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Critiques de Kate Morton (789)
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La prisonnière du temps

alors là, je crois n'avoir jamais autant peiné à lire un livre.

2 femmes, 2 ambiances. l'une Elodie est archiviste à Londres, l'autre, Lily ne semble être plus qu'un esprit. On va découvrir sa vie, pourquoi a t elle pris le nom d'une autre..

Elodie, quant à elle fait une découverte qui va la pousser à savoir comment sa mère est décédée et pourquoi ce lien avec Lily..

a aucun moment, je n'ai plongé dans l'histoire. j'ai trouvé ça confus, pénible à lire, aucun plaisir. j'ai réussi à le terminé mais ce fut presque un supplice.

mais comme je suis tenace, je tenterai à nouveau cette autrice.
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Le Jardin des Secrets



En 2005, Cassandra perd sa grand-mère Nell. Elle découvre que celle-ci à découvert que ses parents n'étaient pas ses parents biologiques et qu'elle avait commencé des recherches pour trouver sa famille biologique. Cassandra décide de finir cette quête en l'honneur de sa grand-mère. On va remonter jusqu'en 1905, en Angleterre, dans le domaine de Blackhurst et on va également faire un arrêt en 1975 et découvrir les premières recherches de Nell.



Quel roman!! Je ne sais pas encore si c'était un coup de cœur mais c'était vraiment une excellente lecture et je comprends toutes les personnes qui m'ont conseillé de lire ce roman en premier! Il y a tout! Des secrets, des aventures, de l'envie, de la jalousie, des coups bas... Je ne me suis jamais ennuyée une seule minute. Les chapitres sont assez courts et comme il y a plusieurs temporalités la lecture est fluide et dynamique. Plus les pages défilent et plus il y a une sorte de pression. J'ai deviné certains détails mais l'histoire est vraiment bien faite et ficelée !

Kate Morton a vraiment un don pour les histoires et pour peindre des personnages hauts en couleur et extrêmement bien travaillés psychologiquement.

Plusieurs thèmes sont abordés, la transmission et la quête d'identité mais aussi la maladie, la grossesse, l'envie, la jalousie, la méchanceté et l'amour pur...



Si tu aimes les secrets de famille et les différentes temporalités fonces!!! Tu vas adorer!



Quel roman me conseilles-tu de cette auteure maintenant ?!

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Les ombres d'Adelaide Hills

Encore une merveilleuse histoire comme seule Kate Morton a le secret.

Ses drames familiaux, construits toujours sur le même schéma : trois générations de femmes, passés et présents ainsi que les différents points de vue savamment entrelacés, mystères, histoires dans l’histoire, tiennent du pur génie.

La plume est toujours aussi agréable, le suspens dévorant, et j’ai tout particulièrement apprécié ici l’insertion du « roman » de Daniel Miller.

J’avais deviné dés le départ une partie du dénouement bien sûr, mais pas tout en détail et j’ai quand même réussi à être surprise en fin de compte.

Le talent de conteuse de l’autrice n’a plus rien à prouver. En fan inconditionnelle, j’ai lu tous ses romans et je continuerai à le faire.

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Les ombres d'Adelaide Hills

Le nouveau roman de l’autrice est la parution que j’attendais avec le plus d’impatience depuis le début de mon aventure de Lectrice Charleston. En reprenant la plume, Kate Morton nous plonge au cœur d’une fresque familiale dont elle seule a le secret. Grâce à une double temporalité utilisée à bon escient et à une plume exceptionnelle, j’ai ressenti l’angoisse et les tensions autour de la sordide affaire de 1959 ainsi que les appréhensions de Jess.



Maître dans l’art de la description, Kate Morton nous transporte sur un autre continent ainsi qu’au cœur d’une autre époque. J’ai été séduite par cette ambiance et les paysages d’Australie du Sud mais également fascinée par le mystère entourant le crime de la famille Turner. L’autrice nous ouvre les portes d’une demeure recelant de sombres secrets et où les murs ont en mémoire les souvenirs d’une famille entière.



Vous l’aurez compris, j’ai savouré cette lecture tant dépaysante que fascinante. J'étais ravie de retrouver la plume de cette autrice que j'apprécie énormément et qui sait toujours faire vibrer mon âme. J’ai également fait la rencontre de magnifiques personnes dont les secrets ont façonné les différentes facettes de leur personnalité. À leurs côtés, j’ai ressenti la chaleur, les tensions et le poids des non-dits.
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Les ombres d'Adelaide Hills

Un récit bien rythmé. Des personnages auxquels on s’attache et que l’on apprend à mieux connaître au fil des pages, dans toutes leurs nuances et leur complexité. J’ai énormément aimé cette lecture qui m’a tenu jusqu’au bout. Mais c’est véritablement entre les pages 500 et jusqu’à la fin que j’ai été happée par l’histoire et agréablement surprise par sa construction. Beaucoup de descriptions, ce qui rend le récit un peu long parfois, mais cela nous permet de vraiment nous immerger dans l’ambiance passée comme présente. Donc ça n’est vraiment pas dérangeant. J’ai beaucoup aimé ce mélange entre enquête et histoire familiale que l’on découvert au fil des pages. Et cela m’a donné envie de lire d’autres livres de l’autrice !
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Les ombres d'Adelaide Hills

Merci à Kube et aux éditions Charleston pour cette très chouette lecture commune, j'ai passé un super moment de lecture ! Je ne connaissais pas du tout cette autrice avant d'entamer ce livre, et j'ai été plutôt charmée par ce gros roman de 700 pages qui cache bien des surprises.



En 2018, Jessica Turner, journaliste à Londres, reçoit un appel de Sydney pour l'informer que sa grand-mère, Nora, est à l'hôpital. La jeune femme se rend à son chevet et replonge bien malgré elle dans une histoire de famille complexe dont elle ignorait tout, alors que sa grand-mère, délirante, lui parle d'Empyrée. En 1959, Isabel Turner et ses enfants sont retrouvés morts, endormis, à côté du lac de la demeure familiale, Empyrée, tandis que Théa, le bébé de la famille, a disparu. La curiosité piquée au vif et persuadée que cette histoire a un rapport avec l'état de sa grand-mère, Jessica décide d'enquêter, quitte à déterrer des secrets qui auraient mieux fait de rester enfouis.



Le roman est un thriller historique et familial. L'histoire se passe sur plusieurs époques, en 1959, en 2018, et au travers d'un roman dans le roman, qui permet d'éclairer les événements de 1959 sous un autre angle. Nous suivons principalement Jess, la journaliste et petit-fille de Nora, dont les réflexions vont lancer cette grande enquête qui va nous mener dans le passé complexe de la famille Turner et de ses descendants.



En apparence, l'intrigue principale est réglée assez vite : on sait au bout d'un tiers du livre comment est morte la famille Turner (ou le sait-on vraiment ?). Cependant, grande méfiance, puisqu'on découvre assez vite qu'il y a bien plus dans cette histoire qu'il n'y paraît, notamment autour de tout ce qui est arrivé à Théa Turner, le bébé, mystérieusement enlevé après la mort de sa mère et de sa fratrie, et dont la question reste en suspens jusqu'à la toute fin du roman, malgré les nombreuses théories qui peuvent se former dans l'esprit des lecteurs au fur et à mesure de la lecture. Kate Morton nous mène en vérité en bateau du début à la fin de l'intrigue, avec de nombreuses révélations tout au long de l'histoire qui viennent remettre en question tout ce qu'on a lu avant à chaque fois, et notamment la parole des différents personnages que l'on va croiser au fur et à mesure de l'intrigue.



Les personnages, par ailleurs, sont très attachants. Jessica peut parfois paraître un peu passive, surtout sur le dernier tiers du roman. C'est en vérité parce que ce n'est pas vraiment son histoire, malgré ce que laisse penser le début de l'intrigue. C'est avant tout l'histoire de Nora Turner-Bridges, sa grand-mère, celle de Polly, sa mère dont elle n'est plus proche depuis des années, celle de la mort de leurs ancêtres. Vous l'aurez donc compris, c'est aussi un roman où les femmes sont au cœur de l'intrigue, des femmes seules, parfois s'en complaisant, parfois malheureuses, et qui cachent de lourds, lourds secrets qui vont se répercuter sur toute la descendance des Turner, et donc, par filiation, sur Jessica.



J'ai beaucoup aimé l'histoire, qui tourne autour de plusieurs grands thèmes récurrents, notamment la solitude, l'abandon et cette obsession des enfants qui devient peu à peu morbide. J'ai aussi beaucoup aimé que l'histoire, en apparence simple, se complexifie petit à petit, devenant de plus en plus sombre avec des zones d'ombre qui apparaissent et sont éclaircies petit à petit au fur et à mesure de l'intrigue. Même s'il y a quelques longueurs dans les deux premiers tiers de l'histoire (et quelques petites inconsistances dans la traduction), le dernier donne tout son sens à l'histoire et est impossible à lâcher : on veut savoir et comprendre. J'avais deviné certaines choses, mais d'autres ont été une véritable surprise, limite un tremblement de terre tellement on devient investi avec ce roman à mesure que les pages défilent.



C'est une belle découverte, j'ai passé un très agréable moment de lecture, et je le recommande à tous ceux qui recherchent un texte aux personnages forts, qui aiment les mystères et les secrets de famille !



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Les ombres d'Adelaide Hills

Lorsque Jess rentre en Australie au chevet de sa grand-mère souffrante, elle est loin de s’imaginer que sa famille a été au coeur d’un drame particulièrement choquant plusieurs années auparavant.



Bouleversée, elle va alors tenter de percer les mystères autour de ce drame que tout le monde semble lui avoir caché et c’est à travers un roman écrit 60 ans auparavant, juste après le drame, qu’elle va peu à peu lever le voile sur ces meurtres incompréhensibles.



Entre secrets de famille, révélations et rebondissements, j’ai adoré suivre cette intrigue haletante aux couleurs de l’Australie.



Un récit très bien construit dans lequel les membres de cette famille sont complexes et révèlent au fil des pages leurs secrets les plus sombres. Il ne s’agit pas là d’une enquête sanglante et angoissante mais d’un drame familial que l’on veut absolument résoudre et comprendre.



L’autrice a su trouver le parfait équilibre entre enquête et histoire familiale.



La plume est fluide, immersive et addictive : J’ai adoré !



Un thriller terriblement intrigant qui maintient le lecteur en haleine jusqu’au dénouement. Coup de cœur !
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Les ombres d'Adelaide Hills

En Australie méridionale existe un domaine aux lourds secrets, Adélaïde Hills. Au milieu de son parc luxuriant, de sa demeure aux multiples pièces, au bord du lac, sous les arbres, toute une famille s’est endormie pour toujours. Bien des années plus tard, Nora, qui a vécu et subit le drame, ne veut toujours pas l’évoquer devant sa fille Polly et sa petite-fille Jess. Mais est-ce vraiment le chagrin qui la contraint au silence ? N’y a-t-il pas derrière ces ombres des mystères bien trop pesants pour les garder à jamais secrets ? Que cache l’histoire de la famille Turner…



Le dernier roman de Kate Morton est un récit envoûtant. Qu’il s’agisse de l’écriture, travaillée à la perfection tout au long des 700 pages, ou de l’histoire, menée tambour battant, les pages du roman se tournent avec avidité.

Même si j’ai trouvé que la chute tardait un peu à venir, on ne peut pas nier que Kate Morton nous entraîne avec facilité au cœur d’une enquête familiale…



Nous nous envolons donc en Australie. Les descriptions des paysages, des jardins, de cette nature omniprésente, est une bouffée d’oxygène. Elles allègent par petites touches l’histoire oppressante de la famille Turner. Des corps retrouvés sans vie, un mari souvent absent, une épouse qu’on imagine seule et déprimée, il n’en faut pas plus pour tirer des conclusions rapides. Mais on sait que les apparences sont souvent trompeuses…



Je n’en dirais rien de plus… Kate Morton excelle dans sa façon toute en subtilité de nous emporter sur une piste, puis une autre. On pense avoir trouver un coupable, mais l’auteur nous aiguille alors dans une autre direction…



Cette lecture, reçue et partagée dans le cadre du @bookclubkube, a été très agréable dans sa globalité. J’ai apprécié le voyage et j’y ai trouvé des amis, de grandes âmes, des êtres généreux… Mais j’ai aussi croisé des êtres plus vils, plus sombres, dont l’emprise a réussi à briser des vies plus fragiles… J’ai respiré sous le feuillage, rêvé au coin d’une cheminée, lu dans une bibliothèque riche et accueillante… J’y ai croisé la vie, tout simplement…
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Le Jardin des Secrets

Il y a quelques années, j'avais été éblouie par "Le Jardin des Secrets" de Kate Morton dont je m'étais délecté page après page, conte après conte, secret après secret... Pleine d'espoir et alors bien peu méfiante envers les auteurs et les maisons d'éditions qui produisent des romans comme le boulanger façonne baguettes et croissants, je m'étais mise en tête d'explorer la bibliographie de l'auteure. J'avais alors bien apprécié "Les Brumes de Riverton", sans plus, regrettant un peu son air de déjà vu. Têtue, j'ai poursuivi pourtant: "La scène des souvenirs" et "Les heures lointaines"- je crois- qui tous deux m'ont laissé avec une sensation poisseuse d'écœurement, d'overdose: trop de vastes manoirs, trop de jeunes femmes en quête d'un passé qui expliquerait leur présent, trop de mièvrerie, trop de fils blancs... J'en ai eu la nausée et plus jamais je n'ai rouvert un roman de l'australienne.

Récemment, toutefois, en tâchant de mettre un peu d'ordre dans ma bibliothèque, sorte de petite jungle de papier, j'ai retrouvé "Le Jardin des Secrets" et avec lui la réminiscence quasi-extatique du plaisir dans laquelle sa lecture m'avait plongée jadis. C'est ainsi, poussée par cette ineffable nostalgie que j'ai boudé les livres qui m'attendaient (et cette sublime "Mélancolie des Baleines" qui me bouleverse depuis deux jours!) pour le relire.



Force est de constater que si Kate Morton, à l'instar d'autres faiseurs de best-sellers, a tendance à réécrire sans cesse le même roman, à appliquer à la lettre toujours la même formule comme une Cartland en son temps, elle nous a tout de même offert à nous lecteurs un divin enchantement avec ce jardin anglais aux airs gothiques, cette cruauté et ce mystère propres aux contes qu'on dit de fées et qui m'a furieusement rappelée à la relecture un autre chef d'oeuvre du genre que j'adore: "Le Treizième Conte" de Diane Setterfield (dont je n'ai aimé que cet ouvrage d'ailleurs... Tout cela ressemble fort à une malédiction!).



"Le Jardin des Secrets", c'est l'époque victorienne. Ce sont les bas-fonds londoniens que n'auraient dédaigné ni Charles Dickens, ni Jack l'éventreur. Ce sont les Cornouailles battues par les vents et que la pluie revêt d'un vert éclatant après chaque averse, le gout du sel et d'un feu de cheminée. C'est un manoir victorien dans la plus pure tradition, enclos dans un jardin merveilleux. C'est une famille mystérieuse, tourmentée, pétrie de ténèbres et de secrets. C'est un labyrinthe. Ce sont des contes aussi étranges que beaux, graciles et douloureux. C'est une conteuse. Ce sont le présent et le passé qui s'entrechoquent, le premier cherchant dans le second un baume propre à guérir ses blessures. Ce sont des personnages attachants (deux orphelines, une héroïne) et bien campés, des brumes et des douleurs anciennes. Un peu de lumière aussi.

Voici ce qu'est "Le Jardin des Secrets" et c'est délicieux, hypnotique...



Ainsi au cœur de ce entrelacs de verdure et de secrets, c'est le destin de Nell qui va croiser celui de sa petite-fille Cassandra.

La première est morte laissant en héritage à la seconde un cottage mystérieux perché dans les Cornouailles... Pour sa petite fille qui croit encore que son aïeule était australienne, c'est une découverte plus qu'intrigante et elle entreprend le long voyage qui la mènera de l'Océanie à la vieille Europe pour tenter de percer le secret de Nell et de leurs origines à toutes les deux. Une quête des origines qui court de 1913 et d'un lourd transatlantique à 2003, là où tout avait commencé.



"Le jardin des Secrets" est un page-turner efficace, addictif qui n'est pas sans facilité ni mièvrerie (mais légère!) mais il est servi par un style fluide et parfois poétique et surtout par une intrigue oppressante et romanesque qui saisit et ne lâche plus ainsi que par une connaissance accrue de la part de la romancière du contexte décrit dans le roman et des romans gothiques de ce merveilleux XIX° dans la tradition desquels il s'inscrit.

On ne peut que cesser de grincher face aux histoires conjointes de Nell et Cassandra pour se laisser emporter par leurs entêtantes destinées aux milles soubresauts, aux cent secrets et presque autant d'arcanes et de volutes. Un délice qui fait la part belle aux contes dont on sait tous sans le savoir qu'ils sont toujours plus sombres qu'ils n'y paraissent, qu'ils recèlent en eux l'exquise inquiétude des secrets qu'on se transmet de générations en générations.











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Les ombres d'Adelaide Hills

🦜AUSTRALIA🦘

En 1959 dans une petite ville d'Australie, une famille est découverte morte dans des conditions étranges. 60 ans plus tard, Jess, journaliste à Londres, doit revenir en urgence dans son pays natal à Sydney au chevet de sa grand-mère malade. Elle va découvrir des secrets terribles sur sa famille...



C'était la première fois qu'on lisait un roman de Kate Morton et on n'a pas regretté le voyage. Avec cet énorme pavé de 700 pages, on a pris un vol direct pour l'Australie et on a découvert une tragédie familiale digne des Atrides ! On a frémi pour les personnages, on a tourné les pages à toute vitesse , on s'est senti proche de Jess, on voulait savoir à tout prix le fin mot de l'histoire en redoutant le pire. On a souvent eu l'impression de ressentir la chaleur moite d'Adelaïde Hills, de respirer les fleurs mauves des jacarandas et d'entendre les cris des cacatoès blancs au-dessus de nos têtes. On a surtout été séduites par le style et la force romanesques de Kate Morton, ses personnages à la psychologie complexe, son questionnement plutôt original des rapports mère fille. Seul petit bémol, on a trouvé que le roman aurait gagné à être allégé, pour renforcer son impact émotionnel.

Qu'en pensez-vous ? Vous aimez les pavés littéraires ou vous les redoutez ? Avez-vous déjà lu Kate Morton ? Des titres à nous conseiller ?
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La scène des souvenirs

Mon premier Kate Morton, depuis le temps que je voyais ses livres sur la blogosphere et sur babelio. Il traînait dans ma (petite.... hum... hum) PAL depuis au moins un an. Mais parfois l'envie de se lancer dans un gros pavé n'est pas au rendez-vous. Et puis, un jour, pourquoi pas.

Un pavé donc, qui s'apprivoiser petit à petit, d'abord assez lentement et puis qui s'accélère sur la deuxième partie, pour finir en trombe sur la fin (merci le grand week-end !).

Laurel Nicolson, actrice reconnue, se rend au chevet de sa mère au seuil de la mort. Ce sont toujours des moments propices à l'introspection, aux souvenirs, aux quêtes d'identité. Profiter des derniers moments pour se rapprocher, être sûre de ne pas passer à côté de l'être aimé qui s'en va. Laurel se souvient alors d'un moment trouble de son adolescence, qu'elle avait occultée sciemment et par amour pour sa mère. Ce moment est celui où sa mère poignarde un homme. Pourquoi? Qui était cet homme? Pourquoi sa mère a t elle basculée? Pourquoi personne n'a plus jamais évoqué cet événement ? Et qui est cette femme aux côtés de sa mère sur une photo datant de la seconde guerre mondiale que sa sœur a retrouvé dans un livre? Laurel partira sur les traces de ce mystère et de cette mère qu'elle ne connaît pas si bien. Le récit nous emmènera en Australie des années 30, pendant le blitz de Londres et bien sur, sur les derniers moments de sa mère, Dorothy. Un récit riche, dense qui entremêle trois temporalités et des personnages tous plus mystérieux et attachants les uns des autres. Tout le long du récit, je me suis dit que je savais où l'auteure me menait, mais il n'en était rien. Petit à petit Kate Morton tisse sa toile, de façon intelligente, pour nous mener par le bout du nez.

Ce qui est sur... ce ne sera pas mon dernier Kate Morton!
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Les ombres d'Adelaide Hills

Voila une auteure que je ne connaissais pas mais dont j'ai beaucoup entendu parler sur les réseaux notament sur l'insta de @la_kube. je l'ai lu dans le cadre du challenge de @chloe_tourne_les_pages #reverdanslespasescharleston.

Dans se romain on fait la connaissance de Jess trentenaire Australienne vivant à Londres. En rentrant en Australie pour s'occuper de sa grand-mère hospitalisée elle se rend compte que celle ci cache un secret qui est à l'origine de sa chute. Dès lors elle se lance dans une enquête minutieuse pour découvrir ce qui c'est vraiment passé.

Au fil des pages on est soit en 2018 avec Jess ou en 1959 avec la famille Turner. Chaque chapitre est une pièce du puzzle qui pour certains nous envoient sur une fausse piste. Entre secrets de famille, relation mère/ filles et enquête policière ce livre nous tiens en haleine malgré quelques longueurs.

J'ai beaucoup aimé se roman. Surtout sa construction en sorte de puzzle qui alterne entre passé et présent et le point de vue des différents personnages. Je vais surement tenté un autre roman de cette auteur même si je ne suis pas sure que l'Angleterre en toile de fond me plaise autant que l'Australie.
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La prisonnière du temps

C’est avec un plaisir non feint que j’ai découvert la plume de cette autrice grâce à ce roman qui m’a fait passer un excellent moment.



Kate Morton nous fait voyager dans une multi-temporalité allant du XIXe siècle aux années 2010 en passant par la Seconde Guerre Mondiale, le tout sans jamais perdre de vue l’intrigue de son roman.



Les différents chapitres, relativement courts, passent d’une époque à une autre, d’un lieu à un autre en semant petit à petit les graines qui vont aboutir à tisser un magnifique patchwork historique, romanesque.



L’autrice semble avoir distillé de façon très habile les codes du polar dans un roman de littérature blanche, ce qui fait que, au-delà de nous livrer une histoire déjà très belle par ailleurs, elle tient son lecteur en haleine jusqu’à la dernière page. Kate Morton maîtrise d’ailleurs assez bien la diversité des genres car le volet légèrement fantastique de son roman s’inscrit parfaitement dans la trame globale.



Malgré ses plus de 700 pages en version poche, ce livre est un vrai bonbon. J’avoue avoir assez peu de reproches à lui faire si ce n’est peut-être quelques légères longueurs à certains moments.



La page couverture est également splendide, et en total accord avec le contenu du livre.



J’ai bien hâte de continuer à découvrir l’oeuvre de Kate Morton !


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Les ombres d'Adelaide Hills

Cela faisait si longtemps que j'étais tentée par les romans de Kate Morton ! La sortie de son nouveau roman était bien l'occasion ! Et j'ai adoré !

Au début, j'ai cru que j'allais m'ennuyer vite car il me semblait avoir compris toute la trame de l'intrigue... mais l'autrice a su tellement bien y faire dans sa narration et dans ses retournements de situation, qu'au final elle a réussi à me surprendre et à m'embarquer son l'histoire !

Si vous aimez les romans de Daphne du Maurier ou, plus récents, ceux de Lucinda Riley, vous ne pouvez qu'aimer l'ambiance, l'intrigue et l'atmosphère de celui-ci et je pense que je lirai les précédents romans de l'autrice. L'histoire ? Eh bien elle se passe à 2 époques, en Australie. En 1959, une mère (Mathilda Turner) et ses 4 enfants sont retrouvés morts, comme endormis, au bord de l'eau. Une enquête tente de déterminer s'il s'agit d'un meurtre, d'un meurtre-suicide ou d'un accident. Mais en 1959, les méthodes d'investigations ne sont pas aussi poussées qu'aujourd'hui. Puis en 2018, Jess, journaliste londonienne, est appelée au chevet de sa grand-mère, qui l'a élevée en Australie. En tentant de comprendre comment sa grand-mère a pu se blesser si gravement et en fouillant donc dans sa maison, Jess va découvrir petit à petit le lien qui unit sa famille à celle des Turner, et va se mettre à enquêter par elle-même sur cette affaire non résolue.

On trouve (enfin, j'ai cru voir) beaucoup de références à Agatha Christie. C'est en fait vraiment un thriller domestique car il y a des morts, une enquête et une histoire de famille, mais aussi un roman gothique pour tous les thèmes abordés.

Le roman est formé de récits enchâssés (notamment un livre dans le livre, qui raconte en partie l'affaire de 1959 dans le style du « nouveau journalisme ») et de plusieurs points de vue, ce qui nous apporte des éléments brique par brique.

Aussi, il y a de nombreux souvenirs dans les flash back qui sont parfois déstabilisants, surtout au début, mais on s'y fait finalement et le cerveau intègre bien l'histoire dans son ensemble. Ce sont donc en fait 2 destins qui sont dévoilés dans cette intrigue : celui des Turner et de la grand-mère de Jess en 1959, et celui des femmes de la famille de Jess entre 1959 et 2018.
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Les ombres d'Adelaide Hills

Kate Morton nous transporte avec ce récit dans l'Australie pittoresque en pleine nature, où les plantes envahissent l'espace, où les rivières coulent et où les oiseaux chantent.



On est plongé au cœur de mystères et de secrets de famille qui ont bouleversés la vie de plusieurs des personnages.

L'intrigue est haletante, prenante et addictive. L'enchaînement de deux temporalités m'a beaucoup plu, l'époque actuelle 2018 et l'année 1959 ainsi que le concept d'un livre dans le livre. Le livre de Daniel Miller aide à mettre en lumière peu à peu des éléments importants de l'enquête et également les points de vue des personnages.



Les personnages de Kate Morton sont tous uniques mais on peut distinguer une synergie entre eux et l'on s'attache vite à certains d'eux. Les liens entre Nora et Jess puis à la fin du roman entre Polly et Jess sont merveilleux et honorables. L'autrice met en avant la complexité des relations familiales.



La fin du roman bien que prévisible sur beaucoup d'aspects était étonnante, ça a été un enchaînement de révélations et d'émotions.



Kate Morton à une très belle plume, elle sait conter à merveille avec de riches détails surtout sur les paysages. L'histoire est bien menée avec une enquête complexe et des personnages attachants.
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Les ombres d'Adelaide Hills

Super ! J'ai dévoré ce livre, on retrouve le style de Kate Morton mais avec cette fois-ci une petite nuance sur la façon dont sont raconté les évènements en lien avec cette enquête policière qui nous tient en haleine tout le long !

Certains commentaires indiquait que le livre était un peu lent, on a effectivement un bon morceau au milieu qui met du temps à se débloquer mais la lecture n'en reste pas moins superbe, bluffée par le reveal final !

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Les brumes de Riverton

Si je me suis lancée dans la lecture d'un roman de Kate Morton, c'est parce que la youtubeuse Margaud Liseuse, que je suis et apprécie depuis des années, n'en tarit pas des loges. Le résumé des "Brumes de Riverton" me parlait bien, je me suis laissée tentée.



Malheureusement ça n'a pas été une franche réussite pour moi.



Commençons par le positif : mon côté fan de Downton Abbey a beaucoup aimé le cadre du roman. Un grand manoir au XXe siècle dans lequel Grace, notre narratrice, va évoluer. A travers ses yeux, on suit la vie domestique du manoir, mais aussi, de par sa position privilégiée, la famille aristocrate qui y vit. Secrets, amours secrets, relations parfois complexes entre frères et sœurs... On suit, au fil des années, l'évolution de cette famille, ses hauts et ses bas.

J'ai été touchée par le traitement de la Première Guerre Mondiale qui touche la vie de tous les personnages : bien des hommes en sont revenus changés, traumatisés, et n'ont jamais pu renoué avec une vie normale. Incompris par leur entourage, ils menaient un combat contre eux-mêmes et leurs souvenirs. Cette partie de l'Histoire est traitée avec réalisme et beaucoup d'émotions.



Ce que je n'ai pas aimé dans ce roman, c'est son déséquilibre. Je lisais certaines parties très facilement et je trainais la patte pour d'autres. A mon sens, l'histoire trainait en longueur et, lorsque je suis arrivée à la révélation finale, je me suis dis : "Tout ça pour ça".



En lisant les différents commentaires, je vois qu'il s'agit du premier roman de l'autrice, ce qui explique peut-être le fait que je ressors mitigée de cette lecture. Je pense un jour tenter un autre titre, plus récent, pour me faire une meilleure idée de sa plume.
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Les ombres d'Adelaide Hills

Woaw ! Cette ambiance sombre, ces secrets de famille, l'autrice nous tient en haleine jusqu'au bout pour une fin plus que surprenante.



J'ai adoré découvrir l'atmosphère d'un livre de Kate Morton. Je n'avais encore jamais lu de livres de cette autrice, et je sais déjà que ça ne sera pas le seul.



J'ai retrouvé un air de Lucinda Riley dans ces mots, dans ces secrets de famille, mais avec une note personnelle qui fait toute la différence.

Avec des descriptions détaillées, elle a su me faire voyager en Australie et me ramener dans ce pays que je connais.

On est embarqué dans une ambiance qui, au fur et à mesure des chapitres, devient de plus en plus sombre, jusqu'à nous amener à cette résolution ... qui m'a laissée sans voix.

Moi qui croyais avoir compris, je me suis laissée avoir. L'autrice mène le lecteur par le bout du nez, nous faisons passer par tous les doutes, toutes les théories.



J'ai dévoré ce livre, jusqu'à ne plus le lâcher car page après page, je voulais savoir ce que les personnages acceptaient enfin de me révéler.



L'alternance passé-présent & entre les différents personnages, chacun de ces éléments crée un rythme soutenu, qui nous tient en haleine jusqu'à la fin du livre.
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Le Jardin des Secrets

🌟Le Jardin des secrets🌟 est le premier livre que j'ai lu de cette auteure, et j'ai adoré sa manière d'écrire et son sens de l'écriture toujours entre deux époques

Kate Morton nous fait traversé le temps et la planète au travers de l'histoire de Nell est sa petite fille Cassandra entre l'Australie et et l'Angleterre. Un périple remplie d'émotions de magie et de secret bien enfouies. Des paysages, sublimes, un roman où l'amour intergénérationnel est important voir une clef de l'histoire, différentes époques, A lire et a relire.


Lien : https://www.instagram.com/my..
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Les ombres d'Adelaide Hills

C'était mon deuxième roman de Kate Morton, et c'était une bonne lecture !



Commençons par les points faibles de ce roman (pour moi).

Kate Morton est une adepte des belles briques, mais ici je trouve que les 700 pages ne sont pas justifiées... Malheureusement certains passages étaient lents et assez répétitif. On piétinait dans l'avancement de l'histoire, et c'est dommage car cela ne donnait pas envie d'y retourner...



Pour le reste, j'ai beaucoup aimé l'histoire !

Une petit village, une grande maison familiale, une disparition, des meurtres, des secrets de famille... tout est réunis pour passer un très bon moment de lecture ! Toutes les amatrices de ce type de roman seront

conquises !



J'avais deviné une partie des révélations finales, mais j'ai beaucoup aimé le dénouement !



Sur la fin du roman le rythme s'accélère, les pages défilent, et nous n'avons pas envie de le lâcher avant d'en connaître l'issue.



Alors si vous aimez déjà les romans de Kate Morton, ou si vous aimez les romans remplis de secrets de familles, foncez !
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