Julie Klassen

C'est une lecture agréable et plein de mystères, quand Abby décide de vivre dans la vieille demeure de Pembrooke  : de drôles de bruits , la nuit, sont inquiétant, à cela s'ajoute des rumeurs dont on ne veut pas lui faire part, elle va donc mener son enquête, mais cela en devant respecter les règles de bienséance d'une jeune femme de cette époque, peu à peu (trop lentement à mon goût), tout les mystères vont être lever, avec de la romance, en plus.

Ce roman aurait pu (dû ?) s'intituler le trésor de Pembrooke park car finalement les 700 pages de cette histoire tournent autour de ce fameux trésor, de son existence et de sa nature.

Je me demande juste si l'indépendance dont jouit l'héroïne n'est pas irréaliste dans le contexte de ce début de XIXe siècle, certes elle a le souci de la bienséance et du convenable mais elle est quand même drôlement moderne mais peu importe ce possible anachronisme. L'histoire plaisante m'a tenue en haleine. Pour ma part, contrairement à d'autres, je ne me suis pas ennuyée une seconde. J'ai fait fi des références récurrentes à la volonté de Dieu, l'un des protagonistes étant vicaire, elles sont assez logiques. En outre, Julie Klassen, étant éditée par Bethany House publishers, un éditeur de livres chrétiens., il y a forcément une part de prosélytisme dans ce roman.

Une famille déchue suite à un mauvais placement, obligée de vendre sa jolie maison londonienne, avec meubles, vaisselles, draps etc...Obligée de se séparer des domestiques, avant de trouver refuge dans un manoir situé à la campagne dans des conditions mystérieuses...

En effet, le domaine ne leur sera prêté que pour une période en échange de l'entretien . On peut se dire qu'il y a un piége .... Ce manoir appartient à de lointains cousins, il n'a pas été habité depuis plusieurs décennies, on murmure qu'il s'y serait déroulé un drame et qu'il cacherait un trésor... Quoi de plus pour enflammer l'imagination de la pourtant, pragmatique Abigaël, qui y séjournera seule dans un premier temps, son père étant retenu à Londres pour ses affaires ainsi que sa mère et sa soeur pour la Saison de cette dernière dont on espère vu sa beauté qu'elle fera un mariage avantageux.

La lectrice aura un peu l'impression qu'Abigaël est une nouvelle Cendrillon, qui se dévoue pour sa famille, laquelle la délaisse sans culpabilité apparente, Abigaël devant se "taper tout le boulot", à savoir tout gérer, installer, aider au ménage, se gardant la chambre la plus moche (mais avec la splendide maison de poupée !) .

Cet aspect-là manque un peu de nuances, et ces dames arrivent tard dans l'histoire. Sa soeur n'est pas la personne la plus généreuse qui soit et ses parents donnent l'impression d'être sans consistance et incapable de décider quoi que ce soit de sérieux . Abigaël est un peu présentée comme une héroine à la Fanny de Jane Austen dans Mansfield Park, tant elle est pragmatique, gentille, bonne et qu'elle s'oublie un peu au bénéfice des autres. Il faut dire aussi que la religion est très présente dans cette histoire par le biais d'un pasteur, et que du coup, il y a des sermons et prêches restranscris sur (bien), dix lignes, (souvent.).... Mais du coup, la lectrice est vraiment plongée dans ce qu'était la société au 19ième siècle .

Mis à part quelques libertés avec la solitude du personnage féminin, sensé être de bonne famille, et étant complétement livrée à elle-même ( avec l'aide des domestiques quand même !) , mais sans chaperon... Cette aspect-là m'a étonné, il me semble qu'au 19° siècle une jeune fille de bonne famille ne faisait pas un pas dehors sans une présence qui surveillait, rassurait, et était surtout garante de bonne moralité... Abigaël est assez libre, je trouve.



Mais dans l'ensemble, j'ai été heureusement surprise , il faut dire que je ne m'attendais pas à grand-chose.

Tout d'abord par la qualité des descriptions et leur abondance.

On est vraiment plongé en 1817, et l'autrice décrit très bien le manoir, les environs.

Mais la cerise sur le gateau, c'est l'aspect mystérieux de l'histoire. On a une silhouette effrayante avec une capuche qui rôde , de mystérieuses lettres qui ne sont que des extraits de journaux et qui petit à petit raconte le drame qu' a connu cette maison, un cousin qui s'invite et qui ne part plus , tout occupé à chercher le trésor , une maison de poupée qui par instant peut paraître effrayante, et puis la mystérieuse pièce cachée...

Bref, tout est mis en oeuvre pour nous faire tourner les 572 pages avec rapidité. J'ai bien aimé

Un trésor bien caché !



L'histoire se déroule en 1818 en Angleterre.



Abigail est une jeune fille de 23 ans. Elle se sent responsable de l'investissement réalisé par son père dans la banque de l'oncle Vincent, qu'elle a conseillé, et qui a ruiné sa famille…



Alors que la famille doit vendre leur demeure "GrosVEnor Square" à Londres, Abigail renonce aux sorties mondaines au profit de sa sœur Louisa (19 ans) et part avec son père à Pembrooke Park : un château qu'un notaire leur propose comme résidence pendant un an ; le château appartenait à un oncle éloigné et a été abandonné pendant 18 ans. La dernière famille est partie précipitamment comme en témoigne la table encore dressée pour le thé…



Pendant qu'elle rencontre ses voisins (un jeune pasteur et sa famille) et les employés mis à son servie, entre sorties, diners et bals, Abigail reçoit des lettres anonymes la prévenant de menaces pesant sur elle auxquelles sont jointes des pages d'un journal intime…



Abigail mène l'enquête et va découvrir des secrets de famille et peut-être un trésor et une pièce secrète !



Avec un style et des évènements proches de ceux de Jane Austen, la campagne anglaise, sa rigueur et ses traditions, et proche du style gothique, ce roman est long, très long.

Ce livre mélange un peu tous les genres et je me suis sentie perdue dans ce déluges d'informations : un vieux manoir, un fantôme, un beau pasteur séduisant, des voisins charmants, des lettres, des extraits de journaux intimes, la descriptions des toilettes, des dîners, des incendies, en plus de la recherche du trésor…



Je n'ai ressenti aucune sympathie pour l'héroïne, qui m'a paru assez fade, ni pour les autres personnages, trop énigmatiques.



Malgré quelques intrigues, un secret bien caché, l'histoire se perd dans de trop nombreux personnages… (un conseil, notez-les pour une meilleure compréhension !)

De plus, je n'ai pas été séduite par le style de l'auteur... Centrée sur les descriptions plus que les émotions.

Les changements de points de vue ont nuit à ma lecture : dans un même chapitre ,soit c''est Abigail soit c' est autre personnage qui décrit les événements...

Une lecture fastidieuse au final, et le roman aurait gagné à être plus court.

C'est une très bonne lecture. J'ai franchement été agréablement surprise par ce livre. Je le classerais presque plus comme un genre de policier que comme une romance historique.

J'ai beaucoup aimé l'ambiance un peu mystérieuse et suivre Abby dans son enquête sur le secret que renfermait le manoir de Pembrooke Park.

"Le Secret de Pembrooke Park" de Julie Klassen est un immense coup de cœur ! Ce roman historique et dramatique plonge le lecteur en 1817, au cœur d'un manoir abandonné rempli de secrets. Porté par une héroïne courageuse et intelligente, le lecteur mène l'enquête, entre indices, lettres anonymes et plans d'architecte. Très vite, nous devenons accro à notre lecture, bien décidés à percer tous les secrets de cette étrange et effrayante bâtisse vide ! Bien entendu, que serait un roman historique sans intrigue amoureuse ? Abigail devra lutter contre ses sentiments envers le pasteur Chapman, refoulant sa jalousie pour sa sœur qui attire tous les regards, bien qu'au final, l'amour aussi bien que la résolution des secrets, seront au rendez-vous. La fin répond alors à toutes nos questions, même si les réponses ne sont pas forcément à la hauteur de nos espérances... Quoi qu'il en soit, ce chef-d'œuvre donne envie de dévorer d'autres romans de cette grande auteure !

Avec son petit côté ambiance victorienne et le mélange spooky avec un vieux manoir dont tous les habitants auraient soudainement disparus, c'était une romance historique au top.



J'ai passé un super moment à Pembrooke Park en compagnie d'Abigail et de son charmant vicaire.

Ensemble, ils tentent de percer le mystère de la pièce secrète et son trésor caché. Sauf que ce n'est pas pour les mêmes raisons...



Vraiment, ca se lit tout seul. C'est une lecture de qualité à découvrir.
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Ce livre est un régal si, comme moi, vous aimez les romans historiques, les enquêtes, les mystères et les romances ! J’ai vraiment adoré cette lecture et l’ambiance mystérieuse autour de ce manoir anglais. Les personnages sont attachants et l’histoire d’amour est crédible, rien n’est précipité. C’est une romance historique très captivante, avec pas mal de rebondissements et une enquête qui tient en haleine jusqu’au bout !



Est-ce qu’une visite à Pembrooke Park vous tente ? 🗝
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𝑨𝒉𝒍𝒂𝒍𝒂 🥰



🦦🦦🦦



Après un investissement hasardeux, les Foster doivent vendre leur magnifique maison pour plus de sobriété. Mais le hasard fait bien les choses (haha), Pembrook Park leur ouvre les bras avec pour une obligation : remettre le lieu en état.

Abigail y va, sa mère et sa sœur cherche un mari à cette dernière. Le père patauge dans les papiers

Abigail profite d’être seule et elle-même, le rêve ! Mais le manoir a sale réputation, il est nécessaire de faire attention. À qui ? A quoi ?



🦦🦦🦦



J’ai été prise de sentiments bienveillants envers Abigail qui a une place, sans l’avoir, qui s’en veut. Surtout qui a besoin de vivre après avoir été enfermée dans un carcan d’obligations avec une sœur étouffante prenant trop de place



Dieu merci, elle va saisir l'occasion qu'est Pembrook Park! Les bruits, le soir, dans son lit, lui font un peu peur… Qui va là ?!



L'évolution d’Abi est LE point qui m’a fait plaisir, bien que doux Jésus j’ai eu envie de la secouer !

Elle reconnaitre sa valeur ? Parlez-en à un sourd et montrez-le à un aveugle, ca fera le même effet.

Au moins, elle ne se morfond pas



Cette sœur, pitié, 🤛 la pour moi. Mes poils se sont hérissés dès que son nom arrivait ! Elle est d’un insupportable et Abi le devenait aussi, double peine ! Encore, j’ai été bien surprise par la fin !



L’intrigue, bien ficelée, détient quelques longueurs dues, selon moi, au côté historique de l’histoire. Eh oui, c’est souvent mon point négatif dans ce style littéraire



Mais, j'ai retrouvé LE TRUC EN PLUS 🥳. La pudeur !

Dans les romances historiques, vous aurez quand-même rarement des sentiments dévoilés à la 3e page, des jeux de chats et souris physiques, ...🤮



J’aime les sentiments internes qu’on découvre par et pour le personnage. Adieu les ressentis pourris où on compare l’amour à je-ne-sais-quoi en mode t’as 12 ans et l’autre c’est la personne de ta vie.



Laissons aux petits actes les grands retentissements. 💝



Le respect de l’autre était d’une agréable justesse ! Mais parfois, parler et dire ce qu’on a sur le cœur éviterait des quiproquos



🦦🦦🦦



D’une douceur à réchauffer les cœurs, cette romance fera fondre les plus durs d’entre vous, même moi ! 🤭🖤
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Si vous avez aimé l’époque de la Chronique des Bridgerton et que vous aimez les mystères et les secrets alors ce livre est fait pour vous.



Nous rencontrons Abigail Foster et sa famille qui se retrouvent dans une situation financière délicate : ils sont ruinés suite à un mauvais placement. Un jour un notaire leur propose d’emménager dans un manoir Pembrooke Park abandonné depuis 18 ans. Abigail et son père s’y rendent et découvrent une véritable ruine dont les précédents propriétaires sont partis dans la précipitation. Elle va se lier d’amitié avec ses nouveaux voisins dont William Chapman. Ces voisins vont lui faire sous-entendre qu’un trésor serait caché dans la demeure…. Abigail va se mettre dans une chasse au trésor entourée de mystères.



Je ne sais pas par où commencer si ce n’est que cette lecture m’a énormément plu. Ca a été une lecture très agréable, qui m’a fait découvrir un manoir magnifique dans l’Angleterre du XIXe siècle.



Déjà le personnage d’Abigail m’a séduite :intelligente, gentille, curieuse et prête à tout pour les autres même si le fait qu’elle s’efface devant certains autres personnages m’a un peu rebuté. Elle va de fil en aiguille mener sa propre petite enquête, dévoilant au fur et à mesure le secret de ce fameux manoir. Avec William, elle va former un duo d’explorateur qui sort de l’ordinaire. William est dépeint comme le gendre parfait puisqu’il a tout pour lui : beau, un poil taquin, mystérieux et va la soutenir dans cette quête.



L’ambiance créée par l’auteure est juste magnifique. On se retrouve à se promener aux côtés d’Abigail au bord de la rivière, dans le parc du manoir, à boire du thé et à écouter les ragots de l’époque.



Tous les personnages ont leurs secrets et sont tous plus ou moins attachants et chacun va avoir un rôle dans l’histoire. L’histoire des personnages secondaires aient un impact dans l’histoire est hyper intéressant et nous donne vraiment envie de les découvrir plus en profondeur dans la lecture.



Le fait que toute l’intrigue tourne sur le secret du manoir est très bien ficelée et on a qu’une hâte : découvrir ce trésor qui attise la convoitise de bien des curieux. J’ai adoré le fait que le mystère se révèle vraiment au fur et à mesure. Jusqu’à la révélation, je n’ai vraiment eu aucune idée de ce dont il s’agissait. On se met à penser avec Abigail, à avoir peur avec elle des fantômes et des bruits étranges du manoir et même des tentatives d’intimidation, attention !



L’auteure a su avec brio doser la romance et le mystère. J’ai autant été captivée par la romance entre Abigail et ses prétendants que par la chasse au trésor. M’attendant à une romance, je ne pensais pas être plus captivée par le trésor mais attention, cela a fait tout le charme du livre. La romance passe même au second plan étant plus « soft » que le reste de l’histoire. La romance entre les protagonistes va s’avérer être pudique et sobre sans trop de détails. Elle va être épurée mais attention il y a quand même des évènements qui vont la rendre « compliquer ».



J’ai donc été totalement conquise par cette intrigue qui mêle secrets et mystères autour d’un vieux manoir et d’histoire de famille. Lors de cette lecture il m’a été impossible de lâcher mon livre tant que je ne saurai pas quel est ce fameux trésor.
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La famille Foster a fait un mauvais investissement et se voit contrainte de réduire son train de vie, et surtout de vendre leur résidence londonienne. A leur grande surprise, ils vont recevoir une proposition de location, faite via Me Arbeau, pour le compte de l'exécuteur testamentaire de Pembrooke Park, dont Mr Foster est un parent éloigné. Cette demeure est fermée depuis 20 ans et l'exécuteur testamentaire fixe quelques conditions, telles que la remise en état du manoir, sans le vider de ses meubles et de son agencement.



Les Foster vont accepter, voyant là l'occasion d'avoir une demeure correspondant à leur rang social, à prix raisonnable. Lorsque Abigail, fille aînée de la famille et Mr Foster arrive au manoir, ils sont froidement accueillis par Mac Chapman, ancien régisseur du domaine. A l'ouverture du manoir, ils vont le trouver dans l'état où les derniers occupants l'ont laissé, comme abandonné dans l'urgence. Les rumeurs vont bon train et notamment celle d'un trésor, qui ont attirés bon nombre de chasseurs.



Ce roman m'a happée, je l'ai lu pendant mes vacances, sur la plage et c'était un vrai régal. L'autrice sait nous distiller ses indices pour comprendre le mystère de Pembrooke Park, tout en nous induisant en erreur. A plusieurs reprises je pensais avoir percé l'un des mystères, mais les indices suivants me faisaient changer d'avis. J'ai été tenue en haleine jusqu'au bout. Nous sommes dans un roman historique, avec sa part de romance, mais surtout sa part de suspense que j'ai particulièrement appréciée. Cette chasse au trésor va nous amener à nous poser des questions sur chaque personne, est-il vraiment celui que l'autrice nous décrit, ou a t-il une part d'ombre? Bref, c'est un joli coup de coeur.
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Avec une si belle couverture et avec de tels arguments, Le Secret de Pembrooke Park n’a pas mis longtemps à me convaincre de plonger au cœur de ce périple historique digne des plus grands classiques anglais. Sans pour autant les égaler – chose à quoi je m’attendais – j’ai passé un très bon moment en compagnie d’Abigail et je suis content d’avoir découvert la plume de Julie Klassen.



J’ai beaucoup aimé le style simple mais totalement authentique de cette dernière. Celle-ci parvient avec brio à retranscrire l’ambiance si particulière des romans de l’époque et j’ai vraiment pris plaisir à suivre son intrigante histoire de famille aux lourds et sombres secrets. Étant l’élément essentiel de ce roman j’ai eu peur de lire quelque chose de déjà-vu et étonnement ce ne fut pas le cas. L’auteure est parvenue à me surprendre tout au long de ma lecture et bien que certaines révélations m’ont semblé assez extravagantes, je ne les ai pas trouvées improbables pourtant et j’ai finalement trouvé le résultat assez audacieux et réussi. Mieux encore entre découvertes et révélations, Julia Klassen n’hésite pas à casser le rythme de son récit avec de belles ballades champêtres et autres grandioses bals masqués. De quoi ravir l’amateur que je suis de cette période historique. Par ailleurs, j’ai apprécié que les paysages chaleureux et campagnards dévoilés s’opposent totalement avec la noirceur des ragots et autres rumeurs qui circulent au sein de cette charmante bourgade. Ainsi et avec facilité, l’auteure bat le chaud et le froid et offre une œuvre aussi charmante qu’intrigante. J’aurais juste apprécié une touche de noirceur un peu plus importante à défaut d’une romance parfois un peu trop envahissante. Sans pour autant ne pas l’avoir aimée – au contraire – cette dernière m’a paru parfois assez malvenue. Pour autant et comme je le disais, la patte romantique de l’auteure n’est pas exécrable et se déguste fort assez bien. De plus, le romantisme se dévoile essentiellement bien dosé et nuancé mis à part certaines relations qui m’ont parfois semblé ne pas correspondre au caractère que je m’étais fait de notre héroïne Abigail.



En effet, j’ai fait la connaissance d’une jeune femme responsable et mature, presque en avance sur son temps et certains passages romantiques l’ont quelque peu défavorisé de par sa niaiserie et sa gaucherie. Excepté ses petits défauts, j’ai adoré suivre cette enquête en compagnie de ce personnage touchant et attachant. Dès les premiers chapitres, j’ai vraiment été charmé par sa grandeur d’âme et son altruisme. Cette dernière n’hésite pas à assumer ses erreurs et s’effacer lorsque l’attention ne repose pas sur elle. Cette quasi timidité s’efface autant que s’accroît son émancipation ce qui lui offre une évolution appréciable et fulgurante. Seule dans ce nouveau domaine, Abigail fera la connaissance de son nouveau voisinage et se rendra très vite compte que la venue de sa famille n’est pas vue d’un très bon oeil dans cette paisible campagne. Mais peu importe, notre héroïne parviendra à charmer quiconque se mettra sur son passage, à commencer par William notre jeune vicaire. J’ai tout autant aimé ce personnage dont le caractère se rapproche parfaitement de celui de notre nouvelle habitante. Ainsi, nos deux jeunes enquêteurs formeront un très joli duo à l’attirance certaine mais à l’avenir incertain. Bien entendu et histoire de famille oblige, beaucoup d’autres personnages entrent en action dans ce joli pavé et alors que certains m’ont paru finalement assez inutiles comme la soeur d’Abigail – que j’ai que trop peu apprécié – par exemple, d’autres sont parvenus me séduire de part leurs mystères et leurs complexités. C’est le cas de la figure paternelle ainsi que de sa fille ainée, Leah du clan Chapman auquel appartient aussi William. Très vite je me suis douté que leur importante n’était pas une simple coïncidence mais je ne m’attendais pas à autant de révélations.



Ainsi, Le Secret de Pembrooke Park a su tenir ses promesses et m’a facilement convaincu de par ses intrigues familiales et ses noirs secrets, son rythme fluide et efficace ainsi que par son héroïne attachante et charmante. Cependant, je regrette quelques longueurs et niaiseries concernant la romance de ce récit qui auraient gagnées à être remplacer par plus de noirceur. Peu importe, je suis certain de continuer ma découverte des œuvres de Julie Klassen.
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Ah je suis déçue, peut-être l'éditeur avait-il fixé la barre trop haute en comparant le roman à un mélange entre Jane Austen et Charlotte Brontë? J'ai dû me forcer à lire le livre jusqu'à la fin car je tenais quand même à connaître ce fameux secret de Pembroke Park, mais quelle déception. L'histoire est plate, les dialogues sont, la plupart du temps, inintéressants et certains personnages sont si simplistes que je les ai juste trouvés agaçants. Cette intrigue me fait penser à un scénario de film romantique de série B qui passe à la télévision le dimanche après-midi...

J'ai découvert cet auteur grâce à un groupe de lecture.

Cette romance historique est une belle découverte.

Abigail déménage dans un manoir qui est fermé depuis 18 ans.

Elle trouvera celui ci magnifique mais ... celui ci est rempli de secrets et de choses dont on ne parle plus ou du moins on évite le sujet.

L'auteur nous emmène dans sa romance historique, l'écriture est fluide j'ai passé un bon moment lecture.

Livre où j'ai autant aimé l'intrigue liée au manoir que l'intrigue amoureuse. L'auteure nous emporte au 19 ème siècle avec de belles descriptions. Malgré quelques longueurs en milieu de roman, je ne m'attendais pas du tout à ces dénouement. C'était la première fois que je lisais une romance historique de ce genre. Ce livre m'a donné envie d'en lire d'autres.

Très gros coup de cœur pour ce roman.

Je me suis attachée à tous les personnages, je ne souhaitais plus les quitter ! Je me sentais à Pembrooke Park :-)

Tout y était : l’intrigue, le suspense, la romance, ancrés dans une histoire mais aussi l’Histoire avec un grand H.

Il y a des romans comme ça qui créent une osmose, sans qu’on ne se l’explique.

Je ne regrette pas du tout mon choix de lecture et vous le conseille vivement.

La famille d’Abigail est ruinée à cause d’un mauvais placement. Charles Foster, le père, envisage de vendre sa maison de Londres. Un jour, un notaire se présente chez les Foster et leur propose une propriété : Pembrooke Park. Les héritiers de cette maison souhaitent qu’elle soit de nouveau habitée, alors qu’elle est fermée depuis une vingtaine d’années. Charles Foster et Abigail acceptent la proposition : les travaux et les domestiques seront payés par les propriétaires de la maison. Rapidement Abigail comprend que si le lieu est enchanteur, il n’en renferme pas moins un terrible secret…



L’avis de Lauralie, 14 ans : J’ai apprécié la lecture de cette romance historique à l’intrigue captivante. Le récit est bien mené et nous plonge dans l’atmosphère mystérieuse et un peu surannée de l’Angleterre du XIXe siècle. La plume de l’auteure, dynamique et soignée, maintient le suspense jusqu’à la fin du livre pour découvrir ce qui se dissimule derrière le trésor et son secret… Néanmoins, je pense que les personnages manquent d’envergure dans leurs réflexions souvent trop prévisibles et codifiées. Une lecture agréable.



L’avis de la rédaction : Ce roman historique, qui fait des clins d’œil aux œuvres de Jane Austen ou aux romans gothiques du XVIIIe siècle, m’a tenu en haleine

jusqu’à la révélation du secret de Pembrooke Park. Le manoir lui-même semble être le personnage principal du roman tant l’auteure le rend visible aux yeux du lecteur.

Malheureusement j'ai eu du mal à terminer ce livre tant cela manquait d'action. Le mystère du début m'avait beaucoup plu mais plus j'avançais dans les pages, moins l'intrigue me semblait présente. C'est comme si l'auteur avait abandonné l'histoire en chemin, c'est bien dommage. On devine parfois trop facilement la suite des événements, on finit vite par s'ennuyer. Je m'attendais à mieux, et je termine donc sur une note de déception, ce que je craignais déjà depuis la moitié du livre.

...



Aucun jeu de séduction entre les personnages principaux, pour une romance historique, c’est plat et fade.
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Une belle lecture d’été où se mêle riche famille anglaise, romance et secrets.



Un manoir inhabité depuis des années devient le refuge d’une jeune femme qui va y rencontrer des amis ainsi que des mystères qui entourent cette vieille demeure.



J’aime beaucoup les romans écrits sur cette époque-là et cette petite touche de mystère m’a bien plu. Même s’il ne s’agit pas d’un roman avec des intrigues et des rebondissements incroyables, j’ai beaucoup apprécié les recherches de l’héroïne afin de percer tous ces mystères.

J’ai apprécié également que l’auteure n’ai pas fait prendre le dessus à la romance. Ça n’a pas tourné au roman à l’eau de rose, il y avait juste ce qu’il fallait, c’était parfais.



J’ai pris un vrai plaisir à la lecture de ce livre.