Juan Díaz Canales

j ai bien aimé

Un bon début, j'ai beaucoup aimé la personnification des perso, et je continue à lire cette bd !

C'est dans un magazine consacré à la bande dessinée que j'ai découvert cette série, dont les dessins m'ont tout de suite attirée. La particularité de Balcksad est en effet que la totalité des personnages se présentent sous des traits d'animaux, portant tous les attributs des humains. La grande réussite du dessinateur est qu'il parvient à donner des expressions extrêmement précises et humaines aux différents protagonistes, tout en conservant leur part animale dans leur mouvement. J'ai été littéralement époustouflée par les traits et l'usage des couleurs sombres, propres à l'ambiance très noire de l'intrigue. Si cette dernière se révèle légèrement courte et dont le dénouement est un peu rapide, cela n'enlève rien aux qualités de cet album qui annonce une série...décoiffante !

48, c’est le nombre de pages de cette bande dessinée. Et c’est aussi le nombre de page que j’ai englouti tellement j’ai aimé cette BD.



Les deux auteurs nous livrent un excellent polar dont les personnages sont tous des animaux agissant comme des humains.



Les dessins sont superbes. Très réaliste avec pléthore de détails. Les couleurs sombres allant de la sépia au vert nous mettent bien dans l’ambiance de l’histoire.



L’histoire est digne d’un bon polar à la Maigret, avec cadavres et malfrats. Elle prend aussi un tournant inattendu qui a réussi à me surprendre et qui met du piquant dans la bande dessinée.



En bref, j’ai bien aimé cette bande dessinée pour son histoire style polar, ses couleurs très adaptées et ses dessins.
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J'ai beaucoup aimé les dessins et le fait que les personnages principaux soient des animaux. Cependant, j'ai été déçue par l'histoire. J'ai eu une impression de raccourcis, j'ai cru que la version que je lisais était abrégée...

les dessins ... ils sont ... tellement veloutés que plus d’une fois j’ai caressé les pages. Une douceur démentie par la violence du contenu.

les personnages ... des animaux, mais si humains, plus vrais que nature.

le texte ... est tout simplement excellent.

une bd de qualité, réussie, un vrai bonheur

quand le passé ressurgit dans la vie de Blacksad, il n'est pas prêt. Cet enquêteur, retrouve son amour passé assassinée...et voici qu'on veut le mettre sur la touche...

Mes essais d'immersion dans le monde de la BD !

Ici les conseils d'une amie, confirmés par la bibliothécaire de mon entreprise, je ne pouvais donc résister !



Et le nom du principal protagoniste : Blacksad !



C’était pour moi et je n'ai pas été déçue.



Pour cette première enquête, car oui c'est une BD policière, Blacksad cherche à découvrir le meurtrier d'une de ces anciennes amours... triste enquête.



Le graphisme est géniale, l'enquête simple se tient mais l'animal est toujours le bon représentant du caractère du personnage, troublant ... mais génial.

[Blacksad T1]

Des illustrations bluffantes a l'aquarelle et un scénario original : Blacksad est vraiment une série de BD à ne pas manquer. Plutôt orientés polar, le scénario et les dialogues ne manquent cependant pas d'humour et les personnages anthropomorphiques sont souvent ingénieux.

Enfin le personnage de blacksad ce chat détective est très attachant : sombre, aventureux, ronchon et sexy, c'est le parfait détective.

Sans oublier le merveilleux personnage de weekly, la fouine journaliste, surtout intéressé par la gloire, l'argent et les belles femmes.

Nouvelle-Orléans, 1950,





Nouvelle-Orléans, 1950,



Appelé sur les lieux d'un crime par l'inspecteur Smirnov pour identifier un cadavre, John Blacksad, détective privé, découvre le corps d'une ancienne amie.



Natalia Wilford était une danseuse, une étoile, qui souhaitait faire du cinéma. De retour chez lui, John allume une cigarette et se perd dans les volutes de fumée... Elle était sublime, elle était chatte, elle était volage, elle croquait la vie, il l'avait aimée.

"Au dehors, se cachait le coupable de deux meurtres au moins : Celui d'une personne et celui de mes souvenirs."



Dans la jungle urbaine, Blacksade arpente les rues, cigarette en main et commence à mener son enquête.

Première visite vers le seul qui pourrait lui refiler quelques informations... Jake Ostiombe, un boxeur qui fut un temps, le garde du corps de Natalia.



Retraçant les jours passés de la victime, ainsi que ses fréquentations, John va déranger de nombreuses personnes dont le principal sujet, un homme mystérieux avec des yeux globuleux.



Blacksad, quelque part entre les ombres, ne pardonnera pas et laissera parler les poings et le flingue.



Blacksad2

Une superbe bande dessinée qui nous renvoie aux films noirs des années 50 avec son héros, un détective privé, vêtu d'un costume, d'une cravate légèrement dénouée, d'une gabardine, cigarette souvent à la main, un homme assez solitaire, abîmé par la noirceur de la vie.

La particularité de cette bande dessinée, aux couleurs aquarellées d'une vieille pellicule sépia, brune, grise, c'est que les auteurs ont imaginé un monde animalier. Blacksad est un beau chat noir avec le museau blanc, l'inspecteur Smirnov est un chien, un berger allemand, imposant, grand... les autres... un lézard, un gorille, un lion, un crapaud... et bien plus. Le talent des auteurs donne à ces êtres anthropomorphes, des expressions très humaines et rend aux personnages les caractéristiques de leur nature ; pour interpréter la force d'un boxeur ou d'un garde du corps, ils crayonnent un gorille, un ours et un rhinocéros...

Sobriété dans l'écriture qui livre des dialogues abrupts dans un univers masculin, des dessins très détaillés, expressifs, une coloration rétro, ambiance de blues et de ragtime, nous pénétrons un macrocosme mafieux, "jasi", de "cigarettes, whisky et p'tites pépées"..., un espace d'après-guerre, glauque et sombre.



La série est composée à ce jour de quatre volumes qui ont été primés au Festival de la bande dessinée d'Angoulême.

Blacksad fut une très belle découverte, j'ai été attirée par son style graphique dès le début. En effet, les personnages ont des têtes d'animaux qui met en valeur leurs caractères, sans dénaturer le côté sombre et adulte de cette BD polar, qui nous plonge dans ce qui pourrait être New York dans les années 50. C'est un style graphique que j'ai du mal à retrouver dans les bandes-dessinées d'aujourd'hui.



Cette histoire commence fort. D'entré de jeu, l'auteur nous accueilles avec le meurtre d'une actrice, Natalia, qui est aussi l'ex de notre héros. On suivra ce dernier dans son enquête, qui à l'air simple du premier abord mais qui n'aborde rien de trop complexe. Nous irons de rebondissements en rebondissements, et de belles surprises tomberont de temps en temps. La corruption va être pour ainsi dire, le credo de cette enquête.



J'ai beaucoup aimé le style des personnages. Leurs sentiments se voient, comme sur les animaux. Par exemple, notre héros se comporte parfaitement comme un chat quand il est en colère : oreilles baissées, dents ressorties. Les expressions sont très bien représentées, ce qui fait le charme de cette lecture.



J'ai hâte de pouvoir acheter la suite, qui semble tout autant prometteuse que ce prem
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Blacksad est une BD magnifique.

Le dessin est au sommet de ce qui peut se faire dans le domaine.

L'intérêt le plus évident de cette série est la perversion que Canalès instille dans ces personnages aux corps humains et aux têtes animales.

Issu de l'école Disney, Canalès a su réinventer avec brio, et pour les adultes, les histoires humano-bestiales.

Il en existait d'autres avant, surtout dans les domaines soit de la BD enfantine, soit de la BD érotique (ce qui ne manque pas de sel d'ailleurs). Il en existera d'autres après aussi, je n'en doute pas. Pourtant Blacksad prend une place singulière en raison de la qualité des dessins et de l'histoire.

A découvrir rapidement et intensément.

Un véritable plaisir que la découverte de Black Sad. Une belle entrée en matière, des dessins pastels qui donnent une ambiance particulière à cet univers.

Des personnages bien définis, j'ai particulièrement apprécié le choix des animaux pour définir leurs essences. Le barmaid est un porc en marcel blanc plein de graisse, le "méchant" sera un reptile, Blacksad un chat en imperméable...



Guarnido a le trait fin, son talent est d'humaniser ces animaux comme l'a fait avant lui Lafontaine.



Un scénario polar somme tout classique, un univers à la Ellroy. La valeur ajoutée à ce premier volume reste donc le véritable talent artistique de l'auteur.

Autant l'univers narratif et graphique est passionnant, autant l'intrigue en elle-même est quasiment faiblarde. Sans doute cette série aurait été plus intéressante dans des albums plus volumineux et plus étoffés...

Je suis drôlement contente de m'être laissée tenter par cette BD. Pire, elle devient même une addiction. Encore une fois, j'en avais entendu beaucoup de bien, mais je ne m'étais jamais plongée dans le vif du sujet. Retour sur une belle découverte...
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Une claque visuelle. Un scénario Béton. Une véritable empreinte. Rien à rajouter. Mettre des animaux à la place des humains est un coup de génie

Un chef d’œuvre du genre !



Un très bon thriller dans une caricature de notre société actuelle.

Qui n'a jamais trouvé une ressemble d'une connaissance à un animal ? Juanjo Guarnido en joue fortement et use de clichés qui fonctionnent exceptionnellement bien.



il nous offre une superbe œuvre avec un personnage attachant et élégant.

A noter aussi le remarquable scénario de Juan Diaz Canales.



J'ai adoré !!

« Blacksad » est une superbe série policière composée de quatre bandes-dessinées (à ce jour). Son originalité réside dans le fait qu'elle met en scène des animaux ! Ce n'est certes pas une première, mais c'est un parti pris plutôt singulier qui me plaît beaucoup. Ainsi le héros de notre histoire est un chat détective et lors de ses aventures, il côtoie serpent, rat, rhinocéros, ours, crocodile, cochon, gorille, charmante petite souris et bien d'autres encore (dont de drôles de bestioles sur lesquelles je n'ai pas réussi à mettre de nom ) ! L'histoire s'ouvre sur le matin où il retrouve le cadavre de son ancien amour, une magnifique actrice célèbre, une balle fichée entre les deux yeux. Bien décidé à trouver le coupable et faire justice, il va mener son enquête avec acharnement !



Le graphisme de cette série est remarquable et a du caractère ! Vivantes, riches, abouties et chargées de détails, les scènes prennent vie sous nos yeux. Cette impression est renforcée par la justesse et le naturel du rendu des mouvements. Du très bon travail pour lequel Juanjo Guarnido peut être chaudement félicité.



L'intrigue policière ne m'a pas vraiment surprise, elle est assez simple et classique, mais efficace. Toute la richesse et la subtilité de cette bande-dessinée réside dans l'instauration d'ambiances sombres dignes de bons polars et dans la mise en scène des personnages : ils sont tous étonnants, ont des caractères bien trempés, qu'il s'agisse des « méchants » ou des « gentils ». Blacksad, le détective solitaire et charismatique au regard pénétrant, robuste et énergique, habile et intelligent, qui mène son enquête avec fermeté, assoiffé de vengeance. Le commissaire et ami de Blacksad, bon, sensible et humain, qui choisit, avec la complicité de son équipe, de se corrompre pour que justice soit faite, donnant ainsi une image touchante de son commissariat. L'homme de main du « méchant » (si je puis me permettre de dire « homme », car il s'agit en fait d'un serpent !), qui, suite à une vie de soumission et de frustration essaie de s'affranchir de son maître et de faire ses preuves en solitaire. Tous ces personnages ont du relief, ni tout bon ni tout mauvais, chacun essaie d'avancer et de vivre.



Le narrateur de cette histoire est Blacksad et il est très agréable de le suivre dans ses pérégrinations. Adepte de l'auto-dérision, le ton qu'il emploie est ironique, à la fois douloureux et humoristique, et je me suis tant attachée à lui qu'il me tarde de lire la suite de ses aventures.
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8 mars 2023,je m'offre une re-lecture. Que du bonheur. Je maintiens mes 5 étoiles.



John Blacksad, le héros réputé pour avoir sept vies à vivre. Lui reste vigilant pour garder la sienne. C’est un privé évoluant dans un monde glauque semble-t-il des années 50.

Lorsqu’il apprend la mort brutale de Natalia Wilford, une danseuse sublime, Blacksad vit rappliquer ses souvenirs. Il l’avait aimé mais c’était une chatte qui ne ne faisait pas de son corps une exclusivité. Alors plus que jamais il se mit en quête de son assassin….

Des personnages, des gueules, des animaux personnifiés : Jack Ostiombe, un gorille, ancien garde du corps de Natalia, Smirnov, un berger allemand, commissaire de police ;un rat ; un crocodile et Ivo Statoc, un crapaud magnat du monde des affaires……..

Dans le même genre, on connaissait « Canardo ». Le principe est identique, le dessin aussi élégant et magnifique…. Le monde y est d’apparence plus malsain.

Blacksad est une série très très réussie.

En général, je ne suis pas emballée plus que ça par des êtres à têtes d'animaux et aux corps humains. Mais là je dois dire que le dessin est vraiment très sympa, et l'histoire de ce privé, qui apprend la mort d'une ancienne conquête et décide de retrouver son assassin est assez bien menée.

Rien d'original dans l'histoire, elle suit son cours entre règlements de compte, coups fourrés et gros bonnets, imperméable et baston, mais le dessin est assez léché je trouve. Il désamorce tout ce qui me gêne habituellement dans l'anthropomorphisme. Je vous aurais bien dit comment, mais j'ai du mal à me l'expliquer. Les images sont claires et limpides, les personnages ont du caractère et même du charisme, quand bien même ils ont des têtes de chat, de porc ou d'orang-outan. On devine leur caractère, leur sentiment, leur sensation au travers de ces dessins qui nous plongent au cœur de l'histoire et nous font regretter d'arriver trop tôt à la dernière page.

Et l'avantage, s'il en manquait, est qu'il s'agit, pour ce premier tome, d'une histoire complète, avec un début et une fin. Si on le souhaite, on peut très bien en rester là. Mais pourquoi faire ? On risque bien plus de passer à côté d'une autre histoire qui nous fera admirer à nouveau la belle gueule féline de Blacksad !