Jake Landry travaille en tant qu'assistant du directeur du nouveau projet H-880 Skycruiser de Hammond Aerospace. Il doit gérer les problèmes pendant l'absence de son chef Mike Zorn, actuellement en Inde en train d'essayer de signer quelques contrats de vente mais il ne s'attend pas à être convié à suivre le séminaire réservé aux gros bonnets de la boite, réunion se passant dans un chalet isolé sur une île au nord de Vancouver. Jake découvre alors que sa présence a été voulue par la nouvelle directrice de Hammond Aerospace mais la surprise ne s'arrête pas là : un groupe d'hommes armés fait irruption dans le chalet et prend le groupe en otage …
J'avais déjà noté plusieurs titres de cet auteur (dont celui-ci) vu que je suis une fan de thrillers et que ses romans m'avaient l'air très alléchants ! Le début est assez lent, plutôt centré sur la vie en entreprise et les relations entre les différents protagonistes du livre et même si l'action n'est pas encore au rendez-vous, cette description est passionnante. Les réseaux d'influence, le comportement de certains directeurs, la perception du nouveau PDG qui est une femme, tout ça peut pousser sans problème à la comparaison avec le monde réel. Certaines descriptions techniques peuvent paraître rébarbatives mais j'ai trouvé qu'elles servaient à mettre le lecteur dans le contexte de cette entreprise d'aéronautique et dans tous les cas, ces détails techniques restent peu nombreux et ne posent pas de réels problèmes dans la lecture. On plonge ensuite bien vite en pleine action avec cette prise d'otage totalement crédible où, tout à coup, les équilibres commencent à se modifier. Cette partie du livre reste plus classique dans sa construction mais le suspense reste très efficace et les rebondissements et découvertes m'ont tenue en haleine sans aucun problème. Un très bon thriller qui remplit son office et que je ne peux que conseiller pour l'été !
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Power Play est un très bon thriller qui m'a captivé de la première à la dernière page.
J'ai trouvé l'histoire bien ficelée, j'ai beaucoup aimé les différents personnages. C'est plutôt crédible, malgré quelques ficelles un peu grosses mais ça passe :)
C'est le premier roman lu de l'auteur mais pas le dernier car Power Play m'a donné envie de découvrir les autres écrit de Joseph Finder.
J'ai aimé l'ambiance, il y a du suspense jusqu'à la dernière page, bref une lecture qui m'a beaucoup plu et que je recommande :)
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Un huit clos plutôt bien ficelé, avec une tension qui augmente au file de la lecture.
Avec des termes un peu compliquer sur la grosse entreprise, j'était souvent perdu dans la lecture.
La final ma parue un peu trop facile à mon goût, pas de suspens évident
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Les dirigeants d’une grande entreprise d’aéronautique réunis en séminaire sont pris en otage par un groupe de pros. Jake Landry, un sans grade invité au dernier moment au raout va faire jouer ses neurones pour se sortir de cette situation…
Finder met du suspense dans la vie quotidienne de l’entreprise, en décrit les rouages et les organigrammes. Un thriller économique rythmé, même si ce n’est pas le meilleur Finder.
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Captivant,palpitant, haletant......
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Pas le meilleur Finder, mais franchement bon tout de même!
On le lis avec plaisir, un très bon livre pour l'été
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un roman sans réelle surprise et surtout, ce qui est dommageable pour un triller, sans grand suspense. Dommage car c'est plutôt bien écrit et la lecture est tout de même assez agréable.
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Thriller original se déroulant au cœur d'un séminaire dans un lieu isolé : Original
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Livre bourré de clichés. Héros très fort, indestructible. Capable de toutes les prouesses. Une fin très convenue. Un style très simpliste.
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Oui Joseph Finder est le maître du ‘Business Thriller’.
Un genre devenu désuet mais qui a encore ses aficionados ;-)
C’est aussi un formidable page-turner.
Livre reçu de la part de mon fiston à sa sortie et relu pendant ce confinement.
On n’a pas besoin de réfléchir et c’est parti mon kiki.
‘Power Play’, ou comment kidnapper l’ensemble de la direction d’une grande entreprise.
Partis en séminaire dans un lieu coupé du monde – sans GSM ni internet ! – les directeurs se poussent du coude pour paraître à côté de la nouvelle PDG – qu’ils n’aiment pas : c’est une femme !
Un des directeurs a été remplacé au pied levé par son assistant, qui n’est autre que l’ex de l’assistante de la PDG et qui a eu une enfance difficile, au point de pourvoir rivaliser avec les kidnappeurs.
Kidnappeurs qui ont l’air de maîtriser les astuces de l’assurance rançon, à tel point que l’on peut / doit se demander si une source interne ne les a pas aidés…
Ce huis-clos décrit aussi le monde de l’entreprise où les directeurs confondent parfois les bénéfices de celle-ci et leurs intérêts personnels. Rien de nouveau allez-vous me dire. Peut-être mais l’auteur s’est vachement bien documenté et aux Etats-Unis on ne fait pas les choses à moitié comme de ce côté de l’Atlantique.
Parfait divertissement pour ceux qui s’intéressent au ‘Business Thriller’ et ne veulent pas se casser la tête.
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Attention ce livre n’est un de ces thrillers économiques où Finder place le lecteur dans une entreprise et y déroule son suspense. Là, Nick Heller, le héros, n’est pas un simple employé ou cadre d’entreprise. Il travaille pour une agence de renseignement privé et dans son domaine c’est un vrai pro. Il se retrouve à enquêter sur l’agression qu’on subi sa belle sœur et son frère.
Avec ce livre Finder penche plus vers le thriller d’action et perd un peu ce qui faisait son originalité : mêler économie, vie d’entreprise et polar. Le style alerte reste en place mais c’est quand même bien plus convenu que ce qu’il avait fait précédemment. Reste un vrai thriller d'action.
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Sans laisser de trace
Voilà un titre bien trouvé pour une critique bien pourrie… Pour être honnête j'avais fait une première critique de ce bouquin, avant les paillettes, les pages nues, et les orgies littéraires, presque 6 ans déjà et 7 ans que je traine des conneries sur ce site… et putain j'en ai appris des tas de trucs depuis tout ce temps, à fourrer mon nez dans toutes ces pages vierges qui collent sous mes mains de branleur.
Et j'ai jamais eu besoin de lécher mes doigts pour tourner les pages, bien trop excité pour les tremper très vite dans de nouvelles aventures, un petit chapitre et au lit : tu parles mon cul ouais…
avec l'âge t'es plus vigoureux avec la culture, tu te lèches moins aller dans la bêtise, tu tentes des nouveaux trucs, tu veux pouvoir t'élever l'asticot qui te trotte dans le cerveau plus haut que ta bite le premier samedi du mois comme quand t'avais 15 piges : les yeux rougis d'excitation, la larmichette au fond du calebars parce que t'as pas encore été pissé, bah ouais c'est comme ça que ça fonctionne, soit tu pisses soit c'est le génocide, t'as pas le pouvoir de faire les deux à la fois, pas même si tu te concentres en fermant les yeux très fort, pas même si t'as fumé un pétard avant, que dalle, ensuite c'est la débandade, flasque et visqueuse, moite serrée entre tes mains culturées à l'adolescence, et cette putain de dernière goutte qui chatouille ta cuisse de cette cuite manuelle, parce que t'as 15 piges, que t'as des lunettes, que t'es pas très grand et que c'est la desh niveau gonzesse…
Le bon vieux temps de l'insouciance, de l'invincibilité, avec un peu de bol tes névroses te laissent pénard le temps de devenir adulte, quoi queue pour la majorité des trouducs qui m'accompagnent dans cette vie pépère de gens bien nés, elles débutent à cette période d'euphorie vaginale ou bitale, te consument gentiment la joie de vivre, jusqu'à plus d'espoir, ensuite faut payer les factures, élever les gosses, sortir les poubelles et commencer à picoler pour oublier tout les seins qui pendent...
Putain je ne buvais pas une putain de goutte d'alcool il y a encore huit mois, l'histoire d'une névrose paternelle qui s'effluve sur le parquet un week-end sur deux, je suis le genre de gars qui te nique l'ambiance quand tout le monde est bien grammé avec des grands yeux titubants, la blagounette un peu lourde qui reste coincée dans cette gorge assoiffée d'oubli momentané d'amour propre… avec modération donc, faut savoir se contrôler la décence…
Ouais je sais tout cela est bien mignon, mais quel rapport avec le bouquin, aucun, de toute façon j'ai oublié de quoi ça parlait, petite mémoire, mais j'avais moins d'ambition à l'époque, ma grand-mère disait toujours :
« Faut commencer en bas de l'échelle, un pied après l'autre »
les petits polars, les petites histoires, les romans de gare, je faisais partie du petit peuple à l'eau de rose, élevé au club Dorothée, j'ai réussi à verser quelques émotions dans certains bouquins, petite bite de la culture populaire, mais proprement assumé, sans complexe, pas de névroses d'infériorité, un petit manque d'assurance héréditaire qui t'aigrise un peu le sourire, et puis la jolie brune qui remplace une fois ou deux par semaine tes mains pour faire couler l'encre de la vie, qui rayonne de ses beaux cheveux ondulés pendant que tu essaies de t'élever dans l'intellectualité d'un truc qu'il faut vulgariser pour que t'y comprennes un truc ou deux… t'as pas les gênes du A+ trouduc.
Certes t'as gagné ta place dans un pays qui se défend la joie de vivre, t'as sorti les doigts de ton cul et fini par écouter les conneries que te racontait mémé, en oubliant les parties religieuses qui t'interdisent la branlette entre deux pages de papiers glacé décorées à l'hétoro, t'as gagné ton bonnet d'âne taille G, t'y plonge ton nez les yeux fermés, invité à modeler ton avenir entre tes mains douloureuses d'adversité, je n'aime pas la compète, tirer sur le complexe des vestiaires pour atteindre les 15 cm et rentrer dans la moyenne d'un ennui vaginal ne m'a jamais fait bander plus queue ça, alors tu assumes tes choix, et comme disait mémé entre deux verres de vin à l'eau :
« Vas ou tu peux, meurs ou tu dois… »
A plus les copains
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Très décevant... Je ne le recommande pas...
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Non, ce roman ne m'a laissé aucune trace...
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Sans laisser de traces également dans ma mémoire... A oublier...
Ne perdez pas votre temps à le lire, j'ai tellement eu de mal à le terminer...
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Passionné de thrillers et autres romans policiers, je n'ai rien trouvé d'intéressant dans ce livre. à éviter autant que possible
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Sans Plus
Avant toute chose, il faut savoir que je suis un fan absolu des livres de Joseph Finder.
J'ai trouvé ce livre correct sans plus. Ce n'est pas mon préféré loin de là, principalement parce que je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait plu dans les précédents.
Ceci dit, cela reste divertissant et on s'attache aux personnages de Nick, Lauren et Gab.
J'attends malgré tout la suite puisqu'à priori, il s'agit d'une trilogie. D'ailleurs si certains ont des infos à ce sujet, je suis preneur.
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