pour finir, il faut signaler l'ambiance sombre, parfois angoissante, de l'ouvrage. En devenant épouvanteur, poussé dehors par sa famille, le héros se condamne à une vie rude et austère, une vie solitaire puisque les gens de sa profession sont traités en parias. La magie, et les êtres surnaturels auxquels il est confronté dès le début de son apprentissage sont sales, sanglants, maléfiques, et il lui faut apprendre la cruauté s'il veut survivre. Enfin, son univers est plein de non-dits, de trahisons, et finalement il y a bien peu de place pour l'amour et la confiance. Cette négativité, je crois, donne toute sa valeur à l'ouvrage qui recycle avec sagesse les principes des contes traditionnels, où l'apprentissage de la vie est celui de la souffrance.

Un très bon 8ème tome, un peu meilleur que le précèdent car les choses bougent!!!

Beaucoup d'actions et une réelle avancée de l'histoire et du développement des personnages dans ce tome. Parti pour l'Irlande, Tom doit faire face à des jaboteurs, des mages et une sorcière celte qui veut sa perte! Mais surtout la bataille contre le Malin fait rage!

On aime toujours autant Grimalkin et ses interventions, quel personnage. et les conséquences qu'il y aura après ce tome sont prometteuses !

Vivement le tome 9, car la suite après ces événements risquent d'être interessant !

Je suis ravi de voir ma première impression confirmée, ce deuxième épisode est très bon, et si le contexte nous est déjà familier, les personnages eux, vont gagner en épaisseur.

Thomas Ward, notre apprenti épouvanteur boucle son sixième mois de formation au cours duquel il a beaucoup appris sous la férule de son maître, Mr Gregory. Celui-ci étant malade, il doit assumer seul la lourde tâche d'entraver un gobelin éventreur, soit une créature particulièrement horrible qui a attaqué le prêtre Gregory, le propre frère de l'épouvanteur...

Ce sera le point de départ d'une aventure dangereuse qui les mènera dans la ville de Priestown, c'est dans cette ville que sont enterrés les prêtres, et l'épouvanteur tient absolument à assister à l'enterrement de son frère. L'épouvanteur y voit une occasion de régler une vieille affaire. Les catacombes de la ville abritent le Fléau, une entité particulièrement malfaisante qui avait déjà failli le tuer vingt ans auparavant, cependant, le principal problème sera d'éviter l'inquisiteur, qui se ferait une joie de condamner l'épouvanteur pour sorcellerie...

Si notre apprenti prend du volume, c'est également le cas d'Alice. La jeune sorcière rencontrée dans le premier tome sera l'un des premiers rôles de cette histoire au scénario sombre et violent, vraiment, les livres jeunesse ne sont plus ce qu'ils étaient il y a 40 ans.

Je me suis une nouvelle fois régalé, je pense que je vais passer de belles heures de lecture avec cette série.

Dernier tome de l'Epouvanteur et dernier tome de l'auteur puisqu'il est décédé.

Dommage pour moi, mais j'ai ressenti une certaine lassitude pendant ma lecture. Je n'ai pas été conquise comme avec les aventures précédentes, même si j'ai été plus que ravie de retrouver Grimalkin. J'avais l'impression de relire un peu toujours les mêmes choses et je devinais sans peine ce qui allait se passer.

Pas grave, je suis contente d'être allée au bout de cette longue aventure avec les épouvanteurs. Je garderai un bon souvenir de toute cette saga.

Dans L'erreur de l'épouvanteur, Tom part parfaire son entraînement auprès de Bill Arkwright. Ce cinquième tome fait souffler un vent de fraîcheur sur les aventures de l'apprenti épouvanteur avec l'apparition de nouveaux personnages (Bill, Le Malin, Morwène...), de nouveaux monstres (les sorcières d'eau, les skelts...) et de nouveaux décors (Caster et ses marais). Les frontières entre le bien et le mal s'amenuisent et les ennemis d'hier deviennent les alliés d'aujourd'hui. Un bon point pour le plot twist final auquel je ne m'attendais pas.

Très intéressant de changer de narrateur ! On en apprend beaucoup plus sur Grimalkin, son histoire, ses pensées. L'auteur réussit à nous la rendre presque sympathique, on s'attache à ce personnage. Décidément, cette saga ne cesse de se renouveler ! Vivement la suite !

Je suis très heureux d'avoir enfin commencé cette série qui hantait ma PAL depuis une dizaine d'années, car pour tout dire, j'ai littéralement dévoré ce premier tome.

Je dois avouer que j'ai un faible pour les histoires d'apprentis, on s'y sent tout de suite en terrain familier, on sait que le petit débutant, enrôlé le plus souvent contre son gré, va empiler les gaffes et mettre régulièrement sa vie en péril, la recette est connue.

Cela dit, connaître la recette ne suffit pas, encore faut-il que la tambouille soit bonne, que les personnages du maître et de son élève soient attachants et leurs aventures passionnantes, et là, ma foi, j'ai été captivé tout de suite, sans préavis, nous sommes, selon mes critères, dans le top du genre.

Thomas Ward est (évidemment) le "septième fils d'un septième fils", condition sine qua non pour devenir un épouvanteur, c'est à dire un rempart contre les forces obscures, soit pour vous donner une image parlante, un cousin de Van Helsing, chasseur de sorcières et autres créatures malfaisantes.

On peut dire que ce premier épisode place la barre assez haut, le scénario respecte bien sûr les codes du genre, c'est à dire avec un apprentissage exigeant et une méthode plutôt empirique, aux leçons parfois douloureuse. En fait, ce que j'ai apprécié, c'est que contrairement à ce que pourrait faire croire le classement en littérature jeunesse, le contexte s'avère plutôt délétère et violent dans un monde où le mal est plus étendu qu'il n'y paraît. La jeunesse et la "tendresse" de notre jeune apprenti seront prétextes a des erreurs de jugement aux conséquences parfois dramatiques, car Tom n'a pas encore pris la mesure du monde dans lequel il évolue désormais, il faudra apprendre vite...

Il me reste à parler du style, sobre et efficace, qui a été pour beaucoup dans mon plaisir de lecture, ainsi que du rythme, idéal pour ce qui me concerne et qui permet une immersion rapide dans l'histoire.

Pour conclure j'ai adoré !

J’ai beaucoup aimé ce premier tome ! Déjà, j’adore tout ce qui est initiatique et ici, on est 100% dans ce type de récit. Le personnage de Tom est très attachant : c’est un jeune garçon qui fait de son mieux, qui tente de surmonter sa peur et qui tient énormément à sa famille. L’Epouvanteur est lui aussi un protagoniste intrigant et mystérieux que j’apprécie beaucoup. Il a cet espèce de personnalité légèrement décalée mais discrète, j’adore ce mélange.

L’univers est aussi bien construit. Les créatures ne font pas dans l’innovation mais on sent que chaque élément concernant chaque espèce a été réfléchi. On pourrait presque imaginer les manuels et grimoires qui renferment les renseignements de ce monde.

La plume est simple mais très immersive. Je me suis sentie plusieurs fois traversée de frissons de peur. J’ai été vraiment réceptive aux émotions et aux actions décrites. Egalement, on ne s’attarde pas en détails inutiles : ça va vite, c’est fluide et l’action est toujours présente.

Bref, un premier tome de Jeunesse d’une très bonne qualité !
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Pas mal, mais pas inoubliable...



Ce tome nous sort du Comté et des monstres rencontrés au cours des 5 premiers, pour nous transporter en Grèce, où la mystérieuse et puissante mère de Tom a besoin de son fils et des sorcières de Pendle...



Je ne suis pas totalement conquise, puisque j'ai lu ce tome 6 sans la moindre émotion, mais avec un certain intérêt tout de même... On verra ce que réserve le 7eme !

! ALERTE : RISQUE DE SPOIL !

Déjà, merci à @paradoxie pour le prêt. J’ai très rapidement lu ce premier tome, que j’ai -dans l’ensemble- apprécié.

L’histoire est finement écrite, avec un mélange d’action, d’émotion et de mésaventures surnaturelles. Pour autant, je ne lirai pas la suite et je vous explique pourquoi.



Premièrement, je n’ai pas vraiment accroché à l’histoire de base. J’aime beaucoup le côté surnaturel et monstrueux mais ce n’est pas pour moi.

De plus, j’ai déjà énormément de sagas à lire, ma PAL en déborde, et y ajouter une énorme saga de 16 tomes ce n’est pas négligeable. Enfin, la fin est suffisamment ouverte pour que j’ai vraiment besoin d’une suite. Je n’ai aucun intérêt à continuer.

D’un autre côté, je vous recommande cette lecture si vous aimez les histoires simples et courtes, avec un lot sympathique d’aventures fantômesques.

J’estime, à mon avis, qu’un public jeune peut aisément lire cette saga ; d’autant plus que le vocabulaire est basique et adapté.



Parlons peu, parlons perso. Thomas est le septième fils d’un septième fils, ce qui fait de lui un garçon hors du commun.

Outre le fait qu’il voit des morts et combat des esprits, je l’ai trouvé bien ficelé. Il a conscience de qu’il est et du monde dans lequel il vit, mais garde malgré tout son côté humain émotif, ce qui le rend autant si faible que fort.

Quant aux personnages secondaires, ils sont assez présents pour être utiles à l’histoire mais pas trop pour passer au premier plan ; un mix idéal pour la place qui leur est attribuée.



Si vous aimez les aventures dangereuses, devenez apprenti épouvanteur aux côtés d’un homme plein de mystère et combattez le mal comme vous le pourrez…



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Un tome 5 plein d'aventure et de nouveautés !



J'ai bien aimé ce 5eme tome, qui allie intrigue intéressante, rebondissements inattendus et virage important dans l'apprentissage de Tom Ward. Bien que je me sois posé quelques questions quant à la cohérence de certains passages, les réponses sont arrivées en temps voulu et de manière satisfaisante pour mon mental toujours en quête du pourquoi du comment.



En revanche, le point négatif que j'ai remarqué (et qui, en vérité, jalonne les 4 premiers tomes aussi), est la misogynie à peine dissimulée de l'auteur ! Dans cette saga, J. Delaney semble considérer les femmes comme des êtres très à part... Elles sont soit des sorcières aux pouvoirs inquiétants, soit de fragiles petites villageoises assez inintéressantes. Aucune ne trouve grâce aux yeux de l'Épouvanteur, et seules les "guerrières" fascinent Tom. En même temps, les sorcières de Delaney sont les créatures les plus puissantes du monde, elles font même encore plus peur que le Diable lui-même, qui reste très masculin dans sa façon d'agir (virile et tout et tout). Non mais... C'est quoi son problème ?

Chaque tome de L'Épouvanteur est un peu au-dessus du précédent (celui-ci méritait un 4,75 sur 5). Le combat de l'épouvanteur est plus noir que les premiers tomes (moins enfantin aussi). Les sorcières sont prêtent à tout pour tuer Tom : menaces, sortilèges, tortures... tous les moyens sont bons pour arriver à leurs fins. Et tant pis pour les pots cassés. L'Épouvanteur John Gregory s'efface petit à petit au profit d'autres alliés plus ou moins fiables (James, Mab, Père Socks...) et Alice grappille quelques points. Les tomes suivants sont déjà achetés.

Ce tome me laisse un arrière-goût d’inachevé, en lisant le livre, j’ai l’impression qu’il manque des passages ou des chapitres. J’ai l’impression que le livre a été «  bâclé « parce que l’auteur était malade. J’ai adoré les autres livres qui m’ont laissé une meilleure impression que celui-ci.

Je continue ma découverte de cette série spin-off de "l'épouvanteur".

On est toujours dans le même univers, ça me plait, mais il est quand même de plus en plus dark.

L'auteur nous fait découvrir un nouveau personnage qui se révèle porteur de nombreuses possibilités : Tilda. Et Wulf s'aperçoit qu'il a un pouvoir absolument génial, qu'il va devoir apprendre à maitriser.

Mais une petite chose m'a gênée pendant ma lecture : L'écriture. J'ai l'impression qu'elle va vers une simplification et c'est bien dommage.

Je lirai le 3e tome sans tarder même si je sais que ce ne sera pas une vraie conclusion à cette trilogie vu que l'auteur est malheureusement décédé.

On remonte, on remonte ! Par rapport aux tomes 2 et 3, c'est clairement un excellent roman !



Franchement déroutée par le manque de suspense et d'émotion des deux précédents tomes, j'ai entamé la lecture de celui-ci avec circonspection... Et pourtant, mes doutes se sont rapidement évaporés, comme neige au soleil !



Le rythme est intense ici, l'intrigue quasi parfaite, la cohérence romanesque au rdv, le suspense très présent... J'ai beaucoup aimé et l'ai lu en quelques heures !



Comme quoi, dans une saga, rien n'est joué en fonction des tomes successifs ^^



Je ne mets tout de même pas 5 étoiles, parce que même s'il est très chouette, ce n'est pas un chef-d'œuvre, et de plus, la traduction française laisse franchement à désirer (il faudrait que je mette la main sur la VO pour vérifier qui est le "fautif", de l'auteur ou de la traductrice...)

Pas vraiment meilleur que le tome 2...



Je réalise que, même si l'histoire en elle-même est intéressante, inventive et prenante, c'est la façon d'écrire de J. Delaney, son style, qui m'empêche de vraiment entrer dedans.



Pour moi, aucune émotion à la lecture de L'Épouvanteur. Ni peur, ni joie, ni tristesse, ni colère... Rien. Nada. Le calme plat. Alors peut-être suis-je trop âgée pour savourer comme il se doit cette saga (32 ans...), mais en tous cas, je n'accroche plus, à mon grand désarroi :(

Pas convaincue du tout par ce deuxième tome...



Autant j'avais beaucoup aimé le premier, autant celui-ci m'a laissée de marbre. À tel point que je ne me suis pas ruée dessus pour le finir en moins de 24h, comme le précédent... À la vérité, je trouve dans ce tome 2 un ramassis d'incohérences qui me fait hausser le sourcil : l'Epouvanteur devient une sorte de double fade, fatigué et peu fringant du Dumbledore de J.K.Rowling, Tom le jeune apprenti de 13 ans et demi se montre plus futé que son boss, le Fléau a des pouvoirs qu'il n'utilise pas souvent à bon escient... Bref. Franchement déçue. Il n'y a qu'Alice qui garde à mes yeux un réel intérêt d'un point de vue psychologique...

Excellent roman d'ado !



Tom est un jeune homme de 13 ans, septième fils d'un septième fils et d'une mère... un peu sorcière ? Sans le moindre doute ! Bref. Tom entre au service de l'Épouvanteur du comté et découvre avec fébrilité l'existence de nombreuses créatures maléfiques qui peuplent ces contrées. Il apprend à en reconnaître certaines, à s'en protéger... Et il rencontre aussi Alice, une mystérieuse demoiselle aux souliers pointus. Quelle aventure que de devenir l'apprenti d'un Épouvanteur !



Je l'avais lu il y a une bonne quinzaine d'années (minimum...), et je me rappelle en avoir éprouvé beaucoup de plaisir... Pourquoi n'avais-je pas enchaîné avec le tome 2 à l'époque ? Voilà ce que ma mémoire garde secret.



Cela dit, aujourd'hui, je file chercher cette suite qu'il me tarde d'entamer... enfin ^^