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Critiques de Julia Wertz (52)
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Whiskey & New York

Avez-vous vraiment envie de vous plonger dans les affres d’une jeune auteur de BD qui nous raconte dans le détail ce qu’elle mange (des pizzas et des hamburgers), ce qu’elle boit (des litres de Whiskey), les boulots qu’elle trouve et qu’elle perd aussitôt, les journées passées à ne rien glander ?

Ce récit autobiographique aurait pu être intéressant si l’auteur ne se penchait pas autant sur son petit nombril. Cette jeune femme nous raconte son départ de San Francisco pour New-York et l’idée me plaisait bien, mais en réalité, je me suis franchement ennuyée car les faits sont répétitifs.

200 pages à ressasser ses déboires alors que franchement, la plupart des trucs soit disant moches qui lui arrive sont bien souvent de sa faute.

Comment s’étonner de se réveiller avec la gueule de bois quand on passe ses soirées à picoler sec ?

Comment s’étonner de ne pas être en forme quand on se trimballe certes une maladie auto-immune mais qu’on ne fait rien pour se soigner ou au moins prendre un minimum soin de soi ?

Comment trouver l’inspiration si on reste cloitré dans son appartement du matin au soir ?

J’aurais presque pu être émue par cette vie gâchée si l’auteur ne ramenait pas toujours tout à elle, mais la sensation la plus forte qui ressort de ce roman graphique c’est quand même l’ennui et l’auto-apitoiement.

Dommage, les dessins enfantins étaient tout mignons et les croquis de New-York situés à la fin de l'album sont superbes.

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Whiskey & New York

Après soixante-dix pages de blabla (il était temps), l'auteur se demande si "ce n'est pas un peu égocentrique et sans intérêt de faire de la BD".

Tel qu'elle le fait dans cet album autobiographique, si, assurément :

- égocentrique, totalement

- sans grand intérêt pour le lecteur, en effet



On tourne en rond autour des états d'âme d'une jeune femme expatriée à New-York qui espère faire carrière dans la BD. Le propos reste anecdotique : page après page, on voit Julia prendre des petits jobs dans la restauration, se griller régulièrement et se faire virer. Se trouver nulle, se goinfrer de junk-food, boire et avoir la gueule de bois.



C'est plutôt distrayant au début, l'auteur donne beaucoup dans l'auto-dérision - mais la frontière est toujours floue avec l'auto-apitoiement et la fausse modestie.

Cela peut vite lasser le lecteur, en tout cas, surtout sur deux cents pages très denses, surchargées de texte au propos creux et répétitif. Dommage que le contexte socio-politique soit juste effleuré, l'ouvrage aurait gagné à prendre une dimension moins personnelle.

Le graphisme est très simple, enfantin, les adultes ont des visages juvéniles façon 'Placid et Muzo'.



En six mots : girly, égocentré, anecdotique, inutilement bavard, dilué.
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L'attente infinie

Cette bande dessinée est composée de trois histoires, deux longues et une très courte.

Les deux premières dévoilent des moments forts de la vie de Julia Wertz, son adolescence, sa découverte de la bande dessinée, la maladie qu'on lui diagnostique alors qu'elle n'a qu'un petite vingtaine d'années, tous les petits boulots qu'elle enchaîne, son problème avec l'alcool et son entrée dans le monde des dessinateurs de BD.

Ces deux histoires sont davantage thématiques que chronologiques, ce qui fait qu'il y a de nombreuses redites qui m'ont un peu ennuyé par moment.

La troisième histoire, très courte, nous montre la relation qui unit l'auteur aux bibliothèques de sa jeunesse et nous montre comment est né son amour pour les livres.

J'ai aimé découvrir le quotidien de cette jeune fille, même si elle n'est pas réellement attachante, certains scènes sont même un peu répétitives et pas toujours d'un grand intérêt.

Par contre, certains éléments arrivent comme des cheveux sur la soupe, à un moment, elle dit qu'elle part rejoindre celui qui est son copain depuis deux ans, alors qu' elle n'avait pas du tout parlé de l'existence de ce garçon avant, ce qui trouble un peu le lecteur, car par ailleurs, elle est capable de nous informer précisément des moments où elle boit un verre de vin ou se masturbe.

Les dessins sont simples, dans un style assez enfantin, mais avec plein de petits détails.

C'est une lecture facile et agréable, en dépit de la toute petite taille des caractères, surtout passé quarante ans quand on lit le soir avec une lampe de chevet.

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Les entrailles de New York

New York.

C’est bien sûr l’archétype de la ville, qui a vu émerger avant toutes les autres cités les problèmes liés à la surpopulation, à la mixité sociale ou la ghettoïsation, aux transports, à la pollution, à la communication… et j’en passe. L’autrice et dessinatrice propose une vision très originale de la ville, avec des dessins de façades à différentes époques, des vitrines de librairies, de pâtisseries, de cafés ou de salles de spectacles, une rétrospective des divers modes de nettoyage des rues, de la charrette à cheval à la balayeuse électrique, une liste non exhaustive des objets du quotidien dont l’invention a eu lieu à New York, un inventaire des bouches de métro historiques, mais aussi de différentes camionnettes de vente de nourriture (oui, food-truck est plus court, c’est certain!) ou une série très touchante de petites maisons restées coincées entre deux tours parce que leurs propriétaires n’ont pas voulu les vendre.



Ce roman graphique constitue une sorte d’archéologie du New York des vingtième et vingt-et-unième siècle, de Brooklyn à Manhattan, de Harlem à Staten Island… Son titre original est plus parlant, car Tenements, towers and trash, qui se traduit par Immeubles, tours et ordures, représente parfaitement le contenu de ce très beau livre. Si j’excepte quelques longueurs, pour des portraits ou l’histoire du Village Voice, et l’écriture pas aussi facile à déchiffrer que des lettres imprimées, j’ai vraiment apprécié ce retour, sur un ton léger et empreint d’humour, sur des endroits que je reconnaissais parfois, que je découvrais souvent.




Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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Whiskey & New York

Alors, j'aime les biographies en BD et j'aime beaucoup les autobiographies dessinées.

J'aime bien les anti-héros, les personnages un peu noirs.

Les BD un peu longues ne me gênent pas, au contraire.

Mais là...pff...quel ennui.

Cette BD m'est apparue comme particulièrement imbuvable. Les histoires qui sont racontées sont tout sauf intéressantes...vraiment sans aucun intérêt. Un grand nombre de planches se limitent à des histoires pipi-caca-alcool.

C'est très long, très répétitif, et le personnage est absolument insupportable et puéril...Elle passe son temps à se plaindre de choses dont elle est la seule responsable, comme pour qu'on la plaigne.

Côté dessin, c'est très naïf et sans aucune finesse. Vraiment enfantin.

D'autres auteurs réalisent des auto-portraits BD des plus cyniques avec infiniment plus de finesse et de talent.
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L'attente infinie

Julia Wertz raconte son parcours personnel et professionnel en trois chapitres intitulés "Au turbin", "L'attente infinie" et "Un endroit bien singulier". Le premier parle de son expérience du monde du travail, depuis les représentations construites pendant l'enfance jusqu'à sa réussite artistique à New-York, en passant par une succession de petits boulots dans le domaine de la restauration. Dans la deuxième partie, elle aborde plus longuement l'entrée dans l'âge adulte, à travers une poignée d'années d'errance post-secondaire à San Francisco ; c'est au cours de cette période dissolue qu'elle découvrira qu'elle est atteinte d'un lupus érythémateux systémique, maladie grave qui l'épuisera mais qu'elle parviendra à combattre. Enfin, "Un endroit bien singulier" clôture cet album de "nouvelles dessinées" : l'auteure y rend un vibrant hommage à la petite bibliothèque qu'elle fréquentait dans son enfance.
Lien : https://pulco-suivezlepapill..
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Les Imbuvables ou comment j'ai arrêté de boire

À la librairie j ai pensé « pas sure de vouloir lire un livre sur l’alcoolisme » et tant mieux parce que c est beaucoup plus que ça !

Julia nous emmène dans le monde d une trentenaire à New York, et nous fait pousser le rideau pour pénétrer dans son univers de dessinatrice qui arrive à vivre de son travail.

Toujours avec beaucoup d humour et un sens aiguë de la réalité sans chichi, Julia fait plus que nous partager sa sortie de l’alcoolisme, elle partage avec talent un morceau de vie dans lequel beaucoup pourront se reconnaître. Le dessin est beau, net, un pur plaisir !
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L'attente infinie

Elle est pas super sympa et n’a pas une vie passionnante. Mais elle a un vrai talent : elle sait raconter tout ça en bandes dessinées, avec une bonne dose d’humour.
Lien : http://www.bodoi.info/latten..
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Les Imbuvables ou comment j'ai arrêté de boire

Cet album autobiographique relate le parcours vers la sobriété de l’autrice américaine au style unique, Julia Wertz. Nous découvrons cette histoire qui débute le jour des 30 ans de Julia, lorsqu’elle explose une jeep dans la jungle de Porto Rico « Mais Putain?! ». Nous nous retournons quatre ans en arrière pour découvrir une profonde introspection, révélant son alcoolisme et les moments difficiles par lesquels elle est passée...



Les Imbuvables est un récit touchant sur la dépendance. Il dévoile un moment crucial de la vie de Julia Wertz qui se met à nu en évoquant les défis rencontrés sur son parcours. Ce titre, riche en humour noir, sarcastique ou décalé, développe sur 320 pages son désir d’aller de l’avant, de sobriété, les rechutes, le besoin d’isolement et la reconstruction.



Julia aborde également des thématiques qui lui sont chères sur les relations familiales, les amis, l’amour, les ruptures, l’urbex, les sites de rencontres, les dates, les désillusions et le courage d’avancer malgré tout...



✨Une œuvre autobiographique remarquable, touchante, perspicace, intelligente, profonde et drôle.



🧡Un coup de coeur !
Lien : https://www.instagram.com/bd..
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Les entrailles de New York

Je n’étais pas certaine de lire cette BD en entier car elle est dense et il y a beaucoup de texte, ce qui en général m’agace dans les bd. Pourtant, je me suis prise au jeu des façades avant/après et j’ai complètement adhéré aux anecdotes de Julia Wertz sur la ville de New-York. J’ai appris plein de choses sur l’histoire de la Grosse Pomme et je suis admirative du travail de dessin de l’auteure en matière d’architecture. Je ne peux que recommander cette BD si vous avez un peu de temps, car oui, ça prend du temps de tout lire.
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Whiskey & New York

Comment survivre à New-York quand on n'est petite, râleuse et mal sapée ? Comme beaucoup de rêveuses de la Côte Ouest, Julia croit au mirage de la ville qui ne dort jamais. Hélas, comme le réveil cruel ! Seule, gavée de malbouffe et morose comme un cocker dépressif, notre scribouillarde de San Francisco ne cesse de se reposer la seule et unique question qui compte. Pourquoi diable a-t-elle quitté ses pénates avec sa belle vue sur le Golden Gate ? Il est vrai qu'elle n'habitait pas dans une maison bleue adossée à la colline, mais au moins là-bas les gens étaient aimables. La gamine, qui se voyait croquer à pleines dents la Grosse Pomme, doit finalement se contenter du trognon. Le New York de Julia Wertz tient plus de l'univers glauque d'Hubert Selby Jr que du récit enthousiaste de Paul Morand. Abonnée aux petits boulots dont personne ne veut, Julia s'est jetée sur un coup de tête dans une belle galère. Sa maladresse légendaire, et ses sacrées bouteilles qui ne veulent pas la laisser tranquille, ne sont pas là pour arranger les choses. Heureusement son autodérision de haute compétition lui permet, bon an mal an, de prendre du recul. Sa lubie de noircir des cases, et ses doigt par la même occasion, finit également par payer. La preuve, le récit de ses mésaventures a traversé l'Atlantique pour atterrir dans les bacs de vos libraires !
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Museum of Mistakes

Cette BD regroupe les différents volumes parus originellement sous le titre The Fart party (qui sont les deux premiers volumes édités de l'auteur). Ceux-ci n'ont encore jamais été publiés en français.



On y trouve déjà le style faussement mignon de Wertz ainsi que son humour grinçant, qui n'en fait jamais trop et colle toujours aussi bien à la dureté du quotidien.
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Le musée de mes erreurs

Cet album conséquent de plus de 500 pages est un recueil contenant les strips des débuts de Julia Wertz. Dans ces courtes histoires de quelques cases, l'autrice partage son quotidien familial, personnel, intime, amical, professionnel en se mettant en scène avec ses parents, son frère, son copain où ses amis.



La jeune femme nous en fait voir de toutes les couleurs entre humour noir, absurde, satirique, trash, sarcastique ou décalé. Julia, pleine d'autodérision, n'hésite pas à se lâcher en ne faisant aucune concession sur elle-même.



Cet album partage entre autres sa peine de coeur, sa dépendance à l’alcool, sa maladie, son envie de faire de la bd, des extraits de critiques et des lettres d'insultes avec ses réponses.



Nous avons adoré retrouver les différentes expressions des yeux de Julia, rire avec Julia, lire la préface et les petits mots laissés par Julia,…



Un recueil à la fois drôle, étonnant, surprenant et aussi touchant.
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Les entrailles de New York

Étonnant et rare documentaire graphique sur le New York de ses habitants, passés et présents.

Julia Wertz, californienne ayant vécu 10 ans à NYC et ayant eu un véritable coup de cœur pour cette ville, nous l’explique clairement : « ceci n’est pas un ouvrage d’histoire classique. Ce n’est pas non plus un guide pratique de New York. (…) Non, ceci est plutôt un recueil d’histoires uniques en leur genre et souvent oubliées sur le passé de la ville, accompagnées de dessin de différents quartiers choisis au hasard, tels qu’ils furent autrefois et tels qu’ils sont aujourd’hui. »

En 280 pages et 57 petits chapitres, Julia Wertz nous montre et nous aide à voir ce que l’on ne regarde pas, les boutiques, les bars, les cinémas, les librairies, les entrées des stations de métro, les véhicules de ramassage des déchets ou de vente ambulante, etc.., les rares traces du New York du 19e siècle et du début du 20e. Elle nous présente quelques femmes qui ont eu leur période de célébrité, dont Nellie Bly qui a récemment fait l’objet d’un roman graphique au sujet de son reportage d’immersion dans un asile à la fin du 19e siècle. Et l’un de mes chapitres préférés : les inventions new-yorkaises, comme les chips et le papier toilette.

C’est une mine d’anecdotes, une belle collection de façades, un colossal travail graphique d’une grande précision. Une bible pour les amateurs de NYC, d’histoire, et d’architecture. Ça tombe bien, c’est mon cas.
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L'attente infinie

Tu vois les petits mickeys que tu dessinais sur tes feuilles de cours pendant que le prof de maths était super intéressant ? l'impression que ça durait des heures et que pour t'en sortir fallait te plonger dans un univers propre à tous les bahuts ?



C'est exactement c'que j'ai ressenti en lisant L'Attente Infinie. Julia Wertz est à la fois le genre d'héroïne qu'on retrouve dans Ghost World ou Daria. Dotée d'un cynisme hilarant, à vous fendre les côtes en quatre que multiplie 6 mais je suis toujours une quiche en maths donc démerde toi pour pécho la solution.



Elle raconte sans pathos, sans "regarde ma teuch et mon couteau comment on a trop fait de la merde". Non pas de ça ici, salut. Julia illustre avec un humour décapant tous les petits boulots (qu'elle a eu depuis qu'elle à l'âge de manger des céréales dans un vrai bol, genre six ans tu vois ?), la relation énorme avec son frère à te faire jalouser n'importe quelle osmose fraternelle jusqu'à sa maladie (Lupus) qu'elle contracte et qui aura un impact important sur sa carrière et ses petites cuites mémorables.



C'est une BD qui se lit en long et en large, un petit côté indé qui vous laissera pas de glace et qui fait du bien, un peu comme la première fois qu'on a découvert Ellen Page dans Super.



Si j'étais assez con pour mettre des notes aux bouquins que j'ai aimé, celui là aurait 67/20.



S'il t'en faut plus pour te convaincre va jeter un oeil dans n'importe quelle librairie indé qui saura super bien te conseiller.



Mouitch, mouitch.
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Les entrailles de New York

New York autrement.



Un coup de cœur pour ce roman graphique (282 pages !) qui nous entraine dans les entrailles de New York.



Découvrir ou redécouvrir New York sous le trait de Julia Wertz, c’est arpenter les rues et l’histoire d’une ville sans cesse en mouvements, ses façades, ses commerces, ses appartements, ses produits made in NY...L’illustratrice croque la grosse pomme avec une telle passion que la pierre et les rues s’animent.

Et si elle parle peu des habitants, on comprend ce que c’est que d’être new yorkais et d’aimer sa ville.



Ce roman graphique prend le contre pied des traditionnels parcours touristiques. Ça lui donne un petit coté rock n’roll savoureux.



Drôle , décalé et engagé.



Il se picore au gré de ses envies et de l’ambiance des dessins.



J’ai lu et vu beaucoup sur New York, je ne pensais pas me laisser surprendre ainsi.

Ce livre a une patine et un charme singulier.
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L'attente infinie

J'ai commencé cette BD mais je n'ai pas réussi à entrer dedans et j'ai fini par me lasser d'attendre qu'il se passe vraiment quelque chose. Du coup, j'ai abandonné ma lecture. Dommage...
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L'attente infinie

Julia Wertz retrace sa vie, de 1982 à 2012, à travers cette BD. De son enfance, ou petite fille elle s'inventait n'importe qu'elle travail pour gagner un peu d'argent (ramasser des balles de golfs dans la rivière et les revendre à sa mère, cueillir des prunes, faire des biscuits, garder des animaux, ...).

Mais elle parle surtout de sa découverte de la BD et de son envie d'en faire un métier. Des petits boulot dans la restauration qu'elle a eu pour pouvoir subsister et de son addiction à l'alcool. Et de la découverte de sa maladie.



C'est la couverture qui à attirer mon œil et je me suis laissée séduire. Mais une fois plonger dans la lecture de cette BD j'ai été déçue. Les scènes se suivent et s'étire en longueur et d'autres non. et paradoxalement, c'est celles les plus courtes dont j'aurai aimé plus de détails.

Et les personnes qui jalonne la vie de Julie sont tous dessiné pareil. La plupart des femmes ont la même tête et pareil pour les hommes.

J'ai lu le 1er long chapitre de la BD, le 2nd je l'ai survolé et lu le dernier qui est très court en comparaison des deux autres.

En un mot, une lecture décevante.
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Les Imbuvables ou comment j'ai arrêté de boire

Coup de cœur absolu pour cette BD de Julia Wertz ! J'avais déjà lu ses précédents opus où l'on pouvait découvrir son attrait pour la boisson, les blagues de prout et New York.



Elle nous offre ici son album le plus abouti, le plus sérieux aussi et le plus intime. L'autrice y aborde frontalement son alcoolisme et long chemin qu'il lui a fallu emprunter pour s'en relever.



Julia Wertz nous parle de ses affres, de ses doutes, de son retour à la vie à travers les relations sociales et amoureuses. Comment ne pas être touchée par son récit sincère, toujours légèrement décalé et en même temps libérateur ?



Elle est sélectionnée pour le festival d'Angoulême, et j'espère qu'elle repartira avec un prix car il est largement mérité !
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Les Imbuvables ou comment j'ai arrêté de boire

Elle remonte le fil des événements dans cette épaisse BD autobiographique, drôle et attachante, autour de sa lutte contre l’alcoolisme.
Lien : https://www.nouvelobs.com/bi..
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