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Critiques de Judith Vanistendael (106)
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La jeune fille et le nègre, tome 1 : Papa et ..

Ce superbe roman graphique de Judith Vanistendael traite de l'accueil des réfugiés dans les pays occidentaux. En fait d'accueil, Abou subit surtout les tracasseries de l'office des étrangers, les interrogatoires policiers et le regard réprobateur des honnêtes gens. Avec beaucoup de justesse, l'auteur évoque les réactions des uns et des autres sans épargner personne. Pas même ce père, journaliste de gauche, progressiste et à l'esprit ouvert, dont la première réaction est de se demander si ce Togolais est bien ce qu'il prétend être et s'il n'est pas occupé à se servir de sa fille pour obtenir un titre de séjour. La Jeune fille et le nègre est un livre touchant, juste et dérangeant, tant nous nous reconnaissons dans certaines pages en costume de petits blancs. Le dessin très stylisé et très noir, qu'on dirait jeté en vrac dans des cases trop petites, sert admirablement le propos.
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David les femmes et la mort

David, jeune grand-père, apprend qu’il a un cancer. C’est l’apprentissage de la mort, pour lui et ceux qui l’aiment. Une narration par touches d’émotions, avec beaucoup de délicatesse et de pudeur. Des dessins lumineux et doux, presque poétiques. Belle réussite.



*A noter que le titre anglais de ce livre est « When David lost his voice« . C’est encore plus évocateur.
Lien : http://blog.exploratology.co..
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David les femmes et la mort

David, un libraire sexagénaire, apprend qu'il a un cancer. Les femmes de sa vie – sa jeune femme Paula et leur fille Tamar, sa fille Miriam, née d’un premier amour de jeunesse et sa petite-fille Louise – assistent, impuissantes, à ce délitement silencieux mais inexorable.

Réédité pour le Festival d’Angoulême avec une nouvelle couverture, cet épais roman graphique à l’aquarelle est assurément un chef-d’œuvre ; son auteur, Bruxelloise de 37 ans, parvient à faire de ce sujet grave et poignant une bande dessinée lumineuse et pudique, sans pathos.

(Béatrice)
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David les femmes et la mort

Le poète avait empoigné les laideurs de l'existence pour les transmuter en or dans des vers qui les magnifiaient. Cette alchimie baudelairienne, si novatrice alors, violemment décriée, ne cesse de se renouveler, siècle après siècle, art après art.

L'avenir donna raison au poète. L'avenir continue de rendre hommage à son génie visionnaire. Du laid peut naître le beau. Du prosaïque peut naître le merveilleux. Le terrible peut être oeuvre d'art.



Ainsi en est-il de David les femmes et la mort.

Parce que le thème, c'est pfiou… difficile est un euphémisme. Judith Vanistendael ne nous épargne rien. Le cancer n'est plus un horrible mot, une idée détestable. Il s'installe dans le corps de David, prolifère, métastase.

David est un charmant libraire, père de Tamar âgée de 9 ans, père de Miriam issue d'une première union laquelle va donner naissance à Louise.

David, Paula (son épouse), Tamar, Miriam et Louise. Quatre femmes unies autour d'un homme que Bobonne la mort vient bercer.



Un roman graphique que l'on irait bien jeter dans le premier cours d'eau venu à moins d'éprouver le besoin morbide d'affronter la lente fonte du corps napalmisé à coup de chimiothérapie et de rayons. Si n'était l'art justement.



Judith Vanistendael livre une belle histoire en ne ménageant pas son talent. Ce qui fait que je n'ai pas noyé le bouquin et que de vignettes en planches, de petites images en double pages, de la tendresse du dessin aquarellé au noir et blanc violent du cauchemar qui cliquette dans une danse macabre, j'ai achevé ma lecture d'une traite. Subjuguée.

Et, en ce moment, mes mots hésitent, se sentent impuissants à rendre toutes les dimensions de ce roman graphique qui n'élude rien de la sordide réalité.



4 chapitres: Miriam, Tamar, Paula, David.

Louise, elle, née le jour de l'annonce fatidique, rappelle juste que la vie continue. Quelques onomatopées sur un lit d'hôpital, le sourire de l'enfance qui découvre la vie et l'incompréhension de l'abîme sur lequel son entourage se penche suffisent.



4 chapitres: Miriam, Tamar, Paula, David.

C'est dans les silences que l'amour se dit le mieux ou avec le plus d'intensité. C'est dans l'appel à l'imaginaire de Tamar qui rencontre une sirène, dans l'escapade de Paula trop enfermée dans sa peur d'épouse et de mère, dans l'attention de Miriam pour sa fille que se raconte le dur et doux accompagnement de celui que l'on aime. Il y ces mains qui voudraient retenir et cet esprit épuisé qui souhaite partir.



Et en contrepoint de ces amours autour de David, veille l'amitié du médecin qui annonça à son copain le cancer et qui glissera silencieusement dans l'illégalité pour répondre à la supplique écrite "Georg laisse-moi partir". La douceur sombre de l'aquarelle noire est en elle-même acte de compassion.
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David les femmes et la mort

MAGNIFIQUE !!! des illustrations comme des tableaux et un sujet qui nous remplit d'émotion.
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David les femmes et la mort

Il y a des albums qui nous plaisent dès les premières pages grâce au graphisme. Ça a été le cas avec David, les femmes et la mort. Le style de Judtih Vanistendael est unique. Il vaut le coup d'oeil ! Mais, cet album, c'est plus que ça. C'est l'histoire de David, qui souffre d'un cancer, racontée avec pudeur et sensibilité. Les dessins servent à merveille ce genre de récit tout en nuances.



L'histoire est divisée en trois parties et chacune d'elles se consacre à un personnage féminin de l'entourage de David. Face à une situation difficile émotionnellement, il y a autant de façons de réagir qu'il y a de gens sur la terre et cet album le démontre de brillante manière. Dans le premier chapitre, on suit Myriam, la première fille de David, qui est maintenant maman à son tour. Ensuite, vient le chapitre consacré Tamar la fille cadette de David née d'un seconde mariage puis, celui de Paula, la mère de Tamar et nouvelle femme de David.



Je ne veux pas comparer en profondeur les albums mais je ne peux passer sous le silence le fait j'ai pensé à Paul à Québec de Michel Rabagliati tout au long de ma lecture. Dans les deux cas, on suit une famille de l'annonce de la maladie jusqu'à sa mort de l'un des leurs. Et, dans les deux cas, c'est extrêmement bien fait. Il faut dire que c'est un thème qui me touche particulièrement car il me rappelle énormément la fin de vie de mon grand-père.

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David les femmes et la mort

Nous pouvons classer ce titre comme un des meilleurs titres de l’année 2012 mais aussi comme une référence dans le domaine des romans graphiques ce qui n’est pas rien quand on connait les chefs d’œuvre déjà sortis. Cette lecture procure ainsi réconfort et plaisir malgré le thème abordé.
Lien : http://www.avoir-alire.com/d..
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David les femmes et la mort

David apprend qu'il a un cancer du larynx. A l'annonce de la nouvelle, il défaille, songe à sa fille de neuf ans, à sa femme et à sa fille aînée qui est sur le point d'accoucher. Nous allons suivre son lent cheminement vers la mort, ses angoisses, celles de son entourage déjà en phase de deuil...

Pas gai du tout donc, mais qu'est-ce que c'est bien fichu. Les émotions passent par une mise en page et un dessin à l'aquarelle particulièrement sensible. Ici, c'est le dessin qui parle, qui chamboule le lecteur et le font tourner les pages avec inquiétude mais sérénité. C'est très réussi. De là à dire que c'est un chef d'oeuvre comme le souligne le bandeau apposé en couverture (et signé de l'Express) peut être pas. C'est fort bien fait, très psychologisant, très fort (notamment sur le dilemne du médecin autour de l'euthanasie) mais pas vraiment grand public quand même... Disons que si un sujet autour de la mort ne vous rebute pas et que vous aimez que l'on parle à votre coeur et à votre cerveau de manière subtile (très loin de docteur House donc...), c'est pour vous...et vous ne le regretterez pas !

Un peu plus sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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David les femmes et la mort

À en croire la presse élogieuse, on pouvait s'attendre à être bluffé par cette bande dessinée. Malheureusement, il n'y a pas de quoi pousser l'enthousiasme. Certes, le récit d'un homme atteint d'un cancer et de sa famille à ses côtés a quelque chose de touchant, mais un tel sujet est casse-gueule et ne se suffit pas. Graphiquement, sur les plus de 250 pages, il doit y avoir une dizaine de planches intéressantes, le reste est un dessin assez inexpressif aux couleurs ternes, quelques originalités dans la composition...

Le rythme léger, dynamique, sauve la lecture du livre.
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David les femmes et la mort

Lorsque David apprend qu'il a un cancer, ce n'est pas seulement sa propre existence qui s'en trouve bouleversée c'est également celle de ses proches.



Cette bande dessinée s'organise autour de quatre récits, celui de David et des trois femmes de sa vie .



Tout d'abord, le lecteur fait connaissance avec Miriam, la première fille de David. C'est au moment où Miriam devient mère qu'elle apprend la maladie de son père.



Ensuite, on découvre Tamar la seconde fille de David, et sa vision naïve de la maladie de son père.



Et enfin Julia la femme de David, mère de Tamar qui dépassée par cet événement bouleversant ne sait plus quelle attitude adopter.



Justesse des mots et des dessins, cette bande dessinée exprime la douleur des proches sans jamais tombée dans le mélodrame
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David les femmes et la mort

Le jour où sa petite-fille nait, un cancer est diagnostiqué à David. Il lui reste au maximum 1 an à vivre.

Ou comment le cancer chamboule toute une famille, faisant ressortir avec force les émotions et les angoisses de chacun. Le désarroi de sa compagne devant son silence sur la maladie. Sa fille de 9 ans qui cherche comment conserver son papa près d'elle, après. Sa première fille, elle aussi taiseuse, qui tente d'apporter un peu de joie, avec sa fille à elle. Et le malade qui tait ses angoisses et sa peur, mais veut partir dignement, même si la méthode est illégale. Par amour pour les siens.

Une BD émouvante, qui pose des questions sur la fin de vie assistée, le droit de partir dans la dignité. Pour ne pas vivre sa déchéance, ne pas l'imposer aux autres. Les laisser avec la meilleure image possible.

Une BD sensible et juste.
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David les femmes et la mort

L’arbre généalogique qui ouvre l’album nous fait craindre une histoire complexe. En fait, il n’en sera rien. Quelques noms y figurent par pure formalité, et en se familiarisant avec l’univers de David, on se rend compte que celui-ci est finalement peu entouré. Toutefois, cet entourage –constitué uniquement de femmes, lui est bien plus proche que toute une armada frétillante mais détachée de parents éloignés. Il y a Tamar, la cadette, qui forme avec sa mère Paula la base du foyer de David, mais aussi Miriam, sa première fille, née d’une précédente union et à son tour mère d’une petite Louise.





David apprend qu’il a un cancer. « Un cancer du larynx supraglottique. De type T3 N26 M0. Cela veut dire que tu peux t’en sortir », lui annonce son médecin, qui est aussi un ami de longue date. La nouvelle le bouleverse, évidement, et suscite des visions funèbres que Judith Vanistendael transpose sur plusieurs pages de superbes aquarelles. Mais il en parle peu, et ce sont ses femmes qui viennent prendre le relais, exprimant chacune à leur façon la tristesse et la colère qu’il est légitime d’éprouver dans une telle situation.





Le découpage en plusieurs parties –une consacrée à Miriam, l’autre à Tamar, une autre à Paula, et la dernière à David- permet d’étayer le point de vue sur la maladie et de faire une incursion dans la psychologie de chaque personnage, engendrant par la même occasion la réflexion sur les différentes façons de réagir face à un même évènement en fonction de l’âge, du statut social, mais aussi du caractère et du vécu propres. Cette incursion dans chaque personnage permet également de mettre en valeur le gouffre qui peut exister entre la vie intérieure et son extériorisation. David, qui semble si résigné, est en réalité presque fou à l’idée de sa mort prochaine. De même, Paula, qui décide de partir en Suède pendant cinq jours, laissant David et Tamar seuls à la maison, pourrait sembler cruelle si nous ne connaissions pas la terreur qui est la sienne à l’idée de perdre David et de se retrouver seule.





La manière d’aborder la mort dans cet album ne cherche pas à faire dans le grandiloquent. Les sentiments qui lui sont liés sont traités avec tout le naturel qui sied à cette situation elle-même naturelle. Finalement, ce léger détachement permet d’évoquer le cancer de David avec sérénité. On pourrait même parler d'un tragique heureux dans le sens où, personne n’ignorant la mort prochaine de David, tout le monde essaie de vivre au mieux et avec le plus d’intensité les derniers moments en sa compagnie… avec plus ou moins de succès.



Arriver à susciter l’apaisement alors même que les situations exigeraient plutôt qu’on se laisse complètement aller au désespoir n’est pas évident. Toutefois, David, les femmes et la mort réussissent à mener une danser qui y parvient parfaitement.






Lien : http://colimasson.over-blog...
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La jeune fille et le nègre, tome 1 : Papa et ..

L'histoire : à Bruxelles, à partir de 1995. Sophie, jeune Bruxelloise, tombe amoureuse d’Abou, un Togolais demandeur d’asile. Domicilié d'abord au "château", grand centre d'accueil. La mère de Sophie se renseigne sur le Togo, le père est sceptique. Mais les parents de Sophie décident que le couple peut venir habiter chez eux, dans l'ancien grenier. La demande de papiers d'Abou traîne, aura-t-elle une suite favorable?



Mon avis : un dessin en noir et blanc, je ne suis pas fan du graphisme. En revanche, le scénario est bien monté, le récit se fait du point de vue du père de famille, d'abord très sceptique et qui peu à peu s'implique dans cette demande d'asile. En annexe, deux pages donnent la procédure de demande d'asile en Belgique et en France. Retrouvez la suite dans le tome 2, Babette et Sophie.
Lien : http://vdujardin.com/blog/ar..
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La jeune fille et le nègre, tome 2 : Babette ..

Je ne suis pas plus fan du graphisme que dans le tome 1, je trouve l'idée de reprendre la même histoire du point de vue de Sophie plutôt bonne... mais pas complètement aboutie. Le passage sur l'étude qu'elle était allée faire en Afrique pour son diplôme sur la place des femmes dans la mcro-économie est certes plus développée que dans le premier volume, mais la relation avec Abou et la bataille pour les papiers beaucoup trop édulcorée à mon goût...
Lien : http://vdujardin.com/blog/ar..
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David les femmes et la mort

Portrait à la fois vibrant et intimiste d’une famille face à la maladie, David, les femmes et la mort, est une leçon de maitrise narrative, un de ces livres trop rares qui laissent entendre leur petite musique dans l’esprit du lecteur longtemps après avoir été refermés.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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David les femmes et la mort

->Retrouvez ce coup de coeur dans le n°3 de BDSphère publié le 9 février 2012



Bobonne la mort se couche auprès du malade pour chanter cette berceuse requiem : “Dors mon petit, la mort est noire et chaude”. Un être arrive, un autre meurt. Après la naissance de la petite Louise, David, son grand-père apprend à sa fille qu’il est atteint d’un cancer de la gorge. Condamné à mourir dans les six mois, il laissera trois orphelines : ses deux filles, Miriam, née d’une première union et Tamar, une fillette de 9 ans que lui a donnée Paula, sa jeune épouse. Chacune réagit à sa manière face à la mort, exprimant sa souffrance, dans l’angoisse, la résignation ou la révolte, toutes confrontées à un homme qui accepte sa fin et se retranche dans le mutisme et la solitude. Judith Vanistendael évite l’écueil du mélodrame, choisissant un dessin intense souvent muet sublimé par la douceur de l’aquarelle. Elle traduit les silences de l’indicible par des dialogues graphiques puissants et des ruptures formelles rythmées par des métaphores oniriques. Un roman graphique qui a la force d’une tragédie.



Lucie Servin



David, les Femmes et la Mort, Judith Vanistendael, Le Lombard, 267 pages, 25,50 euros



ISBN-13: 978-2803630240
Lien : http://www.bdsphere.fr/2012/..
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David les femmes et la mort

Si l'on peut tout dire en BD, comme le pense Judith Vanistendael, la réussite est une affaire de style. La preuve...
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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David les femmes et la mort

David est un père de famille qui souffre d’un cancer du larynx, du type T3 N2b M0, dont on peut guérir… ou peut-être pas !



Ses femmes sont nombreuses : de Myriam, sa fille issue d’un premier mariage, à Paula, sa nouvelle compagne, en passant par Tamar, sa seconde fille, ainsi que Louise, le bébé que vient d’avoir Myriam.



Quant à la mort, elle plane inévitablement sur ce récit qui invite à suivre la lutte de David contre cette terrible maladie. Mais au fil des 270 pages de ce one-shot, le lecteur découvre surtout la manière dont toutes ces femmes vivent la maladie d’un proche. De la peur à l’impuissance, en passant par un sentiment de révolte et d’injustice, toutes vivent ce drame de manière différente. Si les dégâts collatéraux causés par cette maladie sont nombreux, le plus difficile à vivre est probablement le silence dans lequel s’enferme David. Recroquevillé sur lui-même, il ne parvient pas à parler de son cancer à ses proches. C’est paradoxalement au moment où il finit par perdre la voix, qu’il éprouve enfin le besoin de communiquer. Un échange qui s’effectue beaucoup trop tard et un silence qui n’est jamais complètement brisé… Bouleversant !



Pour sa deuxième œuvre (après “La jeune fille et le nègre”) Judith Vanistendael frappe très fort ! La jeune bruxelloise propose un récit riche en émotions, qui parvient à aborder un sujet universel de manière intimiste, mais sans aucun pathos. Une justesse qui se retrouve d’ailleurs également au niveau du graphisme. Alternant non-dits et séquences oniriques fortes, elle parvient à faire ressortir toute la dureté du sujet, tout en plongeant le lecteur dans des aquarelles dont les tons accentuent les sentiments distillés.



Un sujet que n’est pas très joyeux, mais qui est abordé avec beaucoup de justesse !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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David les femmes et la mort

Affirmons le tout de go : cette bande dessinée est un chef-d'œuvre.
Lien : http://www.bdselection.com/p..
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David les femmes et la mort

Un roman graphique infiniment poétique à l’humour doux amer et à l’aquarelle tantôt teintée d’ardeur et tantôt ténue de froid.
Lien : http://www.bdencre.com/2012/..
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