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Citations de Julie Bradfer (198)


Il n’y a pas une part de moi qui ne t’appartient pas.
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Moi, tout ce que je sais avec certitude, c’est que l’idée qu’on la blesse me donne envie de hurler.
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Ma sœur adorait la pluie, murmuré-je, le ton enroué. Elle disait toujours que ça lui rappelait que rien ne durait jamais. Que les mauvais moments finissaient toujours par passer. Que si quelque chose ne nous plaisait pas, nous pouvions simplement tout effacer pour recommencer. Qu'aucun malheur n'était figé.
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Pour certains, dire en silence est tout ce que nous avons, tout ce que nous sommes en mesure de donner. Mais ce n’est pas parce que c’est en silence que ce n’est pas assez. Ce n’est pas parce que c’est en silence que c’est moins vrai. (Extrait des Remerciements)
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Une larme roule sur ma joue. Une larme pour tout ce temps perdu, pour tout ce temps gâché. Une larme pour tous ces mots que nous aurions dû nous dire mais que nous n’avons jamais réussi à formuler. Une larme pour ces deux adolescents qui n’existent plus et leur bonheur en partie retrouvé. Une larme pour toutes celles dans les yeux d’Alex pour ne pas oublier.
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« - Je t’aime. Je t’aime à en crever, Charlie. Tu me prives de mon cœur à chaque fois que tu t’en vas alors, s’il te plaît, dis-moi que c’était la dernière fois. »
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Il s'éloigna ensuite de moi et ajouta avec cet air canaille qui lui allait si bien :

- Dis, est-ce que tu crois que je pourrais être secrétaire de ton association ? Comme ça, je pourrais passer sous le bureau de la présidente pour obtenir une promotion canapé !

Sa remarque me fit exploser de rire.

- Tu pourras tenter ta chance, mais je te préviens, j'ai entendu dire qu'elle était très exigeante.

- Chouette, un défi, j'adore ça ! Me répondit-il.
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Parce que la mort inflige le genre de douleur dont on ne guérit pas.
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Je crois que c'est ça, le plus dur à vivre dans un deuil. Se retrouver continuellement confronté à d'infimes choses qui nous ramènent constamment à notre douleur. Et ne jamais le voir venir. Ne jamais pouvoir l'anticiper. Se faire submerger en une seconde à n'importe quel endroit, à n'importe quel moment. Être impuissant.
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La vérité, c'est que l'amour est aussi imparfait que l'humain. Mais ce n'est pas parce qu'il est imparfait qu'il ne peut pas être beau. Ce n'est pas parce qu'il est imparfait qu'il ne mérite pas qu'on le vive. Qu'il ne mérite pas qu'on essaie. Qu'il ne mérite pas qu'on se trompe.
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Nous restons longtemps assis l'un contre l'autre dans la nuit noire. Front contre front. Poitrine contre poitrine. Coeur contre coeur. Ame contre âme. Le garçon qui ne voulait plus aimer, et la fille qui ne s'aimait pas assez. Les deux côtés d'un même miroir peut-être enfin réparé.
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Parce que j'ai vu plus que ça derrière son masque. Parce qu'au-delà de son expression furieuse, j'ai deviné un gouffre qu'il m'est impossible d'ignorer, une peur qui fait écho à mon passé, une tristesse que j'ai déjà éprouvée.
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Parce que tu n'es pas bonne cuisinière. Parce que tu n'es pas mondaine. Parce que tu es dyslexique. Parce que tu es danseuse. Parce que tu es généreuse. Parce tu n'es pas féminine. Parce que tu es affreusement maladroite…
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- si tu veux danser alors, danse, Rose
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— Je ne veux pas te convaincre d’étudier la photo si ce n’est pas ce que tu souhaites, Ash. Mais ne… ne te dévalorise pas pour autant, OK ?

Le charbon se liquéfie dans ses yeux et il me paraît tellement vulnérable en cette seconde que je voudrais le garder contre moi pour toujours. Ému, il pose son front contre le mien, les paupières closes.

— Personne ne s’est jamais suffisamment intéressé à ce que je fais pour me dire ça avant toi. Je… Il faut juste que je m’y habitue, me souffle-t-il.

J’enlace le bas de son dos, le serrant davantage entre mes bras. L’ampleur de sa solitude me frappe encore une fois et je ne peux m’empêcher de ressentir un chagrin infini à cette pensée. Asher mérite tellement plus que ce que la vie semble lui avoir donné.

— Je compte te le répéter souvent alors prépare-toi.
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Qu’elle l’aime trop, lui et les autres, et qu’elle souffre si quelque chose venait à mal tourner. Je sais qu’inconsciemment, c’est pour cette raison que j’ai tenu Sasha éloignée de ma nouvelle vie aussi longtemps. Je veux la protéger. La protéger comme on ne m’a pas protégée. Et parfois je me dis que j’aurais souhaité que quelqu’un me prévienne lorsque j’étais plus jeune. Qu’on me prévienne de ne pas avoir le cœur aussi gros, aussi entier, aussi généreux.
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Et j’ai de moins en moins peur de le sentir me toucher, de le désirer, d’avoir envie de plus, de beaucoup plus le concernant. Et il m’a embrassée de nouveau ce matin. Après m’avoir proposé d’aller dîner chez son père ce soir, après que j’aie accepté, il m’a embrassée. Et j’aurais souhaité qu’il ne s’arrête jamais.
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Dans ces moments-là, il m’offre tout simplement ses bras. Il m’attire contre lui, je cale ma joue contre sa poitrine et je sens son souffle dans mes cheveux. Parfois, je pleure encore. Parfois c’est lui qui me serre plus fort parce qu’il souffre trop. Et je sais qu’il pense aux mêmes choses que moi, je sais qu’il se souvient de tout ce que nous avons perdu. Souvent, je finis par m’endormir contre lui pour me réveiller seule dans mon lit le lendemain matin. Souvent, il me manque dès que j’ouvre les yeux. Trop souvent, même.
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Cette même colère hurle et hurle encore dans mon crâne. Une colère sourde, froide et tranchante. Celle qui m’a toujours rendu muet, celle que je n’ai jamais réussi à exprimer autrement que par la violence, celle que je retourne contre les autres alors qu’elle n’est destinée qu’à moi.
Je me déteste. D’avoir commis encore et toujours la même erreur, d’avoir accordé ma confiance à des personnes qui se sont empressées de me trahir, d’avoir laissé la plus belle part de mon âme derrière moi sans réfléchir.
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Lorsque sa bouche s’écrase sur la mienne, quelque chose se rompt dans ma poitrine. Le craquement est si violent que je gémis sans parvenir à me contrôler. Un flot d’émotions me submerge et je devine que le mur vient de tomber. Chacune de mes défenses, le peu de barrières que j’étais parvenue à ériger entre mon cœur et le monde, tout vient de s’effondrer. Je me sens de nouveau libre pour la première fois depuis sept ans.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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