Citations de Katherine Pancol (3693)
Bien fait ! Il détestait ce genre de pimbêches qui vous piquent sans vergogne le taxi que vous aviez hélé et lancent désolée ! Je l’avais vu avant ! Ces femmes qui sourient sans plisser les yeux, aiment sans donner leur cœur, mangent sans rien avaler, que du vent, de l’air, zéro calorie garanti.
Je suis ce qu’il y a de plus triste au monde : une fille qui ne sert à rien…
Les mots résonnent, s’amplifient, forment des accords stridents, déraillent.
Y a pas que le sexe dans la vie ! D’ailleurs, je trouve qu’on lui donne bien trop d’importance.
Qui ne tente rien n’a rien !
Faudrait déjà avoir un mec pour être veuve...
...le monde est une jungle, l’union fait la force, unissons-nous pour affronter la jungle, hasta siempre, Comandante !
" La lecture n'est pas une activité innocente."
"On est crédule, quand on aime. On ne veut rien apprendre qui dérange l'idée magnifique que l'on se fait de l'autre. De l'autre que l'on repeint toujours en doré... C'est l'amour qui veut ça".
"Les gens n'aiment pas poser de questions, ils ont peur de paraître incultes ou cons, mais si on ne demande pas, on n'apprend jamais, non ?"
" Les grands amoureux sont de grands oisifs. Ou de grands rêveurs. Lamartine sur son lac, Musset à Venise, Chopin au piano, Albert Cohen, fonctionnaire distrait… Ils ralentissaient le temps, dépiautaient chaque minute pour en faire une éternité de frissons "
" L’homme survit aux tremblements de terre, aux épidémies, aux horreurs de la guerre, et à toutes les souffrances de l’âme, mais la tragédie qui l’a toujours torturé et le tourmentera toujours est la tragédie de la chambre à coucher. Ainsi parlait Tolstoï. "
" La vie est dans les détails, tu le sais bien. "
" Cela me prend, parfois, cette force irraisonnée. Une joie de vivre, l’envie de tout voler, tout croquer, tout distribuer. Cela me vient avec la douceur d’une brise de juin, la couleur d’un taxi au coin d’une rue, le frémissement d’un arbre. Je vibre à l’unisson d’un grand accord qui me plaque sur le monde, je suis belle, je suis bonne, je suis géante, si bien dans chaque fibre de ma peau que l’accord se prolonge et résonne, résonne. Cela dure une minute, une heure, deux heures ou plus, mais je goûte chaque parcelle de ce temps à faire craquer le temps, à le rendre élastique, à y enfourner toute la fougue, la jubilationn, l’énergie du monde ".
"Les femmes ont si bien appris à être fortes qu'elles se sont cuirassées".
Toute son énergie, elle l'emploiera à entretenir cette image si parfaite, si belle, si lisse qu'elle surveillait attentivement, découpant les photos, les articles parus sur elle, se constituant d'énormes albums qu'elle feuilletait. Rien ne devait transparaître de son intimité sans on approbation. Parce qu'elle avait compris que son siècle allait être un grand dévoreur d'images, elle refusa obstinément de se laisser prendre au piège et de devenir un objet.
Il faut le lire, tout simplement. Il s'agit de destinées exceptionnelles qui ont marqué l'Histoire, c'est bien documenté et, faut-il le préciser, puisqu'il s'agit de la plume Pancol, bien écrit.
Bref, que du plaisir : de lire et d'apprendre.
Joséphine avait peur, si peur. Elle aurait pu indiquer précisément où elle avait peur, mesurer la longueur, l'épaisseur, le diamètre de la barre qui lui écrasait le plexus et l'empêchait de respirer.
La foi en la vie, il ajoute, c'est de croire qu'il y a une place pour toi derrière le brouillard. En ce moment, tu penses que tu es tout petit, tout cassé, sans importance, mais quelque part, derrière ce gris, une place t'est réservée, une place où tu seras heureux....
L'if mâle est droit, mince et fier, lui a expliqué le monsieur avec une toile d'araignée sur la tête, l'if femelle est rond, pataud, disgracieux.