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Citations de Kent Harrington (38)


— Tu sais pourquoi j’aime le Mexique, mon vieux ? lui demanda Slaughter en rapprochant sa chaise.
— Non, pourquoi ?
— Parce que tout le monde est dingue dans ce pays. T’en as offert la preuve ce soir : fallait vraiment être cinglé pour tenter ce que tu as tenté. C’est une chose que j’admire chez un homme.
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Un homme a le pouvoir de changer le cours de sa vie. Peut-être qu’avec une fille comme elle, tu réussirais.
Pour la première fois depuis des années, il sentait qu’il pouvait changer, se libérer de Clarksville, de ses erreurs passées.
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. Il pouvait lui apprendre des choses. Mais était-ce vraiment cela qu’il cherchait ? Une bombe sexuelle ? Ève était de celles-là. Ève était même ce qui se faisait de mieux dans le genre. Et Kelly Owens, qu’était-elle au juste ? Une brave fille, plutôt délurée, qui aimait se balader à vélo et faire l’amour en pleine nature. Ce n’était déjà pas si mal, non ?
Et tout ce que tu trouves à lui raconter, ce sont ces conneries à propos de pression et de passage à vide. Parle-lui de toi, dis-lui n’importe quoi, dis-lui que tu aimerais au moins essayer toi aussi. Dis-lui que tu voudrais essayer de l’aimer… que t’en as marre d’être un salopard de raté.
Il se demanda ce qu’Ève dirait de ce genre d’amour, du fait de s’envoyer en l’air en plein champ sans avoir besoin de…
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Elle voulait de l’intimité ; il l’avait senti dès qu’il avait mis un pied dans l’appartement. Pas seulement du sexe ; non, une autre forme d’intimité. Elle voulait un homme dans sa vie, dans son lit, elle voulait quelqu’un à aimer, et elle l’avait choisi, lui.
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Toutes les femmes ont des secrets. Ève Stack en avait juste un peu plus que les autres. Les secrets d’Ève étaient de ceux qu’on lève dans les bars. Leurs noms n’avaient pas d’importance ; dans les voitures qui la ramenaient chez elle, elle n’entendait que l’autoradio marchant à plein volume, ses lèvres savourant encore le goût du cognac.
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Helen était plus jolie et plus grande, et aussi plus féminine. Elle n’avait pas vraiment changé, pas même dans sa façon de faire l’amour. Elle avait toujours été passionnée et avait toujours témoigné d’un appétit qui semblait appartenir à quelqu’un d’autre, tant rien dans son attitude, en dehors du lit, ne le laissait supposer.
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Toutes les femmes véritablement belles, qui voient arriver le moment où leur beauté commence à se fragiliser, à les trahir, sont partagées entre ce qui fut la perfection et ce qui sera. Certes, Helen Law était toujours une femme extrêmement séduisante, avec son côté Jacqueline Bisset qui faisait fondre le cœur des hommes. Ce matin-là, elle portait une minijupe noire pour rester dans le vent, et c’était plutôt réussi. En fait, elle était superbement désirable, mais sa beauté s’était craquelée.
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C’est un type dans son genre qu’il me faut. Un type qui sait ce que c’est que de se vautrer dans la fange pour en sortir un diamant .
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Il avait été l’un de ceux qui en avaient tiré le meilleur parti, l’un de ceux qui avaient appris le sourire de glace. Il avait dirigé une véritable petite mafia étudiante qui avait fini par diriger l’établissement à sa façon dans le dos des professeurs. Il s’était protégé. Il avait réussi. La CIA n’avait fait qu’ajouter quelques raffinements au principe de base. Il alluma sa cigarette ; ses doigts tremblaient légèrement à cause de l’alcool.
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L’histoire que vous entendrez raconter sera pure invention… une simple couverture, un mensonge. Ce sont eux les responsables. Des gens qui appartiennent à l’Agence. Et même au bureau du directeur ; bref, des gens haut placés. Il est probable qu’ils travaillent avec les cartels de la drogue.
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Il savait que les jeunes gens assis près de lui n’étaient que de jeunes dandys pathétiques qui se fiaient à leurs ordinateurs plutôt qu’à ce qu’exigeait réellement leur boulot et à ce qu’Alex possédait au plus haut degré : le don de corrompre les autres et de harceler l’ennemi. C’était ce qui avait fait sa force à l’époque, en particulier durant ces deux jours où il s’était distingué en Angola.
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Les femmes, songea Alex, l’esprit embrumé par l’alcool, rendaient beaucoup plus supportable cet égarement. Elles étaient les trésors auxquels on s’accrochait durant la nuit, le dessous coquin ou le sourire dont on se souvenait quand l’ordre nous était donné de compter nos munitions. Pour les civils, qui n’avaient jamais rampé dans la boue ni donné la charge au corps à corps, c’était différent. Dans le monde civil, les femmes étaient réduites au rôle de collègues ou d’amies. Bon Dieu, songea-t-il, c’était tellement ridicule. Pour sa part, quand il prenait une femme dans ses bras, c’était la vie même qu’il étreignait. Le contraire de la mort.
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Il recherchait la compagnie des femmes – blanches, noires, jaunes, rouges, jeunes ou vieilles. Il suffisait qu’elles soient femmes, avec des manières féminines ; brillantes ou stupides, religieuses ou perverses, ça n’avait pas d’importance pour Alex. Il avait un besoin irrépressible du sexe opposé. Il voulait entendre des voix de femmes ; les entendre bavarder ou jouir, ou même se mettre en colère contre lui. Il se disait que c’était pour cette raison qu’il passait tellement de temps au bordel. Il aimait les femmes. Et n’importe quelle femme était préférable à ce qu’il voyait autour de lui : un café plein d’officiers appartenant aux services de renseignement.
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Devant la maison victorienne de Green street ou leur groupe d’écriture se réunissait Michel Boon lui sourit d’un air stupide. La vitre de la portière de la Porsche Boxster flambant neuve de l’avocat descendit en silence.
Eh oui, fit il comme s’ils étaient déjà en pleine conversation, il faut bien que quelqu’un les achète, ces petits bijoux, non? Histoire que les Allemands ne se retrouvent pas au chômage. Autrement, ils seraient bien capables d’envahir le Danemark ou je ne sais quel bled.
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Le tireur avait ouvert le feu à bout portant sur la voiture de Kregan. Il avait agi méthodiquement, vidant un plein chargeur, avant d’en enclencher un second. Kregan, au volant, avait tressailli violemment sous l’impact des balles. Kevin Ford, assis à côté de lui, avait essayé de descendre de voiture, mais il avait été abattu lui aussi. Claymore avait entendu des cris. Le tireur avait marqué un temps d’arrêt pour s’assurer qu’ils étaient bien morts. Puis il avait longé la file de voitures jusqu’à celle de Claymore. Il avait tiré à droite et à gauche, sans discernement. Son regard avait rencontré celui de Claymore, mais il avait passé son chemin, abattant une femme seule au volant de la voiture suivante. Puis il avait marché tranquillement jusqu’à une moto qui l’attendait de l’autre côté de la rue, et avait disparu. Le tout n’avait pas pris trois minutes.
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Il n’y a rien de plus dangereux qu’un homme honnête...
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Les femmes n’écriraient jamais de grands romans, parce que être artiste, c’est être égoïste, et que les femmes n’étaient pas faites comme ça.
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Cela faisait partie de la culture de l’île. Les aînés qui vous connaissent depuis l’enfance peuvent vous appeler par votre prénom, quoi que vous soyez devenu, médecin, avocat ou policier. Peu importe.
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